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  • L’œcuménisme contre la nation et les Européens : autopsie d'une arnaque médiatique

    L'islam est devenu un sujet majeur de préoccupation pour nos compatriotes. Les attentats qui se succèdent, revendiqués par l'Etat islamique, alimentent cette préoccupation. D'autres en revanche font de la surenchère dans la tolérance, injectant du padamalgam trois fois par jours pour être bien sûrs qu'il ne viendrait pas à l'idée des Français de s'offusquer contre la présence musulmane sur notre sol. D'autres encore demeurent persuadés que le système nous pousse à la guerre contre l'islam alors que les faits qui s'accumulent invalident jour après jour ce type de théories. Du côté de l'Etat, on se préoccupe de la « montée du populisme » et on réaffirme depuis un peu plus de 10 ans la laïcité à l'école ou dans les lieux publics, garante du « vivre-ensemble ». Si bien que la laïcité, qui était un principe républicain assez mineur, en devient peu à peu une valeur majeure, à l'instar des autres valeurs inscrites dans la devise républicaine : liberté, égalité, fraternité.

    Pourtant la laïcité est une spécificité hexagonale qui n'existe pas en tant que telle en Europe. La plupart des pays européens disposent de religions d'Etat, souvent le catholicisme, parfois le protestantisme. Le paradoxe actuel étant que la laïcité est contraire à tout ce qu'ont entrepris depuis 40 ans les pouvoirs publics et les milieux associatifs, souvent de gauche, au nom du « droit à la différence » et de la lutte contre les discriminations. La loi Pleven de 1972 est en réalité contraire aux fondamentaux de la IIIème République en matière de laïcité et de liberté de la presse (loi de 1881) comme le démontre d'ailleurs avec talent la jeune doctorante de Sciences Po Anastasia Colosimo dans Les bûchers de la liberté. Cette loi serait même contraire à la Constitution de la Vème République qui ne reconnaît aucune communauté en dehors de la nation. C'est ce qui a conduit à refuser la reconnaissance du « peuple corse » par exemple. Par ailleurs, il n'y a, à l'origine, dans le droit français que des individus et non des communautés. Or la loi de 1972 de Pleven (qui fut aussi dans les années 1950 un acteur de la tentative d'instauration de la Communauté Européenne de Défense à laquelle s'opposa le Général de Gaulle) reconnaît le fait communautaire puisque des communautés peuvent être « victimes ». Lorsqu'un juif, un musulman ou même un catholique sont victimes d'une agression, une certaine lecture de la loi peut permettre de reconnaître que c'est l'ensemble de leur communauté qui est concernée. Cette loi a donc ouvert la boîte de Pandore du communautarisme, ce qui n'a rien d'étonnant pour des européistes favorables à la reconnaissance des « minorités ». La fracturation de la nation française a donc été aussi impulsée, de l'intérieur, par la démocratie-chrétienne. Cela a un effet sur la presse puisqu'elle conduit à un retour du blasphème qui est absent du droit français. D'une certaine façon en condamnant l'islamophobie en justice, on reconnaît implicitement le blasphème. Et on entretient une compétition victimaire, de surcroît. Ainsi Valls a adressé son soutien à la « communauté des catholiques » après l'assassinat du père Hamel, plutôt qu'aux Français de confession catholique, comme cela serait plus juste. Ce phénomène se retrouve partout, on adresse ses condoléances à la « communauté juive » ou à la « communauté musulmane » sans distinction de nationalité. La confession prend donc le pas sur la nationalité, à rebours de ce qu'avait impulsé la Révolution française et qu'a analysé René Rémond dans son ouvrage Religion et Société en Europe. Il n'y a plus des « juifs Français » mais des « Juifs de France », incluant donc à égalité les ressortissants français et étrangers au nom d'une religion commune. Dans un monde globalisé, les solidarités nationales se disloquent au profit de solidarités religieuses, claniques ou tribales. Maintenir la concorde nationale relève donc du tour de force, surtout si l'on refuse de sacrifier le mythe multiracial et multiculturel. Ainsi on s'interroge souvent sur la compatibilité entre l'islam et la démocratie, on parle d'un islam de France ou d'un islam républicain.

    Cette préoccupation n'est autre que celle des Frères musulmans qui ont, en Europe, comme les catholiques du XIXème siècle, parfaitement adopté les « codes » de la démocratie que les salafistes n'adoptent pas : présentation à des élections, manifestations, pétitions, débats… Ceci est important car à l'instar des catholiques qui combattaient la Révolution d'un côté avec la contre-révolution et de l'autre en usant des armes de la démocratie via ce qui deviendra la démocratie-chrétienne, les musulmans font exactement la même chose. D'un côté ceux qui, intransigeants, réclament l'instauration du Califat comme d'autres ne juraient que par la monarchie de droit divin; de l'autre les Frères musulmans qui manœuvrent en utilisant des méthodes de l'Etat de droit. L'objectif de ceux-ci étant certes d'étendre la charia mais aussi de lutter contre un double héritage occidental, en réalité français, dans le monde arabo-musulman : le nationalisme et l'autoritarisme. Ce sont en effet certains arabes formés dans les universités françaises qui ont structurés le nationalisme arabe comme c'est le cas en Syrie. On comprend pourquoi la France est une cible prioritaire, elle est à l'origine du pêché originel.

    Les Frères musulmans ont parfaitement su mouler leurs discours sur celui des élites occidentales hostiles au nationalisme : les nationalistes arabes sont des dictateurs, l'islamophobie est une forme de racisme et lutter contre la nudité des femmes dans l'espace public est une forme de féminisme comme d'ailleurs le maire de Londres vient de nous montrer un brillant exemple. Marwan Muhammad, directeur exécutif du Collectif contre l'islamophobie en France, lié aux Frères musulmans, a par exemple publié un rapport sur les discriminations pour le Réseau européen contre le racisme (en anglais l'acronyme est ENAR). Un réseau qui a récemment publié un rapport sur « la contribution positive des migrants et des minorités ethniques ». L'Open Society Institute du milliardaire pro-démocrate Georges Soros, dont on connaît les positions favorables à l'immigration, a financé des campagnes d’affichage du CCIF de Marwan Muhammad. Comment ne pas aussi se questionner sur l'opération de communication menée au sujet des musulmans (dont beaucoup de femmes voilées) se rendant à la messe après l'assassinat du Père Hamel ? Peut-on y voir une nouvelle offensive des Frères musulmans à l'endroit de l'opinion publique ? C'est en tout cas sans surprise qu'au journal de 20h, après un reportage lénifiant nous vantant ce grand moment œcuménique, la chaîne publique d'information proposait une interview de l'imam de Bordeaux, Tareq Oubrou, dont on connaît la promiscuité avec les Frères Musulmans puisqu’il est membre de l'UOIF (Union des Organisations Islamiques de France). On connaît la proximité de ce dernier avec le maire de Bordeaux, Alain Juppé, que certains annoncent vainqueur aux élections présidentielle de 2017. Quant à Georges Soros, il est aussi un des argentiers d'Hillary Clinton dont on se questionne sur les liens avec les Frères musulmans. Voila un début de réponse. A l'échelle internationale, il y a en effet une organisation qui a tout intérêt à la fin du nationalisme arabe et à une ré-islamisation des masses musulmanes : les Frères musulmans. C'est sans surprise qu'ils ont pris pied à l'issu du printemps arabe en Tunisie via Ennahdha et en Egypte où, sans le coup d'Etat militaire, ils seraient encore au pouvoir. Les seuls garants de la laïcité dans cette région du monde sont les états nationalistes, autoritaires et militaires, d'inspiration bonapartiste que combat autant le libéralisme protestant anglo-saxon, que la démocratie-chrétienne d'ascendance catholique ou le sunnisme intégriste des Frères musulmans.

    Revenons à notre hexagone. Une conclusion semble d'ors et déjà s'imposer. Les trois grandes religions sont solidaires pour faire sauter la laïcité et pour communautariser la France et faire reculer le fait national. Cela doit apparaître comme une évidence à tous les observateurs. Ainsi le discours ambiant ne parle plus que de fraternité « entre les religions », de «coexistence », d'œcuménisme, de fraternité entre croyants. Et les non-croyants ? Ceux que le fait religieux irrite ? A la trappe. Il est étonnant de voir avec quelle délectation les médias nous montrent les poignées de mains entre prélats catholiques et musulmans. Comme si le débat public se plaçait sur une relation entre catholiques et musulmans dans une société sécularisée, plutôt déchristianisée, et dans une République officiellement laïque qui ne reconnaît pas le catholicisme comme religion officielle ! C'est là encore un magnifique succès des Eglises qui parviennent à s'imposer dans le débat public alors que le sujet n'est absolument pas « interconfessionnel » mais ethnique : les islamistes, dans le sillage des mouvements de décolonisation veulent attaquer le monde blanc. Les islamistes sont donc gagnant sur les deux tableaux : d'un côté ils parviennent à recruter par la violence via l'EI, de l'autre ils agissent pour détruire la nation une et indivisible en renforçant le communautarisme religieux au nom de la lutte contre les discriminations et pour le droit à la différence, par l'intermédiaire de structures plus policées et visant les milieux diplômés comme c'est le cas des Frères musulmans. Du côté catholique, l'islam peut apparaître comme un bélier enfonçant l’édifice de la laïcité et comme un moyen de se placer dans une relation d'amitié/rivalité avec cette autre grande religion. La démocrate-chrétienne Merkel, qui fait venir moult migrants, incite par exemple les Européens à redevenir chrétiens, prétextant que c’est un bon moyen de mieux comprendre l'islam :

    « Nous devons avoir le courage d’être chrétiens, de susciter le dialogue [avec les musulmans], d’aller à la messe ou au culte, de nous replonger dans la Bible » et « Pouvoir expliquer la signification d’un tableau accroché dans une église n’est pas une tare. Si vous demandez à des écoliers ce qu’est la Pentecôte, les réponses seront sûrement très décevantes. Je ne comprends pas vraiment pourquoi on se plaint du fait que les musulmans connaissent bien le Coran. »

    L’œcuménisme n'est donc aucunement un acte de faiblesse ou un refus de voir la réalité, il est mûrement réfléchi. Les autorités religieuses veulent progressivement se substituer à l'Etat pour garantir la paix et la sécurité et les Frères musulmans souhaitent apparaître comme l'unique recours face à la violence djihadiste vis à vis d'un État incapable d'endiguer les actes de terrorisme. On pourrait même envisager que l'EI soit un leurre médiatique destiné à détourner les regards de l'opinion publique d'une islamisation sournoise se faisant silencieusement, pacifiquement, avec l'assentiment des politiques, des associatifs et des Églises. Certains comprendront sûrement un peu mieux les réticences de l'aile nationale-républicaine du FN à copiner avec les autorités catholiques. Ce serait recourir à l’Église là où il faut réaffirmer la puissance de l'Etat et la souveraineté de la nation comme corps politique et communauté de destin.

    L’œcuménisme est donc une vaste arnaque menée par les Églises pour attaquer le fait national, se constituer en corps intermédiaire et pour détourner les populations de l'offensive conduite contre le monde blanc, car depuis la décolonisation, c'est bien de cela dont-il s'agit, non pas d'une guerre de religion mais d'un conflit opposant les anciens peuples opprimés du tiers-monde à leurs anciens colons européens.

    Jean/C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/

  • J'accuse... personne !

    Le problème que pose la série d’attentats meurtriers à laquelle nous assistons, c’est que nous ne pouvons pas dire qui sont les coupables. Le crime demeure scandaleux en attendant le suivant, nous laissant dans l’impuissance.

    Quand Polyphème se réveille en hurlant, un pieux planté dans l'œil, ses ennemis se cachent parmi les moutons et réussissent à sortir de Ulysse aux mille ruses, qui ourdit l'attaque, lui a dit s'appeler "Personne" : les autres cyclopes expliquent à Polyphème « Certes, nul ne peut te faire violence, puisque tu es seul. On ne peut échapper aux maux qu'envoie le grand Zeus. » On croirait voir la France, ensanglantée et endeuillée, hurlant sa douleur, incapable de nommer son bourreau cependant que les commentateurs glosent sur la fatalité historique (et les moutons ?).

    Une France incapable de se défendre, agitant deux fétiches, droits de l'homme et État de droit, pour conjurer le mauvais sort mais surtout pour expliquer la soumission au destin. Manuel Valls déclarait, le 15 juin 2016, « D'autres innocents perdront leur vie. C'est très difficile à dire et on peut m'accuser de rendre la société encore plus anxiogène, mais malheureusement c'est la réalité, c'est l'affaire d'une génération » (France Inter). Le propos est récurrent chez lui d'un temps long et d'une fatalité aveugle. Au point même que mardi 19 juillet, pressé d'adopter une législation d'exception, Valls expliquait que défense, sécurité et justice pourraient évoluer « dans les dix ans qui viennent » (Le Figaro). Inexplicable attente, étrange délai mortifère.

    Ou au contraire : devant la nature islamique de la guerre menée ici et là-bas, Hollande, Valls et consorts répugnent à nommer précisément un ennemi évident, et à adopter les lois qui permettraient, en l'espace d'une génération ? de le défaire, de l'école à la rue, dans les villes et aux frontières. Ils y répugnent car cela signifierait désigner l'islam comme bouc émissaire, ce moyen de toute politique cathartique. Mais l'islam est un bouc impossible : on ne peut pas faire des affaires avec l'Arabie Saoudite, applaudir les printemps arabes, laisser se développer l'islam des quartiers, dégainer l'islamophobie et brusquement se renier. L'islam ne peut pas être cet ennemi intérieur cher aux républicains pour qui toujours le complot explique l'échec.

    Le seul bouc émissaire, c'est le Front National. Toute la république des élites se construit depuis 40 ans contre ce bouc domestiqué : pas moyen de se résoudre au changement de pied, il faut continuer à courir et accabler la même bête. On est dans un jeu rituel : dans l'arène médiatique, seul ce Minotaure a droit de parade, pourvu qu'il y reste enfermé et qu'on puisse le houspiller à l'abri des barrières. S'il paraît trop placide, on lui invente un rejeton inquiétant, l'ultra-droite, avec lequel Libération se donne de délectables frissons. Mais hélas, le FN ne joue plus le jeu : pas d'attentat, pas de Carpentras. Cependant que l'islam politique, populiste, voyou et guerrier insulte, caillasse, enfreint, attaque, blesse et tue.

    Ce devrait être cet islam le parfait bouc émissaire réalisant l'union nationale. H la réalise déjà, d'ailleurs ! Les Français n'ont plus confiance dans le gouvernement pour assurer leur sécurité, ni dans les partis pour assurer la justice. Face à l'islam, le consensus populaire est là - mais c'est le FN qui en engrange le profit. Manuel Valls et François Hollande réclament une union sans pouvoir la cristalliser faute d'accepter cet ennemi évident et surtout consentant. Car, Girard nous le dit, le bouc est d'accord pour être sacrifié (comme l'était Jean-Marie Le Pen) ; et les islamistes proclament leur désir d'être ce bouc émissaire chargé de tous les péchés de l'occident, quand le FN n'accepte plus d'être chargé de ceux de la république. Les islamistes réclament d'être les purificateurs, les méchants, le danger mortel, se haussant par là-même à la hauteur du modèle qu'ils exècrent mais dont ils consacrent la supériorité. Ils sont le parfait mais innommable bouc émissaire. Les « J'accuse ! » zoliens des gouvernants tonnent dans un ciel vide. Nul fascisme en marche n'ensanglante nos campagnes. sinon celui des islamistes. C'est-à-dire personne puisque "ce n'est pas ça l'islam". Cette bête immonde-là n'est personne. Innommable et donc indécelable. L'élite ne veut pas la voir là où elle est, mais s'acharne à voir partout un FN qui n'existe plus tel qu'elle l'avait rêvé C'est Polyphème qui se plante lui-même un pieu dans l'œil, l'islam n'a même pas eu besoin de le durcir au feu.

    Mais si le gouvernement est volontairement aveugle, les Français et l'État Islamique partagent le même diagnostic : il y a un ennemi, il a un nom, il le clame depuis assez longtemps, comme Ulysse, narquois, révèle son nom à Polyphème en quittant l'île. Qui implore alors son père : « Entends-moi, Poséidon aux cheveux bleus, qui contiens la terre ! Si je suis ton fils, et si tu te glorifies d'être mon père, fais que le dévastateur de citadelles, Ulysse, fils de Laè'rte, et qui habite dans Ithaque, ne retourne jamais dans sa patrie. »
    Nous aussi nous pouvons implorer le père que ceux qui dévastent nos citadelles ne rejoignent pas la patrie qu'ils se sont donnée, et laissent la nôtre en paix.

    Hubert Champrun monde&vie 22 juillet 2016

  • Alors que le Pouvoir finance la construction de mosquées, il fait évacuer par ses CRS l'Eglise Ste Rita

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    Malgré la présence de nombreux paroissiens, parmi lesquels des élus locaux, et profitant de la période estivale, Cazeneuve, en bon petit larbin des spéculateurs de l'immobilier qu'il est, n'a pas hésité à envoyer ses flics évacuer violemment l'église Sainte Rita ce matin.

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    Les flics casqués et armés enfoncent les portes de l'église pendant la messe du matin. 

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    Les fidèles prient pendant que les flics enfoncent les portes.

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    Le prêtre évacué sans ménagement en pleine messe.

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    11 h 00 : les meubles de l'église sont jetés sur le trottoir par les domestiques d'Hidalgo.

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  • L’importation à valeur négative

    Bernard Plouvier

    Toute l’économie de transformation des matières premières nécessaires à la vie humaine repose sur la « valeur ajoutée » par le travail humain. L’on n’a pas attendu le clown alcoolique Karl Marx pour le savoir.

    La cuisson de la viande est un exemple de valeur ajoutée qui remonte fort loin dans la préhistoire, comme la fabrication des armes ou le tannage puis l’assemblage des peaux pour s’en vêtir, de façon à lutter contre le froid. Il appartenait à l’économie globale et à la société mondialiste, au début du XXIe siècle de notre ère, de démontrer le contraire !

    Depuis le mois de juin 2016, l’on connaît les caractéristiques de la vague migratoire de l’An funeste 2015, où l’Europe occidentale, danubienne et scandinave fut littéralement envahie d’Africains (noirs et maghrébins), de Moyens- et de Proches-Orientaux, en immense majorité musulmans.

    Ils se sont fait passer pour des demandeurs d’asile politique et quelques-uns le furent réellement. Un nombre absolument inconnu d’entre eux sont des clandestins du Djihâd, en sommeil jusqu’à ce qu’ils reçoivent l’ordre de passer à l’activité meurtrière pour la plus grande gloire d’un dénommé allah. Cela, tout le monde le sait, depuis plus d’un an.

    L’on peut déplorer que les fous furieux qui dirigent les USA depuis 2001 aient mis à feu et à sang le Maghreb et le Sahel, l’Irak, le Yémen, l’Afghanistan, la Syrie (en attendant mieux), parfois avec la complicité de dirigeants indignes des Nations britannique, française, italienne etc., ce qui n’implique nulle responsabilité de ces Nations, desquelles personne n’a songé à demander l’avis.

    Nous n’avons, Européens de souche, à développer nulle repentance à propos des guerres qui ont ravagé les pays du Dâr al-Islam, étant donné qu’aucun des chefs « démocrates » n’a eu recours à la seule forme de démocratie qui soit : la pratique du referendum avant de se lancer dans des opérations de guerre. Après tout, c’est l’argent des Nations qui est dépensé dans ces interventions ; il est donc logique et légitime de prendre l’avis des peuples souverains.

    Sans responsabilité directe de leur part, les Européens se sont vus envahir, depuis janvier 2015, par des hordes de réfugiés-immigrés. Le pape a hurlé sur tous les tons, comme la Chancelière teutonne et luthérienne d’Allemagne, la nécessité d’accueillir ces millions d’envahisseurs qui amenaient avec eux leur avidité de biens de consommation, leur racisme anti-Blancs, leurs mœurs médiévales (notamment un mépris total de la femme), enfin leur religion de haine et d’intolérance absolue : l’islam conquérant, meurtrier par son Djihâd.

    Au plan politico-sociologique, les collaborateurs des maîtres de l’économie globale justifiaient cette immigration-invasion par l’apport de « travailleurs » qu’elle réalisait. On a surtout vu un apport de violeurs, de pillards, de vandales et d’assassins. L’on sait maintenant que l’on a surtout importé des Nuls !

    En Suède, où l’on a accueilli 163 000 « réfugiés politiques » en 2015, il s’avère que 494 seulement ont trouvé un emploi en 15 mois ! Et il s’agit de statistiques officielles issues d’une coalition gouvernementale de sociaux-démocrates et de verdâtres.

    L’Agence fédérale allemande pour l’emploi de mémé Merkel vient de rendre son verdict en juin 2016, à propos des 1,1 million de réfugiés-immigrés-envahisseurs de 2015 : un tiers sont des analphabètes (deux tiers si l’on compte les femmes). Sur 297 000 dossiers d’hommes en âge de travailler, 74% d’entre eux n’ont ni qualification ni même la moindre expérience professionnelle !

    En résumé, l’on a importé et l’on continue d’importer des Non-Valeurs, des consommateurs improductifs, soit des parasites. Et le pape François, qui ressemble bien davantage à un homme lige de la globalo-mondialisation qu’au chef de l’Église catholique, nous exhorte à continuer dans cette voie ; idem pour mémé Merkel ou nos glorieux « chefs ».

    À chacun d’en tirer ses conclusions.

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  • Face à l’islamisme, une névrose collective, par Vincent Revel

    Nous savons tous que le problème de l’islamisme est fortement lié à notre politique migratoire irresponsable. Pourtant, aucun des deux partis soi-disant républicains, le PS et LR, n’ose aborder la question en toute liberté. Face aux actes de barbarie, l’aveuglement perdure et les tabous se renforcent.

    L’assassinat du père Hamel dans l’église de Saint-Etienne-du-Rouvray n’est que le prolongement logique de ce qui s’est passé les semaines et les mois précédents. Il faut comprendre que les djihadistes, de plus en plus nombreux sur notre territoire, ne renonceront pas à nous faire plier les genoux à terre. Nos politiques parlent de guerre mais ils oublient de nommer correctement l’ennemi de ce fait la menace qui pèse de plus en plus sur nos épaules n’est pas prête de s’atténuer.

    Nos dirigeants, nourris aux mamelles de la nouvelle religion des droits de l’hommisme, sont incapables d’avoir un discours clair aboutissant à des actes forts.Faisant la promotion d’une société multiculturelle, favorisant un déracinement radical, notre élite néo-libérale se trouve incapable d’agir efficacement. La pensée antiraciste leur interdit toutes paroles patriotes et actes courageux.

    Née de la rencontre du libéralisme et du communisme, deux idéologies basées sur la mort des nations et des frontières, cette pensée antiraciste trouve auprès de l’Eglise actuelle un allié de poids. Empêtré dans son Amour de l’Autre, dans sa charité universaliste, le christianisme ne cesse désormais, comme les nouveaux censeurs laïcs, de culpabiliser les Européens d’être des enfants héritiers d’une longue et belle tradition.

    Notre conscience est devenue avec le temps un enjeu de tous les instants. Transformée en mauvaise conscience, elle est à présent un outil pour déconstruire ce que nos élites économiques, politiques, médiatiques et religieuses aiment le moins au monde : les patries charnelles. Tout est mis en ordre pour la tirer vers le bas, pour atteindre notre âme et la détruire. Rien ne doit nous permettre de retrouver les rivages du courage et de la fierté. La démission et le renoncement se retrouvent à tous les niveaux d’éducation et d’information. La haine de soi, la haine de notre mémoire transpirent de tous les côtés.

    Avec l’arrivée en masse du monothéisme islamique sur notre continent, cette mauvaise conscience est prête à se soumettre à sa prochaine dhimmitude.L’Européen, malgré son statut de victime, ne peut que prétendre à baisser les yeux, apprendre à vivre avec la peur, à se renier et à accepter ce qu’aucun peuple digne ne pourrait tolérer. Pensant se défendre avec des peluches, des fleurs et des bougies, il écoute avec espoir des responsables encore plus déconnectés que lui de la réalité.

    L’archevêque de Rouen, Monseigneur Lebrun, est l’exemple même de la folie destructrice qui règne dans l’esprit de nos responsables. Nous sommes plusieurs à répéter avec bon sens qu’avec le fanatisme islamique, nous ne pouvons qu’engager une lutte totale pour espérer le vaincre. Ce n’est pas en poussant ses ouailles à « prier et aimer » que nous mettrons hors service des gens capables d’égorger un vieillard de 86 ans. Le temps de la main tendue est révolu si nous voulons espérer vraiment gagner ce combat pour notre liberté.

    Vincent Revel

    http://fr.novopress.info/

  • Brest : une élue d'extrême gauche s'amuse de l'assassinat du prêtre normand et le qualifie de pédophile

    BREIZATAO – POLITIKEREZH (28/07/2016) L’élue d’extrême-gauche brestoise Julie Le Goïc, connue pour son engagement en faveur de l’imam salafiste de Brest (voir ici) et son soutien aux filières de migrants clandestins, vient probablement de commettre la provocation de trop : une apologie d’acte de terrorisme en bonne et due forme.

    Sur son compte Twitter, Julie Le Goïc s’amuse publiquement de l’exécution barbare du Père Hamel à Rouen, suggérant qu’il était pédophile et que sa récompense pour avoir été égorgé par deux djihadistes serait “70 enfants de choeur”. Une analogie à la promesse faite aux musulmans engagés dans le djihad de recevoir “72 vierges” au paradis s’ils meurent au combat.

    Du coup, le prêtre mort en martyr, il a le droit à 70 enfants de choeur au Paradis ?

    Les connaisseurs de la vie politique brestoise se rappellent que cette anarcho-gauchiste, élue en 2014 sur la socialiste de François Cuillandre avant de s’en dissocier, avait introduit des clandestins musulmans dans la salle du conseil municipal de Brest récemment. Une scène ubuesque – et filmée – qui s’était terminée par de la casse de matériel et des menaces à l’encontre des élus (voir ici et ici).

    BREIZ ATAO a régulièrement dénoncé dans ses colonnes le soutien actif de Le Goïc aux salafistes de Brest au nom de “l’antiracisme” ainsi que son aide aux filières d’immigration clandestine de la mafia albanaise musulmane opérant dans la ville. L’impunité dont elle bénéficie – comme l’avait à nouveau démontré l’émeute qu’elle avait orchestrée lors du conseil municipal – signalant la complicité active de la gauche socialiste avec cet élément radical.

    Pour exiger la démission de cette élément pro-islamiste, protestez auprès de la Mairie de Brest :

    Tél: 02 98 00 80 80

    Fax : 02 98 00 81 08

    Email : contact@mairie-brest.fr

    http://breizatao.com/2016/07/28/brest-lelue-dextreme-gauche-julie-le-goic-soutien-de-limam-salafiste-samuse-de-legorgement-du-pretre-de-rouen-et-le-qualifie-de-pedophile/

     

  • Le jour où un iman sera assassiné…

    Le roi d’Arabie Saoudite et le recteur de la mosquée Al-Azhar lanceront des appels à la paix, au pardon et à la fraternité. 

    Si l’on en juge par les réactions actuelles à la suite de l’égorgement du père Hamel et de la tentative d’assassinat d’un fidèle catholique de 86 ans, on peut préjuger de ce qu’il adviendra le jour où un iman sera assassiné, non pas par un membre de l’État islamique qui l’aura considéré comme un mécréant, mais par un ultra-nationaliste déséquilibré.

    Chacun, politicien, responsable religieux, responsable associatif ou simple citoyen, fera sa petite déclaration ou son petit tweet de condamnation, ce qui sera tout à fait normal. Les déclarations en question se garderont bien de nommer le nationalisme mais se diront en guerre contre le terrorisme.

    Les journalistes iront interroger la mère du présumé innocent pour qu’elle puisse expliquer que c’était un brave gamin, et ses voisins pour qu’ils témoignent de sa radicalisation récente et du fait qu’au sein des mouvements nationalistes, on se méfiait de lui.

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  • Réinformation bien menée rend mensonge ridicule

    La chronique de Philippe Randa

    L’excellent site de l’Observatoire des journalistes et de l’information médiatique (cliquez ici) rapporte un exemple de désinformation particulièrement éloquent…

    Début juillet, des Mantevillois – habitants de Mantes-la-ville (Yvelines) – débarquant en cars sur les plages de Blonville-sur-Mer, l’accueil des autorités locales n’aurait pas été celui escompté au vu de leur apparence : « femmes voilées, familles d’origine africaines », comme rapporté par l’un des participants sur son compte facebook. D’où baignade interdite et prière de décamper vite et si possible loin, et même plus loin encore…

    Mantes Actu, site d’actualité régional, s’empressa aussitôt de rendre compte de cette infamie raciste, mais son confrère Le Pays d’Auge préféra pour sa part contacter le maire ; ses explications sont quelque peu différentes : « Le groupe est venu sans autorisation. D’habitude, les habitants de la banlieue parisienne qui viennent passer la journée chez nous s’annoncent, mais là, les deux cars sont arrivés sans autorisation et ont amené une centaine de personnes (…) Pour des raisons de sécurité, nous leur avons demandé de se mettre sur la plage au niveau du poste n°2 car à cause de la présence des parasols, la visibilité est moindre et la surveillance est plus difficile sur la zone du poste de secours n°1, et comme ils étaient très nombreux avec des enfants, nous n’avons pas voulu prendre de risque (…) Plusieurs adultes avec des enfants se baignaient dans le chenal réservé aux bateaux ce qui est strictement interdit et ont refusé de revenir dans la zone de bain. »

    Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose… L’adage est connu et déjà au Moyen Âge, Clément Marot ne disait-il pas « Tord bien mené rend bon droit inutile » ? La France, patrie autoproclamée des droits-de-l’homme est surtout menacée de devenir, pour certains, surtout celle des tords-du-Français-de-souche…

    Publiée dans le quotidien Présent

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Communication digitale : de l’influence à la propagande ?

    Une bonne campagne de communication passe obligatoirement par le web. Le numérique est l’autre champ de la compétition économique mondiale.
    Cela peut même aller plus loin, puisqu’une communication digitale très offensive peut s’apparenter logiquement à de la propagande.

    France 24 donne la parole à François Jeanne-Beylot, fondateur du site Troover.com et expert en influence numérique.