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Cet article est une tribune libre, non rédigée par la rédaction du Salon beige. Si vous souhaitez, vous aussi, publier une tribune libre, vous pouvez le faire en cliquant sur « Proposer un article » en haut de la page.
Il n’aura échappé à personne que l’avenir d’une Nation, d’une civilisation réside dans ses enfants. Cette lapalissade, tombant comme une évidence, est pourtant battue en brèche par les promoteurs d’une politique malthusienne rétrograde consistant à décourager les jeunes familles d’avoir des enfants au nom d’un principe que l’on croyait oublié depuis longtemps : la planète ne peut subvenir aux besoins de la population mondiale.
Il y a tout juste un an, le 4 août, à Cherbourg, Mégane était sauvagement violée par Oumar M., 18 ans, brute multirédiciviste. Aucun regret, aucune excuse. Un mois de coma artificiel pour Megane et une vie pour s’en remettre. Cette affaire atroce pose une fois de plus la question de la nature des « faits divers » tant ils sont devenus aujourd’hui des faits de société.
Elle, c’est Mégane, une petite Blanche de vingt-neuf ans violée en rentrant de soirée, sodomisée par soixante-quinze centimètres de balai, les entrailles déchirées et les côtes fracturées. La vie, pour elle, désormais, c’est l’intermède d’un coma artificiel, l’immensité insondable d’un traumatisme plongée en dormance, des cauchemars sans fin sous sédatifs, des organes en lambeaux et un corps meurtri en proie à une septicémie généralisée. Son hypothétique réveil, c’est la mort en elle que les médecins ne pourront jamais guérir, un immense cri de terreur venu du fond des âges, des yeux hallucinés sortant de leur orbite pour fuir la conscience d’une âme profanée, physiquement, moralement et psychologiquement à jamais anéantie.
La montée en puissance de la stratégie de communication unilatérale en faveur de la réussite des jeux olympiques de Paris 2024 inciteront les lecteurs les plus distanciés des mots d’ordre journalistiques à se replonger dans la lecture du Sport contre les peuples, écrit par Robert Redeker et publié en 2002. Nous partageons avec nos lecteurs un texte évoquant cet ouvrage. Cette analyse a été publié initialement en 2005 mais reste toujours – et plus que jamais – d’actualité.
Quand la foire démocratique prépare l'ère de la trans-politique
Frédéric Andreu
« Je ferais n'importe quoi, si tu me le demandais ; je renierais ma patrie, si tu me le demandais, etc, etc ». Écoutons les paroles de l'Hymne à l'Amour chanté lors de la cérémonie d'ouverture des JO 2024, en nous demandant pourquoi Macron s'évertue à « faire n'importe quoi , « à renier sa patrie » sans que ni Édith Piaf, ni Céline Dion ne le lui demande. Admettons avec Aragon que « le poète a toujours raison » et, avec René Char, « que les paroles connaissent de nous des choses que nous ignorons d'elles »...
En octobre 2021, l'ancien PDG de Hertz avait amorcé un virage électrique en commandant plus de 100 000 Model 3 de Tesla. Trois ans plus tard, les résultats du deuxième trimestre publiés ce jeudi par le géant de la location soulignent le lourd tribut financier de ce changement stratégique.
L’Angleterre est en train de devenir le laboratoire de la souffrance des populations européennes, confrontées à la progression des populations de confession musulmane en leur sein. L’étincelle aura été le meurtre de trois fillettes en début de semaine, par, très probablement, un jeune issu de l’immigration. Ce pays on se souvient, a déjà fait face à de très nombreux actes sordides perpétrés par des hommes issus de l’immigration et de confession musulmane, comme, il y a quelques années, le gang des pakistanais qui avait réduit en esclavage sexuel des dizaines de jeunes femmes. Egalement, de très nombreuses grandes villes sont dirigées par des maires musulmans et statistiquement, la population d’origine est en minorité numérique dans plusieurs endroits du territoire désormais et, au niveau global, la religion musulmane est devenue la première en nombre de fidèles, devant la religion chrétienne de la population d’origine. Le tout sur fond de délinquance galopante : coups de couteaux, attaques à l’acide, violences sur la voie publique, cambriolages, qui rendent la vie des Anglais insupportable. S’en est suivi un phénomène de migration interne appelé White-Flight, qui a consisté en une fuite de la population blanche depuis certains quartiers de Londres devenus investis majoritairement par des populations rapportées. Ces phénomènes devancent en intensité, en Angleterre, des phénomènes de moindre ampleur, mais tout aussi comparables en France, Allemagne, Belgique, Pays-Bas et plus globalement dans l’ensemble des pays européens.
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On le sait, la Pologne, par rapport aux autres pays européens, reste très catholique, avec quelque 30 % de ses habitants qui se rendent à la messe chaque dimanche. Une particularité du droit polonais, c’est qu’il interdit « l’insulte aux sentiments religieux », même si les tribunaux renâclent à sanctionner ce genre de délits. Les blasphèmes et profanations existent en Pologne, notamment lors des marches LGBT sponsorisées et soutenues par les fondations de type sorosien, les multinationales et les ambassades occidentales, et soutenues aussi par la gauche polonaise aujourd’hui au pouvoir.
« Ça fait extrêmement mal ! Ce n’est pas juste ! ». Agenouillée, en larmes, Angela Carini, jeune boxeuse italienne, pleure après son élimination au premier tour des Jeux Olympiques de Paris 2024. Quelques instants plus tôt, l’athlète entrait sur le ring, déterminée, face à Imane Khelif, boxeuse algérienne. Mais seulement 46 secondes après le début du combat, Carini baissait les bras, laissait filer son rêve olympique et abandonnait le combat. La sportive italienne serait connue sur le circuit pour « être un peu dramatique », mais sa détresse en a ému plus d’un. De Giorgia Meloni à JK Rowling en passant par l’ancienne Femen Marguerite Stern, de nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer un combat « injuste », « inéquitable » et « anti-féministe ».
Ce matin, j'ai reçu une publicité du magazine MicroMega, un magazine progressiste par excellence, auquel j'ai également contribué par le passé. La communication annonçait la sortie, en librairie et en ligne, du nouveau volume intitulé « Contre la famille. Critique d'une institution (anti-)sociale ».