
L’Arcom est un obstacle à la démocratie et à la liberté d’expression. L’autorité de régulation de l’audiovisuel, qui a obtenu du Conseil d’Etat, mercredi, la confirmation de l’éviction de C8 et de NRJ 12 de la TNT à la fin de ce mois, est un instrument politique au service de la pensée officielle. Son président, qui fait surveiller le contenu des débats télévisés, est d’ailleurs choisi par le chef de l’Etat. En l’occurrence, s’agissant de C8 (400 salariés), l’Arcom a voulu punir une des chaînes du groupe Bolloré, coupable d’excès de liberté à travers Cyril Hanouna.





