
Boualem Sansal et Benyamin Netanyahou sont, tous deux, coupables de s’opposer à l’islam conquérant. Cette idéologie totalitaire est défendue, sans surprise, par la dictature algérienne qui a arrêté l’écrivain franco-algérien le 16 novembre à sa descente d’avion avant de l’incarcérer pour ses opinions. Un procureur devrait statuer ce lundi sur son sort incertain. Mais le tribunal pénal international de La Haye s’est pareillement rallié, lui aussi, à la cause islamiste en délivrant, jeudi dernier, un mandat d’arrêt contre le premier ministre israélien. Il est accusé, au même titre que le Hamas, de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité dans sa contre-offensive contre le terrorisme djihadisme. Depuis ces deux accusations arbitraires, l’islamosphère jubile.





