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  • CRISE DES “MIGRANTS” : HALTE À L’INVASION DE L’EUROPE !

    Les Lansquenets de France Forum SI cliquez ici

    Depuis plus d’un an maintenant, se développe la crise dite des “migrants”, qui voit l’Europe confrontée à une brutale poussée migratoire, d’un volume et d’une intensité rarement vus depuis la Seconde Guerre mondiale. Le site lemonde.fr indique ainsi que, en 2015, 1,1 million de migrants ont atteint l’Allemagne, essentiellement en passant par la frontière entre l’Autriche et la Bavière.

    Ces migrants-là venaient en général de Grèce, où ils étaient arrivés par mer à partir de la Turquie, en suivant un trajet qui semble délaissé depuis l’accord Erdogan-Merkel de début 2016.

    Mais d’autres ont immédiatement pris la suite, reprenant cette fois-ci le schéma classique d’invasion via l’Italie, qui fonctionnait depuis des années et avait connu une forte accélération en janvier 2015. L’éditorial du Figaro daté des 16 et 17 avril 2016 notait ainsi que 6 000 migrants venaient de débarquer en Italie au cours des trois jours précédents ! Et les choses ne se sont pas arrangées depuis...

    Une partie de ces “migrants” restent en Italie, où ils sont de plus en plus mal tolérés. Une autre se répand ailleurs en Europe, par exemple à Calais où, fin août 2016, l’effectif du vaste campement sauvage baptisé “la Jungle” est brutalement passé de 6 000 à 10 000 personnes (en attendant d’être réparti sur l’ensemble du territoire français), ou encore à Paris, où l’on annonce, début septembre 2016, l’ouverture de deux centres d’accueil...Et ce n’est pas fini !

    Bien entendu, l’Allemagne, l’Italie et la France ne sont pas les seules nations visées par cette déferlante migratoire, qui concerne l’ensemble de l’Europe et relève, à l’évidence, d’un plan concerté d’invasion, tant semblent parfaitement rodés les techniques de passage et les trajets utilisés, y compris les trajets de rechange lorsque les voies habituelles ne sont plus accessibles.

    LES PEUPLES EUROPÉENS SONT EN DANGER

    Cette invasion est bien évidemment un danger pour l’identité des peuples européens, déjà mise à mal par des décennies d’une démentielle politique d’immigrationnisme de masse. Elle constitue également un danger pour leur sécurité, comme le montrent, non seulement les agressions dont ont été victimes plus d’un millier de femmes allemandes lors de la nuit de la saint Sylvestre 2015, mais aussi les attentats commis en Europe : c’est ainsi que deux au moins des terroristes ayant opéré à Paris lors des attaques du 13 novembre 2015 étaient entrés en France en se glissant dans le flot des migrants. Par ailleurs, selon un article de L’Express publié par msn.com le 22 février 2016, le directeur d’Europol, Rob Wainwright, a indiqué que plusieurs milliers de djihadistes de l’Etat islamique étaient entrés en Europe à la faveur de la crise migratoire.

    Le pire est donc assurément à venir, non seulement pour la préservation de l’identité européenne, mais aussi pour la sécurité physique des peuples européens.

    Et pendant ce temps-là, que font les autorités européennes ? Elles se complaisent dans l’humanitaire le plus basique, accueillant sans mot dire les masses de “migrants” en provenance des côtes libyennes, comme elles l’avaient déjà fait avec ceux qui avaient pris la mer en Turquie. Devant l’invasion, la seule réaction de l’Union européenne consiste finalement à dire qu’il faut accueillir tout le monde dans des conditions “décentes”, chaque Etat européen étant invité à prendre sa part du fardeau. Et, à quelques rares exceptions près, dont nous reparlerons plus loin, les Etats européens sont sur la même longueur d’onde.

    Que nous disent donc l’UE et ces Etats pour justifier cette position ? Tout simplement que les “migrants” sont des réfugiés appelés à bénéficier du droit d’asile en Europe et qu’il convient, par conséquent, d’arracher à des conditions de vie “indignes”.

    Des “réfugiés” : est-ce bien sûr ? Dans un article publié le 27 janvier 2016, le réseau EurAction soulignait que, selon Franz Timmermans, vice-président de la commission européenne, les “migrants économiques” représentaient “environ 60 %” du nombre total des arrivants en décembre 2015, d’où il résultait que les authentiques réfugiés potentiels ne représentaient que 40 % du total des “migrants”.

    PARMI LES “MIGRANTS”, COMBIEN DE VRAIS RÉFUGIÉS ?

    Mais 40 %, c’était encore beaucoup trop, comme l’a ensuite montré l’exploitation qui pouvait être faite d’un article paru dans Le Monde daté du 9 janvier 2016. Car cet article nous apprenait non seulement que la France avait enregistré 80 075 dossiers de demande d’asile en 2015, mais, aussi et surtout, donnait la structure de la population ayant déposé les demandes d’asile en question. En tête de l’article en cause figurait en effet un schéma du “top 10” des demandeurs d’asile, schéma que l’on peut résumer comme suit :

    5 091 (Soudan) + 3 403 (Syrie) + 3 139 (Kossovo) + 3 071 (Bangladesh) + 3 049 (Haïti) + 2 937 (République démocratique du Congo) + 2 815 (Chine) + 2 245 (Albanie) + 2 145 (Irak) + 2 122 (Afghanistan) = 30 017 demandeurs d’asile au “top 10” en 2015.

    Or, depuis des mois, les dirigeants européens affirment que les seuls “vrais” demandeurs d’asile sont les Syriens et les Irakiens, les autres n’étant que des “réfugiés économiques” dont la vocation est de retourner dans leur pays sans plus attendre. Sur cette base, les données ci-dessus montrent, par conséquent, que le nombre de “vrais” réfugiés s’établit à : 3 403 + 2 145 = 5 548 sur un “top 10” de 30 017, soit 18,48 %.

    Mais le pourcentage réel de vrais réfugiés est encore plus faible. En effet, ce n’est pas au “top 10” qu’il convient de rapporter les 5 548 demandeurs syriens et irakiens, mais au total général des dossiers de 2015, soit 80 075, ce qui ramène le pourcentage des vrais demandeurs à 6,93 %. C’est dérisoire et, comme on pouvait s’y attendre, très inférieur au pourcentage de vrais réfugiés annoncé par Frans Timmermans, qui parlait, comme on l’a vu plus haut, de 40 % de réfugiés authentiques au sein de la vague migratoire de 2015. On nous rétorquera que le pourcentage obtenu en France est éventuellement inférieur au pourcentage réel concernant l’ensemble de l’Europe. Mais, compte tenu de ce que donne le calcul dans le cas français, qui intéresse une population parfaitement représentative de la vague migratoire submergeant l’ensemble du continent européen, comment imaginer que le pourcentage réel concernant la totalité de l’Europe puisse être sérieusement supérieur à 10 % ?

    Dès lors, on est logiquement conduit à penser que la très grande majorité de ceux qui forcent ainsi les portes de l’Europe sans y être invités n’a aucun droit à y rester, puisqu’elle ne remplit pas les conditions nécessaires, non seulement pour bénéficier du droit d’asile, mais aussi et avant tout pour avoir la possibilité de présenter le dossier dont l’examen lui permettra éventuellement d’avoir accès à ce droit. Le cas de tous les autres relève de l’escroquerie pure et simple, pour laquelle la sanction minimale est évidente : l’expulsion immédiate !

    POUR DÉFENDRE L’EUROPE, IL FAUT S’INSPIRER DE L’EXEMPLE HONGROIS

    Il est au moins un homme d’Etat en Europe qui a compris quelle devait être la réaction correcte face à l’invasion, c’est le Hongrois Viktor Orban, lequel a mis en place, aux frontières de son pays, un “mur” destiné, non pas à empêcher toute entrée en Hongrie, comme le prétendent les gras médias malhonnêtes, mais à permettre un contrôle efficace des entrées, de façon que seuls les demandeurs d’asile authentiques puissent pénétrer dans l’Espace Schengen, à l’exclusion de tous les autres. Et ce contrôle, Orban l’a mis en place avec le soutien discret de... l’Union européenne ! Lors de son émission du mardi 15 septembre 2015, l’émission “C dans l’air” nous a en effet appris, par la voix de l’un de ses intervenants, membre de la Fondation Robert Schuman, que le “mur” hongrois était financé en partie par l’UE, ledit “mur” étant réalisé en application de la réglementation européenne, qui veut que l’on sécurise les frontières extérieurs de l’Espace Schengen.

    On admirera l’hypocrisie des dirigeants de l’UE, qui pleurnichent sur le sort des “migrants” et financent, dans le même temps, le mur hongrois mis en place par Orban, dont la politique a finalement reçu le soutien de plusieurs pays situés à l’est de l’Union. Mais le plus important n’est pas là. Le plus important est de prendre conscience que les textes européens permettent de défendre l’Espace Schengen, dès lors qu’ils sont correctement appliqués. Il est donc inepte de prétendre que les choses iraient mieux en quittant l’Espace Schengen, puisque les textes qui le régissent permettent de défendre les peuples européens. Ce n’est pas Schengen qui est en cause, mais le personnel politique dominant, qui ne veut pas défendre l’Europe : ce personnel étant ce qu’il est, croit-on vraiment que les choses iraient mieux dans le cadre d’un repli national ? Par exemple, l’immigration de masse que subit la France n’a-t-elle pas été, d’abord et avant tout, le fait du gouvernement français ?

    La solution ne réside donc pas dans la déconstruction de l’UE et de l’Espace Schengen, souhaitée par les gnomes de Wall Street, tout comme ils souhaitent la destruction de l’euro, elle réside tout bonnement dans l’application des textes européens. A cet égard, une politique efficace de défense européenne contre l’invasion devrait reposer avant tout sur les deux éléments suivants :

    - la mise en place d’un contrôle efficace des frontières de l’Espace Schengen, dans l’esprit de ce qui a été fait par la Hongrie ;

    - la mise en œuvre d’un contrôle systématique de tous les soi-disant “réfugiés” entrés en Europe, pour déterminer qui a droit effectivement à l’asile et qui doit être expulsé sans plus tarder.

    Il s’agirait là d’un chantier très lourd, nous dira-t-on. C’est exact, mais le lancement de ce chantier est indispensable à la défense de l’identité et de la sécurité des Européens, qui permettrait enfin de lancer cette politique d’inversion des flux migratoires dont l’Europe a le plus pressant besoin.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/11/13/crise-des-migrants-halte-a-l-invasion-de-l-europe-5873589.html

  • Le pire peut encore être évité

    Socialo-progressiste non pratiquant dans les urnes (il vote blanc depuis 1988 assure-t-il), le journaliste Jean-Michel Apâthie (RTL, Europe1, Canal+...) actuellement en tournée de promotion de son dernier livre chez ses confrères,  a trouvé la formule provocatrice pour faire le buzz. Invité de public sénat il a ainsi déclaré en fin de semaine: « l’esprit politique français est fabriqué par le souvenir de Louis XIV, de Napoléon et du Général De Gaulle. Quand on fait de la politique en France madame, c’est pour renverser le monde. Eh bien ça ça n’entraîne que des déceptions. Moi si un jour je suis élu président de la République, savez-vous quelle est la première mesure que je prendrais ? Je raserais le château de Versailles. Ce serait ma mesure numéro un pour que nous n’allions pas là-bas en pèlerinage cultiver la grandeur de la France, devenons réalistes !». Opération de com  réussie au regard de  l’écho rencontré par ses propos mais qui ont aussi une résonance particulière avec l’actualité de la lutte contre l’Etat islamique. Ces derniers jours nous n’avons pas seulement appris la découverte d’un charnier d’une centaine de corps, dans la ville de Hammam Al-Alil, à proximité  Mossoul,  reprise aux troupes djihadistes,  mais aussi la libération de la plurimillénaire cité  antique  assyrienne de Kalkhu (ou Kalhu), autrement baptisée Nimrod. Une ville, après les destructions opérées  des œuvres impies du musée de Mossoul (ou leur vente au marché noir), que les miliciens décérébrés de l’EI avaient commencé à détruire au bulldozer pour raser des représentations jugées insultantes pour le prophète. Au nom d’un réalisme tendant à faire disparaître  tout pèlerinage vers un  lieu rappelant la grandeur d’une civilisation  pré-islamique ? Les bouffonneries de M. Apathie sont  moins drôles qu’il ne le croit…

    Après les commémorations du 11 novembre,  Grande guerre dont le souvenir ne doit pas disparaître, la pire saignée jamais connue par notre peuple, qui a frappé cruellement toutes les familles françaises, cette fin de semaine fut aussi un moment de recueillement, d’émotion en ce premier anniversaire des massacres islamistes du 13 novembre dans les rues de Paris. François Hollande et Anne Hidalgo ont dévoilé des  plaques au Stade de France et sur les lieux des autres attentats, des discours ont été prononcés, des bougies allumées… Toutes choses qui ne pourront bien évidemment effacer la douleur de ceux qui ont perdu qui un  enfant, qui un conjoint, qui un parent, en partie du fait de l’aveuglement de la classe politicienne devant une réalité qu’elle n’a cessé de cacher sous le tapis pendant des années… pour « ne pas faire le jeu du Front National ».

    Dans son livre  La Cause du Peuple, Patrick Buisson, ex conseiller  de Nicolas Sarkozy, ne dresse pas seulement un portrait corrosif  des atermoiements,  des faiblesses, des petitesses, de l’absence de colonne vertébrale intellectuelle de l’ex chef de l’Etat et d’une droite affaissée , sous l’emprise d’une gauche libérale-libertaire, euro-mondialiste, avec laquelle elle communie sur l‘essentiel. M Buisson analyse très finement  les dérives   de notre société contemporaine à la lumière de l’Histoire,  la  vision du monde qui anime les adversaires du camp patriotique; il  dessine aussi les contours de ce  que sont  les principes,  les valeurs , le corpus idéologique  d’une Droite nationale digne de ce nom.

    Au détour d’un  chapitre, il évoque les tueries du 13 novembre 2015 , les bougies allumées sur les lieux des attentats  qui «ne vont pas sans évoquer la résurgence de quelque vieux culte animiste. Si elles dispensent un peu de chaleur, elles n’émettent guère de  lumière (…) éphémères compensatrices de vacuité.»  Il relève surtout qu’« un certain islam a administré la terrible démonstration de sa force aux dépens d’une République réduite à l’état d’agrégat de minorités par sa coupable complaisance à l’égard du communautarisme. Aux Français dans leur diversité désormais impossible à ramener à l’unité, la République n’a pu rien à faire partager  si ce n’est un vague  règlement de copropriété connu sous le nom de vivre-ensemble».

    «L’un des non-dits les plus assourdissants du débat actuel» écrit-il plus loin, et ce constat est dressé par nous et par d’autres depuis longtemps, «consiste à taire la responsabilité du progressisme de gauche dans la séparation de l’islam et de la société française. Il n’est pourtant pas abusif d’imputer pour une large part aux effets conjoints de l’individualisme hédoniste et de l’idéologie émancipatrice le processus de radicalisation des musulmans français travaillés par le double sentiment  explosif  et contradictoire de la supériorité de leur civilisation et de l’infériorité de leur puissance. Le mépris que leur inspire la société française, jugée à la fois apostate et décadente, est pour beaucoup dans leur refus croissant d’intégrer la communauté nationale. De la banalisation de  l’avortement, à la légalisation du mariage gay, de l’exaltation du féminisme à la marchandisation de la maternité, de la dévalorisation de l’autorité masculine à la proscription des vertus viriles, de la théorie des genres à l’ABCD de l’égalité, de obscénité à la la pornographie télévisuelle, les musulmans se sentent et se disent agressés en permanence  dans leur être de croyants comme dans leur identité la plus profonde, par nos lois et nos mœurs».

    Il est clair à l’aune de  ces dérives là,  qui fragilisent d’ailleurs  notre communauté nationale toute entière, que rien n’oblige les musulmans à rester sur  notre terre haram et qu’ils peuvent aussi nous quitter pour vivre pour un pays halal,  comme le leur conseillent certains salafistes, à moins qu’une logique de conquête territoriale sous-jacente anime certains d’entre eux… Certes,  un  apostat  comme le chanteur Sting milite pour toujours plus d’immigration. Lors de son concert  samedi  soir  au Bataclan, en hommage aux victimes, ce dernier, quel symbole,  a présenté sa nouvelle chanson «Inch’Allah »; un titre dédié  à l’accueil des  immigrés économiques et autres clandestins  (migrants en novlangue)  qui gagnent l’Europe par milliers chaque jour.

    Est-ce le souhait des familles qui ont perdu un proche et des Français qui,  par millions, s’enfoncent dans la pauvreté, sont frappés part la paupérisation, la relégation, deviennent  étrangers dans leur propre pays?  M. Buisson pose  finalement  la question essentielle dont découle toutes les autres, celle implicite des responsabilités de la droite républicaine  dans cette atomisation-implosion de la France. Il constate, là aussi après Bruno Gollnisch,  Marine, les dirigeants du FN  et bien  d’autres, que «la question de l’immigration  (souffre)  en France d’un vice originel. les choix avaient été  imposés part la classe dirigeante au peuple français, sans que celui-ci n’ait eu à aucun moment la possibilité de décider collectivement de son destin. Une nation qui ne décidait plus des conditions d’accès à la nationalité et de résidence sur son sol, ou pis, qui acceptait de se les voir dicter de l’extérieur  méritait-elle d’être encore considérée comme une nation libre?».

    Il n’est pas étonnant que dans cette situation un sondage Vivavoice pour Libération, publié le 11 novembre,  indique que le sentiment dominant pour nos compatriotes au sujet des attentats soit d’abord un sentiment de colère ( 56 %),  devant la tristesse (48 %), la  haine (24 %) et la  peur(22 %). 26% des personnes interrogées affirment aussi  avoir fait évoluer leurs positions électorales depuis les attentats. Ils ne doivent pas se tromper l’année prochaine, le pire peut encore être évité. 

    http://gollnisch.com/2016/11/14/pire-etre-evite/

  • 4.800 € d’amende pour les boulangers trop transparents

    « Consternant, hallucinant ». Au sortir du tribunal d’Amiens (Somme), Maître Grégoire Frison ne mâche pas ses mots. Ses clients, Alain et Françoise Bourgeois, boulangers de métier, viennent d’être condamné à 4.800 € d’amende pour tromperie sur la marchandise. Leur tort ? Avoir vendu du pain à la farine bio sans avoir le label AB.
    Reporterre vous avait raconté l’affaire : Alain Bourgeois fabrique les pains, Françoise les vend. Ce que reprochent les contrôleurs de la DDPP (Direction départementale de la protection des populations) à Mme Bourgeois, c’est d’avoir indiqué sur un panneau, rangé dans un coin du fournil, que le pain est fabriqué à partir de farine bio, alors qu’ils n’ont pas le label AB. Le couple a préféré un label plus exigeant, Nature & Progrès, et a toujours indiqué que son pain était « au levain naturel », sans jamais affirmer qu’il était bio. Mais pour les contrôleurs, le petit logo AB de l’étiquette de la farine aurait induit les clients en erreur.
    Résultat, l’entreprise des Bourgeois est condamnée à 4.000 € d’amende, dont 2.000 avec sursis, contre 8.000 € requis par le parquet pendant l’audience. En tant que gérante de la structure, Françoise devra quant à elle payer à l’État 800 €, dont 400 avec sursis.
    Une peine disproportionnée au regard de l’infraction, estime Me Frison : « il y a tant de boulangeries industrielles et de supermarchés qui abusent du terme bio, pourquoi s’attaquer à des petits boulangers qui ont fait preuve de transparence ? » Joint par téléphone, Alain Bourgeois se défend de toute malhonnêteté : « Nous voulions juste dire aux clients ce que nous faisions, c’est-à-dire du pain au levain naturel à partir de farine bio. Que faut-il faire alors : cacher la provenance de la farine ? »
    « On a surtout l’impression que l’administration a voulu faire du zèle, montrer l’exemple. Mais je ne comprends pas pourquoi il y a un tel acharnement », s’interroge Me Frison. « Tout se passe comme s’il y avait une volonté politique de mettre à bas Nature et Progrès, avance Alain Bourgeois. Si ça continue, le seul label bio qui pourra exister, c’est l’étiquette AB. »
    Malgré tout, les boulangers l’affirment : ils vont continuer à fabriquer du pain « avec amour », à ouvrir les portes de leur fournir à tous les visiteurs curieux. Surtout, ils vont faire appel de la décision du juge.
    Lorène Lavocat pour Reporterre.

  • « Pas de migrants en Ile-de-France »

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    Responsable du collectif « Pas de migrants en Ile-de- France », Thibault Audra interviendra lors du prochain Forum de la Dissidence organisé par la Fondation Polémia le 19 novembre prochain. Le journal Présent l’a interviewé.

    — Qui est à l’initiative de ce collectif ? 

     forum-dissidence-polemia-276x155.jpg— Tout a commencé par la création d’une page Facebook cet été. Nous sommes un groupe d’amis dispersés aux quatre coins de l’Ile-de-France et nous souhaitions faire une compilation des informations concernant les arrivées de migrants dans notre région et leurs conséquences : nuisances, délinquance, manifestations, etc. Cette page a connu un vrai succès, de plus en plus de personnes se sont mises à nous envoyer des informations et à nous proposer leur aide. Mi-octobre, nous avons décidé de changer de dimension et de devenir une force d’opposition réelle à l’implantation de migrants clandestins dans notre région.

     — Votre campagne de sensibilisation auprès des Francîliens a déjà commencé. Comment est accueilli votre message ?

    — Notre première action fut d’aller tracter sur les marchés de Louveciennes et des environs, car la création d’un gigantesque camp d’accueil y était envisagée. Notre tract est un florilège d’articles de presse traitant des conséquences de la présence de ces migrants sur notre sol (violences, viols, terrorisme) accompagné d’un message clair : « Si nous n’agissons pas, ils seront là ! » Nous avons reçu beaucoup d’encouragements, nous avons rencontré des personnes soulagées de voir qu’une résistance concrète s’organisait mais également les inévitables citoyens du monde, pris de rage à l’idée qu’on puisse se soucier davantage de la sécurité et de l’avenir de ses enfants plutôt que de faux Syriens (mais vrais clandestins !).

     — Et auprès des responsables politiques (maires, conseillers généraux et régionaux…) ?

    — Nous avons participé avec trois mille Yvelinois à la manifestation contre le projet de camp de Louveciennes. Les discours des élus qui se sont succédé à la tribune ne nous ont pas encouragés à vouloir travailler avec eux : tous ont affirmé combattre le projet de Louveciennes car étant indigne des migrants qui méritaient mieux que ça. En clair, pas chez eux, mais volontiers chez les autres ! Alors que leurs électeurs attendent un discours ferme sur l’immigration… Heureusement, par notre page Facebook, nous sommes en contact avec d’autres élus locaux sur qui nous pouvons compter pour nous donner des informations.

     — Quels sont les moyens que vous comptez mettre en place pour lutter contre la politique gouvernementale de dissémination des « migrants » en Ile-de-France ?

    — Notre priorité actuelle est de faire prendre conscience à la population des dangers que fait courir la présence de ces clandestins et de la nécessité d’une mobilisation citoyenne pour s’y opposer. Une population massivement mobilisée peut empêcher l’arrivée des migrants en faisant pression sur leurs élus manquant de courage politique, et montrer sa détermination en bloquant l’accès à un futur centre d’accueil. Nous avons en tête les exemples des villes de Gussignies et Arleux dans le Nord, où l’opiniâtreté des habitants a permis de faire reculer la préfecture.

    Thibault Audra
    Propos recueillis par Louis Lorphelin

    8/11/2016

    Source : Présent du 9/11/2016

    http://www.polemia.com/pas-de-migrants-en-ile-de-france/

  • Lego coupe la pub au Daily Mail par solidarité avec les migrants

    La célèbre marque Lego a décidé de ne plus passer de publicité dans le Daily Mail en solidarité avec les migrants ! La société danoise est ainsi la première à se lancer dans le boycottage du grand quotidien conservateur britannique et à répondre positivement à la campagne « Stop funding hate » (« Arrêtez de financer la haine »), qui vise aussi The Sun et The Daily Express.

    En France, l’ancienne présidente du Medef Laurence Parisot, qui est propriétaire de l’institut de sondages Ifop et avait déjà commis, avant la présidentielle de 2012, un navrant ouvrage contre Marine Le Pen , s’est publiquement félicitée de cette marque de lutte contre le « populisme ».

    On sait maintenant quels jouets on n’est pas obligés d’acheter pour le Noël de ses enfants… #StopfundingLego

    http://fr.novopress.info/

  • Marche pour la vie du 22 janvier : un car organisé depuis Lourdes

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  • Discours de conclusion de Fabien Bouglé à la manifestation contre le camp de clandestins

  • Trump président … voilà c’est fait ! Les pleurs des uns, l’étonnement des autres après les élections américaines

    Analyse en image : Anne Dohlein et Armel Joubert des Ouches 
    Contre toute attente médiatique, Donald Trump sera donc le 45è Président des Etats-Unis d’Amérique. Il va remplacer Barak Obama à la Maison Blanche. Ses dernières heures, les médias américains ont inondé de photos de femmes, de jeunes filles en pleurs. Sur ces portraits, on y voit également des membres de la communauté noire, latino et musulmane, dépités par le résultat des élections, comme si on voulait faire croire à tous que ces communautés seront les premières « victimes » de l’élection américaine. Il se trouve que les Noirs ou Latinos n’ont jamais autant voté pour un candidat républicain…

    Trump président : en France, on tente … l’étonnement
    Depuis des mois, de TF1 à BFMTV, du Figaro à Libération, d’Europe 1 à RTL, tous les sondages, toutes les analyses qu’elles soient françaises (ou américaines) donnaient Donald Trump largement perdant. Trump a en fait été « gratifié » d’une campagne de dénigrement permanente, conjuguée à la hargne des ténors politiques. François Hollande et Nicolas Sarkozy qui annonçaient officiellement leur soutien … peu prudents à Clinton, Raffarin et Juppé qui fustigeaient son « populisme ». De la gauche à la droite, hormis les Le Pen, Dupont-Aignan, Asselineau ou Tauzin, la campagne anti-Trump fut alimentée par les médias français à un point tel qu’il était facile de se convaincre d’un ras de marée de voix en faveur d’Hillary Clinton. Ce fut l’inverse qui se produisit. Outre Atlantique, les médias américains vont également avoir à gérer un sérieux problème : celui d’avoir porté Clinton à la Maison Blanche … avant même qu’elle y soit.

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  • Discours de Brice Savin - Collectif "Pas de jungle à Paris"

  • Les clandestins reçus comme des rois à Paris

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    Le « plus gros centre européen de transit pour migrants » ouvre ses portes après deux mois et demi de travaux.

    Sorte de gros dôme bizarroïde jaune et blanc, le « plus gros centre européen de transit pour migrants » ouvre ses portes après deux mois et demi de travaux. Sorti du cerveau d’Anne Hidalgo – notre Hillary Clinton au rabais -, le lieu pourra accueillir chaque jour entre 50 et 80 personnes, c’est-à-dire le nombre de « migrants » censés débarquer quotidiennement à Paris. Des chiffres officiels certainement très en deçà de la réalité. Au total, le centre pourra recevoir en même temps 400 clandestins qui n’ont rien à faire chez nous.
    Destiné en priorité aux « hommes isolés », lesquels constituent le gros des troupes de ces envahisseurs qui n’apporteront aucune richesse supplémentaire à la France, le camp a été inauguré en grande pompe par Emmanuelle Cosse, ministre du Logement des étrangers, accompagnée pour l’occasion d’Anne Hidalgo, maire d’un Paris 2.0 où le multiculturalisme a pignon sur rue.

    Les autres avant les nôtres : constamment, à tout prix et à toute force. 

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