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lobby - Page 1120

  • Nouvelle campagne anti-Soros – La Hongrie ne veut pas devenir l’Afrique

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    Hongrie – Une nouvelle fois, le gouvernement lance une campagne nationale pour dénoncer les nuisances orchestrées par le milliardaire mondialiste George Soros que l’on retrouve derrière le financement de nombreuses ONG facilitant l’immigration vers l’Europe.

    Cette campagne très présente dans les rues des grandes villes hongroises, se déroule au moment où le gouvernement prend également de nouvelles mesures pour contrer toute association ou fondation, établie et enregistrée en Hongrie, qui parraine l’entrée, la réinstallation ou la résidence illégales d’un ressortissant étranger.

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  • Victoire des habitants du Mené contre l’implantation d’immigrants

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Les habitants du Mené, commune nouvelle des Côtes d’Armor, étaient hostiles au projet d’accueil groupé d’immigrants dans l’ancienne maison de retraite des Camélias à Langourla. Le maire, Jacky Aignel, a voulu imposé une solution de « rattrapage », en proposant de répartir les immigrants dans les sept anciennes communes formant Le Mené.
    À la majorité, les élus municipaux ont rejeté cette proposition jugée farfelue, qui laissaient même les services préfectoraux dubitatifs.

    Les habitants n’étaient en effet pas désireux de voir des immigrants s’implanter dans leur commune. Les élus municipaux l’ont bien compris et n’ont pas voulu voter un projet facteur de divisions et porteur de risques. Heureusement, ils ont pu voter à bulletin secret, ce qui les a mis à l’abri des pressions.
    Ronan Le Gall, porte-parole du parti nationaliste breton, s’est félicité de l’abandon du projet

    Il complimente l’engagement des riverains pour contrer le projet : « Leur courage doit maintenant servir d’exemple partout pour contrer les projets fous d’associations toujours plus subventionnées par l’argent public. »

    Désormais, la pression va retomber d’un cran sur cette commune de 5 000 âmes, et notamment à Langourla, un peu plus de 500 âmes. Le cours des choses va pouvoir reprendre.

    https://fr.novopress.info/

  • Un voile sur la vérité toute nue?

    Emmanuel Macron l’annonce dans Le Journal du Dimanche , il entend lui aussi s’atteler au chantier de l’organisation de l’islam en France dont il  posera les jalons au premier semestre de cette année. « Nous travaillons dit-il,  à la structuration de l’islam de France et aussi à la manière de l’expliquer », avec notamment, comme but de « retrouver ce qui est le cœur de la laïcité », comprendre « la possibilité de pouvoir croire comme de ne pas croire, afin de préserver la cohésion nationale et la possibilité d’avoir des consciences libres. » Le tout,  15 ans après la création du Conseil français du culte musulman (CFCM) par le ministre de l’Intérieur de l’époque , Nicolas Sarkozy, poursuivant  alors une démarche initiée par son prédécesseur Jean-Pierre Chevènement. Un CFCM marqué par de nombreuses rivalités internes, notamment du fait de la lutte d’influence que s’y livre  l’Algérie, le Maroc et la Turquie du fait du poids de leur diaspora respective.  Un CFCM dont on peut douter de la réelle représentativité,  dont certains acteurs  n’ont  pas su, pas pu (ou pas vraiment voulu?) enrayer la montée en puissance de l’islam(isme) radical. Islamisme qui s’est développé aussi en raison du prosélytisme  grandissant  des pétromonarchies les plus rigoristes qui poussent leurs pions dans les  zones  plurielles  finançant prêcheurs salafistes,  associations, mosquées et autres centres culturels wahhabites. Toutes choses qui  sont pour beaucoup  dans le phénomène djihadiste, le passage à l’acte terroriste, les ralliement à l’Etat islamique d’habitants de nos banlieues pour combattre la France ou la République Arabe syrienne. Dans le JDD, le président de la république reste bien flou sur ses intentions et les méthodes, expliquant qu’il consulte « intellectuels », « universitaires » et    « représentants de toutes religions ».  « Je ne dévoilerai une proposition que quand le travail sera abouti. Ma méthode pour progresser sur ce sujet, c’est d’avancer touche par touche (…).  Il y a une question qui est celle de l’organisation. Mais il y a une autre question, qui est celle du rapport entre l’islam et la République. »

    Le JDD illustre  le propos présidentiel par un sondage de l’Ifop qui semble montrer en deux petites années une évolution sensible de l’opinion de nos compatriotes sur la compatibilité de l’islam avec les valeurs de la société françaiseEn septembre 2016, 56% des sondés estimaient  que l’islam était incompatible avec les valeurs de la société française (contre 44% d’un avis contraire).  Aujourd’hui le rapport se serait totalement inversé. Selon  l’étude réalisée  les 2 et 3 février derniers,   56% des sondés – dont 73% des sympathisants du  PS, 60% de ceux de LFI et 58% de LREM –   répondent que l’islam  est compatible avec les valeurs de la société française43%  pensent l’inverse – dont 63% des sympathisants LR et 62% de ceux du FN.

    Alors certes,  ce sondage est interprétable de bien des façons, il s’agirait notamment de définir ce que sont lesdites valeurs de la société française, mais aussi de quel islam on parle . Bruno Gollnisch l’a dit, nous l’avons écrit sur ce blogue, il existe un angélisme criminel consistant à minorer la montée en puissance dans le monde musulman comme dans nos quartiers, d’un extrémisme islamique qui a incontestablement le vent en poupe. Face au vide spirituel, au matérialisme de nos sociétés occidentales, à des élites, des intellectuels, des professeurs qui pratiquent la repentance, l’auto flagellation, dénigrent notre Histoire et les valeurs fondatrices de notre civilisation européenne, cet extrémisme religieux trouve un terrain favorable chez les  enfants de l’immigration massive.

    Inassimilés ou désassimilés, les déracinés, les  acculturés des banlieues françaises  se saisissent  de cet islam là qui devient  revendication d’une altérité, recherche d’une identité Et très souvent la justification, l’habillage d’un racisme anti Gaulois, d’une haine toute basique de la France et des Français qui se drape  dans les oripeaux de la religion…Ou s’exprime de manière platement  « laïque» dans les clips de rap exhibant des racailles (pas toutes d’origine musulmane!)crachant sur notre pays, l’Etat, la police, les  Blancs, les Françaises…

    Il existe aussi une grille de lecture simpliste de la réalité du monde musulman et de son milliard de fidèles, dont les pratiques, la vision du monde, le rapport à la foi, la lecture de l’islam diffèrent souvent radicalement. Non l’islam  n’est pas d’un bloc, oui il existe un islam violent, radical,  sanglant cherchant à imposer le khalifat par la terreur  mais aussi une pratique pacifique de l’islam. 

    Cela les Français le savent  aussi, et les électeurs frontistes comme les autres, quand bien même les mots sont  piégés, acceptation de l’islam devenant synonyme pour beaucoup (chez les émetteurs comme chez les récepteurs  du message) d’une acceptation de la poursuite de l’immigration dont une nette et franche  majorité de nos compatriotes  ne veulent pas. Car ils savent que celle-ci   contribue à l’appauvrissement de catégories entières  de français, au développement de toutes les insécurités  et au matraquage fiscal des classes moyennes pour assister les nouveaux venus… Et ce sentiment devient  général en Europe. On l’a encore constaté samedi en Italie, à Macerata notamment,  où les manifestations contre le fascisme et pour la poursuite  de l’accueil de l’immigration,  suite au drame ou six migrants africains ont été blessés par balles par un jeune italien, n’ont réuni que des cortèges squelettiques, quelques milliers de personnes tout au plus, principalement des sympathisants  d’extrême gauche. 

    Le cas récent de l’affaire Mennel Ibtissem  est à cet égard très intéressant.  Cette toute  jeune femme musulmane d’origine turque, syrienne, algérienne et marocaine,  candidate à l’émission The Voice  sur TF1  a finalement  quitté celle-ci (certainement  encouragée par la chaîne), après avoir pourtant  séduit le jury lors  sa prestation .  La chanteuse a été rattrapée  par la patrouille, en l’espèce pour des messages publiés sur Twitter et Facebook alors  qu’elle avait à peine vingt ans. Au nombre des sujets qui fâchent,  elle  doutait  de la version officielle du massacre commis sur la promenade des anglais  à Nice le 14 juillet 2016 - « C’est bon, écrivait-elle, c’est devenu une routine, un attentat par semaine!! Et toujours pour rester fidèle, le terroriste prend avec lui ses papiers d’identité. C’est vrai, quand on prépare un sale coup, on n’oublie surtout pas de prendre ses papiers! » -  et arguait   au moment  de l’égorgement du Père Hamel dans son église de  Saint-Etienne-du-Rouvray quinze jours plus tard, que le gouvernement français était lui aussi « terroriste. » Cerise sur le gâteau en quelque sorte,  d’autres messages ou like de la jeune femme ont été exhumés, dans lesquels elle faisait part de sa proximité avec  l’islamologue  Tariq Ramadan,  l’humoriste Dieudonné et posait en photo  avec  la femme d’affaire(s)  franco-tunisienne Sarah Magida Toumi , nommée par Emmanuel Macron au sein du Conseil Présidentiel pour l’Afrique (CPA), mais aussi présidente de Lallab, une association proche des Frères musulmans devant  laquelle elle a chanté…

    Dans l’entretien au JDD cité plus haut,  Emmanuel Macron dit vouloir éviter dans le débat sur l’Islam de France qu’il entend initier des « raccourcis » qui plongent tout le monde « dans un même sac », et l’utilisation  d’ « objets connotés », référence assez claire, même s’il ne l’explicite pas, au foulard. Or, au sein de l‘islamosphère, beaucoup ont dit que Mennel Ibtissem avait été virée  parce que musulmane ne cachant pas  sa foi, du fait du turban dont elle était coiffée  qui cachait ses cheveux. Et ce,  au terme d’une campagne lancée par la fachosphère qui aurait  fait plier TF1 malgré les messages de paix, detolérance, les  excuses réitérées de la chanteuse.

    Or, ce n’est pas tant  pour son voile, son turban que la jeune femme a été écartée, ni même d’ailleurs pour sa proximité, au moins peut-être en pensées, avec M.  Ramadan, Mme Toumi ou les Frères musulmans mais pour son complotisme; à savoir ici, nous l’avons vu,  ses doutes sur les explications publiques  données sur un certain nombre d’événements. Avant elle, c’est vrai,   l’humoriste ami de Nicolas Sarkozy Jean-Marie Bigard, le très antifrontiste  réalisateur-comédien  Mathieu Kassovitz ou la très  macrono-compatible comédienne Marion Cotillard, exemples de pipoles parmi d’autres,  ont  pu douter de la véracité de la version officielle des attentats du  11 septembre 2001 à New-York  sans être mis au ban de la société (mais non sans remous pour les deux premiers…).

    Il y a tout lieu de penser  que  la situation a tendance à se  tendre, avec la volonté  de ce gouvernement de  verrouiller l’information  d’édicter des Vérités obligatoires, via la chasse judiciaire annoncée aux fake news comme ils disent. Il y a certes du travail: au terme de la toute récente enquête de la Fondation Jean-Jaurès et de Conspiracy Watch que nous évoquions ici, près de huit Français sur dix (79%)  adhèrent  à au moins une « théorie complotiste. » Mais contrairement à Mennel peut-être,   «72 % des Français sont tout à fait d’accord avec l’idée que l’immigration est un processus inquiétant, qui cause des problèmes de coexistence entre des cultures très différentes et menace à terme (leur) mode de vie».  Et « près d’un Français sur deux (48 %) valide la théorie du Grand remplacement »… dont certainement aussi un grand nombre des spectateurs de TF1…

    Alors que souhaiter à notre pays, sinon qu’il retrouve la liberté de choisir son destin, ce qui passe bien  évidemment par la possibilité de nommer les problèmes, d’énoncer une pensée alternative, du droit de se méfier des thèses et des doctrines officielles des acteurs du Système.  Recouvrement  de la nécessaire  liberté d’expression « d’autant plus nécessaire et vital, aujourd’hui », comme le notait Philippe de Villiers dans son message de soutien à Boulevard Voltaire la semaine dernière, que celle-ci  est « chaque jour un peu plus garrottée» pour accompagner la disparition-dilution programmée de la France française dans le magma mondialiste.

    https://gollnisch.com/2018/02/12/voile-verite-toute-nue/

  • 13 & 15 février à Montpellier et Béziers: conférences sur les mensonges antichrétiens

    Les mensonges

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Italie – les associations catholiques, collaboratrices de l’invasion

    pape_francois_refugie-300x196.jpgElles sont « catholiques » de nom mais elles sont immigrationnistes de fait ! Elles se disent « catholiques » pour mieux imposer le nouvel Évangile du migrante, cher au pape François. En  prêchant un « christianisme » pseudo-humanitariste et solidaire, pseudo-catholique aux vertus chrétiennes devenues folles, elles sont le cheval de Troie de l’invasion migratoire et du Grand Remplacement.

    Elles sévissent depuis des décennies dans les pays européens submergés par l’immigration, grâce bien trop souvent l’aide d’évêques modernistes et progressistes déconnectés de leur mission première qui consiste à prêcher, à temps et à contretemps, la foi en Jésus-Christ, seul et unique Sauveur du monde, mais branchés à l’altruisme socialo-marxisant de l’establishment mondialiste.

    A quelques semaines des futures élections législatives en Italie, ces associations prétendument catholiques ou ecclésiastiques ont fait sept propositions soi-disant pour sortir de l’urgence migratoire, des insuffisances et de la lenteur du système d’accueil. Sept propositions pour « démontrer que gouverner le phénomène migratoire c’est possible, en garantissant les droits et les devoirs de tous et en s’opposant à l’actuelle vague de racisme et de xénophobie. »

    Parmi les requêtes avancées on trouve l’éternelle revendication de la gauche internationaliste : « le droit de vote pour les étrangers qui travaillent en Italie ». Pareillement ces associations, telles la Communauté Saint’Egidio, le mouvement des Focolari, l’Action catholique, le Centre jésuite Astalli pour les réfugiés, militent pour « une réforme des lois sur la citoyenneté pour imposer à la place du droit du sans le fameux droit du sol rejeté pourtant par les Italiens au cours de l’année 2017. Elles demandent également la mise en place de nouvelles modalités d’entrée plus libérales qu’elles ne le sont déjà. Et elles aspirent à développer les couloirs humanitaires, pour permettre une entrée par des voies légales aux ‘migrants’.

    Bien entendu toutes ces belles consciences morales donnent des leçons d’économie aux Italiens en prétendant cette main-d’œuvre indispensable au tissu industriel de la péninsule et donc n’enlevant pas  de travail aux autochtones.

    Simplifier et unifier le système d’accueil, toujours dans un sens qui ne peut qu’encourager les arrivées illégales, est un autre de leur dada.

    Immigrationnistes et immigrophiles convaincues, ces associations se donnent le beau rôle face aux médias et à la pensée unique en reliant leur combat en faveur des migrants au combat antiraciste :

    « Chaque type de discrimination envers quelqu’un est un affront à la dignité de ces personnes qui ont fui leurs terres parce qu’elles étaient déjà discriminées. Nous prenons donc une position nette par rapport à celui qui fait du racisme un élément de la propre campagne électorale »

    a expliqué le Père Ripamonti, du Centre Astalli à Vatican Insider. Dans un raccourci parfaitement injuste et discriminatoire mais si politiquement correct, le père jésuite compare toute défense de l’identité nationale et civilisationnelle des pays du Vieux Continent par certains partis politiques à de la xénophobie :

    « je me sens comme chrétien capable d’assumer mes responsabilités dans ce contexte historique où certaines forces politiques, les forces racistes et xénophobes, rehaussent la tête : alors il faut dire non, que ceci ne fait pas partie de notre appartenance chrétienne et de notre appartenance citoyenne. »

    En Italie, comme en France d’ailleurs, les associations ecclésiales et ‘catholiques’ sont des alliées de l’immigration-invasion. Leur attitude multi-culturelle et mondialiste est une autre conséquence du dialogue inter-religieux promu par l’Église conciliaire. Le principe de suppression des frontières religieuses et spirituelles s’imposent à la nature… D’ailleurs ce sont ces mêmes associations qui prônent l’accueil à tout va qui prêchent l’union œcuménique et inter-religieuse « dans la diversité » !

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/italie-les-associations-catholiques-collaboratrices-de-linvasion/87460/

  • Fake news : vers une judiciarisation de l’information en France

    La « confiance dans l’information » a bon dos. Sous prétexte de protéger le bon peuple de mauvaises influences, les autorités publiques comme privées veulent mettre à la liberté d’expression un bandeau sur les yeux et un bâillon sur la bouche. Pour son bien comme il se doit.
    Censure privée

    Du côté privé ce sont les GAFA qui précisent chaque jour un peu plus leur politique contre les fake news et autres « discours de haine, extrémistes ou violents ». Google se vante d’avoir supprimé 150000 vidéos en moins de huit mois en 2017. La France est championne en fonction du nombre de tweets supprimés sur Twitter. De son côté, Facebook paie les journaux dominants en France pour qu’ils éliminent les « fausses nouvelles ».
    Censure publique

    Mais de leur côté les autorités étatiques ne sont pas en reste. En Allemagne la loi dite NetzDG punit d’une amende pouvant aller à plusieurs dizaines d’euros les réseaux sociaux porteurs de fake news ou des fameux « messages de haine ». La France semble ne pas vouloir être en reste depuis que le président Macron a annoncé un projet de loi allant dans le même sens lors de ses vœux à la presse le 3 janvier 2018.

    Dans le JDD du 4 février 2018, la ministre de la Culture François Nyssen a précisé les intentions du gouvernement. « La loi prévoira des obligations nouvelles pour les plateformes (numériques, c’est nous qui ajoutons) qui devront coopérer avec l’État (c’est nous qui soulignons) et être transparentes sur les contenus sponsorisés. Une procédure de référé judiciaire sera mise en place pour faire cesser rapidement la diffusion d’une fausse nouvelle, lorsque celle-ci sera manifeste ».

    Elle ajoute « Il n’y a plus de liberté de la presse lorsque la mauvaise monnaie chasse la bonne, c’est-à-dire lorsque les fake news chassent les vraies informations ». Comme ce sont les médias dominants qui sont payés par les réseaux sociaux pour débusquer les nouvelles non conformes à l’esprit du jour,on imagine volontiers que les « vraies informations » seront celles de l’oligarchie médiatique. Quand ces médias en février 2017 inventent de toutes pièces une déclaration de Trump nul doute qu’une telle nouvelle ne pourra être une fake news puisque ce sont ces mêmes médias qui déterminent qui dit le vrai et qui dit le faux.

    Encore plus inquiétant la ministre ajoute “De plus, nous aurons une action forte en matière d’éducation aux médias ». Quand on connaît plus en détail les activités du CLEMI, le Centre pour l’Éducation aux Médias et à l’Information, on peut craindre le pire. De mauvaises langues murmurent que François Nyssen quitterait son ministère de la Culture pour un grand Ministère de la Vérité dès la loi votée. Une fake news ?

    Texte repris du site OJIM

    https://fr.novopress.info/

  • Une déclaration de guerre aux États illibéraux

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    Georges Feltin-Tracol

    Il faut encore revenir sur les vœux présidentiels à la presse du 3 janvier 2018, cette véritable déclaration de guerre aux « démocraties illibérales ».

    La « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 13, du 16 décembre 2016 avait déjà évoqué cette expression supposée disqualifiante. Inutile par conséquent d’y revenir. Ce qui surprend dans l’intervention présidentielle est le registre guerrier employé. « Nous devons mener cette bataille, prétend le résident de la République, et cette bataille a un nom, c’est celle qui consiste à défendre pleinement l’effectivité de toutes les libertés de nos démocraties parce qu’une tentation est là qui existe, croissante, aux frontières de l’Europe comme au sein de l’Europe, c’est la tentation des démocraties illibérales. » Le Premier Marcheur de l’Hexagone ajoute plus loin que « cette tentation illibérale, nous ne devons pas la prendre aujourd’hui à la légère et elle constituera à n’en pas douter l’un des combats que la France aura à conduire, mais également l’Union européenne, au cours de l’année 2018 parfois avec plusieurs de ses membres ».

    De son point de vue, l’inquiétude est palpable : la Syrie du Président Bachar al-Assad a presque gagné la guerre. L’Allemagne, la Grande-Bretagne et l’Espagne sont fragilisées par des crises politiques internes inédites. Les États-Unis sont en proie à une guerre civile froide larvée. L’Autriche, la Bulgarie, la Slovaquie comptent dans leur gouvernement de coalition des ministres nationalistes et populistes en attendant peut-être l’Italie et la République tchèque. La Hongrie, le Bélarus, la Turquie, la Pologne, la Russie prennent une voie institutionnelle originale. Ces quelques exemples confirment la fin de l’idéologie sordide des Lumières.

    L’ancien assistant du philosophe Paul Ricœur ne se trompe pas. « La crise que nous vivons aujourd’hui n’a pas de précédent dans notre époque contemporaine, dit-il encore, c’est cette rupture entre une économie de marché, des classes moyennes, des équilibres sociaux, la démocratie et l’attachement aux libertés qui vont avec. Ce socle, qui depuis le XVIIIe siècle avait construit le progrès continu de nos démocraties, est en train de se fissurer et, au nom de la protection d’un État, au nom parfois de la lutte contre tel ou tel risque, telle ou telle menace extérieure, d’une fascination nationaliste qui revient au portillon, plusieurs régimes politiques sont tentés par l’illibéralisme politique. » Le Progrès se trouve dans une impasse, du moins souhaitons-le ! La théocratie stupide des droits humains, de l’homme, de la femme, des gamins, du trans, du cyborg et des poux ne fait plus consensus. Excellente nouvelle !

    « Cette montée des fausses nouvelles, se lamente encore le locataire de l’Élysée, est aujourd’hui totalement jumelle de cette fascination illibérale que j’évoquais puisqu’elle est bien souvent financée par les mêmes, elle est bien souvent utilisée par des puissances qui s’amusent en quelque sorte des faiblesses de la démocratie, de son ouverture extrême, de son incapacité à trier, à hiérarchiser, à reconnaître au fond une forme d’autorité.» Mais trier, n’est-ce pas là une forme de discrimination ? Hiérarchiser, n’est-ce pas contraire à l’égalité ? Ne pas reconnaître une forme d’autorité, n’est-ce pas la revendication centrale d’un certain Mai 68 qu’il veut par ailleurs célébrer ? Et quand il affirme que « toutes les paroles ne se valent pas », ne s’agit-il pas d’imposer une doxa officielle et de prétenduesvérités révélées bien sûr incontestables ?

    L’ancien ministre de l’Économie de François Hollande a toutes les raisons de s’en soucier. L’échec de la forme démocratique représentative bourgeoise conduira tôt ou tard les peuples du Vieux Continent à adopter selon leur génie national spécifique, des autorités charismatiques, populaires et illibérales.

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°65, diffusée sur Radio-Libertés, le 9 février 2018.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L’UNION EUROPÉENNE FINANCE LE TERRORISME AU KOSOVO

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    Il y a à peine moins de deux ans, le 9 mai 2015, plusieurs dizaines d’hommes armés, essentiellement venus du Kosovo, rentraient dans la ville de Kumanovo, dans l’Ancienne République yougoslave de Macédoine, pour attaquer la ville au nom du nationalisme albanais. Durant quasiment deux jours, les terroristes vont s’opposer aux forces armées macédoniennes dans un combat apocalyptique au feu nourri, en plein milieu de cette municipalité majoritairement slave et orthodoxe, qui est la deuxième la plus peuplée du pays.

    Au bout de 48 heures, les terroristes vont se rendre après un bain de sang où quatorze des leurs vont périr, ainsi que huit policiers macédoniens. Cette attaque surprise, d’ampleur inédite dans le sud des Balkans depuis les guerres de 1998 à 2001, se produisit comme par hasard le jour où le président macédonien Gjorge Ivanov avait bravé les ukases des atlantistes et osé se rendre à Moscou aux côtés de Vladimir Poutine pour célébrer le 70e anniversaire de la victoire sur la nazisme en 1945. Au Kosovo, les assaillants tués vont avoir droit à des funérailles en grande pompe et vont être considérés comme de véritables héros du nationalisme albanais.

    Les 37 terroristes survivants arrêtés, quant à eux, vont quasiment tous être condamnés à de lourdes peines de prison. En réaction à cette décision, le gouvernement autoproclamé du Kosovo a promis, fin 2017, de débloquer un fonds d’urgence de 219.000 € pour venir en aide aux familles des terroristes tués ou incarcérés. Saluons, au passage, le travail réalisé par le journaliste albanais Parim Olluri qui a largement médiatisé et condamné cette incroyable affaire de soutien au terrorisme et qui s’est fait beaucoup d’ennemis dans sa propre communauté. Outre le scandale, il est important de souligner que cette somme est considérable pour une petite région où le salaire mensuel moyen est de 365 €, 60 % des jeunes sont au chômage et 10 % de la population vit avec moins d’un euro par jour.

    Cela est d’autant plus ahurissant que le Kosovo ne doit sa survie qu’au soutien militaire et financier de Bruxelles et de Washington. Depuis 1999, le Kosovo a reçu de ses mentors 4,5 milliards d’euros, soit plus d’argent par tête d’habitant que l’Europe avec le plan Marshall, et l’Union européenne s’est d’ailleurs engagée sur un plan de subvention de 645,5 millions d’euros du Kosovo entre 2014 et 2020. L’accord de stabilisation et d’association signé entre l’Union européenne et le Kosovo stipule que « l’Union européenne continuera à aider le Kosovo à avancer sur la voie européenne grâce au processus de stabilisation et d’association, politique conçue par l’UE pour stimuler à la fois la coopération avec les pays des Balkans occidentaux et la coopération régionale ». Les contribuables français et européens seront heureux de savoir que cela signifie également que leurs impôts serviront à soutenir l’extrémisme albanais qui continue de tuer et de déstabiliser la région qui, aujourd’hui, plus que jamais, peut retomber dans la guerre.

    http://www.bvoltaire.fr/lunion-europeenne-finance-terrorisme-kosovo/

  • Quand Anne Hidalgo méprise Michel Déon

    6a00d83451619c69e201b8d2d93920970c-250wi.jpgDe Benoît Rayski sur Atlantico :

    "L'académicien Michel Déon a eu le mauvais goût de mourir en Irlande. Ce qui fait que, selon les règles administratives, rien n'oblige la mairie de la capitale à lui accorder une sépulture dans un cimetière parisien. Rien n'oblige mais à cette règle, une municipalité a le droit de déroger en faisant des exceptions. Des exceptions qui concernent des cas particuliers. Des hommes et des femmes illustres. Des célébrités. Des à qui la nation est reconnaissante. Mais pas question de faire une exception pour Michel Déon.

    L'homme, un des plus talentueux écrivains de l'après-guerre n'était pas fréquentable. Il était ardemment royaliste. Il appartenait à la bande des Hussards : Blondin, Nimier, Laurent… Et, crime des crimes, il fut un temps secrétaire de Charles Maurras.

    L'auteur du Taxi Mauve avait demandé à être incinéré. Son urne funéraire se trouve au domicile de sa fille à Paris. Cette dernière, Alice Déon a invité la mairie de la ville à lui trouver une place au cimetière Montparnasse. Pas de réponse de la mairie. On n'allait quand même pas se bouger pour une inconnue…

    Alors l'Académie française a fait une démarche officielle dans le même sens. Là on a répondu. Dans un mail – c'est le Figaro qui rapporte les faits – la directrice de cabinet d'Anne Hidalgo, Ivoa Alavoine répond "niet". Et quand on lui fait observer qu'une personnalité aussi importante que Michel Déon mérite peut-être une exception, elle précise que ce n'est pas possible car ça créerait un "précédent"! Ben oui… Imaginons que des cohortes d'académiciens aient la fantaisie d'aller mourir au Lesotho, dans les îles Tonga, à Bahreïn, en Mongolie, au Népal. Mais s'ils choisissent intelligemment d'aller trépasser à Cuba ou au Venezuela, ça peut s'arranger non ? Anne Hidalgo, la mère Ubu de la mairie a en la personne d'Ivoa Alavoine une digne fille Ubu.

    Très remontée, Hélène Carrère d'Encausse a appelé Anne Hidalgo. Cette dernière n'a pas daigné décrocher. L'académicienne a retéléphoné en demandant que la maire de Paris la rappelle. Rien non plus. Nous vivons une époque où une Anne Hidalgo, qui n'est pas grand-chose, peut se permettre de traiter avec dédain une femme qui fait honneur à la pensée française."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • CHRISTELLE LECHEVALIER : « NOUS AVONS DE MOINS EN MOINS DE MOYENS POUR NOS RETRAITÉS ET NOUS ACCUEILLONS DES CLANDESTINS… »

    251c68f23354919007fa64f4c9ea9bbd.jpgDans le Calvados, un EHPAD désaffecté a été réaménagé pour accueillir des migrants.

    Une démarche particulièrement choquante pour le député européen Christelle Lechevalier : on accueille de nombreux clandestins alors qu’il y a de moins en moins de moyens pour les personnes âgées.

    Christelle Lechevalier, vous aviez alerté l’opinion lors du réaménagement d’un EHPAD dans le Calvados en centre d’accueil de migrants. Pouvez-vous nous expliquer pourquoi cette décision ne vous a pas plu ?

    Nous constatons aujourd’hui que des clandestins arrivent en grand nombre dans notre ruralité. Et nous les accueillons dans des centres (en l’occurrence ici il s’agit d’un ancien EHPAD) alors que nous avons de moins en moins de moyens pour nos retraités et nos personnes âgées. Je trouve cela un peu scandaleux !
    L’État vient d’augmenter aujourd’hui le budget qu’il alloue aux EHPAD, 100 millions via la Sécurité sociale et 50 millions que Macron promet. Cela fait quand même un budget de 7,9 milliards par an. Ces 150 millions équivalent à 7.000 euros par établissement, pour des anciens qui, je le rappelle, ont contribué à construire ce pays et les ont quand même financés par leurs impôts.
    Or cette aide, au final assez minime, masque deux choses. La première, le ministre de la Santé a confirmé la réforme du financement des maisons médicalisées qui risque d’amputer environ 200 millions d’euros pour certains EHPAD publics. La seconde, le gouvernement Macron a frappé de plein fouet nos retraités avec la hausse de la CSG.

    Difficile de parler de l’action du Front national au parlement européen sans évoquer la disparition de votre collègue et chef du groupe Front national, Édouard Ferrand.
    Quel souvenir garderez-vous de lui  ?

    Je garderai de lui le souvenir d’un homme de grande valeur. Il symbolisait l’engagement militant et la fidélité au mouvement Front national. C’est quelqu’un qui représentait une France vraiment enracinée. Il défendait nos terroirs, notre culture, nos traditions et surtout notre identité. Il avait de grandes valeurs concernant la famille. C’était un chrétien qui protégeait véritablement nos racines chrétiennes.
    C’est quelqu’un qui m’a accueillie lorsque je suis arrivée au Parlement comme personne ne l’aurait fait. C’était un chef de délégation unique en son genre, très respectueux et bien évidemment très respectable. Son départ nous attriste tous.

    Le choix de la tête de liste fait débat en interne. Comment voyez-vous la future liste du Front national aux Européennes ?

    La future liste sera nationale et non plus par circonscription comme au préalable. Heureusement, elle ne sera pas supranationale.
    Concernant la tête de liste, je pense qu’il faut que ce soit quelqu’un du Front national. Les scores du Front national réalisés dernièrement nous prouvent que nous avons un électorat fidèle derrière nous. Il faut que ce soit une personne qui puisse rassembler Les Républicains. Nous partageons des valeurs avec Les Républicains qu’il ne faut pas oublier.
    Personnellement, la personne qui me vient immédiatement en tête serait notre coprésident, Nicolas Bay. Il aurait toute légitimité à être notre tête de liste. Il est très professionnel, diplomate et accomplit un excellent travail de coprésident. Il incarne la volonté d’une politique altereuropéenne et il est très médiatisé actuellement.
    Marine Le Pen ne peut évidemment pas être en tête de liste puisqu’elle est députée française. C’est donc notre coprésident qui me vient immédiatement à l’esprit.

     Député européen FN