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lobby - Page 1117

  • Les méthodes répugnantes du lobby pro-mort

    Utiliser les photos d’une enfant handicapée, sans l’aval de ses parents cela va de soi, pour promouvoir l’extermination des indésirables, c’est le procédé pour le moins répugnant utilisé par le lobby pro-mort. L’information a été donnée par Le Salon Beige dans son édition du 6 février.

    Natalie Weaver est la maman de Sophia, une petite fille atteinte du syndrome de Rett, une maladie génétique extrêmement rare qui se développe chez le très jeune enfant, principalement la fille, et provoque un handicap mental et des atteintes motrices sévères. Elle tombe un jour par hasard sur une photo de sa fille, utilisée pour promouvoir l’avortement. Sur Twitter, elle réagit : « Cette fois, c’est trop. Cette personne n’a pas le droit d’utiliser la photo de ma fille pour promouvoir quelque chose d’aussi horrible ». Suite à la découverte de cette photo, Natalie Weaver a mobilisé l’ensemble de ses abonnés pour la faire disparaître le plus rapidement possible. Si dans un premier temps Twitter osait répondre à la maman que le tweet en question ne violait pas son règlement, celui-ci a finalement décidé de suspendre le compte de la personne à l’origine du post. Depuis la naissance de Sophia, sa maman se bat pour l’insertion des enfants malades dans la société. Celle-ci souhaite avant tout montrer que malgré leurs différences, les enfants handicapés ont besoin de notre amour et méritent d’être traités comme tous les enfants. Natalie partage d’ailleurs régulièrement des photos de Sophia entourée de ses parents et de ses frères et soeurs. Des clichés pleins de tendresse qui émeuvent tous les internautes et qui prouvent que la famille de Natalie est une famille comme toutes les autres malgré le handicap de la petite fille.

    On voit tout « l’humanisme » des partisans du lobby pro-mort, prêts à n’importe quelle récupération, au mépris des souffrances des familles, pour promouvoir leur culte kalinais. Y compris s’approprier des photos de famille.

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/les-methodes-repugnantes-du-lobby-pro-mort/87576/

  • Le ministère de la justice révèle le nombre de détenus étrangers en France

    6a00d83451619c69e201b8d2dab451970c-250wi.jpgLes double-nationalités ne sont pas comptabilisées.

    Sur 69 077 détenus au 1er février 2017, on compte 14 964 étrangers soit plus de 20% des détenus. Les nationalités les plus représentées sont :

    • algérienne 1 954
    • marocaine 1 895
    • roumaine 1 496
    • tunisienne 1 002
    • albanaise 551
    • portugaise 480
    • congolaise 427
    • espagnole 319
    • turque 301
    • surinamaise 271
    • néerlandaise 239
    • géorgienne 237
    • brésilienne 216
    • italienne 213

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • COUR EUROPÉENNE DES DROITS DE L’HOMME : LA FRANCE TOUJOURS PLUS SOUMISE

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    C’était le 31 octobre 2017, à Strasbourg. Emmanuel Macron, qui adore – semble-t-il – se mettre en scène devant les instances internationales, prononçait un discours devant la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH). Discours passé relativement inaperçu et durant lequel le Président s’était engagé à ratifier le protocole 16 de la Convention européenne des droits de l’homme.

    Ce protocole facultatif – mais lorsqu’il s’agit de toujours plus de supranationalité, avec Emmanuel Macron, cela devient vite obligatoire – prévoit la possibilité, pour les « plus hautes juridictions » des États signataires de la Convention, de demander « un avis consultatif à la CEDH sur des questions de principes relatives à l’interprétation ou à l’application des droits et libertés définis par la Convention », et sous réserve que cette saisine intervienne « dans le cadre d’une affaire pendante devant elle ». On notera avec intérêt le peu d’enthousiasme – à la différence d’Emmanuel Macron – d’un certain nombre de pays parties à signer ce protocole 16. En effet, depuis 2013, seulement 18 pays l’ont signé sur les 47 membres du Conseil de l’Europe, et certains États ont carrément refusé de signer : la Russie, la Pologne, le Royaume-Uni et… l’Allemagne !

    L’objectif de ce protocole, comme l’exprime pudiquement le projet de loi présenté à l’Assemblée nationale cette semaine, est de « renforcer le dialogue entre les juges de la CEDH et les juges nationaux ». En clair, le but est de poursuivre l’entreprise de soumission de nos juridictions nationales à des instances supranationales, sans aucune légitimité démocratique. Ce projet de loi est donc discuté ces jours-ci à l’Assemblée car Macron a dit, Macron le fait – comme on sait. Et, sans surprise, il sera certainement voté.

    Précisons que les « hautes juridictions », qui seront habilitées à saisir la CEDH, sont le Conseil constitutionnel, le Conseil d’État et la Cour de cassation. Ainsi, on notera que, curieusement, le Conseil constitutionnel se voit qualifié de « juridiction », alors même que la Constitution le considère comme une institution sui generis qui ne relève pas de l’ordre judiciaire. D’ailleurs, ses membres n’ont pas le statut de magistrats, comme les conseillers d’État. Consulté sur ce projet de loi, le Conseil constitutionnel a, évidemment, donné un avis favorable sur le fait qu’il fasse partie de ce club très fermé qui sera habilité à dialoguer avec la CEDH… Un pas de plus vers le gouvernement des juges, donc.

    En 2015, Marion Maréchal-Le Pen, à la tribune de l’Assemblée, avait bien résumé le danger que représente l’emprise croissante de la CEDH sur notre souveraineté en soulignant « la méconnaissance de cette juridiction […] inversement proportionnelle au poids qu’elle exerce sur notre pays ». La députée de Vaucluse poursuivait : « Partie d’une louable intention – la défense des droits de l’homme –, cette juridiction s’est peu à peu érigée en gouvernement des juges étrangers dont les décisions s’imposent dans les législations nationales […] La convention européenne des droits de l’homme sur laquelle s’appuie la Cour était à l’origine un texte général, une proclamation de principe […] Y voyant un levier de pouvoir sans limite, ce texte fut constamment interprété et surtout politisé par la pratique et la jurisprudence des juges de Strasbourg. Une interprétation extensive au service d’un politiquement correct affirmé… » Tout était dit.

    Mme Boyer, députée LR des Bouches-du-Rhône, est montée à la tribune de l’Assemblée ce 15 février 2017 pour, elle aussi, dénoncer les dérives de cette CEDH. Mais plutôt que de dénoncer ces dérives, ne faudrait-il pas plutôt carrément dénoncer cette Convention ? Ratifiée entre deux portes par l’intérimaire Alain Poher en 1974, alors que de Gaulle et Pompidou avaient toujours refusé de le faire, la dénonciation de cette Convention rendrait à la France une grande partie de sa souveraineté juridique.

    Une petite précision, pour terminer : à la Cour de Strasbourg siègent des magistrats de Turquie et d’Azerbaïdjan, grandes patries des droits de l’homme devant l’Éternel, comme chacun sait…

    http://www.bvoltaire.fr/cour-europeenne-droits-de-lhomme-france-toujours-plus-soumise/

  • Le bras d’honneur d’Orban à l’UE : gardez vos migrants musulmans, on ne les prendra pas

    Le bras d’honneur d’Orban à l’UE : gardez vos migrants musulmans, on ne les prendra pas

    Bon sang, si l’Europe avait des dirigeants comme en Hongrie, l’Europe, et la France en particulier, seraient restées ce qu’elles étaient : des pays purement de civilisation judéo-chrétienne, des pays où rèignerait la paix, avec des écoles où on enseignerait l’Histoire du pays, où la JUSTICE serait rendue, où les touristes voulant visiter la Tour Eiffel ne se trouveraient pas nez à nez avec à un mur de vitres blindées, où la capitale de la France redeviendrait la ville des lumières. 

    Jack

    « La Hongrie d’abord ». Orbán promet de « combattre ceux qui veulent changer l’identité chrétienne de l’Europe »

    8 février 2018, par Victoria Friedman sur Breitbart, retranscrit sur le site de Pamela Geller le 9 février

    L’Union européenne menace de forcer la Hongrie à accepter les migrants musulmans. À cela, le courageux Premier ministre hongrois Viktor Orbán déclare : « Notre présidence a pris position : nous ne pouvons pas céder à l’extorsion. Pour nous, la Hongrie passe d’abord. Nous combattrons ceux qui veulent changer l’identité chrétienne de la Hongrie et de l’Europe ».

    Bravo. Viktor Orbán dit qu’il ne participera pas au suicide de l’Europe. Tous les dirigeants européens devraient dire la même chose, mais ils veulent faire l’inverse.

    Faisant écho au cri de ralliement « America First » du président américain Donald J. Trump, le Premier ministre conservateur Orbán a critiqué son collègue belge Charles Michel qui a déclaré que les pays d’Europe centrale seraient forcés d’accepter les migrants dans des termes décrits par le parti hongrois au pouvoir Fidesz comme une « extorsion ».

    « La présidence du Fidesz a examiné hier l’annonce du Premier ministre belge, selon laquelle les pays d’Europe centrale, y compris la Hongrie, seront obligés, si nécessaire par la force, d’accepter des migrants », a déclaré mercredi le Premier ministre hongrois.

    « Selon leur plan, cela se fera en juin au sommet des Premiers ministres à Bruxelles » a ajouté Viktor Orbán : « Notre présidence a pris position : nous ne pouvons pas céder à l’extorsion . Pour nous, la Hongrie passe d’abord »… «Nous combattrons ceux qui veulent changer l’identité chrétienne de la Hongrie et de l’Europe ».

    Dans une interview au site d’information belge Le Soir, le Premier ministre Michel a évoqué l’envoi d’un « ultimatum » aux pays du groupe Visegrád qui « rejettent la solidarité ».

    L’ultimatum serait que si un consensus n’était pas atteint lors du Conseil européen de juin, les réformes prévues seraient adoptées à la majorité qualifiée, ce qui ferait passer outre la position de dissidents (tels qu’autres mouvements anti-migration de masse, nations pro-souveraineté).

    En réponse aux commentaires du ministre belge, le ministre hongrois des Affaires étrangères et du Commerce, Péter Szijjártó, a déclaré : « La Hongrie ne deviendra pas un pays d’immigration, n’a jamais admis et n’admettra jamais d’immigrants illégaux » lors d’une conférence de presse mardi.

    Péter Szijjártó a ajouté que les commentaires du Premier ministre belge étaient « révoltants » et « scandaleux », car « c’est la première fois que Bruxelles planifie ouvertement de faire passer le quota de réinstallation obligatoire par la force tout en ignorant totalement la volonté de certains Etats membres ».

    « La Hongrie n’a jamais admis et n’admettra jamais d’immigrants illégaux, qu’il y ait ou non des pressions dans ce sens le long des frontières ou de Bruxelles », a-t-il ajouté.

    Traduction pour Résistance républicaine par Jack

    https://gellerreport.com/2018/02/hungary-first-orban.html/ 

    Note de Christine Tasin

    On n’a vraiment pas de chance. On n’a ni Trump, ni Orban, et on a Macron… Mais sans doute que les Français l’ont mérité…

    http://resistancerepublicaine.eu/2018/02/11/le-bras-dhonneur-dorban-a-lue-gardez-vos-migrants-musulmans-on-ne-les-prendra-pas/

  • « Bobard Merah » : le bobard rock’n’roll des Inrocks

    Les premiers candidats des très convoités Bobards d’Or ont été dévoilés. Après une thèse pseudo-scientifique défendue par trois journalistes féministes, c’est au tour des Inrocks d’être sous les feux de la rampe ! Leur relai béat de la « leçon de journalisme » prétendument infligée à Eugénie Bastié sur le plateau de Pascal Praud valait bien une nomination. Car oui, Mohammed Merah était bien inspiré par la défense des Palestiniens.

     Candidats : Les Inrocks
    Comme annoncé par un grand nombre de nos amis parmi les médias de la réinformation, notre soirée consacrée aux Bobards d’Or se déroulera le lundi 12 mars 2018, dans le cadre prestigieux du Théâtre du Gymnase, situé au 38 boulevard Bonne-Nouvelle à Paris 10earrondissement. Vous pouvez réserver votre place depuis le site internet de l’événement : bobards-dor.fr

    Sur le plateau de Pascal Praud, Clément Viktorovitch avait appelé à ne diffuser que des informations vérifiées. Sans être catégorique, il a remis en cause deux affirmations d’Eugénie Bastié. Les Inrocks, qui avaient le temps de vérifier ces remises en causes prudentes, ont claironné qu’il s’agissait d’une leçon de journalisme alors qu’un minimum de recherches leur aurait démontré que les propos d’Eugénie Bastié étaient fondés.

    Rage against the Bastié

    « Quand Pascal Praud et Eugénie Bastié prennent une leçon de journalisme ». Le titre de l’article des Inrocks est cinglant. Il faut dire que le rappel à l’ordre adressé par Clément Viktorovitch à Pascal Praud et Eugénie Bastié était net. Il visait notamment Eugénie Bastié qui avait affirmé que Mohamed Merah « s’était senti solidaire des Palestiniens » (à 13 minutes 29 dans la vidéo ci-dessous).

    La journaliste du Figaro avait également évoqué l’UOIF dans la revue de presse, courte émission préalable à L’Heure des Pros.

    « Que Tariq Ramadan, qui a dit que Mohamed Merah était une victime, ait été invité pendant des années par l’UOIF qui est l’instance de représentation majoritaire des musulmans de France […], je trouve ça problématique. » (A 16 minutes 05 dans la vidéo ci-dessous)

    Elvis Pressé

    Clément Viktorovitch reste prudent sur la question de Merah : « A titre personnel, je n’ai pas vu de déclarations de Merah disant sa sympathie pour le peuple palestinien. Peut-être qu’il y en a mais je ne les ai pas vu passer, ce serait intéressant de vérifier. »

    Sur l’UOIF, organisation majoritaire chez les musulmans également : « Je ne dis pas que c’est faux mais qu’en savez-vous ? ».

    Un appel à la prudence et à la vérification qui n’a visiblement pas été entendu par Les Inrocks !

    Bobard Inrocks Eugénie Bastié

    En effet, alors qu’ils avaient la possibilité – et même le devoir – de vérifier ces deux propos avant de diffuser la séquence, Les Inrocks ont préféré juger que les propos d’Eugénie Bastié étaient faux.

    Dans leur première version de l’article (le texte a été modifié depuis), les journalistes reprennent sans réserve : « Mais alors que ses acolytes s’égaraient dans des considérations inexactes, Clément Viktorovitch a mis les points sur les “i” en faisant un peu de fact-checking : non, Mohamed Merah n’a pas soutenu les Palestiniens, et non, l’UOIF (Union des organisations islamiques de France) n’est pas majoritaire — en tout cas rien ne permet de le dire. »

    Bad Buzzcocks

    Sur l’affaire Merah, Eugénie Basté avait clairement raison.

    Clément Viktorovitch l’a d’ailleurs bien volontiers reconnu. 

     

    (1/3) A ceux qui me l'ont fait remarqué : en effet, M. Merah semble bien s'être revendiqué de la lutte pour les territoires palestiniens.

    Sur l’influence de l’UOIF, de nombreux indices tendent à donner raison à Eugénie Bastié. 

    (1/3) A ceux qui me l'ont fait remarqué : en effet, M. Merah semble bien s'être revendiqué de la lutte pour les territoires palestiniens.

    Outre le fait que l’UOIF est l’association musulmane qui rassemble le plus de mosquées, son influence – tant sur le débat public que sur la formation d’une élite musulmane – est avérée par un rapport de l’institut Montaigne.

    Si ce rapport nuance son poids en expliquant que seuls 12 % des musulmans français s’en réclament et que l’islam salafiste est de plus en plus suivi, il met malgré tout en exergue sa réelle influence sur la formation des élites musulmanes, son influence sur les pouvoirs publics et sa capacité à mobiliser des centaines de milliers de personnes lors de son rendez-vous annuel.

    La puissance de l’UOIF réside dans sa capacité à fédérer autour d’un discours et d’une idéologie des dynamiques locales relativement hétérogènes. Ainsi, à Bordeaux, les associations affiliées à l’UOIF sont majoritairement issues du milieu étudiant, universitaire et intellectuel, tandis que dans le Nord de la France, ce sont des associations populaires, ouvrières et obéissant à des logiques ethno-nationales. Cette stratégie de maillage territorial s’inspire de l’organisation des partis politiques. L’UOIF a ainsi divisé le territoire français en huit régions avec, à la tête de chacune, un représentant de la fédération. En sus des quelques 250 associations qui lui sont affiliées elle contrôle une trentaine de centres cultuels ainsi que deux grandes mosquées – Lille Sud dont le recteur est Amar Lasfar – actuel président de l’UOIF – et Bordeaux, qui a pour imam Tareq Oubrou.

    En complément de cette fédération d’associations musulmanes s’ajoute une stratégie de sectorisation de ses activités et de quadrillage de la société islamique française.

    Des Jeunes musulmans de France aux Étudiants musulmans de France, de la Ligue française de la femme musulmane à l’Association des imams de France, en passant par le milieu médical avec l’association Avicenne, c’est une véritable segmentation de la communauté musulmane française qui est opérée. « Chaque secteur de la “société musulmane” est considéré comme une part de marché à conquérir ». Cela permet à l’UOIF d’engager un processus de légitimation. La formulation d’un discours destiné à chaque segment, parfaitement calibré, lui permet de se définir comme l’instance représentative de ce segment.

    Ce quadrillage de la vie islamique donne à l’UOIF un véritable avantage comparatif, voire une place en situation de quasi monopole. C’est le cas concernant la formation des imams.

    […]

    Aujourd’hui, l’UOIF apparaît ainsi comme un acteur majeur de l’islam français. Son retrait du CFCM, en 2011, s’est traduit par la paralysie de cette instance, qui a été contrainte de réviser son mode de fonctionnement. Ses rencontres annuelles organisées au Bourget connaissent un succès grandissant ; si la première édition de la Rencontre annuelle des musulmans de France, en 1983, avait réuni environ 300 personnes, celle qui s’est tenue en 2006 en a réuni environ 100 000 et celle de 2016 environ 200 000. »

    Un bobard rock’n’roll !

    Source : Site officiel des Bobards d’Or

     https://www.polemia.com/bobard-merah-inrocks

  • Volontaires et violeurs : le mythe des pures Ong s’écroule

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    Les Organisations non gouvernementales, à vocation humanitaristes et immigrationnistes, sont au centre du sandale qui a éclaté le 9 février dernier après la publication sur le Times d’un reportage accusant des dizaines de leurs volontaires d’abus sexuels au cours de leurs missions humanitaires et d’assistance dans différents pays en guerre ou en état d’urgence.

    Après les volontaires d’Oxfam, de Save the Children, de Christian Aid, c’est au tour des purs et durs de Médecins sans frontières d’être accusés d’agressions et d’abus sexuels. L’année dernière, la puissante ONG a enregistré 24 cas d’abus, en grande partie au sein du personnel. Mais il n’est pas exclu que cela regarde aussi le personnel local en zone de guerre ou d’urgence. MSF admet également que deux cas impliquent directement « des patients ou membres des communautés » dans lesquelles elle intervient.

    MSF, la moralisatrice, qui apporte par milliers les migrants en Italie, qui avait refusé l’été dernier de signer le code de bonne conduite destiné à mieux contrôler les sauvetages en mers mis en place par le ministère de l’Intérieur italien, qui dénonçait les viols dans les camps de détention en Libye comme si c’était la faute de l’Occident pas assez ouvert et accueillant, ne fait plus autant la fière aujourd’hui… L’image de l’ONG bien proprette, imbattable pour donner des leçons de morale et d‘humanitarisme aux pays européens envahis, se fane à vue d’œil…

    Au cours de l’année 2017, MSF qui compte 40 000 volontaires, a reçu 146 dénonciations pour abus de pouvoir et agressions sexuelles. Si ce chiffre n’est pas spécialement élevé, c’est quand même un comble pour une ONG qui fait de l’esprit humanitaire un impératif moral et demande de l‘argent aux gens au nom de sa réputation d‘intégrité et de sa vocation absolue à venir en aide aux autres, et tout spécialement aux « migrants ».

    MSF se vante aujourd’hui de « transparence » en diffusant les informations, sur une seule année, la concernant. Or le siège de Paris ne l’a fait qu’après le scandale de plus en plus abyssal qui frappe Oxfam et sort au grand jour malgré un système de silence et de protection.

    Un système qui est en train de s’écrouler sous les coups de butoirs de la dénonciation publique devenue la nouvelle valeur à la mode d’un monde nihiliste schizophrène, qui a envoyé balader les lois naturelle, divine et morale, seules capables de dompter les passions humaines, pour ériger toutes les déviances sexuelles en suprême acte de liberté individuelle, tout en se posant en redresseur de tort face au mal sexuel…

    Cette culture de la dénonciation, venue de la puritaine protestante Amérique, qui consiste à mettre au pilori sur la place publique en jetant en pâture sur les réseaux sociaux tout un chacun est, disons-le, abjecte et vulgaire. Mais nous ne pleurerons pas sur bien de ces hommes, femmes et aujourd’hui ONG, tous très politiquement et sexuellement corrects, frappés de plein fouet par cette « vertu » de la délation, fausse ou vraie. Ils étaient les premiers à en user et abuser pour discréditer leurs adversaires incorrects…

    Francesca de Villasmundo

  • Mutilations génitales féminines : aveuglement de l’UE en matière d’immigration

    Mylène Troszczynski, député FN au Parlement européen, s'est exprimée​ sur la question des mutilations génitales féminines :

    "A l’occasion de la journée mondiale de la lutte contre les Mutilations Génitales Féminines (MGF), la commission du droit de la femme soumettait au vote des députés européens une proposition de résolution.

    Ces pratiques barbares, massivement répandues en Afrique subsaharienne et dans de nombreux autres pays deviennent également, hélas, une véritable problématique à l’intérieur de l’Union européenne ; plus d’un million de femmes en seraient victimes dans 13 pays membres de l’Union.

    Les quelques propositions positives développées dans la résolution comme de s’appuyer durablement sur les associations qui travaillent au soutien des femmes victimes de ces pratiques sont très vite éclipsées par celles concernant une révision du régime d’asile européen qui ferait des MGF un critère systématique d’octroi de l’asile. Si une collaboration internationale peut être effectivement un moyen d’éradiquer ces horreurs, notamment en proposant aux femmes victimes un service de chirurgie sur place, l’aveuglement de l’Union européenne en matière d’immigration et de ses conséquences nous est apparu ici particulièrement dangereux.

    La délégation FN/RBM du groupe ENL s’est donc désolidarisée de cette proposition de résolution en s’abstenant suite au rejet de nos amendements qui tendaient à la rendre plus respectueuse des femmes, des peuples et de leurs intérêts."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • FRANÇOIS HOLLANDE A BEL ET BIEN HONORÉ À L’ELYSÉE L’AUTEUR D’UN APPEL AU MEURTRE

    On est stupéfait que l’absolution de François Hollande ait couvert tardivement à l’Elysée, dans l’indifférence générale, le jour de son pot de départ, les paroles criminelles chantées par Black M dix ans plus tôt « Je crois qu’il est grand temps que les pédés périssent, coupe-leur le pénis, laisse-les morts sur le périph ». Une présidence capable d’honorer le crime sous les lambris ne rassure personne, pas plus qu’un Président qui déclare qu’un fiché S est un « bon garçon malgré des trucs radicaux »

    http://www.bvoltaire.fr/francois-hollande-a-bel-bien-honore-a-lelysee-lauteur-dun-appel-meurtre/

  • Cerveaux malades? Une saine réaction s’impose

    Ce drame a bouleversé  de nombreux Français. Six mois après les faits, Nordahl Lelandais, confondu par des traces de sang retrouvé dans son véhicule, a fini par avouer le meurtre de la jeune Maëlys, enlevée fin août lors d’un mariage. Sur son compte Facebook, la mère de la fillette s’est adressée à l’assassin : « Maëlys va te hanter nuits et jours dans ta prison jusqu’à ce que tu crèves et que tu ailles en enfer. Maëlys avait la vie devant elle », a notamment écrit cette mère qui demande également « que justice soit faite et que plus jamais un enfant ne subisse de tel acte ». Si le degré de civilisation d’une société, notamment en Europe, dépositaire de l’héritage chrétien,  se mesure (aussi) à son respect des plus faibles, des plus fragiles, de l’enfant à naître aux vieillards, que dire de la notre ? Monde de l’enfance qui est aujourd’hui attaquée par une  pensée libertaire qui a tout contaminé et dont « l’art» dit  contemporain,  nous offre aussi de tristes exemples à travers la mise en scène de toutes les perversions pour émoustiller le bourgeois branché et/ou légitimer implicitement toutes les déviances. S’il existe des cerveaux malades, ils ne sont peut-être pas à chercher là où certains s’évertuent à les voir…

    Pêle-mêle et la liste est non exhaustive, les contribuables français ont ainsi été tapés au portefeuille ces dernières années pour  accueillir  Le vagin de la reine d’Anish Kapoor dans les jardins du château de Versailles ;  Domestikator, un  assemblage géant de cubes placé au jardin des tuileries puis près de Beaubourg,  représentant un acte sexuel entre un homme et un animal,  du néerlandais Joep Van Lieshout  l’expostion en Avignon  du Piss Christ du  new-yorkais Andres Serrano,  à savoir  un petit crucifix en plastique immergé dans un verre rempli d’urine celle baptisée  « l’Infamille » soutenue par le Fond régional d’art contemporain, ( Frac ) de Lorraine,  ouverte aux collégiens,   mettant en scène  des mutilations, évoquant la nécrophilie, le viol, la sodomie,   des scènes d’incestes en vidéo, des artistes Gina Pane, Patty Chang et  Eric Poug . Pareillement nous avons été priés de nous  esbaudir sur   les œuvres  de Paul Mc Carthy, un artiste obsédé pour les matières fécales, connu aussi pour  son plug anal dressé Place Vendôme ou encore pour   sa mise en scène d’un  acte zoophile impliquant un enfant…

    « Nous souhaitons l’arrêt ferme et définitif de ses subventions » a  écrit sur Facebook la secrétaire départementale FN  Sophie Robert, tandis que l’Agrif s’arrête brièvement sur le contenu de ladite exposition : « Point n’est besoin ici de reproduire les photos exposées par l’association  Les céphalopodes.  Cet extrait des propos de deux organisatrices ( Laura Bottereau et Marine Fiquet)  commentant leur travail (plastiquement d’une grande médiocrité, au-delà même du fond, NDLR)  suffit : « Nous détournons des éléments de l’enfance et du jeu pour leur apporter des charges sexuelles et affectives. L’enfance est pour nous un espace qu’il nous plaît d’ébranler, de subvertir et de réinventer (…) , et de poursuivre :  Les deux fillettes arborent un membre métaphorique troublant la question du pénétrant-pénétré. »

    Interrogée sur le site boulevard  voltaire, Isabelle Surply précise que les subventions octroyées à  la galerie en question par la région Auvergne Rhône-Alpes et de la ville de Saint-Étienne (dirigée par un maire LR)  « représentent 5000 euros pour la région et 4000 euros pour la ville. Cette subvention est passée en juin 2017 en commission culture au conseil Régional. Nous nous y étions opposés (…).  Je rappelle que cette galerie est coutumière des faits et présente régulièrement des expositions outrancières. Les avocats que j’ai contactés m’ont confirmé que cela pouvait être qualifié d’apologie à la pédophilie. Il n’y a pas d’autres termes, ce sont les termes légaux. »

    Le site du magazine Valeurs actuelles  a consacré un article à ce scandale relevant notamment que  « sur son site, l’association Art Contemporain en Rhône-Alpes (ACRA) précise que « Les Limbes est soutenu par la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes, la Région-Auvergne-Rhône Alpes, la Ville de Saint-Étienne, l‘Université Jean Monnet , entre autres. »

    «Contacté par Valeurs actuelles, l’entourage de Laurent Wauquiez, président  dément tout soutien à cette exposition. « La DRAC, c’est l’Etat , rappelle un membre de son cabinet.  Nous avons subventionné cette structure en 2017, mais pas en 2018. Cette exposition n’est donc pas financée avec les crédits de la région. » . « Sur le fond, il n’appartient pas, en amont, à la région, concernant le financement de structures culturelles, de valider leurs programmes d’action. Il est évident qu’au vu de la nature des images diffusées, la région ne pourrait pas souscrire au financement de ce type d’expositions et ça n’a jamais été le cas. »

    « Nous ne sommes pas des censeursmais toute action visant à promouvoir ce type de message, la région ne sera pas en mesure de s’y associer. Si nous avions financé cette exposition, nous aurions demandé probablement le retrait de ces œuvres , ajoute le conseiller de Laurent Wauquiez, qui déplore en outre les « attaques du FN sur fond d’amalgames  (sic). A titre personnel, le cadre du cabinet régional se dit même  choqué  :  La ligne rouge a été franchie. La collectivité regardera de près ce qu’elle est amenée à financer… »

    Bruno Gollnisch en prend bonne note et nous voulons bien croire que la montée au créneau du Front National dans cette affaire  obligera (peut-être)  la droite couchée à ne plus servir  insidieusement de bailleurs de fonds avec notre argent  aux acteurs  du gauchisme culturel.Mais comme le notait Isabelle Surply dans l’entretien accordé à boulevard voltaire évoqué plus haut,   le  « problème est que Les Républicains ont un souci avec l’art contemporain. Ils n’assument pas vraiment leur ligne politique de peur d’être taxés de censeurs. Ils ont peur des représailles.Je rappelle que Laurent Wauquiez n’a pas de majorité franche. En étant trop dur avec son aile gauche, il pourrait perdre des suffrages. À chaque fois qu’il s’agit d’art contemporain dans cette commission, je peux vous garantir que la présidente de commission regarde ses pieds et n’assume pas sa ligne politique. »

    Pour le reste, nous renvoyons à  L’imposture de l’art contemporain, livre imparable d’Aude de Kerros  (éditions Eyrolles, 2015)  et à l’entretien accordé  par le  peintre de grand talent Antoine Tzapoff  que nous citions sur ce blogue  en octobre 2014. Réflexions  qui achèvent d’éclairer les agissements et la vision du monde  d’une petite coterie qui participe du travail de sape et de la subversion mondialiste contre nos murs porteurs.

    https://gollnisch.com/2018/02/15/cerveaux-malades-saine-reaction-simpose/