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Discours de Marie-Claude Bompard à la Manif Pour Tous.
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Allex [Drôme] et Hayange [Moselle] : cette révolte populaire qui monte « d'en bas »...
En son temps, Raffarin avait eu un mot heureux en inventant l'expression « la France d'en-bas ». Aujourd'hui, la colère de cette France d'en bas non seulement n'est pas retombée, mais elle ne cesse de s'amplifier, finissant par mettre le Système en contradiction avec ses prétendus fondamentaux démocratiques (le pouvoir viendrait du peuple...).
Voici que deux maires, celui d'Hayange (Moselle, FN) et celui d'Allex (Drôme, LR) secouent le cocotier, et même assez fortement pour que toute la clique du politiquement correct, qui prétend remplacer - en y réussissant souvent... - la souveraineté populaire s'insurge et monte au créneau pour clouer ces deux élus du peuple au pilori; et pour leur clouer le bec, tout court.
Le premier en date, Fabien Engelmann, maire FN d'Hayange, a décidé que, puisque le Secours Populaire confondait allègrement charité envers les plus démunis et politique (communiste, et « anti-mairie »), il lui retirait le local prêté à titre gracieux. Le maire a évidemment raison : mais il fallait voir le journaliste inquisiteur d'I-Télé « interroger » ce maire pour comprendre à quel point nos médias sont - et ce depuis 1945 - une place forte inexpugnable de ceux qui confondent carte de journaliste et carte de parti.
De quel droit quelqu'un censé informer les gens prend-il position, à ce point, dans une décision relevant de la seule responsabilité d'une mairie démocratiquement élue ?
Maintenant, si vous lui posez la question, ce « journaliste-aux-ordres » du politiquement correct, idéologiquement pas très éloigné du commissaire du peuple ou du ré-éducateur genre garde rouge de Mao ou de Pol Pot ou d'Ho Chi Minh, vous jurera qu'il est bon républicain et bon démocrate...
Le second maire a avoir défrayé la chronique n'est pas FN mais LR : c'est celui d'Allex, dans la Drôme. Sommé par l'Etat d'accueillir une cinquantaine de migrants dans sa petite commune (2.500 habitants), il a décidé de demander son avis au peuple souverain : et, donc, d'organiser un référendum. Horreur et damnation ! Un référendum ? Mais vous n'y pensez pas ! Demander leur avis aux bouseux ? Et puis quoi, encore ! Les bobos des salons parisiens, bien protégés dans leur bulles triple ou quintuple vitrage n'ont nul besoin de demander son avis au peuple : ils ont décidé, ils savent ce qui est bon pour le peuple et ce qu'il lui faut : au peuple d'obéir ! Non, mais... Le Préfet et le Tribunal administratif ont tôt fait de faire plier l'arrogant : ils ont invalidé la décision du conseil municipal ! « Déni de démocratie » et « dictature » ont lancé le maire et le président du Conseil départemental, Patrick Labaune, tous deux LR.
Encore ne parle-t-on ici que de deux cas, mais une bonne dizaine d'oppositions résolues à l'arrivée de migrants ont eu lieu ces derniers jours, dans autant de communes de France, dont Béziers (le maire étant avec Zemmour l'une des cibles privilégiées des journaleux...).
Tout ceci pose deux questions :
• la première, où est la vraie démocratie, là-dedans ?
• et, la seconde : pense-t-on vraiment, en haut lieu, que le Système pourra continuer longtemps comme cela, frontalement opposé aux volontés de la France d'en-bas ?
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Bruno Mégret : Vivre ensemble ou changer de pays ?
« Vivre ensemble », tel est le nouveau mot d’ordre de la classe politique et médiatique ! Face aux problèmes de cohabitation créés par l’immigration, face à la pression identitaire de l’islam qui s’impose dans notre vie collective, la nouvelle rengaine des politiques et des journalistes fait maintenant entendre le son du « vivre-ensemble ». Si des attentats se produisent, il faut refuser, nous enjoint-on, de céder aux terroristes qui veulent nous opposer les uns aux autres et afficher au contraire notre volonté de vivre ensemble. Si des troubles surviennent dans les banlieues, réaffirmons à tous la nécessité du vivre-ensemble, nous rappelle-t-on, là encore.
Le « vivre-ensemble » est en effet devenu l’alpha et l’oméga de nos dirigeants, la voie à suivre pour résoudre, selon eux, toutes les difficultés que suscite la société multiculturelle d’aujourd’hui.
Assimilation, intégration, vivre-ensemble
Mais que nous cache-t-on derrière ce slogan ? Il paraît à priori bien anodin et semble même relever de l’évidence : les habitants de la France vivent en effet ensemble sur le sol français. Que cette formule soit utilisée à propos de l’immigration et de l’islamisation doit cependant nous inciter à la méfiance. Et de fait, ce mot d’ordre dissimule en réalité un projet destructeur particulièrement inquiétant. Car cette théorie du « vivre-ensemble » vient en effet remplacer la formule classique de l’intégration comme celle de l’assimilation.
Dans la première moitié du siècle dernier, le concept d’assimilation prévalait : concept par lequel les immigrés polonais, italiens, espagnols ou portugais sont devenus français sans difficultés majeures. Selon ce principe, l’étranger adopte progressivement l’identité française pour se mêler au peuple qu’il a choisi de rejoindre et en faire pleinement partie.
Cette conception a été abandonnée depuis les années 1970 pour laisser la place au principe d’intégration. Dès lors l’étranger peut conserver son identité d’origine mais il doit parallèlement s’adapter aux coutumes et aux règles du pays qui l’accueille afin de s’y insérer au mieux.
Or depuis que l’islam est devenu une donnée majeure du processus migratoire, cette seconde conception a, elle aussi, été abandonnée pour une troisième formule, celle du « vivre-ensemble », notion que l’on rabâche aux Français à longueur de journée.
Or, même si ses promoteurs le nient, cette conception est celle du communautarisme : chacun conserve son identité, ses usages et ses valeurs, mais tous doivent se tolérer mutuellement, s’accepter et même s’aimer pour vivre ensemble harmonieusement sur le même sol.
Un nouveau pays
De ce point de vue, cette notion diffère fondamentalement de celle de l’assimilation et de l’intégration. D’abord, l’effort d’adaptation n’est plus demandé aux seuls étrangers, il l’est tout autant aux Français de souche. Ensuite, il ne s’agit plus pour la nation d’incorporer au mieux des personnes étrangères, il s’agit en réalité de créer un nouveau pays. Sans le dire explicitement les apprentis sorciers du Système s’efforcent maintenant de construire sur le sol national une nouvelle société africano-islamo-hexagonale qui se définirait simplement comme un territoire régi par un état de droit permettant à tous de vivre ensemble.
Les Suédois, qui sont manifestement en avance sur nous, ont été récemment la cible d’une campagne d’opinion sous forme de message publicitaire télévisé pour leur expliquer ce processus :
« Il n’y a plus de retour en arrière, est-il expliqué dans ce film, la Suède ne sera plus jamais comme avant. Il est temps de réaliser que de nouveaux Suédois vont venir avec leur culture, leur langue et leurs traditions, et il est temps de le voir comme une force d’impulsion positive. Ce “nouveau pays” forme un nouvel avenir. Etre suédois doit être accepté non plus comme une question de couleur de peau et lieu de naissance. Cela doit pouvoir être toi, moi et tous ensemble. Ce ne sont pas uniquement les nouveaux Suédois qui doivent s’intégrer. Tout le monde doit s’intégrer, même les Suédois de souche. »
Le choix ultime
Alors, certes, cette campagne baptisée « Le nouveau pays » n’est pas celle du gouvernement suédois et il n’y en a pas encore eu de comparables en France. Mais tel est bien le sens du « vivre-ensemble ». Sans doute dans un premier temps se contentera-t-on d’habituer les Français à cette nouvelle formule et ensuite seulement leur expliquera-t-on, comme aux Suédois, ce qu’elle signifie réellement pour l’avenir. Les immigrés notamment musulmans ne s’assimileront pas à la France telle que nous en avons hérité. « Un nouveau pays est à construire et vous, Français, devrez vous y adapter ». En ce sens l’islam n’est pas foncièrement un problème puisque nous devons construire quelque chose de nouveau où il devra, d’une façon ou d’une autre, trouver sa place.
Il est clair que les tenants du Système sont ainsi arrivés au point ultime du processus idéologique dans lequel ils se sont engagés. Confrontés à la contradiction fondamentale qui existe entre le maintien de la France telle qu’elle est et la présence croissante d’immigrés sur notre sol, ils ont dû faire un choix. Mais plutôt que d’en tirer la conclusion qu’il faut arrêter toute nouvelle immigration, voire commencer un processus de rémigration, ils préfèrent renoncer au maintien de ce que nous sommes et s’engager dans la voie aventureuse de la construction d’une nouvelle entité en rupture totale avec les racines de notre nation.
En choisissant ce chemin, ô combien périlleux et néfaste, le Système révèle son échec, sa faiblesse et son monstrueux cynisme. Espérons que ce projet, lorsqu’il sera plus explicite et mieux compris des Français, provoquera enfin la colère et la révolte du peuple.
Source Polémia cliquez ici
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"Migrants" imposés par l'Etat : la colère gronde en France
Voici l'exemple de cette petite commune varoise qui se rassemble pour manifester son opposition à l'arrivée des "migrants" à l'appel de son maire Jean-Michel Constans (SE) :
"Le rendez-vous avait été annoncé mercredi 5, en journée, par le maire, Jean-Michel Constans, qui répondait à la volonté des élus de son conseil de "marquer une opposition officielle" à la décision de l'État de loger 90 migrants en provenance de Calais, dans un centre de vacances privé géré par la CCAS d'EDF.
Le vendredi 7, à 18 heures, ce sont près de 400 personnes qui se trouvaient sur la place de la mairie. Derrière le petit pupitre, collé aux marches de la mairie, la plupart des élus tourvains, ainsi que d'autres, venus des villes et villages voisins pour marquer leur soutien. Dans le public, deux ou trois pancartes de carton: "Tourves sans migrants", "Non aux migrants" (...)
"Nous devons digérer ce qu'il nous arrive. Je condamne par avance tout excès", a lancé le maire tourvain. "Nous voulons protester symboliquement contre une décision prise à Paris, par le gouvernement. Nous la subissons et nous la contestons." (...) Le maire affirme que l'arrivée de 90 jeunes hommes en provenance de Calais ne lui aurait été annoncée par les services de la sous-préfecture de Brignoles que le 16 septembre.
"Il faut dépassionner le débat. Je n'ai pas le pouvoir de m'opposer, même le député Josette Pons, qui est ici ce soir, n'a pas le pouvoir de s'opposer. Tout ce qu'on peut faire, c'est dire qu'on est contre." Dans le public, un homme suggère "On pourrait bloquer le village vacances, s'enchaîner aux grilles…" (...)
On a peur pour nos familles, pour nos enfants !", crie un homme dans la foule, aussitôt applaudi (...)"
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Ce dont rêvent certains militants homosexuels à propos de la Manif pour tous
Rassurez-vous, aucun de ces citoyens vigilants n’a été poursuivi pour apologie du terrorisme.
En effet, eux luttent contre « la haine ».
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Du homard au plug anal - Orages d'acier - 16/10/2016
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Le Sénat poursuit son combat contre la liberté d’expression : le « J’accuse » des journalistes
TRIBUNE - Les sociétés des journalistes de 26 médias et associations de journalistes appellent à se mobiliser contre un projet de loi liberticide, qui enterre la loi de 1881 sur la liberté de la presse.
Le 18 octobre, les sénateurs enterreront peut-être la loi de 1881 sur la liberté de la presse lors du vote du projet de loi égalité et citoyenneté.
Sous prétexte de lutter contre les abus d’Internet, ils s’apprêtent à remettre en question ce texte fondateur, sans concertation préalable avec les représentants des journalistes. Les SDJ de 26 médias et associations de journalistes avaient lancé un appel pour obliger le Sénat à revoir sa copie. Mais il est resté sourd à notre appel.
Certes, il a aménagé le texte liberticide, mais la nouvelle mouture reste inacceptable.
La prescription des délits de presse (trois mois, aujourd’hui) passerait à un an pour les sites Web. Autrement dit, il y aura une justice à deux vitesses : pour la presse en ligne, ce sera toujours un an ; pour les télévisions et les radios, la prescription sera de trois mois pour l’antenne et d’un an en ce qui concerne les podcasts et les replay. Inacceptable. […]
La suite sur Le Figaro
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-Senat-poursuit-son-combat
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L’Europe est une prison dont on ne sort pas sans en payer le prix
De quel endroit ne peut-on sortir sans en payer le prix ? Demandez à un Tchèque ou à un Polonais, il vous répondra, ils ont déjà vécu ça.
« Si je commence à faire des concessions sur la liberté de circulation, alors un autre État membre, demain, viendra dire « Moi aussi, je ne veux pas autant de travailleurs bulgares et roumains », et puis un deuxième, et puis un troisième, cette fois un pilier de la construction européenne, et nous fermerons tous nos frontières et il n’y aura plus d’Europe. »
Cette phrase prononcée le week-end dernier par Angela Merkel à l’adresse de Theresa May mérite notre attention.
L’emploi du « Je » indique clairement que c’est la chancelière allemande qui, désormais, est à la baguette, c’est clair et net. Était-ce prévu dans les traités ? Avons-nous voté pour ça ? Bien évidemment non. Comme il est loin, le temps où Mitterrand et Helmut Kohl marchaient main dans la main. Premier enseignement, donc : aujourd’hui, le couple franco-allemand n’existe plus, c’est pour la France un échec terrible.
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Journal du Lundi 17 octobre 2016 - Edition speciale "La Manif Pour Tous"
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INTERVIEW EXCLUSIVE DE LA ROCHERE PRESIDENTE DE LA MANIF POUR TOUS