(…) Sur une éventuelle divergence entre sa position et celle du ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, le Premier ministre a mis les choses au clair: “c’est moi qui fixe la ligne.” (…)
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« L’immigration quand elle est acceptée, choisie, c’est l’honneur de notre pays (…) c’est une chance », Michel Barnier, interrogé sur les sorties de son ministre, tempère et déclare que c’est lui “qui fixe la ligne”
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Stop aux subventions des ONG immigrationnistes complices de trafics humains
J’accuse les ONG prétendues humanitaires, de complicité de trafics d’êtres humains.
1 milliard d’euros pour les associations pro-migrants ; ce n’est plus de l’humanisme mais du business ! Cessons de les entretenir avec nos impôts.
Combien étions-nous parmi les lanceurs d’alertes et autres « complotistes », à avoir un avis « plutôt mitigé » sur le nouveau pantin déniché par Macron pour continuer son processus « d’envie d’emmerder les Français ! » et pas seulement les non-vaccinés annoncés pendant le Covid, mais bien tous ceux qui pensent (et donc votent) mal ?
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“Action Antifasciste Paris-Banlieue : 16 ans de violences” : l’observatoire des violences politiques publie une enquête sur le groupuscule antifa
Premier collectif antifa français, l’Action Antifasciste Paris-Banlieue...
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LE CONSEIL D'ETAT, FOSSOYEUR DES LIBERTES! NON A LA L'ETAT DE DROIT DE LA DICTATURE FASCCISTE DES JUGES!
Le Conseil d’État, fossoyeur des libertés, accable Jean-Luc Coronel de Boissezon
Agrégé d’histoire du droit et professeur à l’université de Montpellier à partir de 2010, Jean-Luc Coronel de Boissezon est mis en cause en 2018 concernant l’évacuation d’un amphithéâtre de la faculté de droit, illégalement occupé par des manifestants de Gauche. Après une longue bataille juridique, marquée des victoires logiques auprès des instances compétentes, Jean-Luc Coronel de Boissezon s’est vu lourdement condamné par le Conseil d’État, au terme d’un procès soviétique. Pour évoquer cette sanction très lourde, nous partageons avec nos lecteurs une analyse de Jean-Yves Le Gallou ainsi que le communiqué de Jean-Luc Coronel de Boissezon.
Polémia -
SOS Méditerranée : bourrage de mou pro-migrants à l’école primaire
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[SATIRE A VUE] Vol au-dessus d’un nid d’Hidalgo
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Le Mans, Brest, Caen : l’immigration augmente de 100 % en 15 ans
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Notre dossier-choc : « Salam aleykoum » la guerre civile ?
La guerre civile est dans l’air, comme une odeur de poudre qui traîne. Son champ sémantique envahit peu à peu l’espace public. « Guerre civile larvée » (Gilles Kepel), « guérilla » (Laurent Obertone) et dix autres avertissements du même tonneau : Elon Musk, Boualem Sansal, Kamel Daoud… Dès lors, un grand dossier dans « Éléments » s’imposait. En commençant par le commencement (chronologiquement du moins) : les émeutes, cet été, au Royaume-Uni, qui ont fourni le prétexte à ce vaste tour d’horizon des périls : en Angleterre bien sûr, mais aussi aux États-Unis et en France (banlieues, islamisme, extrême gauche et Nouvelle-Calédonie)… Sommes-nous, ou pas, dans une configuration d’avant-guerre civile ? Telle est la question. Nous y répondons dans un dossier exceptionnel de 23 pages.
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Viol d’une fillette à Oudon (Loire-Atlantique) : Pour le RN, « LFI devra rendre des comptes ! »
Le 2 octobre 2024, un scandale d’une extrême gravité éclate dans la région d’Ancenis-Saint-Géréon (Loire-Atlantique), impliquant Pierre-Alain Cottineau, ancien candidat de la France Insoumise (LFI) et cadre local, impliqué par ailleurs dans une association LGBT. Accusé de viols avec actes de torture sur une fillette handicapée de quatre ans placée sous sa garde au titre de l’Aide sociale à l’enfance (ASE), Cottineau a été mis en examen, soulevant une vague d’indignation et de questions sur la responsabilité des institutions.
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Philippine, Anne-Lorraine, Lola, Clément, Nahel et Adama : qui récupère quoi ?
Le 21 septembre, le corps de Philippine Le Noir de Carlan, 19 ans, était retrouvé enterré dans bois de Boulogne, non par la police — qui ne peut intervenir avant 48 heures lors de la disparition d’une personne majeure — mais par ses parents et ses amis, qui avaient réussi à localiser son téléphone portable. Son violeur et meurtrier présumé, le clandestin marocain Taha Oualidat, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire (OQTF) et dont l’ADN a été identifié sur les restes de la victime, a été quant à lui retrouvé et interpellé à Genève ; son extradition ne devrait pas tarder.