Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1338

  • Banlieues, violences, racisme…parlons-en!

    Même les médias « bourgeois » des deux côtés du Rhin l’ont relayé, la mairesse, membre du parti social-démocrate( SPD), de Garmisch-Partenkirchen, vient de lancer un signal de détresse face à l’invasion migratoire. La célèbre station de ski bavaroise accueille aujourd’hui, après le  départ vers d’autres endroits de familles de migrants syriens,  250  immigrés économiques, majoritairement de jeunes  hommes africains logés dans le  centre d’hébergement communal (une ancienne caserne de l’armée américaine);  des  « demandeurs d’asile »  qui multiplient les violences, les actes de délinquance,  les agressions sexuelles. « La situation empire de plus en plus depuis plusieurs semaines » explique-t-elle, les migrants de sa ville  sont devenus « problématiques », les riverains,  qui ne sont pas des affreux d’extrême droite se sent elle obligée de préciser, se plaignent: « ils nous expriment leurs difficultés. Il y a de très graves problèmes avec les réfugiés à Garmisch-Partenkirchen. » Cette  élue qui voit ses certitudes s’écrouler en tirera-t-elle jusqu’au bout les conclusions qui s’imposent? En France ce sont les policiers qui expriment leur désarroi devant l’impunité des voyous et le peu de soutien dont ils bénéficient de la part des autorités. Nous évoquions hier la manifestation sans  précédent sur les Champs-Élysées, de centaines de policiers clamant leur ras-le-bol devant la violence  sauvage des bandes des cités plurielles. Ce mouvement est  désavoué par le gouvernement socialiste et le grand diseu mais (tout) petit faiseu Bernard Cazeneuve. Des manifestations de policiers, calmes et pacifiques, en  dehors des mots d’ordre syndicaux,   se sont déroulées  hier à Evry et à Marseille.

    Une violence  sexiste et raciste que les belles âmes traquent et découvrent un peu partout, sauf là où elle se trouve vraiment. Une polémique ridicule (mais révélatrice) a ainsi éclaté ces dernières heures suite à la  la publication de l‘alerte enlèvement de la petite Djenah à Grenoble. Échappant au conditionnement sémantique, à la programmation neurolinguistique (PNL) souvent à l’oeuvre dés l’école primaire, à cette police des mots, de la pensée, de l’arrière pensée propre au règne de Big Brother, à toutes les sociétés totalitaires, le rédacteur du ministère de la Justice qui a rédigé cette alerte enlèvement a lourdement fauté. Crime des crimes, il a employé le terme « individu de race noire », pour décrire Steeve Beni Y Saad, le présumé ravisseur et père de l’enfant. Avant de corriger cet avis en substituant au mot honni de « race », le terme « individu à la peau noire » puis dans une troisième mouture en écrivant « de couleur noire ». Dans quel pays vit-on?

    Un pays nous direz-vous, ou le quotidien de Patrick Drahi, Libération, publie la tribune au comique involontaire de deux militantes socialistes Elsa Di Meo Conseillère régionale de Provence-Alpes-Côte-d’Azur , Marie Le Vern, député de Seine-Maritime, pour annoncer un petit raout ce soir visant à  dénoncer » les menaces proférées par l’extrême droite », « la réalité quotidienne des militantes et citoyennes engagées pour défendre les valeurs de la République (à Fréjus), » où elles subiraient, peut-être à l’instar de la secrétaire de la (squelettique)  section socialiste de cette commune,  Insaf Rezagui, des « tweets ou posts de  réactionnaires cyberactifs » (sic). Les élus et candidats FN reçoivent régulièrement insultes et menaces de mort, certains ont même été sauvagement  agressés  physiquement, ils de ne sentent pas obligés  pour autant d’organiser une soirée sur ce thème. Faute de briller par son travail, quand on  a plus rien à proposer, toute diversion, certes est bonne à prendre…

    Front National également soupçonné de tout et son contraire et dernièrement de se faire embobiner par les Frères Musulmans que l’on retrouve à la manœuvre derrière l’Union des organisations islamiques de France (UOIF). Et ce, au motif  qu’un de ses collectifs, Banlieues patriotes,  animé par le conseiller régional francilien Jordan Bardella, a enregistré dimanche une émission internet  dont l’invité était Camel Bechikh.  Celui-ci est  porte-parole de la Manif pour tous, à l’origine de  l’association Fils de France, se revendiquant du patriotisme français et du souverainisme, prônant l’avènement d’un islam français et national. Vaste programme…

    Interrogé par l’Afp, Jordan Bardella a précisé que « les invités ( de ses émissions, NDLR)  sont pas forcément d’accord avec nous, ce qui se dit n’engage en rien le FN. Camel Bechikh m’a dit qu’il était adhérent de l’UOIF, sans y être impliqué. Il y a plusieurs lignes je crois. » Florian Philippot a indiqué pour sa part:  « Je pense que tout le monde, moi le premier, ignorait qu’il était à l’UOIF dont manifestement, il n’a en rien le discours, puisqu’il défend l’assimilation et la République contre l’islamisme. Pour le reste, il demeure un invité, et non un adhérent. »

    Redisons-le, le FN est ouvert au dialogue et il est d’autant  plus intéressant quand vous échangez avec des personnes qui ne sont pas forcément exactement  sur la même ligne que vous. Rappelons aussi que M. Bechikh fut déjà invité en avril 2013 par Louis Aliot, à débattre lors  du colloque Islam et République, organisé par son club de réflexion Idée Nation. Nous nous étions fait aussi l’écho sur ce site de l’entretien accordé par Camel Bechikh à Nicolas Gauthier sur boulevard voltaire: « Les enfants et petits-enfants d’immigrés encore nombreux dans les quartiers pauvres, subissent frontalement le désastre d’une immigration toujours massive, malgré les conditions économiques limitant l’emploi, le logement, la performance inclusive qu’était l’école (…)« . Il existe  des musulmans « heureux de rencontrer une France qui s’aime, une France fière de son histoire, de sa langue, de ses valeurs catholiques, trop souvent oubliées par la République (…).  Les heures sombres de notre histoire  se déroulent sous nos yeux: perte de souveraineté, destruction des frontières, géographiques et morales ! Le temps presse, la France ne peut faire l’économie d’aucune bonne volonté, d’aucun citoyen, sans distinction d’origine, de religion, de classe sociale. En effet, comme l’écrivait Charles Maurras: Aucune origine n’est belle. La beauté véritable est au terme des choses. « 

    Certains accusent M. Bechikh, qui affirme que « la France est ontologiquement catholique », de dissimulation, de double-langage mais à notre connaissance, il n’a jamais tenu des propos qui seraient en contradiction avec le patriotisme qu’il affiche. Il est certes permis à certains de douter de l’optimisme qui est le sien sur la diffusion des idées nationales dans les banlieues quand il affirme que « le vote FN des Français de confession musulmane est bel et bien une réalité dont il faut se féliciter ». Ce vote FN des Français issus de l’immigration non européenne et/ou musulmane reste en fait très marginal.

    La tâche sera rude  expliquait implicitement Didier Beauregard sur le site Polemia, même si au sein des deux millions d’électeurs musulmans (pour un corps électoral d’un peu plus de 44 millions de personnes), « un ensemble d’éléments bien identifiés (mariage homo, théorie du genre, affaire Dieudonné, crise de Gaza, sans oublier l’échec social de la gauche…) pousse une fraction très minoritaire, mais grandissante, de l’électorat musulman vers un vote contestataire de droite, après l’avoir exprimé à gauche » . Le politologue Gilles Kepel  affirme lui aussi  que chez les musulmans « le tabou du FN a sauté. » 

    M. Beauregard citait aussi l’enquête de terrain « menée de manière approfondie, bureau de vote par bureau vote, par la Fondation Jean-Jaurès et l’Ifop, à Perpignan (à l’occasion des dernières élections municipales ou Louis Aliot menait la liste FN, NDLR), pour saisir au plus près la typologie du vote FN en fonction de la géographie urbaine. Le constat de l’étude est clair : il fait ressortir, dans le sud méditerranéen, l’existence d’un vote à forte composante communautaire, qui ne va pas dans le sens d’une lepénisation  du vote musulman (…) ».

    « Face à l’effondrement du Parti socialiste, les électeurs musulmans, pour faire obstacle au FN, auraient, dès le 1er tour, massivement voté pour la droite classique. Le réflexe communautaire percevrait donc toujours le parti de Marine Le Pen comme une menace (…).A contrario, le vote FN progresse fortement dans les zones d’habitation populaires ou bourgeoises qui jouxtent les zones d’habitats sociaux où se concentre l’essentiel des populations issues de l’immigration. C’est ce que les sociologues appellent  l’effet lisière  (…) ».

    Bref, le vote FN serait « un vote communautaire  blanc »,  « la motivation identitaire (l’emporterait) chez les électeurs du Front National sur les considérations socio-économiques. Selon un récent sondage Ifop, 88% des électeurs du Front national votent d’abord en raison des enjeux migratoires et sécuritaires, et les sujets économiques arrivent loin derrière ».

    Pour autant, « les musulmans, beaucoup d’entre eux certainement, veulent aussi de la sécurité dans leurs quartiers et une bonne éducation scolaire pour leurs enfants. C’est une base de compromis opérationnelle pour aborder l’électorat musulman, tout en restant ferme sur les principes fondamentaux de l’identité française » notait l’auteur de cet article. Bruno Gollnisch l’a dit, le FN, le syndicat des indigènes comme le décrivait Jean-Marie Le Pen, a aussi vocation à tendre la main à tous les Français, à fédérer tous les patriotes, et cette base de compromis (et non de compromission) décrite ici n’a certainement pas échappé aux responsables de Banlieues patriotes.  

    http://gollnisch.com/2016/10/19/banlieues-violences-racisme-parlons-en/

  • Camouflet polonais à l’Union européenne

    La chronique de Philippe Randa

    « Mais de qui se moque la Pologne en achetant des hélicoptères américains ? » titre La Tribune… Est-il besoin de préciser ? Oui, et donc, la réponse est : « Mais c’est… bien sûr ! de l’Union européenne ». De qui d’autre ?

    C’est bel et bien un magistral bras d’honneur des Polonais qui, non seulement annulent une commande d’hélicoptères à Airbus, mais annoncent surtout que c’est pour acheter désormais… du matériel américain !

    « Cette décision reflète d’abord la défiance de la Pologne, gouvernée depuis octobre 2015 par le Parti Droit et Justice (PiS), nationaliste et conservateur, à l’égard du couple franco-allemand. Ce n’est pas le premier point de divergence : la construction du gazoduc Nord Stream II ; l’accueil des réfugiés et leur répartition entre États membres ; ou encore les garanties apportées aux contre-pouvoirs en Pologne sont autant de sujets de tension… », explique Cyrille Bret, maître de conférences à Sciences Po et cofondateur du site EurAsia Prospectives.

    « Nous allons ouvrir des entretiens qui s’achèveront avant la fin de l’année », a ainsi déclaré le ministre polonais de la Défense Antoni Macierewicz qui enfonce le clou en ajoutant lors d’un point de presse à l’issue d’une rencontre avec la direction des usines PZL Mielec (sud-est) qui appartiennent à Lockheed Martin : « Cette année encore les premiers appareils de ce type seront livrés aux forces spéciales pour leur permettre de s’exercer… »

    « Décision inacceptable » pour notre ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, « Choix préoccupant par rapport à la conception de la défense européenne » s’étrangle Manuel Valls ou encore fureur de François Hollande qui alerte les pays européens sur les dangers de n’acheter que des armes américaines…

    Qu’à cela ne tienne, le camouflet est réel et, malgré mauvais cœur et mauvaise fortune, l’Union européenne est bien obligée de manger son chapeau (fabriqué à Taïwan ?).

    Lire aussi EuroLibertés cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Haine de la famille, violence : La Manif Pour Tous porte plainte

    Injures, passages à tabac, caillassages de bus, drapeaux brûlés, appels au meurtre, déversements de haine : les opposants à la Manif Pour Tous montrent leur vrai visage.

    6a00d83451619c69e201b8d22e2eec970c-200wi.pngLe Procureur de la République de Paris est saisi. Le Défenseur des Droits pourrait l'être aussi. La Manif Pour Tous assure de son soutien le père de famille passé à tabac devant ses enfants par une bande de militants d'extrême gauche anarchiste ultra-violents. 

    Au lendemain de son succès sur le pavé parisien, La Manif Pour Tous dénonce la violence de la familiphobie et la haine dont les défenseurs de la famille sont victimes, aussi bien sur les réseaux sociaux que physiquement. Ludovine de La Rochère précise :

    « Les militants radicaux LGBT ne cessent de nous insulter en nous qualifiant d'homophobes pour éviter tout débat de fond. Ce scandale dure depuis des années et il doit maintenant cesser ». « La Manif Pour Tous, ce sont des citoyens de tous âges, des familles, qui défilent dans un état d'esprit toujours pacifique, respectueux des personnes et du bien commun (même pas une poubelle renversée en 10 manifestations parisiennes de grande envergure !). Alors ces Français pacifiques, il est facile de leur taper dessus car ils ne répondent pas. Mais maintenant, ça suffit ! »

     Insultes, menaces, appels au meurtre et aux actes terroristes !

    • « Daesh, c'est le moment où jamais »,  
    • « Envie de tous les brûler »,
    • « I have a dream, des centaines de lodens et de trench coats homophobes malmenés le 16 octobre par un gros camion blanc »,
    • « Bonjour bande d'enculés », 
    • « J'ai rêvé que j'assassinais tous les gens de La Manif Pour Tous. Est ce que c'est perturbant ? Non, pas du tout »,
    • « Un attentat prévu pour ceux qui sont à la Manif Pour Tous ? Non, parce que ce serait bien »,
    • « Niquez bien vos mères les reines des putes... »

    .... La liste des insultes, menaces, appel aux meurtres et aux actes terroristes sur les réseaux sociaux est aussi longue qu'inquiétante. Albéric Dumont, coordinateur général de La Manif Pour Tous, explique :

    « Le plus grave est que ce déversement de haine de la part de nos opposants se traduit physiquement par des agressions. Des distributeurs de tracts bousculés, insultés et frappés. Il y a quelques mois, plusieurs condamnations ont été prononcées pour des violences contre nos militants, dont l'une pour un nez cassé et l'autre pour une agression au couteau. Dimanche c'est un père de famille qui a été passé à tabac (voir la vidéo) sous les yeux ses enfants, aux cris de « On va vous pendre bandes de bâtards ! » par une dizaine de militants d'extrême gauche cagoulés qui soutiennent les revendications LGBT ». 

    Le siège du mouvement a également subi des dégradations la nuit dernière. 

    « Que dire de la tentative des Femen de s'exhiber devant les enfants lors d'une manifestation à caractère familial ou bien encore du caillassage de deux bus remplis de manifestants venus de Lorraine pour défendre paisiblement la filiation père-mère-enfant et la famille ».

    Des poursuites ont été engagées contre les Femen et un procès pour « délit d'exhibition sexuelle » doit se tenir le 25 janvier prochain à Paris. Plusieurs autres groupes sont venus faire de la provocation en marge du rassemblement de dimanche et une militante au moins a été interpellée, après avoir porté un coup de poing.

    Me Henri de Beauregard, déclare :

    « Nous avons également saisi le Procureur de la République de Paris pour incitation ou apologie de terrorisme visant La Manif Pour Tous, au titre de plusieurs tweets. Je ne peux pas imaginer que le parquet laisse en appeler à Daesh en toute impunité. S'il le faut, nous saisirons également le défenseur des droits ». 

    Désormais, LMPT est décidée à agir contre ceux qui l'accuseront d'homophobie, qu'il s'agisse de personnalités ou d'inconnus retranchés derrière des pseudos sur les réseaux sociaux. « L'anonymat ou le pseudonymat ne sont pas des garants d'impunité » confirme l'avocat du mouvement. Il y a quelques années, le mouvement avait déposé une plainte à la suite d'une alerte à la bombe, qui avait abouti à l'identification d'un militant LGBT. Dimanche dernier, lors d'un débat télévisé sur le scandale de la GPA, l'avocate Caroline Mécary a dérapé en traitant d'« homophobes » tous les présidents des partis politiques des droites et du centre.

    Ces insultes et dérapages à répétition entretiennent un climat de haine sur les réseaux sociaux qui se traduit ensuite dans la vie réelle. Trop, c'est trop !  La Manif Pour Tous invite d'ailleurs ceux qui seraient sceptiques à faire l'expérience de défendre la famille et la filiation père-mère-enfant sur Twitter : ils se rendront vite compte des torrents de haine et menaces à leur encontre. 

    Ludovine de La Rochère déclare :

    « Notre mouvement défend la famille et le droit pour chaque enfant d'avoir un père et une mère. Nous en avons assez d'être caricaturés, insultés, menacés et agressés. Nous sommes un mouvement pacifiste, enthousiaste, ambitieux et déterminé. Nous n'avons jamais insulté quiconque. En revanche, nos opposants vont jusqu'à souhaiter un acte terrorise à notre encontre, dans l'indifférence du parquet et des professionnels habituels de l'indignation ! Cela doit cesser car ces attaques violentes et virulentes dont nous sommes victimes au quotidien n'ont pour seul objectif que d'éviter le débat de fond. Notre engagement est aussi en faveur de la démocratie et des libertés individuelles, à commencer par la liberté d'expression ». 

    Vous trouverez des tweets et photos sur cette page.

    Par ailleurs, le journal LGBT Yagg a justifié dans un article la violence à l'encontre de La Manif Pour Tous, estimant que ce n'est que justice :

    "Le jour où la "Manif pour tous" et ses amis cesseront de combattre les gays, les lesbiennes, les bi.e.s, et les personnes trans et de défiler contre leurs droits, le jour où les personnalités publiques ouvertement gays comme Ian Brossat, Jean-Luc Romero ou bien d'autres ne recevront plus de menaces de mort sur les réseaux sociaux en raison de leur orientation sexuelle, les insultes à l'égard de Christine Boutin, Ludovine de la Rochère et leurs amis disparaîtront comme par magie.[...] En attendant, souffrez [...] que le boomerang revienne parfois à la figure de ceux qui l'envoient."

    Le lobby LGBT est d'essence totalitaire, c'est un fait.

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Cet aéroport dont Ségolène Royal ne veut pas...

    Décidément, Notre-Dame-des-Landes est bien le Larzac ou le Plogoff de la République hollandaise, et ce projet d’aéroport, mal conçu et inadapté aux nouveaux enjeux économiques comme environnementaux, est un véritable sparadrap pour un gouvernement aujourd’hui fragilisé par l’attitude et les propos de son propre président. Les déclarations dominicales du ministre de l’environnement Ségolène Royal au JDD le confirment et remettent les notables locaux et une bonne partie du gouvernement en difficulté, au grand dam d’une base socialiste qui ne sait plus vraiment à quel saint (laïque et républicain, bien sûr !) se vouer…

    Il y a quelques points à relever dans l’intervention de Mme Royal :

    1. tout d’abord, le coût supposé de la construction de l’aéroport, largement sous-évalué et évidemment « dépassé » désormais, les chiffres donnés remontant, dans le meilleur des cas, à l’évaluation de 2012 : là, Mme Royal évoque « un ouvrage qui coûtera entre 800 millions et un milliard d’euros alors qu’il y a tant besoin d’infrastructures dans toutes les régions ». On est bien loin des 560 millions d’euros encore mis en avant par les partisans de l’aéroport Vinci il y a quelques semaines. Ce point-là n’est pas négligeable et la question financière mériterait une nouvelle évaluation avant d’engager encore de l’argent, parfois public, pour la réalisation de ce projet. D’ailleurs, qui paiera les surcoûts éventuels ? Sans doute pas l’entreprise Vinci, mais bien plutôt les contribuables à qui, pourtant, il sera délicat, en ces temps de disette d’annoncer de nouvelles augmentations de taxes et d’impôts. Sans oublier que les voies d’accès rapide au site de l’aéroport ne sont toujours pas, non plus, évaluées sérieusement ni même évoquées, au point de rendre le projet bancal et, en définitive, peu crédible…

    D’autre part, Mme Royal n’a pas tort de rappeler que l’aménagement du territoire mériterait bien un meilleur investissement, plus équitable et mieux réparti : plus utile, en somme ! Il suffit de parcourir le Berry ou la Bretagne pour s’en rendre immédiatement compte : la lutte contre la désertification rurale me semble plus urgente que de grands projets aéroportuaires ou commerciaux qui renforcent ce mouvement de « cannibalisme urbain » qu’est la métropolisation.

    2. La pertinence du projet est aussi évoquée par le ministre de l’environnement : « Aujourd’hui, un tel projet, qui remonte à des années, ne serait pas autorisé ». C’est tout à fait vrai : les normes environnementales ont évolué vers un meilleur respect des paysages comme de la biodiversité, et la COP 21 est aussi passée par là ! Le projet, dont les prémisses prennent leur source durant les « Trente glorieuses », correspond à une époque où le TGV n’existait pas et où les terres semblaient « infinies » alors que, depuis quarante ans, l’artificialisation et la rurbanisation ont mangé en surface (principalement rurale) l’équivalent de huit départements français ! Mieux vaut, comme le souligne Mme Royal, utiliser ce qui existe déjà au lieu de bétonner le dernier grand espace de bocage de l’ouest de la France. « Le bocage plutôt que le ravage », clame une affiche récente du Groupe d’Action Royaliste, et c’est bien, aussi, l’enjeu immédiat du débat sur ce sujet. 

    Et le ministre d’enfoncer le clou : « J’ajoute que les progrès faits en dix ans sur le bruit des avions rendent possible l’aménagement de l’aéroport actuel »… Ce serait tout de même dommage de ne pas entendre ou pratiquer ces nouvelles possibilités qui auraient le mérite de débloquer le dossier aéroportuaire nantais à moindres frais ! A moins que des intérêts peu avouables soient aussi en jeu… 

    3. La question de l’usage des forces de l’ordre, aujourd’hui soumises à une considérable pression et au bord de l’épuisement. « Nos forces de l’ordre ont d’autres missions à mener en ce moment, liées au terrorisme, à la situation dans le Calaisis… Pour avoir géré le dossier douloureux de Sivens, où il y a eu un mort et où j’ai dû, difficilement, renouer les fils du dialogue, il est de ma responsabilité – puisqu’il s’agit d’une infrastructure qui relève de mon ministère – d’alerter sur le risque d’une évacuation par la force. Imaginons seulement un instant qu’il y ait mort d’homme, parmi les forces de l’ordre ou du côté des manifestants. Ce serait gravissime ! » Un grand article titré « Notre-Dame-des-Landes, évacuation impossible » accompagne cette déclaration ministérielle et confirme la difficulté d’une opération d’évacuation d’une zone qu’il faudrait ensuite sécuriser avant même que le chantier ne puisse concrètement démarrer. D’autre part, l’on se souvient de l’échec de la précédente opération, baptisée bien mal à propos « César », et qui s’est transformée en Gergovie pour les adversaires du projet d’aéroport… Alésia ne semble pas encore à l’ordre du jour !

    Ce qui est certain, c’est que, décidément, la République a le chic pour se fourrer dans des impasses, et que les leçons du Larzac et de Plogoff n’ont pas été tirées par les autorités : il y a alors fort à parier que le destin de Notre-Dame-des-Landes, à défaut de se jouer à l’occasion de la prochaine présidentielle, se jouera soit dans la tragédie soit dans la comédie dont le Pouvoir sera, en définitive, la principale victime…

    Et à la fin, ce n’est pas Créon qui l’emporte vraiment, mais c’est devant Antigone que, même dans la défaite, l’histoire s’incline…

    http://nouvelle-chouannerie.com/

  • Étrangers et minima sociaux : la ridicule « désintoxication » du Monde

    Un gouvernement responsable doit demander à la Cour des comptes un rapport honnête sur le coût réel de l’immigration.

    Le Monde, tout à ses idéaux pro-migrants, vient de publier six articles pour« désintoxiquer » les Français de leurs a priori anti-étrangers. Or, les chiffres qu’il fournit à l’appui de ses thèses favorables aux immigrés les démolissent, en fait, complètement !

    Pour lutter contre le « préjugé » selon lequel « les migrants ne viennent en France que pour percevoir des allocations », ce journal nous apprend que les étrangers extra-communautaires constituent 13 % des bénéficiaires du RSA et 30 % de ceux du minimum vieillesse. Le quotidien de gauche triomphe : voyez ! Les étrangers ne volent pas les minima sociaux des Français.

    Mais leur conclusion bizarre laisse perplexe tout observateur de bonne foi car les étrangers hors de l’Union européenne ne représentent que 4,6 % de la population française ! Il y a donc, malgré les certitudes du Monde, un gros problème.

    Lire la suite

  • Manif Pour Tous : Pour Marion Maréchal-Le Pen, il y a « de vraies raisons encore aujourd’hui de se battre »

    La Manif pour tous n’avait pas autant mobilisé depuis deux ans. Si une partie des manifestants qui ont défilé dimanche dernier sont opposés au mariage homosexuel en tant que tel, certains ont aussi surtout fait entendre leur voix contre la gestation pour autrui (GPA), la PMA (procréation médicalement assistée) et l’adoption pour les couples homosexuels.

    À quelques semaines de la primaire de la droite et du centre, à sept mois de l’élection présidentielle, la Manif pour tous tient aussi à peser sur la présidentielle.

    Comme l’a rappelé Ludovine de La Rochère sur BFMTV : « Quatre candidats de la droite et du centre sont favorables à une réécriture ou à l’abrogation de Loi Taubira« .

    Au micro d’Europe 1, Marion Maréchal-Le Pen a jugé qu’il y avait encore de vraies raisons encore aujourd’hui de se battre :

    Ces thématiques n’ont jamais véritablement quitté le débat. Et même si nous rappelons aujourd’hui notre volonté d’abrogation de la loi sur le mariage homosexuel, il s’agit aussi de traiter le sujet des mères porteuses et de la PMA ‘sans père’ et donc à ce titre, il y a de vraies raisons encore aujourd’hui de se battre, sans parler de toutes les attaques fiscales à répétition que le gouvernement a mené contre les familles durant ce mandat.

    http://fr.novopress.info/

  • Allex [Drôme] et Hayange [Moselle] : cette révolte populaire qui monte « d'en bas »...

    En son temps, Raffarin avait eu un mot heureux en inventant l'expression « la France d'en-bas ». Aujourd'hui, la colère de  cette France d'en bas non seulement n'est pas retombée, mais elle ne cesse de s'amplifier, finissant par mettre le Système en contradiction avec ses prétendus fondamentaux démocratiques (le pouvoir viendrait du peuple...).

    Voici que deux maires, celui d'Hayange (Moselle, FN) et celui d'Allex (Drôme, LR) secouent le cocotier, et même assez fortement pour que toute la clique du politiquement correct, qui prétend remplacer - en y réussissant souvent... -  la souveraineté populaire s'insurge et monte au créneau pour clouer ces deux élus du peuple au pilori; et pour leur clouer le bec, tout court.

    Le premier en date, Fabien Engelmann, maire FN d'Hayange, a décidé que, puisque le Secours Populaire confondait allègrement charité envers les plus démunis et politique (communiste, et « anti-mairie »), il lui retirait le local prêté à titre gracieux. Le maire a évidemment raison : mais il fallait voir le journaliste inquisiteur d'I-Télé « interroger » ce maire pour comprendre à quel point nos médias sont - et ce depuis 1945 - une place forte inexpugnable de ceux qui confondent carte de journaliste et carte de parti.

    De quel droit quelqu'un censé informer les gens prend-il position, à ce point, dans une décision relevant de la seule responsabilité d'une mairie démocratiquement élue ?

    Maintenant, si vous lui posez la question, ce « journaliste-aux-ordres » du politiquement correct, idéologiquement pas très éloigné du commissaire du peuple ou du ré-éducateur genre garde rouge de Mao ou de Pol Pot ou d'Ho Chi Minh, vous jurera qu'il est bon républicain et bon démocrate...

    Le second maire a avoir défrayé la chronique n'est pas FN mais LR : c'est celui d'Allex, dans la Drôme. Sommé par l'Etat d'accueillir une cinquantaine de migrants dans sa petite commune (2.500 habitants), il a décidé de demander son avis au peuple souverain : et, donc, d'organiser un référendum. Horreur et damnation ! Un référendum ? Mais vous n'y pensez pas ! Demander leur avis aux bouseux ? Et puis quoi, encore ! Les bobos des salons parisiens, bien protégés dans leur bulles triple ou quintuple vitrage n'ont nul besoin de demander son avis au peuple : ils ont décidé, ils savent ce qui est bon pour le peuple et ce qu'il lui faut : au peuple d'obéir ! Non, mais... Le Préfet et le Tribunal administratif ont tôt fait de faire plier l'arrogant : ils ont invalidé la décision du conseil municipal ! « Déni de démocratie » et « dictature » ont lancé le maire et le président du Conseil départemental, Patrick Labaune, tous deux LR.

    Encore ne parle-t-on ici que de deux cas, mais une bonne dizaine d'oppositions résolues à l'arrivée de migrants ont eu lieu ces derniers jours, dans autant de communes de France, dont Béziers (le maire étant avec Zemmour l'une des cibles privilégiées des journaleux...).

    Tout ceci pose deux questions :

    • la première, où est la vraie démocratie, là-dedans ?

    • et, la seconde : pense-t-on vraiment, en haut lieu, que le Système pourra continuer longtemps comme cela, frontalement opposé aux volontés de la France d'en-bas ?

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Bruno Mégret : Vivre ensemble ou changer de pays ?

    « Vivre ensemble », tel est le nouveau mot d’ordre de la classe politique et médiatique ! Face aux problèmes de cohabitation créés par l’immigration, face à la pression identitaire de l’islam qui s’impose dans notre vie collective, la nouvelle rengaine des politiques et des journalistes fait maintenant entendre le son du « vivre-ensemble ». Si des attentats se produisent, il faut refuser, nous enjoint-on, de céder aux terroristes qui veulent nous opposer les uns aux autres et afficher au contraire notre volonté de vivre ensemble. Si des troubles surviennent dans les banlieues, réaffirmons à tous la nécessité du vivre-ensemble, nous rappelle-t-on, là encore.

    Le « vivre-ensemble » est en effet devenu l’alpha et l’oméga de nos dirigeants, la voie à suivre pour résoudre, selon eux, toutes les difficultés que suscite la société multiculturelle d’aujourd’hui.

    Assimilation, intégration, vivre-ensemble

    Mais que nous cache-t-on derrière ce slogan ? Il paraît à priori bien anodin et semble même relever de l’évidence : les habitants de la France vivent en effet ensemble sur le sol français. Que cette formule soit utilisée à propos de l’immigration et de l’islamisation doit cependant nous inciter à la méfiance. Et de fait, ce mot d’ordre dissimule en réalité un projet destructeur particulièrement inquiétant. Car cette théorie du « vivre-ensemble » vient en effet remplacer la formule classique de l’intégration comme celle de l’assimilation.

    Dans la première moitié du siècle dernier, le concept d’assimilation prévalait : concept par lequel les immigrés polonais, italiens, espagnols ou portugais sont devenus français sans difficultés majeures. Selon ce principe, l’étranger adopte progressivement l’identité française pour se mêler au peuple qu’il a choisi de rejoindre et en faire pleinement partie.

    Cette conception a été abandonnée depuis les années 1970 pour laisser la place au principe d’intégration. Dès lors l’étranger peut conserver son identité d’origine mais il doit parallèlement s’adapter aux coutumes et aux règles du pays qui l’accueille afin de s’y insérer au mieux.

    Or depuis que l’islam est devenu une donnée majeure du processus migratoire, cette seconde conception a, elle aussi, été abandonnée pour une troisième formule, celle du « vivre-ensemble », notion que l’on rabâche aux Français à longueur de journée.

    Or, même si ses promoteurs le nient, cette conception est celle du communautarisme : chacun conserve son identité, ses usages et ses valeurs, mais tous doivent se tolérer mutuellement, s’accepter et même s’aimer pour vivre ensemble harmonieusement sur le même sol.

    Un nouveau pays

    De ce point de vue, cette notion diffère fondamentalement de celle de l’assimilation et de l’intégration. D’abord, l’effort d’adaptation n’est plus demandé aux seuls étrangers, il l’est tout autant aux Français de souche. Ensuite, il ne s’agit plus pour la nation d’incorporer au mieux des personnes étrangères, il s’agit en réalité de créer un nouveau pays. Sans le dire explicitement les apprentis sorciers du Système s’efforcent maintenant de construire sur le sol national une nouvelle société africano-islamo-hexagonale qui se définirait simplement comme un territoire régi par un état de droit permettant à tous de vivre ensemble.

    Les Suédois, qui sont manifestement en avance sur nous, ont été récemment la cible d’une campagne d’opinion sous forme de message publicitaire télévisé pour leur expliquer ce processus :

    « Il n’y a plus de retour en arrière, est-il expliqué dans ce film, la Suède ne sera plus jamais comme avant. Il est temps de réaliser que de nouveaux Suédois vont venir avec leur culture, leur langue et leurs traditions, et il est temps de le voir comme une force d’impulsion positive. Ce “nouveau pays” forme un nouvel avenir. Etre suédois doit être accepté non plus comme une question de couleur de peau et lieu de naissance. Cela doit pouvoir être toi, moi et tous ensemble. Ce ne sont pas uniquement les nouveaux Suédois qui doivent s’intégrer. Tout le monde doit s’intégrer, même les Suédois de souche. »

    Le choix ultime

    Alors, certes, cette campagne baptisée « Le nouveau pays » n’est pas celle du gouvernement suédois et il n’y en a pas encore eu de comparables en France. Mais tel est bien le sens du « vivre-ensemble ». Sans doute dans un premier temps se contentera-t-on d’habituer les Français à cette nouvelle formule et ensuite seulement leur expliquera-t-on, comme aux Suédois, ce qu’elle signifie réellement pour l’avenir. Les immigrés notamment musulmans ne s’assimileront pas à la France telle que nous en avons hérité. « Un nouveau pays est à construire et vous, Français, devrez vous y adapter ». En ce sens l’islam n’est pas foncièrement un problème puisque nous devons construire quelque chose de nouveau où il devra, d’une façon ou d’une autre, trouver sa place.

    Il est clair que les tenants du Système sont ainsi arrivés au point ultime du processus idéologique dans lequel ils se sont engagés. Confrontés à la contradiction fondamentale qui existe entre le maintien de la France telle qu’elle est et la présence croissante d’immigrés sur notre sol, ils ont dû faire un choix. Mais plutôt que d’en tirer la conclusion qu’il faut arrêter toute nouvelle immigration, voire commencer un processus de rémigration, ils préfèrent renoncer au maintien de ce que nous sommes et s’engager dans la voie aventureuse de la construction d’une nouvelle entité en rupture totale avec les racines de notre nation.

    En choisissant ce chemin, ô combien périlleux et néfaste, le Système révèle son échec, sa faiblesse et son monstrueux cynisme. Espérons que ce projet, lorsqu’il sera plus explicite et mieux compris des Français, provoquera enfin la colère et la révolte du peuple.

    Source Polémia cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • "Migrants" imposés par l'Etat : la colère gronde en France

    Voici l'exemple de cette petite commune varoise qui se rassemble pour manifester son opposition à l'arrivée des "migrants" à l'appel de son maire Jean-Michel Constans (SE) :

    6a00d83451619c69e201b7c8a20660970b-320wi.jpg"Le rendez-vous avait été annoncé mercredi 5, en journée, par le maire, Jean-Michel Constans, qui répondait à la volonté des élus de son conseil de "marquer une opposition officielle" à la décision de l'État de loger 90 migrants en provenance de Calais, dans un centre de vacances privé géré par la CCAS d'EDF.

    Le vendredi 7, à 18 heures, ce sont près de 400 personnes qui se trouvaient sur la place de la mairie. Derrière le petit pupitre, collé aux marches de la mairie, la plupart des élus tourvains, ainsi que d'autres, venus des villes et villages voisins pour marquer leur soutien. Dans le public, deux ou trois pancartes de carton: "Tourves sans migrants", "Non aux migrants" (...)

    "Nous devons digérer ce qu'il nous arrive. Je condamne par avance tout excès", a lancé le maire tourvain. "Nous voulons protester symboliquement contre une décision prise à Paris, par le gouvernement. Nous la subissons et nous la contestons." (...) Le maire affirme que l'arrivée de 90 jeunes hommes en provenance de Calais ne lui aurait été annoncée par les services de la sous-préfecture de Brignoles que le 16 septembre.

    "Il faut dépassionner le débat. Je n'ai pas le pouvoir de m'opposer, même le député Josette Pons, qui est ici ce soir, n'a pas le pouvoir de s'opposer. Tout ce qu'on peut faire, c'est dire qu'on est contre." Dans le public, un homme suggère "On pourrait bloquer le village vacances, s'enchaîner aux grilles…" (...)

    On a peur pour nos familles, pour nos enfants !", crie un homme dans la foule, aussitôt applaudi (...)"

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html