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  • Le réveil d’une activiste gauchiste pro-réfugiés : « pour l’Allemagne, c’est déjà trop tard »

     

    Rebecca Sommer a fondé en 2012 l’association d’aide aux réfugiés Arbeitsgruppe Flucht + Menschen-Rechte (AG F+M). A la fin de l’été 2015, cette artiste, photographe et journaliste auteur de documentaires applaudissait la décision d’Angela Merkel d’ouvrir en grand les frontières de l’Allemagne aux « réfugiés » bloqués en Hongrie, malgré l’effet de pompe aspirante que cela devait créer.

    « A ce moment-là, je voulais aider chaque personne et je croyais vraiment que tous ces gens fuyaient un enfer et se trouvaient dans la détresse la plus absolue », a expliqué l’activiste allemande dans une interview publiée par l’hebdomadaire conservateur polonais  Do Rzeczy  le 15 janvier dernier à qui elle à parlé de son réveil face à la réalité.

    En 2015, son ONG comptait près de 300 bénévoles qui donnaient des cours d’allemand aux nouveaux arrivants. Si elle dit aujourd’hui n’avoir jamais été en faveur d’une immigration illimitée, avant sa prise de conscience la militante des droits de l’homme Rebecca Sommer n’en était pas moins très attirée par l’apport multiculturel de cette immigration de masse, comme le montre cet article publié en décembre 2015 par un journal berlinois et repris sur le site de l’ONG AG F+M.

    Les agressions sexuelles de Cologne ont marqué le début du réveil des bénévoles

    La prise de conscience de cette représentante typique des activistes droits-de-l’hommistes bien ancrés à gauche date de la Saint-Sylvestre 2015 à Cologne. Elle a bien dû reconnaître à ce moment-là, ainsi qu’elle l’avoue sans détour au site anti-islamisation polonais euroislam.pl, que les comportements des agresseurs nord-africains et moyen-orientaux de Cologne s’inscrivaient tout à fait dans la culture musulmane des nouveaux arrivants qu’elle avait elle-même rencontrés jusqu’ici : « C’est le moment où je me suis dit : “Rebecca, tu dois maintenant mettre le holà, ne serait-ce qu’en tant que militante pour les droits des femmes.” »

    Auparavant, se justifie Rebecca Sommer, « Je croyais que [leur] vision moyenâgeuse allait changer avec le temps […] mais après avoir vu ces situations se répéter et avoir observé ce qui se passait autour de moi, bénévole, j’ai dû reconnaître que pour ce qui est des réfugiés musulmans, ils ont grandi avec des valeurs totalement différentes, ils ont subi un lavage de cerveau depuis l’enfance et sont endoctrinés par l’islam et n’ont absolument pas l’intention d’adopter nos valeurs. Pire encore, ils nous regardent, nous les infidèles, avec dédain et arrogance. »

    Des réfugiés « arrogants » selon Rebecca Sommer

    Dans son interview pour le site euroislam.pl, l’activiste pro-réfugiés précise que le mépris pour les modes de vie occidentaux et pour les femmes ne concerne pas que les musulmans pratiquants, mais la majorité de ceux qui ont grandi au sein de la culture musulmane. Elle parle aussi de sa grande déception quand elle s’est aperçue comment un groupe de « réfugiés » qu’elle avait personnellement aidés et qu’elle croyait être ses amis pratiquaient avec elle la taqqiya. « Je me suis brutalement aperçue que ces gens que j’avais aidés, qui mangeaient, buvaient, dansaient et riaient avec moi, qui ne priaient pas, qui n’allaient pas à la mosquée, qui ne respectaient pas le ramadan, qui se moquaient de la religion et des personnes profondément religieuses, ne m’appelaient pas autrement que « la stupide putain allemande » quand ils mangeaient ma nourriture et se reposaient dans mon jardin. » Elle reconnaît toutefois qu’elle avait été prévenue par des Arabes et des Kurdes arrivés eux aussi récemment en Allemagne justement pour fuir l’oppression musulmane.

    Rebecca Sommer affirme ne pas être un cas isolé, que de nombreux autres bénévoles ont aussi eu cette même prise de conscience tardive et qu’il y a beaucoup moins de bénévoles prêts à travailler avec les nouveaux arrivants aujourd’hui en Allemagne. Elle reconnaît aussi que, par leur nombre, ces immigrants musulmans sont une menace pour le mode de vie des Allemands, et que cela va empirer avec le regroupement familial.

    L’activiste Rebecca Sommer connaît personnellement des personnes qui s’apprêtent à émigrer d’Allemagne vers la Pologne pour fuir l’insécurité

    Elle a d’ailleurs confié à l’hebdomadaire polonais Do Rzeczy connaître personnellement des Allemands qui s’apprêtent à émigrer en Pologne parce qu’ils en ont assez, et elle a ajouté : « Si la Pologne et la Hongrie ne cèdent pas sur cette question, vous pouvez devenir des pays vers lesquels s’enfuiront certains Allemands et Français. Vous pouvez devenir des îlots de stabilité en Europe. »

    Des îlots de stabilité mais aussi de démocratie, car Rebecca Sommer constate aussi que la démocratie n’existe plus vraiment en Allemagne. Son réveil sur ce plan date également de l’épisode de Cologne, quand les médias n’ont pas pris la défense de la société allemande mais sont au contraire devenus partie intégrante d’un système malade, et quand la police, sous la pression des dirigeants politiques, a cessé d’informer les citoyens. Et la nouvelle loi allemande qui oblige les réseaux sociaux à bloquer les contenus prétendument haineux a accentué la censure. C’est ainsi que, quand la militante des droits de l’homme a voulu dénoncer des conversions forcées à l’islam en Indonésie, son compte a été bloqué. Ce n’est d’ailleurs sans doute pas un hasard si c’est à des médias polonais qu’elle se confie aujourd’hui, car quel média allemand accepterait-il de publier de tels propos ?

    Le réveil d’une gauchiste pro-réfugiés face à l’islam

    Le problème, pour Rebecca Sommer, c’est aussi que les Allemands ne cherchent pas du tout à imposer leurs propres normes aux nouveaux arrivants. « Nous avons un énorme problème avec la gauche et les Verts » pour qui « il n’y a pas de culture allemande ». Cette Berlinoise n’ose plus sortir seule pour la Saint-Sylvestre et elle a déjà été agressée cinq fois par des hommes parlant l’arabe !

    Elle pense que pour l’Allemagne, c’est déjà trop tard, et elle compte émigrer pour sa retraite. L’islam politique est déjà présent partout, y compris au gouvernement, dans les partis politiques, dans la police et dans les écoles, et avec le regroupement familial des millions d’immigrants musulmans supplémentaires vont venir. Dans la capitale allemande où elle réside, des quartiers entiers sont déjà dominés par la communauté musulmane qui forme une société parallèle.

    « Tous ceux qui vivent à Berlin et s’occupent des immigrants voient ce problème. La seule exception, ce sont ceux qui ne veulent tout simplement pas le voir parce qu’ils sont adeptes d’une idéologie et sont aveugles et sourds à la réalité », conclut Rebecca Sommer dans son entretien avec Do Rzeczy.

    Lire l’article sur Reinformation.tv

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    http://grandfacho.com/reveil-dune-activiste-gauchiste-pro-refugies-lallemagne-cest-deja-tard/

  • Daval/Darmanin, le grand écart du procureur Schiappa

    Si le néo-féminisme est à géométrie variable, la justice ne l'est pas par Paul Bensussan

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    Marlène Schiappa a adopté des postures contraires dans les affaires Daval et Darmanin. Si le néo-féminisme est à géométrie variable, la justice, elle, ne l’est pas.

    La guerre des sexes que nous annoncions au début du séisme de l’affaire Weinstein semble bel et bien déclarée. Alors que l’islamologue Tariq Ramadan vient d’être placé en détention provisoire à la suite de dénonciations de viols par deux plaignantes, Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes publics, mis en cause pour des faits que la plaignante qualifie de viol par surprise, se voit renouveler « la confiance et la solidarité » du président de la République, du Premier ministre, et de l’ensemble des membres du gouvernement. Incluant Marlène Schiappa, secrétaire d’État auprès du Premier ministre, héraut de l’égalité entre les femmes et les hommes, qui s’indignait hier encore de « l’impunité des crimes sexuels en France ».

    Lire la suite sur Causeur

  • Un ministre est lié par son administration quand il n'a pas le courage de virer les hauts fonctionnaires

    6a00d83451619c69e201b7c94ecec3970b-250wi.pngCoup de gueule de Stéphane Bern sur RTL, samedi 10 février dans On refait la télé. Interrogé sur les difficultés rencontrées dans le cadre de sa mission sur la sauvegarde du patrimoine, Stéphane Bern répond :

    "Régulièrement, j'en ai marre !" "Je me donne complètement et je fais ça bénévolement. Mais il faut savoir qu'il y a des gens qui sont payés pour faire ce travail, dans les administrations ou au ministère de la Culture. Et quand ils prennent toute leur énergie pour vous mettre des bâtons dans les roues, plutôt que de faire leur travail, vous vous dites : 'Mais attendez, moi je viens en plus pour vous apporter de l'aide, et vous, vous passez votre temps, au lieu de faire votre travail à sauver les monuments, à vous dire Comment je vais pouvoir l'emmerder ?'"

    "C'est un aveu d'échec. Il y a des gens qui dirigent le patrimoine depuis quelques années, et si le patrimoine est dans un si mauvais état, c'est que, visiblement ils n'ont pas forcément bien réussi. Mais ils ne sont pas sanctionnés parce qu'ils sont hauts fonctionnaires, qu'ils appartiennent à un corps d'élite, à une hiérarchie et qu'il faudrait les recaser".

    "J'ai vu de l'intérieur comment un ministre a les pieds et poings liés par son administration quand il n'a pas le courage de virer toutes les têtes qui dépassent…"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La plainte contre Nicolas Hulot pour « un fait de viol » avait été déposée par Pascale Mitterrand

    Suite à des révélations de l’Ebdo, Christine Le Crom, procureur de la République de Saint-Malo, a confirmé jeudi soir dans un communiqué qu’une plainte pour « un fait de viol » avait bien été déposée en 2008 contre Nicolas Hulot mais classée sans suite, pour ces actes qui remonteraient à 1997, quand Pascale Mitterrand avait 20 ans.

    C’est donc Pascale Mitterrand, petite-fille de François Mitterrand et fille de Gilbert, qui est à l’origine de la plainte déposée en 2008 contre Nicolas Hulot mais « elle n’a jamais souhaité médiatiser » l’affaire révélée par la presse, a-t-elle affirmé vendredi dans un communiqué transmis par son avocat.

    « Le nom de Madame Pascale Mitterrand a été associé contre son consentement à une tempête médiatique visant Monsieur Nicolas Hulot. Elle-même et sa famille ne cautionnent en aucune manière la publicité » donnée à cette affaire, écrit-elle dans ce communiqué transmis par Me Michel Dufranc, bâtonnier du barreau de Bordeaux et avocat de la famille.

    « Elle n’est en aucune manière à l’initiative des révélations qui sont à l’origine de la médiatisation actuelle » de cette affaire révélée par l’Ebdo, qui n’avait pas dévoilé son identité, ce qu’a toutefois fait dès jeudi soir Le Parisien sur son site Internet.

    « Elle a dit dès le départ aux journalistes de l’Ebdo qu’elle ne souhaitait pas cette médiatisation, mais elle n’avait aucun pouvoir de s’y opposer« , a expliqué Me Dufranc. Elle souligne d’ailleurs dans son communiqué que depuis le dépôt de sa plainte en 2008, elle n’a « sous aucune forme, réactivé celle-ci, ni auprès de son protagoniste, ni auprès de quiconque. »

    Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique, a démenti ces rumeurs « ignominieuses » de harcèlement sexuel le visant révélées en Une de l’Ebdo et le Premier ministre, Edouard Philippe, l’a assuré de son « soutien ».

    http://www.medias-presse.info/la-plainte-contre-nicolas-hulot-pour-un-fait-de-viol-avait-ete-deposee-par-pascale-mitterrand/87403/

  • Vendredi soir à Vervins (02) : les éoliennes n'étaient pas à la fête

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    Malgré la neige (20 cms), malgré le froid, malgré le verglas, la salle polyvalente était pleine vendredi soir à Vervins, dans l'Aisne, pour écouter Alban d'Aguin, auteur du livre Eoliennes un scandale d'Etat cliquez ici, dresser un réquisitoire total contre la politique gouvernementale en matière de choix énergétiques et d'implantation massive de pilônes éoliens, aussi onéreux et dangereux qu'inutiles. Il faut dire que dans ce domaine la Thiérache, région de Vervins, est particulièrement "gâtée"...

    Après un exposé aussi argumenté que passionnant, dans lequel la farce du pseudo "réchauffement climatique" ne fut pas épargnée, Alban d'Arguin a répondu aux pertinentes questions des participants à la réunion. Et, après un sympathique pot de l'amitié, nombreux furent ceux qui, éclairés sur le sujet, repartirent avec une vision différentes de ce fléau que celle que leur avaient "vendu" les commerciaux sans scrupule des consortiums étrangers implanteurs d'éoliennes. De plus, un grand nombre d'exemplaires du livre d'Alban d'Arguin cliquez ici ont été vendus aux personnes présentes.

    Remercions nos amis Bruno et Isabelle Dekkers et Valérie Bernardeau, dynamique militante locale de la cause, qui ont parfaitement organisé cette belle réunion qui, nous en sommes persuadés, a été porteuse d'espérance pour de nombreuses victimes de la folie ambiante venues écouter Alban d'Aguin. Signalons aussi la présence de nombreux élus locaux et de toute la presse départementale.

    S.N.

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  • Ces écoles où l’on ne parle plus français

    Loin des regards du monde politique, des parties entières du territoire font lentement sécession. Un processus inquiétant qui se manifeste dès l’école. 
    C’était une fin de journée d’automne. Hélène, une institutrice chevronnée, raccompagnait chez eux quelques élèves de la cité voisine. « Je m’y revois encore, raconte-t-elle. J’étais au coin de cet immeuble quand j’ai entendu qu’on m’appelait : “Madame la maîtresse, madame la maîtresse.” Je me suis retournée, j’ai vu deux petites filles voilées. J’ai dû faire un effort pour les reconnaître. C’était deux de mes élèves. Je leur ai demandé pourquoi elles étaient voilées puisqu’elles ne l’étaient jamais en arrivant à l’école. Elles m’ont répondu qu’elles allaient assister à leur cours d’arabe. » 
    La scène s’est déroulée dans une cité d’une petite ville au nord de Paris. On y arrive par le train. Dès la sortie de la gare, le regard découvre les magasins fermés, les stores baissés et l’impression que l’activité qui subsiste malgré tout a changé de visage : enseignes de restauration rapide, maisons à vendre, boutiques de téléphonie, supérettes bas de gamme, coiffeurs exotiques… Dans la rue, on croise des groupes de jeunes, maghrébins ou turcs, beaucoup d’Africains aussi, et des jeunes filles voilées. Cette ville, parmi les plus pauvres de France, compte une cité qui a longtemps défrayé la chronique avant d’être l’objet d’un programme de réhabilitation qui, si elle a changé la forme, n’a rien réglé sur le fond. C’est dans les écoles de cette cité qu’enseigne Hélène. 
    « Dans ma classe, il n’y a aucun primo-arrivant, mais les origines sont pour un tiers africaine, un tiers turque et un tiers maghrébine, explique-t-elle. J’ai quelques Picards, souvent issus de familles très défavorisées, des “cas sociaux”, comme ils disent eux-mêmes, et aussi quelques enfants de “gens du voyage” qui se sont sédentarisés. Pour la religion, c’est 90 % de musulmans. En tant qu’institutrice, ce qui m’inquiète au plus haut point, c’est que ces enfants, qui sont tous français, sont de moins en moins capables de comprendre notre langue. » Et de décrire une cour de récréation scindée en plusieurs groupes, définis non plus par l’ancestrale séparation entre le football, la marelle ou l’élastique, mais par la langue parlée : le turc, l’arabe ou le soninké. Le français a presque disparu. Les parents d’élèves, très impliqués, ont d’ailleurs récemment émis le souhait que le compte rendu du conseil de classe, qui leur est adressé, soit désormais rédigé en trois langues
    L’apprentissage du Coran est jugé prioritaire par les parents 
    Les conséquences sur le niveau scolaire sont dramatiques. « Je passe des heures à leur apprendre à lire, reprend l’institutrice. Ils accusent en moyenne deux années de retard. Et il faudrait ouvrir des créneaux d’enseignement de langues étrangères ? Est-ce qu’ils ont conscience au ministère qu’ici, c’est le français la langue étrangère ? » Les rapports avec les parents s’en trouvent considérablement compliqués. « Avant, il y avait toujours une grande sœur ou une voisine pour expliquer à la maman quel était le problème avec l’enfant. Aujourd’hui, on n’a même plus ça. On ne va pas quand même pas demander à l’Éducation nationale de payer des traducteurs, comme dans les tribunaux ? » Pour Hélène, aujourd’hui en fin de carrière, c’est l’arrivée des paraboles qui a tout changé. Les familles, qui regardent les chaînes de télévision de leur pays d’origine, n’entendent presque plus jamais parler notre langue. « Je dis aux parents : mettez au moins les dessins animés en français », se lamente l’institutrice. 
    La cité, où la nuit tombe doucement, est plutôt proprette, à l’exception de quelques bâtiments qui n’ont pas été refaits et qui se délitent lentement. L’œil exercé observe cependant quelques rassemblements suspects, quelques regards hostiles qui pèsent sur un véhicule inconnu, des commerces, qui n’étaient pas “licites”, récemment vandalisés, et même une voiture de la Bac en maraude, feux éteints. Hélène désigne du doigt l’immeuble où la scène qui l’a tant marquée s’est produite. Les deux petites étaient là, occupées à faire griller du maïs sur un barbecue de fortune. « Elles font comme chez elles, poursuit l’enseignante. Dans l’immeuble lui-même, les appartements sont ouverts, ils communiquent. C’est le village africain. On a quelques familles polygames. Quand les pères sont au pays, les mères s’entraident. Elles ne posent pas de problèmes, d’ailleurs. Elles bossent, les hommes aussi, et tous respectent l’école et les professeurs. » 
    Les “cours de Coran” évoqués ont lieu en fin de journée, deux heures par jour, cinq fois par semaine, comme une école complémentaire. La structure n’existe pas à proprement parler — il s’agit d’un ancien garage, d’un appartement privé, de l’arrière-salle d’un restaurant. Rien d’officiel, mais précisément cette clandestinité rend les pouvoirs publics impuissants. « Ils peuvent bien annoncer la fermeture d’une “école coranique”, il s’en ouvre une autre cent mètres plus loin huit jours plus tard », commente Hélène. À l’entendre, c’est inexorable, en tout cas ici, dans une région qui vit naître la dynastie capétienne. 
    Le problème n’est pas tant que des enfants musulmans apprennent le Coran, mais que cet apprentissage, jugé prioritaire par les parents, empêche des élèves déjà faibles, chez qui le français n’est pas maîtrisé, de faire leurs devoirs le soir, ou d’aller à l’étude et d’acquérir les outils nécessaires à leur intégration future. Au lieu de cela, ils s’imprègnent d’un matériau qui ne constitue pas un des éléments de base de la citoyenneté française, tant s’en faut. « Prenez les jeunes filles, insiste Hélène. Les familles n’ont aucune envie de les voir s’instruire. Elles ne maîtriseront pas le français, ne sauront jamais conduire, resteront subordonnées — on le voit bien avec les mamans, dont la signature n’a pas de valeur… » Et l’institutrice d’évoquer le cas d’une famille pakistanaise dont trois des cinq filles ont suivi un chemin identique. « À 15 ans, elles repartent passer de très longues “vacances” au pays où leur père, qui n’est pas pauvre, tient un commerce de tissus. Elles en reviennent enceintes et on apprend qu’elles sont mariées ou qu’elles vont l’être. Elles n’ont rien pu y faire et nous non plus. » À l’encontre du “pas de vagues” qui tient souvent lieu de mot d’ordre, une équipe éducative et sociale a tenté d’intervenir. L’affaire a pu être portée à la connaissance de la justice, qui a diligenté une enquête. « C’est terrible à dire, mais ça donne une impression de conquête lente, conclut Hélène en approchant de la gare. Une conquête qui passe par le ventre de ces jeunes filles. » 

  • « Réfugiés » musulmans, il s’agit bien d’une invasion

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    Le rapport Europe’s Growing Muslim Population édité par le Pew Research Center le 29 novembre 2018 montre l’évolution supposée de la population musulmane d’Europe selon plusieurs perspectives, notamment avec afflux de réfugiés.

    Voici quelle est la situation en 2016 selon l’étude :

    • Plus de 20 % de musulmans : Chypre (25,4 %).
    • Plus de 10 % de musulmans : Bulgarie (11,1 %).
    • Plus de 6 % de musulmans : France (8,8 %), Suède (8,1 %), Belgique (7,6 %), Pays-Bas (7,1 %), Autriche (6,9 %), Royaume-Uni (6,3 %), Allemagne (6,1 %), Suisse (6,1 %).
    • Plus de 3 % de musulmans : Norvège (5,7 %), Grèce (5,7 %), Danemark (5,4 %), Italie (4,8 %), Slovénie (3,8 %), Luxembourg (3,2 %).
    • Moins de 3 % de musulmans : Finlande (2,7 %), Espagne (2,6 %), Malte (2,6 %), Croatie (1,6 %), Irlande (1,4 %), Portugal (0,4 %), Hongrie (0,4 %), Roumanie (0,4 %), Estonie (0,2 %), Lettonie (0,2 %), Tchéquie (0,2 %), Lituanie (0,1 %), Slovaquie (0,1 %).
    • Pas de musulmans :

    Voici selon l’étude l’hypothèse du pourcentage de musulmans en 2050, perspective basse (frontières fermées sans re-migration) :

    • Plus de 20 % de musulmans: Chypre (25,5 %).
    • Plus de 10 % de musulmans : France (12,7 %), Bulgarie (12,5 %), Suède (11,1 %), Belgique (11,1 %).
    • Plus de 6 % de musulmans: Royaume-Uni (9,7 %), Autriche (9,3 %), Pays-Bas (9,1 %), Allemagne (8,7 %), Italie (8,3 %), Suisse (8,2 %), Danemark (7,6 %), Norvège (7,2 %), Grèce (6,3 %).
    • Plus de 3 % de musulmans : Espagne (4,6 %), Slovénie (4,3 %), Finlande (4,2 %), Luxembourg (3,4 %), Malte (3,2 %).
    • Moins de 3 % de musulmans : Croatie (1,8 %), Irlande (1,6 %), Portugal (0,5 %), Hongrie (0,4 %), Roumanie (0,4 %), Estonie (0,2 %), Lettonie (0,2 %), Tchéquie (0,2 %), Lituanie (0,1 %), Slovaquie (0,1 %).
    • Pas de musulmans :

    Deuxième scénario étudié, hypothèse du nombre de musulmans dans une perspective moyenne en 2050 :

    • Plus de 20 % de musulmans: Chypre (26,6 %), Suède (20,6 %).
    • Plus de 10 % de musulmans : France (17,4 %), Royaume-Uni (16,7 %), Belgique (15,1 %), Norvège (13,4%), Italie (12,4 %), Danemark (11,9 %), Finlande (11,4 %), Allemagne (10,8 %), Autriche (10,6 %), Suisse (10,3 %).
    • Plus de 6 % de musulmans: Malte (9,3 %), Bulgarie (9,2 %), Grèce (8,1 %), Luxembourg (6,7 %).
    • Plus de 3 % de musulmans : Slovénie (5 %), Irlande (4,3 %).
    • Moins de 3 % de musulmans : Portugal (2,5 %), Croatie (2 %), Hongrie (1,3%), Tchéquie (1,1 %), Roumanie (0,8 %), Estonie (0,8 %), Slovaquie (0,6 %), Lettonie (0,2 %), Pologne (0,2 %), Lituanie (0,1 %).

    Troisième scénario étudié, déstabilisation des derniers pays musulmans stables (en particulier Algérie et Egypte), annonçant un flot de réfugiés :

    • Plus de 30 % de musulmans : Suède (30,6 %).
    • Plus de 18 % de musulmans : Chypre (28,3 %), Autriche (19,9 %), Allemagne (19,7 %), Belgique (18,2 %), France (18 %).
    • Plus de 12 % de musulmans : Royaume-Uni (17,2 %), Norvège (17 %), Malte (16,2 %), Danemark (16 %), Pays-Bas (15,2 %), Finlande (15 %), Italie (14,1 %), Suisse (12,9 %).
    • Plus de 6 % de musulmans: Bulgarie (11,6 %), Luxembourg (9,9 %), Grèce (9,7 %), Espagne (7,2 %).
    • Plus de 3 % de musulmans : Slovénie (5,2 %), Hongrie (4,5 %), Irlande (4,4 %).
    • Moins de 3 % de musulmans: Portugal (2,5 %), Croatie (2,1 %), Tchéquie (1,2 %), Estonie (1 %), Roumanie (0,9 %), Slovaquie (0,7 %), Lettonie (0,4 %), Lituanie (0,2 %), Pologne (0,2 %).

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/refugies-musulmans-il-sagit-bien-dune-invasion/87412/

  • EUDES BAUFRETON : « L’AUGMENTATION DE LA CSG EST UNE AUGMENTATION D’IMPÔT QUI TOUCHE PRINCIPALEMENT LES RETRAITÉS ! »

    Eudes Baufreton, de Contribuables associés, s’oppose avec la plus grande vigueur à l’augmentation de la CSG : celle-ci retire du pouvoir d’achat aux retraités, quand nombre d’entre eux sont déjà écrasés. Il rappelle que ce sont eux qui ont bâti la France dans laquelle nous vivons, et suggère plutôt de réduire les dépenses publiques en traquant les gaspillages. La pétition que Contribuables associés a lancée rassemble déjà plus de 60.000 signatures.

    Pourquoi Contribuables associés s’oppose à l’augmentation de la CSG ?

    Nous sommes contre l’augmentation de la CSG, parce que c’est, une fois de plus, une augmentation d’impôt. En plus, elle est catégorielle puisqu’elle touche principalement les retraités. En effet, du côté des salariés du privé, il y a une baisse des charges salariales. Et du côté de la fonction publique, cette augmentation a été compensée par la suppression d’une autre taxe. Avec cette dernière, les fonctionnaires ne gagnent rien et ne perdent rien.

    En revanche, pour les retraités, le bât blesse, c’est une augmentation importante. On a expliqué que cette augmentation allait se compenser par la suppression de la taxe d’habitation. On peut l’entendre, mais dans ce cas, comment vont faire les communes, les communautés de communes ou les collectivités, de manière générale, puisqu’elles n’ont, par ailleurs, pas réduit leurs dépenses. Il faudra bien trouver ailleurs l’argent qu’elles n’encaisseront pas avec les taxes d’habitation. Il y aura donc, probablement, une autre augmentation d’impôts ou une taxe locale. Même si nous n’en avons pas encore les détails, mathématiquement parlant, ce n’est pas possible autrement.
    L’augmentation de la CSG est une mauvaise idée. Retirer du pouvoir d’achat aux retraités pour en redonner aux salariés est une encore plus mauvaise idée. C’est une injustice flagrante et nous la dénonçons chez Contribuables associés.

    Contribuables associés a lancé, à ce sujet, une pétition. Combien de signatures avez-vous recueillies, à ce jour ?

    En quelques semaines, la pétition a recueilli plus de 60.000 signatures.
    Au-delà de cela, je voudrais faire part des témoignages de retraités que nous recevons chez Contribuables associés.
    Certains d’entre eux sont écrasés. 50 euros peuvent parfois représenter un plein de courses. Il leur faudra faire des choix drastiques.
    Je voudrais quand même rappeler que nos retraités sont ceux qui ont bâti la France dans laquelle nous vivons aujourd’hui. Il faudrait respecter le fruit de leur travail et de leurs efforts. Si l’effort doit être collectif et national, cela commence d’abord par la réduction des dépenses publiques. Il n’y aurait, ainsi, pas besoin de sacrifier des catégories au détriment d’autres catégories. Réduisons les dépenses publiques en commençant par dénoncer les gaspillages. Nous avons fait, dernièrement, un concours des pires ronds-points de France pour mettre en lumière les gaspillages dont font preuve certaines collectivités. Commençons par cela !

    Finalement, ce sont les contribuables qui continuent de supporter les errements budgétaires de l’État…

    Tout à fait. Et il faudrait que les élus le comprennent. J’ai entendu Valérie Pécresse, dernièrement, nous parler de la taxe sur les touristes. Chacun y va de sa taxe.
    Le contribuable paie l’augmentation de taxes une fois sur son plein d’essence, l’autre fois par l’augmentation de la CSG, sur les revenus, sur le simple Livret A, sur les pensions de retraite, les impôts, etc.
    Les Français n’en peuvent plus des taxes. Il faut comprendre, à un moment, qu’il faut réduire les dépenses publiques. Il y a de la bonne dépense publique et il y a, aussi, beaucoup de mauvaises dépenses publiques.
    Et il faut, aujourd’hui, dénoncer cette dépense publique qui gâche la vie des Français.

    http://www.bvoltaire.fr/laugmentation-de-csg-augmentation-dimpot-touche-principalement-retraites/

  • L’affolant maquis des associations subventionnées, par Francis Bergeron

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    9048-20180210.jpgLe renouvellement des conseils de prud’hommes, en 2018, a été l’occasion de voir arriver de nouveaux conseillers, et de constater que le secteur dit de « l’économie sociale » représente à présent un énorme pan des entreprises françaises. Cette « économie sociale », ce sont les associations dites « loi de 1901 », des associations qui n’ont en principe aucun but mercantile.

    La France compterait 1 340 000 associations. Le premier problème que posent ces associations, c’est qu’elles vivent, pour beaucoup, de subventions. Le « chiffre d’affaires » du secteur représente 38 milliards d’euros. Il emploie 1,8 million de salariés, soit 10 % des salariés du privé. Dans la mesure où ces associations vivent d’aides publiques (ministères, régions, départements, municipalités…), ou de versements de particuliers en déduction fiscale, on devrait les additionner statistiquement aux fonctionnaires.

    Ces associations, vivant de subventions, sont à la merci d’un changement dans leur distribution. Et quand une mairie ou un ministre veut fermer le robinet, nous sommes alors confrontés au chantage à l’emploi. D’où la pérennité d’associations qui n’ont plus d’utilité.

    Autre problème, soulevé à l’occasion du renouvellement des prud’hommes : dans certaines villes, les représentants des salariés peuvent être CGT et les représentants des employeurs… également ! Eh oui, la CGT est aussi un employeur, avec ses centaines de permanents !

    Le conseil général du Val-de-Marne (communiste) produit une liste de 24 pages d’associations subventionnées. Cela doit représenter plus d’un millier d’associations. Parmi elles, les inévitables courroies de transmission des mouvements de gauche (SOS Racisme, etc.), et d’improbables groupes Palestine-Solidarité de Valenton ou d’associations pour l’art kanak. Les anciens combattants de la FNACA et de la Fédération des déportés de la résistance existent dans la moindre des communes et sont toutes subventionnées, alors qu’il n’y a plus d’anciens déportés ou d’anciens combattants vivants, ou en tout cas en état de porter le drapeau.

    Mis en examen pour escroquerie en bande organisée

    Beaucoup parmi les plus grosses associations ont des frais de gestion et de collecte de dons très importants, parfois proches de la moitié de leur budget total. C’est par exemple le cas de Greenpeace (44 %), d’Amnesty International (40 %). Vous croyez aider les prisonniers politiques ou contribuer à sauver la planète ? Pour 40 ou 44 % de vos dons, cela sert à gérer les dons et… à faire de la publicité, pour que, l’année suivante, les dons soient encore au rendez-vous.

    Il y a enfin des associations dont les dirigeants ont été mis en examen pour escroquerie en bande organisée. On se souvient de l’Association de recherche pour le cancer : en 2000, son président avait été condamné à quatre ans de prison ferme, 2,5 millions de francs d’amende et 200 millions de francs de dommages et intérêts. Ce qui donne une idée des détournements. Mais dans le même genre, on trouve Agir pour les enfants du monde, l’Association Mère Térésa pour les enfants (sans rapport avec mère Teresa !), etc. Les escrocs font appel aux ressorts de la compassion pour solliciter les braves gens. Des certifications et des audits se développent dans ce secteur, mais le maquis des associations est gigantesque et, bien souvent, il enserre la vie sociale du pays d’une véritable gangue gauchisante.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/209530/laffolant-maquis-des-associations-subventionnees-par-francis-bergeron/