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Daniel Conversano - Scandale au Bataclan - Le chanteur Sting, incarnation du mal absolu
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UN ECHEC POUR LA DAVOS GOLDMAN SACHS IDEOLOGIE
Pieter Kerstens
La caste politico-médiatique nous avait annoncé l’incontestable victoire de Dame Hillary aux élections présidentielles américaines et nous avait avertis d’un cataclysme si Donald Trump l’emportait (comme les ténèbres couvrant le pays : 9e plaie d’Egypte) ?
Aussi, c’est avec stupeur et colère que la Davos Goldman Sachs Idéologie (DGSI) a encaissé le verdict des urnes, l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche et le réveil de la majorité silencieuse américaine.
Pas de krach boursier, l’or n’a pas explosé, le prix du baril de pétrole n’a pas augmenté d’un dollar de plus et les prix des matières premières ne se sont pas non plus effondrées. Au contraire, Wall Street affiche un record ce 10 novembre 2016 !
Le public américain a été matraqué depuis des mois par l’image d’un homme qualifié d’immonde et affublé de toutes les descriptions les plus infamantes et injurieuses par l’Establishment. Toutes les manœuvres pour disqualifier un prétendant à la fonction suprême ont été fidèlement relayées par les valets du mondialisme et les eurocrates de Bruxelles, sans discernement et sans aucun contrôle. Le boomerang leur est revenu en pleine face.
C’est l’Amérique profonde qui s’est exprimée, celle que le Système a exclu des sondages. Cette population méprisée au détriment des « minorités », ce peuple qualifié de misogyne, d’inculte ou de raciste et sur lequel les élites ont craché pendant des années. Année après année, le « petit blanc » américain subit les utopies de l’administration US et constate amèrement que les derniers présidents ont conduit son pays au chaos. En effet, au 10 novembre 2016 la dette publique s’élevait à 19.816 milliards de dollars, soit 61.000 dollars par habitant. Les USA comptaient 152 millions d’actifs au 10 novembre 2016, alors qu’ils étaient plus de 155 millions en 2000.
Les inactifs se montent à 94 millions maintenant alors qu’ils n’étaient que 79 millions en 2000 ; 124 millions d’actifs seulement ont un emploi à temps plein ; 43 millions d’américains vivent sous le seuil de pauvreté et 42 millions d’habitants bénéficient de bons alimentaires. Plus de 27 millions d’actifs ont 2 ou 3 boulots pour survivre. Alors, on comprend mieux pourquoi l’Amérique « profonde » s’est enfin réveillée !
Pour sa part, la chanteuse Miley Cirus avait promis de quitter les USA si Donald Trump était élu, tout comme Lady Gaga, l’humoriste Amy Shumer, l’acteur Alec Baldwin, la chroniqueuse télé Oprah Winfrey et la chanteuse Beyoncé. BYE, BYE ! Et qu’ils emmènent dans leurs valises leurs camarades multimillionnaires du show-bizz ou du sport qui eux aussi vomissaient sur Donald Trump : Adios Kat Perry, Jay-Z, Barbara Streisand, Cher, Samuel L. Jackson, Woopi Goldberg, Lena Dunham, Amber Rose, Robert Di Niro ou encore Spike Lee, parmi les plus insupportables donneurs de leçons et moralisateurs de poubelles.
Qu’ils se cassent, vite, et n’encombrent plus les médias avec leurs discours nauséeux et arrogants, qui nous rappellent les heures les plus sombres de notre histoire dictées par les nomenklaturas marxistes.
NB : Les habitants d’Alep, eux, ont fêté la défaite d’Hillary Clinton, accusée d’être un soutien aux groupes terroristes.
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Journal du lundi 14 novembre 2016 - Immigration / Versailles contre l’immigration
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ZOOM - Eloïse Benhammou :"Le régime bancaire gouverne la France !"
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Pour la primaire, un seul mot d’ordre : tout sauf Juppé !
Votez pour qui vous voulez : Fillon, Sarkozy, Poisson… mais pas Juppé !
Dites non à Juppé.Nombreux sont ceux qui, à gauche ou au centre gauche, comptent voter aux primaires LR. Dites à vos amis de gauche de se méfier, cette fois. Nombre d’entre eux ont déjà voté François Hollande. Avec Juppé, ils vont retomber dans le piège tendu par le centre mou bien-pensant depuis 40 ans.
Dites-le-leur : votez pour qui vous voulez – Fillon, Sarkozy, Poisson – mais pas Juppé !
Ne donnez pas vos voix au maire de Bordeaux, dont les amitiés avec certains islamistes sont connues. Le premier janvier 2013, Tareq Oubrou, imam de Bordeaux, était décoré du grade de chevalier de la Légion d’honneur personnellement par le maire de Bordeaux.
Membre d’une des organisations proches des Frères musulmans (UOIF : Union des organisations islamiques de France), dont la devise est « Le Coran est notre Constitution », Tareq Oubrou est également l’ancien président de l’association Imams de France. Pour mémoire, Alain Juppé avait décidé qu’une propriété en plein centre-ville pouvait être cédée quasi gratuitement (via un bail emphytéotique) à l’UOIF proche des Frères musulmans.
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CRISE DES “MIGRANTS” : HALTE À L’INVASION DE L’EUROPE !
Les Lansquenets de France Forum SI cliquez ici
Depuis plus d’un an maintenant, se développe la crise dite des “migrants”, qui voit l’Europe confrontée à une brutale poussée migratoire, d’un volume et d’une intensité rarement vus depuis la Seconde Guerre mondiale. Le site lemonde.fr indique ainsi que, en 2015, 1,1 million de migrants ont atteint l’Allemagne, essentiellement en passant par la frontière entre l’Autriche et la Bavière.
Ces migrants-là venaient en général de Grèce, où ils étaient arrivés par mer à partir de la Turquie, en suivant un trajet qui semble délaissé depuis l’accord Erdogan-Merkel de début 2016.
Mais d’autres ont immédiatement pris la suite, reprenant cette fois-ci le schéma classique d’invasion via l’Italie, qui fonctionnait depuis des années et avait connu une forte accélération en janvier 2015. L’éditorial du Figaro daté des 16 et 17 avril 2016 notait ainsi que 6 000 migrants venaient de débarquer en Italie au cours des trois jours précédents ! Et les choses ne se sont pas arrangées depuis...
Une partie de ces “migrants” restent en Italie, où ils sont de plus en plus mal tolérés. Une autre se répand ailleurs en Europe, par exemple à Calais où, fin août 2016, l’effectif du vaste campement sauvage baptisé “la Jungle” est brutalement passé de 6 000 à 10 000 personnes (en attendant d’être réparti sur l’ensemble du territoire français), ou encore à Paris, où l’on annonce, début septembre 2016, l’ouverture de deux centres d’accueil...Et ce n’est pas fini !
Bien entendu, l’Allemagne, l’Italie et la France ne sont pas les seules nations visées par cette déferlante migratoire, qui concerne l’ensemble de l’Europe et relève, à l’évidence, d’un plan concerté d’invasion, tant semblent parfaitement rodés les techniques de passage et les trajets utilisés, y compris les trajets de rechange lorsque les voies habituelles ne sont plus accessibles.
LES PEUPLES EUROPÉENS SONT EN DANGER
Cette invasion est bien évidemment un danger pour l’identité des peuples européens, déjà mise à mal par des décennies d’une démentielle politique d’immigrationnisme de masse. Elle constitue également un danger pour leur sécurité, comme le montrent, non seulement les agressions dont ont été victimes plus d’un millier de femmes allemandes lors de la nuit de la saint Sylvestre 2015, mais aussi les attentats commis en Europe : c’est ainsi que deux au moins des terroristes ayant opéré à Paris lors des attaques du 13 novembre 2015 étaient entrés en France en se glissant dans le flot des migrants. Par ailleurs, selon un article de L’Express publié par msn.com le 22 février 2016, le directeur d’Europol, Rob Wainwright, a indiqué que plusieurs milliers de djihadistes de l’Etat islamique étaient entrés en Europe à la faveur de la crise migratoire.
Le pire est donc assurément à venir, non seulement pour la préservation de l’identité européenne, mais aussi pour la sécurité physique des peuples européens.
Et pendant ce temps-là, que font les autorités européennes ? Elles se complaisent dans l’humanitaire le plus basique, accueillant sans mot dire les masses de “migrants” en provenance des côtes libyennes, comme elles l’avaient déjà fait avec ceux qui avaient pris la mer en Turquie. Devant l’invasion, la seule réaction de l’Union européenne consiste finalement à dire qu’il faut accueillir tout le monde dans des conditions “décentes”, chaque Etat européen étant invité à prendre sa part du fardeau. Et, à quelques rares exceptions près, dont nous reparlerons plus loin, les Etats européens sont sur la même longueur d’onde.
Que nous disent donc l’UE et ces Etats pour justifier cette position ? Tout simplement que les “migrants” sont des réfugiés appelés à bénéficier du droit d’asile en Europe et qu’il convient, par conséquent, d’arracher à des conditions de vie “indignes”.
Des “réfugiés” : est-ce bien sûr ? Dans un article publié le 27 janvier 2016, le réseau EurAction soulignait que, selon Franz Timmermans, vice-président de la commission européenne, les “migrants économiques” représentaient “environ 60 %” du nombre total des arrivants en décembre 2015, d’où il résultait que les authentiques réfugiés potentiels ne représentaient que 40 % du total des “migrants”.
PARMI LES “MIGRANTS”, COMBIEN DE VRAIS RÉFUGIÉS ?
Mais 40 %, c’était encore beaucoup trop, comme l’a ensuite montré l’exploitation qui pouvait être faite d’un article paru dans Le Monde daté du 9 janvier 2016. Car cet article nous apprenait non seulement que la France avait enregistré 80 075 dossiers de demande d’asile en 2015, mais, aussi et surtout, donnait la structure de la population ayant déposé les demandes d’asile en question. En tête de l’article en cause figurait en effet un schéma du “top 10” des demandeurs d’asile, schéma que l’on peut résumer comme suit :
5 091 (Soudan) + 3 403 (Syrie) + 3 139 (Kossovo) + 3 071 (Bangladesh) + 3 049 (Haïti) + 2 937 (République démocratique du Congo) + 2 815 (Chine) + 2 245 (Albanie) + 2 145 (Irak) + 2 122 (Afghanistan) = 30 017 demandeurs d’asile au “top 10” en 2015.
Or, depuis des mois, les dirigeants européens affirment que les seuls “vrais” demandeurs d’asile sont les Syriens et les Irakiens, les autres n’étant que des “réfugiés économiques” dont la vocation est de retourner dans leur pays sans plus attendre. Sur cette base, les données ci-dessus montrent, par conséquent, que le nombre de “vrais” réfugiés s’établit à : 3 403 + 2 145 = 5 548 sur un “top 10” de 30 017, soit 18,48 %.
Mais le pourcentage réel de vrais réfugiés est encore plus faible. En effet, ce n’est pas au “top 10” qu’il convient de rapporter les 5 548 demandeurs syriens et irakiens, mais au total général des dossiers de 2015, soit 80 075, ce qui ramène le pourcentage des vrais demandeurs à 6,93 %. C’est dérisoire et, comme on pouvait s’y attendre, très inférieur au pourcentage de vrais réfugiés annoncé par Frans Timmermans, qui parlait, comme on l’a vu plus haut, de 40 % de réfugiés authentiques au sein de la vague migratoire de 2015. On nous rétorquera que le pourcentage obtenu en France est éventuellement inférieur au pourcentage réel concernant l’ensemble de l’Europe. Mais, compte tenu de ce que donne le calcul dans le cas français, qui intéresse une population parfaitement représentative de la vague migratoire submergeant l’ensemble du continent européen, comment imaginer que le pourcentage réel concernant la totalité de l’Europe puisse être sérieusement supérieur à 10 % ?
Dès lors, on est logiquement conduit à penser que la très grande majorité de ceux qui forcent ainsi les portes de l’Europe sans y être invités n’a aucun droit à y rester, puisqu’elle ne remplit pas les conditions nécessaires, non seulement pour bénéficier du droit d’asile, mais aussi et avant tout pour avoir la possibilité de présenter le dossier dont l’examen lui permettra éventuellement d’avoir accès à ce droit. Le cas de tous les autres relève de l’escroquerie pure et simple, pour laquelle la sanction minimale est évidente : l’expulsion immédiate !
POUR DÉFENDRE L’EUROPE, IL FAUT S’INSPIRER DE L’EXEMPLE HONGROIS
Il est au moins un homme d’Etat en Europe qui a compris quelle devait être la réaction correcte face à l’invasion, c’est le Hongrois Viktor Orban, lequel a mis en place, aux frontières de son pays, un “mur” destiné, non pas à empêcher toute entrée en Hongrie, comme le prétendent les gras médias malhonnêtes, mais à permettre un contrôle efficace des entrées, de façon que seuls les demandeurs d’asile authentiques puissent pénétrer dans l’Espace Schengen, à l’exclusion de tous les autres. Et ce contrôle, Orban l’a mis en place avec le soutien discret de... l’Union européenne ! Lors de son émission du mardi 15 septembre 2015, l’émission “C dans l’air” nous a en effet appris, par la voix de l’un de ses intervenants, membre de la Fondation Robert Schuman, que le “mur” hongrois était financé en partie par l’UE, ledit “mur” étant réalisé en application de la réglementation européenne, qui veut que l’on sécurise les frontières extérieurs de l’Espace Schengen.
On admirera l’hypocrisie des dirigeants de l’UE, qui pleurnichent sur le sort des “migrants” et financent, dans le même temps, le mur hongrois mis en place par Orban, dont la politique a finalement reçu le soutien de plusieurs pays situés à l’est de l’Union. Mais le plus important n’est pas là. Le plus important est de prendre conscience que les textes européens permettent de défendre l’Espace Schengen, dès lors qu’ils sont correctement appliqués. Il est donc inepte de prétendre que les choses iraient mieux en quittant l’Espace Schengen, puisque les textes qui le régissent permettent de défendre les peuples européens. Ce n’est pas Schengen qui est en cause, mais le personnel politique dominant, qui ne veut pas défendre l’Europe : ce personnel étant ce qu’il est, croit-on vraiment que les choses iraient mieux dans le cadre d’un repli national ? Par exemple, l’immigration de masse que subit la France n’a-t-elle pas été, d’abord et avant tout, le fait du gouvernement français ?
La solution ne réside donc pas dans la déconstruction de l’UE et de l’Espace Schengen, souhaitée par les gnomes de Wall Street, tout comme ils souhaitent la destruction de l’euro, elle réside tout bonnement dans l’application des textes européens. A cet égard, une politique efficace de défense européenne contre l’invasion devrait reposer avant tout sur les deux éléments suivants :
- la mise en place d’un contrôle efficace des frontières de l’Espace Schengen, dans l’esprit de ce qui a été fait par la Hongrie ;
- la mise en œuvre d’un contrôle systématique de tous les soi-disant “réfugiés” entrés en Europe, pour déterminer qui a droit effectivement à l’asile et qui doit être expulsé sans plus tarder.
Il s’agirait là d’un chantier très lourd, nous dira-t-on. C’est exact, mais le lancement de ce chantier est indispensable à la défense de l’identité et de la sécurité des Européens, qui permettrait enfin de lancer cette politique d’inversion des flux migratoires dont l’Europe a le plus pressant besoin.
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Le pire peut encore être évité
Socialo-progressiste non pratiquant dans les urnes (il vote blanc depuis 1988 assure-t-il), le journaliste Jean-Michel Apâthie (RTL, Europe1, Canal+...) actuellement en tournée de promotion de son dernier livre chez ses confrères, a trouvé la formule provocatrice pour faire le buzz. Invité de public sénat il a ainsi déclaré en fin de semaine: « l’esprit politique français est fabriqué par le souvenir de Louis XIV, de Napoléon et du Général De Gaulle. Quand on fait de la politique en France madame, c’est pour renverser le monde. Eh bien ça ça n’entraîne que des déceptions. Moi si un jour je suis élu président de la République, savez-vous quelle est la première mesure que je prendrais ? Je raserais le château de Versailles. Ce serait ma mesure numéro un pour que nous n’allions pas là-bas en pèlerinage cultiver la grandeur de la France, devenons réalistes !». Opération de com réussie au regard de l’écho rencontré par ses propos mais qui ont aussi une résonance particulière avec l’actualité de la lutte contre l’Etat islamique. Ces derniers jours nous n’avons pas seulement appris la découverte d’un charnier d’une centaine de corps, dans la ville de Hammam Al-Alil, à proximité Mossoul, reprise aux troupes djihadistes, mais aussi la libération de la plurimillénaire cité antique assyrienne de Kalkhu (ou Kalhu), autrement baptisée Nimrod. Une ville, après les destructions opérées des œuvres impies du musée de Mossoul (ou leur vente au marché noir), que les miliciens décérébrés de l’EI avaient commencé à détruire au bulldozer pour raser des représentations jugées insultantes pour le prophète. Au nom d’un réalisme tendant à faire disparaître tout pèlerinage vers un lieu rappelant la grandeur d’une civilisation pré-islamique ? Les bouffonneries de M. Apathie sont moins drôles qu’il ne le croit…
Après les commémorations du 11 novembre, Grande guerre dont le souvenir ne doit pas disparaître, la pire saignée jamais connue par notre peuple, qui a frappé cruellement toutes les familles françaises, cette fin de semaine fut aussi un moment de recueillement, d’émotion en ce premier anniversaire des massacres islamistes du 13 novembre dans les rues de Paris. François Hollande et Anne Hidalgo ont dévoilé des plaques au Stade de France et sur les lieux des autres attentats, des discours ont été prononcés, des bougies allumées… Toutes choses qui ne pourront bien évidemment effacer la douleur de ceux qui ont perdu qui un enfant, qui un conjoint, qui un parent, en partie du fait de l’aveuglement de la classe politicienne devant une réalité qu’elle n’a cessé de cacher sous le tapis pendant des années… pour « ne pas faire le jeu du Front National ».
Dans son livre La Cause du Peuple, Patrick Buisson, ex conseiller de Nicolas Sarkozy, ne dresse pas seulement un portrait corrosif des atermoiements, des faiblesses, des petitesses, de l’absence de colonne vertébrale intellectuelle de l’ex chef de l’Etat et d’une droite affaissée , sous l’emprise d’une gauche libérale-libertaire, euro-mondialiste, avec laquelle elle communie sur l‘essentiel. M Buisson analyse très finement les dérives de notre société contemporaine à la lumière de l’Histoire, la vision du monde qui anime les adversaires du camp patriotique; il dessine aussi les contours de ce que sont les principes, les valeurs , le corpus idéologique d’une Droite nationale digne de ce nom.
Au détour d’un chapitre, il évoque les tueries du 13 novembre 2015 , les bougies allumées sur les lieux des attentats qui «ne vont pas sans évoquer la résurgence de quelque vieux culte animiste. Si elles dispensent un peu de chaleur, elles n’émettent guère de lumière (…) éphémères compensatrices de vacuité.» Il relève surtout qu’« un certain islam a administré la terrible démonstration de sa force aux dépens d’une République réduite à l’état d’agrégat de minorités par sa coupable complaisance à l’égard du communautarisme. Aux Français dans leur diversité désormais impossible à ramener à l’unité, la République n’a pu rien à faire partager si ce n’est un vague règlement de copropriété connu sous le nom de vivre-ensemble».
«L’un des non-dits les plus assourdissants du débat actuel» écrit-il plus loin, et ce constat est dressé par nous et par d’autres depuis longtemps, «consiste à taire la responsabilité du progressisme de gauche dans la séparation de l’islam et de la société française. Il n’est pourtant pas abusif d’imputer pour une large part aux effets conjoints de l’individualisme hédoniste et de l’idéologie émancipatrice le processus de radicalisation des musulmans français travaillés par le double sentiment explosif et contradictoire de la supériorité de leur civilisation et de l’infériorité de leur puissance. Le mépris que leur inspire la société française, jugée à la fois apostate et décadente, est pour beaucoup dans leur refus croissant d’intégrer la communauté nationale. De la banalisation de l’avortement, à la légalisation du mariage gay, de l’exaltation du féminisme à la marchandisation de la maternité, de la dévalorisation de l’autorité masculine à la proscription des vertus viriles, de la théorie des genres à l’ABCD de l’égalité, de obscénité à la la pornographie télévisuelle, les musulmans se sentent et se disent agressés en permanence dans leur être de croyants comme dans leur identité la plus profonde, par nos lois et nos mœurs».
Il est clair à l’aune de ces dérives là, qui fragilisent d’ailleurs notre communauté nationale toute entière, que rien n’oblige les musulmans à rester sur notre terre haram et qu’ils peuvent aussi nous quitter pour vivre pour un pays halal, comme le leur conseillent certains salafistes, à moins qu’une logique de conquête territoriale sous-jacente anime certains d’entre eux… Certes, un apostat comme le chanteur Sting milite pour toujours plus d’immigration. Lors de son concert samedi soir au Bataclan, en hommage aux victimes, ce dernier, quel symbole, a présenté sa nouvelle chanson «Inch’Allah »; un titre dédié à l’accueil des immigrés économiques et autres clandestins (migrants en novlangue) qui gagnent l’Europe par milliers chaque jour.
Est-ce le souhait des familles qui ont perdu un proche et des Français qui, par millions, s’enfoncent dans la pauvreté, sont frappés part la paupérisation, la relégation, deviennent étrangers dans leur propre pays? M. Buisson pose finalement la question essentielle dont découle toutes les autres, celle implicite des responsabilités de la droite républicaine dans cette atomisation-implosion de la France. Il constate, là aussi après Bruno Gollnisch, Marine, les dirigeants du FN et bien d’autres, que «la question de l’immigration (souffre) en France d’un vice originel. les choix avaient été imposés part la classe dirigeante au peuple français, sans que celui-ci n’ait eu à aucun moment la possibilité de décider collectivement de son destin. Une nation qui ne décidait plus des conditions d’accès à la nationalité et de résidence sur son sol, ou pis, qui acceptait de se les voir dicter de l’extérieur méritait-elle d’être encore considérée comme une nation libre?».
Il n’est pas étonnant que dans cette situation un sondage Vivavoice pour Libération, publié le 11 novembre, indique que le sentiment dominant pour nos compatriotes au sujet des attentats soit d’abord un sentiment de colère ( 56 %), devant la tristesse (48 %), la haine (24 %) et la peur(22 %). 26% des personnes interrogées affirment aussi avoir fait évoluer leurs positions électorales depuis les attentats. Ils ne doivent pas se tromper l’année prochaine, le pire peut encore être évité.
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4.800 € d’amende pour les boulangers trop transparents
« Consternant, hallucinant ». Au sortir du tribunal d’Amiens (Somme), Maître Grégoire Frison ne mâche pas ses mots. Ses clients, Alain et Françoise Bourgeois, boulangers de métier, viennent d’être condamné à 4.800 € d’amende pour tromperie sur la marchandise. Leur tort ? Avoir vendu du pain à la farine bio sans avoir le label AB.Reporterre vous avait raconté l’affaire : Alain Bourgeois fabrique les pains, Françoise les vend. Ce que reprochent les contrôleurs de la DDPP (Direction départementale de la protection des populations) à Mme Bourgeois, c’est d’avoir indiqué sur un panneau, rangé dans un coin du fournil, que le pain est fabriqué à partir de farine bio, alors qu’ils n’ont pas le label AB. Le couple a préféré un label plus exigeant, Nature & Progrès, et a toujours indiqué que son pain était « au levain naturel », sans jamais affirmer qu’il était bio. Mais pour les contrôleurs, le petit logo AB de l’étiquette de la farine aurait induit les clients en erreur.Résultat, l’entreprise des Bourgeois est condamnée à 4.000 € d’amende, dont 2.000 avec sursis, contre 8.000 € requis par le parquet pendant l’audience. En tant que gérante de la structure, Françoise devra quant à elle payer à l’État 800 €, dont 400 avec sursis.Une peine disproportionnée au regard de l’infraction, estime Me Frison : « il y a tant de boulangeries industrielles et de supermarchés qui abusent du terme bio, pourquoi s’attaquer à des petits boulangers qui ont fait preuve de transparence ? » Joint par téléphone, Alain Bourgeois se défend de toute malhonnêteté : « Nous voulions juste dire aux clients ce que nous faisions, c’est-à-dire du pain au levain naturel à partir de farine bio. Que faut-il faire alors : cacher la provenance de la farine ? »« On a surtout l’impression que l’administration a voulu faire du zèle, montrer l’exemple. Mais je ne comprends pas pourquoi il y a un tel acharnement », s’interroge Me Frison. « Tout se passe comme s’il y avait une volonté politique de mettre à bas Nature et Progrès, avance Alain Bourgeois. Si ça continue, le seul label bio qui pourra exister, c’est l’étiquette AB. »Malgré tout, les boulangers l’affirment : ils vont continuer à fabriquer du pain « avec amour », à ouvrir les portes de leur fournir à tous les visiteurs curieux. Surtout, ils vont faire appel de la décision du juge.Lorène Lavocat pour Reporterre. -
« Pas de migrants en Ile-de-France »
Responsable du collectif « Pas de migrants en Ile-de- France », Thibault Audra interviendra lors du prochain Forum de la Dissidence organisé par la Fondation Polémia le 19 novembre prochain. Le journal Présent l’a interviewé.
— Qui est à l’initiative de ce collectif ?
— Tout a commencé par la création d’une page Facebook cet été. Nous sommes un groupe d’amis dispersés aux quatre coins de l’Ile-de-France et nous souhaitions faire une compilation des informations concernant les arrivées de migrants dans notre région et leurs conséquences : nuisances, délinquance, manifestations, etc. Cette page a connu un vrai succès, de plus en plus de personnes se sont mises à nous envoyer des informations et à nous proposer leur aide. Mi-octobre, nous avons décidé de changer de dimension et de devenir une force d’opposition réelle à l’implantation de migrants clandestins dans notre région.
— Votre campagne de sensibilisation auprès des Francîliens a déjà commencé. Comment est accueilli votre message ?
— Notre première action fut d’aller tracter sur les marchés de Louveciennes et des environs, car la création d’un gigantesque camp d’accueil y était envisagée. Notre tract est un florilège d’articles de presse traitant des conséquences de la présence de ces migrants sur notre sol (violences, viols, terrorisme) accompagné d’un message clair : « Si nous n’agissons pas, ils seront là ! » Nous avons reçu beaucoup d’encouragements, nous avons rencontré des personnes soulagées de voir qu’une résistance concrète s’organisait mais également les inévitables citoyens du monde, pris de rage à l’idée qu’on puisse se soucier davantage de la sécurité et de l’avenir de ses enfants plutôt que de faux Syriens (mais vrais clandestins !).
— Et auprès des responsables politiques (maires, conseillers généraux et régionaux…) ?
— Nous avons participé avec trois mille Yvelinois à la manifestation contre le projet de camp de Louveciennes. Les discours des élus qui se sont succédé à la tribune ne nous ont pas encouragés à vouloir travailler avec eux : tous ont affirmé combattre le projet de Louveciennes car étant indigne des migrants qui méritaient mieux que ça. En clair, pas chez eux, mais volontiers chez les autres ! Alors que leurs électeurs attendent un discours ferme sur l’immigration… Heureusement, par notre page Facebook, nous sommes en contact avec d’autres élus locaux sur qui nous pouvons compter pour nous donner des informations.
— Quels sont les moyens que vous comptez mettre en place pour lutter contre la politique gouvernementale de dissémination des « migrants » en Ile-de-France ?
— Notre priorité actuelle est de faire prendre conscience à la population des dangers que fait courir la présence de ces clandestins et de la nécessité d’une mobilisation citoyenne pour s’y opposer. Une population massivement mobilisée peut empêcher l’arrivée des migrants en faisant pression sur leurs élus manquant de courage politique, et montrer sa détermination en bloquant l’accès à un futur centre d’accueil. Nous avons en tête les exemples des villes de Gussignies et Arleux dans le Nord, où l’opiniâtreté des habitants a permis de faire reculer la préfecture.
Thibault Audra
Propos recueillis par Louis Lorphelin
8/11/2016Source : Présent du 9/11/2016
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Lego coupe la pub au Daily Mail par solidarité avec les migrants
La célèbre marque Lego a décidé de ne plus passer de publicité dans le Daily Mail en solidarité avec les migrants ! La société danoise est ainsi la première à se lancer dans le boycottage du grand quotidien conservateur britannique et à répondre positivement à la campagne « Stop funding hate » (« Arrêtez de financer la haine »), qui vise aussi The Sun et The Daily Express.
En France, l’ancienne présidente du Medef Laurence Parisot, qui est propriétaire de l’institut de sondages Ifop et avait déjà commis, avant la présidentielle de 2012, un navrant ouvrage contre Marine Le Pen , s’est publiquement félicitée de cette marque de lutte contre le « populisme ».
On sait maintenant quels jouets on n’est pas obligés d’acheter pour le Noël de ses enfants… #StopfundingLego