En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Nous parlons ici de dépenses publiques, de dette, de déficit, mais il faut se rendre compte que la réalité dépasse les chiffres officiels. Les dépenses publiques représentent 58% du PIB (et les recettes 48%, l’écart étant le déficit + les recettes propres de l’État).
Alors que se tient ce samedi le Forum de la Dissidence consacré à la « chasse aux dépenses nuisibles », nous avons reçu de notre contributeur Georges Le Breton une étude de cas documentée sur la catastrophique gestion de la « crise Covid » par le tandem Emmanuel Macron/Bruno Le Maire et de leur responsabilité dans l’état actuel des finances du pays. Démonstration. Polémia
Facteurs majeurs d’augmentation de la dette publique sur le dernier demi-siècle
La situation extrêmement dégradée des finances publiques françaises a des causes structurelles et conjoncturelles.
En remontant la piste des dealers, les enquêteurs découvrent qu’il s’agissait d’individus logeant dans le squat de la rue Henri-Gorjus dans le 4e arrondissement de Lyon. Un coup de filet était organisé ce mercredi, avec l’interpellation de trois personnes de nationalité ivoirienne et guinéenne. L’opération menée mercredi matin dans le squat a été perturbée par des militants d’un collectif de soutien aux mineurs isolés en scandant des slogans contre la police.
Pour tous les grands thèmes abordés par les médias officiels et mis sous le nez d’un public regardant la télévision et/ou écoutant la radio, nous nous rendons compte qu’il ne s’agit pas ouvertement d’un mensonge, mais plutôt d’un discours où une partie manque à la balance.
Pourquoi les médias oublient-ils de mentionner que le réchauffement médiéval a permis l’évolution des modes de vie et que la mortalité due au froid est supérieure à celle due à l’excès de chaleur ?
Les maires Les Républicains de la métropole de Lyon ne veulent pas se voir « imposer » de centre pour accueillir les migrants par la Métropole. Après Sébastien Michel à Écully, c’est au tour de Laurence Fautra de s’opposer à la construction d’un tel établissement à Décines-Charpieu, ce vendredi 15 novembre 2024. […]
La demande d’inéligibilité de la procureur à l’encontre de Marine Le-Pen, n’en finit pas de faire couler beaucoup d’encre. D’abord parce que la magistrate avoue qu’elle n’a rien de bien flagrant, même si ces propos n’étaient pas directement adressées a MLP mais à certains de ses collaborateurs, mais que son désir profond est de la condamner. On est très loin de l’esprit qui devrait prévaloir en justice, à savoir une impartialité totale. Elle avoue plus qu’implicitement vouloir faire le procès politique d’une future candidate et de son parti. Là encore les standards d’une justice indépendante et intègre semblent absents. Et encore, cette justice a pris soin de rester dans une peine de prison ferme dont la durée reste aménageable. Les adversaires du RN se réjouissent et demandent la plus grande sévérité dans la peine. La justice n’a pas à être plus sévère dans un cas que dans un autre, elle doit être juste. L’a-t-elle été avec Bayrou ? Non. Il est tout de même étonnant qu’a chaque fois qu’il s’agit d’un opposant à la Macronie, cette justice se montre implacable. Ce deux poids deux mesures est tellement visible qu’il ne va pas renforcer la confiance que les citoyens ont dans cette institution qui n’en finit pas de faire parler d’elle, notamment lorsqu’elle relâche un assassin, toujours d’importation, qui récidive à peine sorti.
Le projet de plan local d’urbanisme «bioclimatique» de la capitale, qui oblige les propriétaires, en cas de gros travaux, à réserver une partie de leur immeuble à des logements sociaux, irrite. Quelque 800 bâtiments se sont déjà vus apposer un marquage.
Nouvelle claque pour les agriculteurs français. Alors que le Premier ministre s’est entretenu, ce mercredi, avec la présidente de la Commission européenne pour lui faire part de son « opposition en l'état » quant aux accords de libre-échange avec le Mercosur, Ursula von der Leyen a déclaré n’être « pas convaincue » des arguments avancés par Michel Barnier. Une rencontre qui n’augure rien de bon pour la crise agricole, ni pour la crédibilité de la France face à l’Europe, alors que s’ouvre, à partir de ce lundi au Brésil, le sommet du G20 qui devrait sceller les négociations entre l’Union européenne et les pays concernés par le traité.