lobby - Page 1299
-
La Bombe de Wikileaks dont vous n'avez jamais entendu parler (VF)
-
Cible et flèche de Philippe Delbauvre : Najat Vallaud-Belkacem
L’une des dernières trouvailles de Najat Vallaud-Belgacem n’est autre que la prolongation de l’âge minimum pour la durée des études, passant dès lors de 16 à 18 ans.
Dans le cadre de ma première thèse, j’ai eu l’occasion durant plusieurs années, d’enseigner, particulièrement dans le cadre d’un collège.
Il faut savoir que bien des élèves qui rentrent en sixième ne maîtrisent pas les fondamentaux, notamment les mathématiques et le français. Ils sont d’ailleurs, cela à plus d’un titre, déstabilisés suite à leur arrivée en collège. C’est ainsi qu’ils ne sont plus dans l’établissement auquel ils avaient l’habitude. Ils n’ont plus un seul enseignant mais plusieurs, chacun d’entre eux disposant de son propre mode de fonctionnement. Ils rencontrent aussi des élèves dans leur classe qu’ils ne connaissaient pas à l’origine. Ensuite, alors qu’en primaire, ils étaient les « grands », ils deviennent les plus « petits » une fois présents en collège. Sans parler du bus ou de l’autocar qu’ils n’étaient pas habitués à prendre …
Par voie de conséquence, cette arrivée en collège s’avère des plus déstabilisantes et ce sont, bien sur, ceux qui sont le plus en retard qui en pâtissent le plus. On demande donc à des élèves déjà en difficulté, d’extraordinaires capacités d’adaptation, ce qu’ils ne peuvent réaliser.
Dépassés par les événement en école primaire, ils ont donc la tête sous l’eau en arrivant en collège. D’où leur rapide envie d’envoyer tout valser…
Puis vient la puberté vers 14 ans qui, entre autres, les conduit à tout rejeter du modèle éducatif. Et c’est la spirale de l’échec pour tous qui se développe. Echec pour l’enfant lui même, pour ses camarades victimes du bordel qu’il institue en classe, et du professeur bien souvent dépassé.
Naguère, l’instruction scolaire obligatoire s’arrêtait à 14 ans. Voilà qui évitait la plupart des maux dont souffre l’éducation nationale. On plaçait alors l’enfant en difficulté dans des centres spécialisés avec le plus souvent enseignements technique et professionnel, ce qui était plus conforme à l’état d’esprit de ces adolescents.
Puis vint la scolarité obligatoire jusque 16 ans. Ce fut pour les ados en difficulté, deux ans de perdus. Encore une fois, pour eux mais aussi pour leurs professeurs et camarades de classe.
Et la ministre de l’éducation nationale de vouloir porter la scolarité obligatoire à 18 ans. Cette fois-ci, ce ne sera plus deux ans de perdus mais quatre. Sans tenir compte qu’un adolescent de 18 ans est autrement plus difficile à maîtriser qu’un jeune de 14 ans…
Le tout pour rien si ce n’est échec pour tous. Pas de doute, en haut, on ne pense pas !
http://www.voxnr.com/4877/cible-et-fleche-de-philippe-delbauvre-najat-vallaud-belkacem
-
i média S03E36 - Traitement médiatique de la manif pour tous, entre caricature et fausses fenêtres.
-
GPA : le gouvernement refuse de faire appel de la décision de la CEDH
Huit heures après la fin du délai pour faire appel de la décision de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, les Gavroches dénonçaient ce matin, devant le Ministère des Affaires Sociales et de la Santé, l’inaction de notre GouverneMENT concernant la GPA.
-
EXCLU - Sarkozy à Assad : « On va mettre la Syrie à feu et à sang ! » (Rochedy)
-
Octobre 2016 - Plan sioniste pour le Moyen-Orient
-
Fronde des policiers : FN à la manœuvre ou lâcheté de l’État ?
François Hollande l’a récemment admis : la France se divise pour longtemps.
Se dirigeant vers la place Beauvau, les policiers en colère criaient, mercredi 19 octobre, « Cazeneuve démission ! » Pour Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste, cela ne fait aucun doute : le Front national est à la manœuvre, manipulant les fonctionnaires de police. Aux ordres du pouvoir, Libé a même osé titrer : « Colère policière. Le FN en embuscade. »
Les propos de l’ancien trotskiste sont d’une extrême gravité, sous-entendant que les policiers ne suivent plus les ordres du ministère de l’Intérieur mais ceux d’une formation politique. Espace dans lequel se sont engouffrés les agitateurs de la sphère marxiste culturelle, au premier rang desquels on retrouve Sihame Assbague, proche du Parti des indigènes de la République, qui s’est fait connaître par son virulent racisme anti-blanc et sa haine viscérale des représentants de l’État.
-
La Fondation Jérôme Lejeune à l’ONU : Les personnes trisomiques ont le droit de vivre !
Communiqué de la Fondation :
"« Le dépistage prénatal n’est pas la solution ; accepter et aider les personnes porteuses de trisomie 21 est la solution ! Elles ont le même droit que les autres d’exister. » vient de défendre la Fondation Jérôme Lejeune le mercredi 5 octobre applaudie à l’ONU.
De façon concomitante, dans le cadre de l’Examen Périodique Universel, la Fondation et Downpride, association hollandaise défendant les personnes atteintes de Trisomie 21, ont déposé une déclaration écrite dénonçant l’introduction du DPNI dans le système de santé public néerlandais. Elles y rappellent le danger de l’introduction du test de Dépistage Prénatal Non invasif (DPNI) alors qu’en France déjà 96% des fœtus diagnostiqués trisomie 21 sont avortés.
Ce nouveau test, à partir d’une prise de sang analyse des bouts d’ADN du bébé présents dans le sang de la mère. Aujourd’hui, son but n’est pas de soigner, mais de détecter la trisomie 21.
En France, la Haute autorité de santé (HAS) a rendu en novembre 2015 un avis favorable à l’intégration du DPNI dans le parcours de dépistage remboursé par les pouvoirs publics. Aux Pays-Bas, le ministre de la santé a annoncé que le DPNI serait mis à disposition des femmes enceintes à partir du 1er avril 2017, et remboursé en grande partie par la sécurité sociale. Comme le dénonce Renate Lindman, présidente du collectif Downpride :
« à l’inverse, peu de programmes de recherche existent pour améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de trisomie 21. C’est un signal clair de la société qui a choisi la solution de l’exclusion prénatale ».
Lors de son intervention la Fondation Jérôme Lejeune est venue rappeler sa mobilisation internationale depuis janvier 2016 sous la forme d’une pétition Stop Discriminating Down qui formule trois exigences aux Etats :
- Arrêter de proposer par les pouvoirs publics le dépistage prénatal systématique des enfants porteurs de trisomie 21, visant délibérément à la sélection de fœtus « sains »
- Réglementer l’introduction du dépistage génétique prénatal, sur la base des principes définis dans la Déclaration universelle des droits de l’homme, dans la Convention d’Oviedo (articles 11 et 12) et dans la Charte européenne des droits fondamentaux de l’Union européenne (articles 2, 3, 21 et 26).
- Permettre l’utilisation des tests génétiques uniquement pour améliorer les soins et le bien-être, et non pour discriminer les personnes en fonction de leurs prédispositions génétiques.
Personne ne devrait avoir à défendre son droit de vivre en raison de son patrimoine génétique.
Pour le dire avec nous, signez la pétition Stop Discriminating Down !"
-
Il n'est pas trop tard pour lire LE GRAND REMBARQUEMENT
Le commander en ligne cliquez ici
En savoir plus cliquez là
-
Police : troisième « nuit debout »
Insultés, caillassés, tirés comme des lapins, brûlés vifs dans leur voiture par des « sauvageons »… Après deux nuits de manifestations spontanées – lundi sur les Champs-Elysées, mardi à Paris et en province –, les policiers se sont de nouveau rassemblés mercredi soir dans plusieurs villes de France pour dire leur ras-le-bol et exprimer leur soutien à leurs collègues de Viry-Châtillon.
Ainsi, à Paris, quelque 500 policiers se sont rassemblés pour une troisième « nuit debout » place de la République, au pied de la statue. Un rassemblement dans le calme au cours duquel ils ont entonné la Marseillaise et réclamé, du moins pour certains, la démission de leur ministre de tutelle, Bernard Cazeneuve, tandis que d’autres se sont rendus à pied devant l’hôpital Saint-Louis où est hospitalisé leur collègue grièvement brûlé le 8 octobre à Viry-Châtillon, après avoir été empêchés de rentrer sur la place Beauvau par des gendarmes.
Idem à Toulouse, où une centaine de policiers se sont réunis devant le monument aux morts, et à Bordeaux où, là aussi, une bonne centaine de policiers se sont rassemblés devant le palais de justice.
Tandis qu’ils manifestaient une nouvelle fois leur colère, d’autres policiers étaient visés par une quarantaine de « jeunes » armées de cocktails molotov à Vénissieux, une banlieue particulièrement sensible de Lyon.
Des policiers oubliés par un gouvernement et une justice en pleine déliquescence qui préfèrent saluer le « sang froid » des policiers, invités à ne surtout pas se servir de leurs armes quitte à se faire lyncher ou tuer sans riposter, plutôt que de mettre hors course les racailles. Des policiers qui « veulent une réponse pénale aux agressions et à la violence dont ils sont victimes ».
Des policiers qui ne lâchent rien – malgré le rappel à l’ordre du ministre de l’Intérieur et de leur patron Jean-Marc Falcone, directeur de la police nationale – et qui ont annoncé la tenue d’une « marche de la colère policière et citoyenne » le mercredi 26 octobre.
Une manif annoncée qui ne laissera sans doute pas une nouvelle fois de « surprendre » le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, qui, ne sachant plus comment sortir du pétrin le lamentable gouvernement hollandais, dénonce, on croit rêver, « la patte » du Front national derrière les manifestations de policiers qu’il n’hésite pas à qualifier de « hors-la-loi ». Pour lui, le Front national, Marine Le Pen en tête, « se camoufle dans la situation politique » et « manie tout à la fois la banalisation et l’excitation ». Faut quand même oser.
Réponse de Florian Philippot à ce médiocre et minable diagnostic de Jean-Christophe Cambadélis : « Pas de “patte” du FN mais un soutien sans faille face à un pouvoir qui a manifestement de la haine pour la police. »
CPierre Malpouge
Article paru dans Présent daté du 21 octobre 2016
http://fr.novopress.info/201157/police-troisieme-nuit-debout/#more-201157