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EXCLU - Sarkozy à Assad : « On va mettre la Syrie à feu et à sang ! » (Rochedy)
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Octobre 2016 - Plan sioniste pour le Moyen-Orient
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Fronde des policiers : FN à la manœuvre ou lâcheté de l’État ?
François Hollande l’a récemment admis : la France se divise pour longtemps.
Se dirigeant vers la place Beauvau, les policiers en colère criaient, mercredi 19 octobre, « Cazeneuve démission ! » Pour Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste, cela ne fait aucun doute : le Front national est à la manœuvre, manipulant les fonctionnaires de police. Aux ordres du pouvoir, Libé a même osé titrer : « Colère policière. Le FN en embuscade. »
Les propos de l’ancien trotskiste sont d’une extrême gravité, sous-entendant que les policiers ne suivent plus les ordres du ministère de l’Intérieur mais ceux d’une formation politique. Espace dans lequel se sont engouffrés les agitateurs de la sphère marxiste culturelle, au premier rang desquels on retrouve Sihame Assbague, proche du Parti des indigènes de la République, qui s’est fait connaître par son virulent racisme anti-blanc et sa haine viscérale des représentants de l’État.
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La Fondation Jérôme Lejeune à l’ONU : Les personnes trisomiques ont le droit de vivre !
Communiqué de la Fondation :
"« Le dépistage prénatal n’est pas la solution ; accepter et aider les personnes porteuses de trisomie 21 est la solution ! Elles ont le même droit que les autres d’exister. » vient de défendre la Fondation Jérôme Lejeune le mercredi 5 octobre applaudie à l’ONU.
De façon concomitante, dans le cadre de l’Examen Périodique Universel, la Fondation et Downpride, association hollandaise défendant les personnes atteintes de Trisomie 21, ont déposé une déclaration écrite dénonçant l’introduction du DPNI dans le système de santé public néerlandais. Elles y rappellent le danger de l’introduction du test de Dépistage Prénatal Non invasif (DPNI) alors qu’en France déjà 96% des fœtus diagnostiqués trisomie 21 sont avortés.
Ce nouveau test, à partir d’une prise de sang analyse des bouts d’ADN du bébé présents dans le sang de la mère. Aujourd’hui, son but n’est pas de soigner, mais de détecter la trisomie 21.
En France, la Haute autorité de santé (HAS) a rendu en novembre 2015 un avis favorable à l’intégration du DPNI dans le parcours de dépistage remboursé par les pouvoirs publics. Aux Pays-Bas, le ministre de la santé a annoncé que le DPNI serait mis à disposition des femmes enceintes à partir du 1er avril 2017, et remboursé en grande partie par la sécurité sociale. Comme le dénonce Renate Lindman, présidente du collectif Downpride :
« à l’inverse, peu de programmes de recherche existent pour améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de trisomie 21. C’est un signal clair de la société qui a choisi la solution de l’exclusion prénatale ».
Lors de son intervention la Fondation Jérôme Lejeune est venue rappeler sa mobilisation internationale depuis janvier 2016 sous la forme d’une pétition Stop Discriminating Down qui formule trois exigences aux Etats :
- Arrêter de proposer par les pouvoirs publics le dépistage prénatal systématique des enfants porteurs de trisomie 21, visant délibérément à la sélection de fœtus « sains »
- Réglementer l’introduction du dépistage génétique prénatal, sur la base des principes définis dans la Déclaration universelle des droits de l’homme, dans la Convention d’Oviedo (articles 11 et 12) et dans la Charte européenne des droits fondamentaux de l’Union européenne (articles 2, 3, 21 et 26).
- Permettre l’utilisation des tests génétiques uniquement pour améliorer les soins et le bien-être, et non pour discriminer les personnes en fonction de leurs prédispositions génétiques.
Personne ne devrait avoir à défendre son droit de vivre en raison de son patrimoine génétique.
Pour le dire avec nous, signez la pétition Stop Discriminating Down !"
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Police : troisième « nuit debout »
Insultés, caillassés, tirés comme des lapins, brûlés vifs dans leur voiture par des « sauvageons »… Après deux nuits de manifestations spontanées – lundi sur les Champs-Elysées, mardi à Paris et en province –, les policiers se sont de nouveau rassemblés mercredi soir dans plusieurs villes de France pour dire leur ras-le-bol et exprimer leur soutien à leurs collègues de Viry-Châtillon.
Ainsi, à Paris, quelque 500 policiers se sont rassemblés pour une troisième « nuit debout » place de la République, au pied de la statue. Un rassemblement dans le calme au cours duquel ils ont entonné la Marseillaise et réclamé, du moins pour certains, la démission de leur ministre de tutelle, Bernard Cazeneuve, tandis que d’autres se sont rendus à pied devant l’hôpital Saint-Louis où est hospitalisé leur collègue grièvement brûlé le 8 octobre à Viry-Châtillon, après avoir été empêchés de rentrer sur la place Beauvau par des gendarmes.
Idem à Toulouse, où une centaine de policiers se sont réunis devant le monument aux morts, et à Bordeaux où, là aussi, une bonne centaine de policiers se sont rassemblés devant le palais de justice.
Tandis qu’ils manifestaient une nouvelle fois leur colère, d’autres policiers étaient visés par une quarantaine de « jeunes » armées de cocktails molotov à Vénissieux, une banlieue particulièrement sensible de Lyon.
Des policiers oubliés par un gouvernement et une justice en pleine déliquescence qui préfèrent saluer le « sang froid » des policiers, invités à ne surtout pas se servir de leurs armes quitte à se faire lyncher ou tuer sans riposter, plutôt que de mettre hors course les racailles. Des policiers qui « veulent une réponse pénale aux agressions et à la violence dont ils sont victimes ».
Des policiers qui ne lâchent rien – malgré le rappel à l’ordre du ministre de l’Intérieur et de leur patron Jean-Marc Falcone, directeur de la police nationale – et qui ont annoncé la tenue d’une « marche de la colère policière et citoyenne » le mercredi 26 octobre.
Une manif annoncée qui ne laissera sans doute pas une nouvelle fois de « surprendre » le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, qui, ne sachant plus comment sortir du pétrin le lamentable gouvernement hollandais, dénonce, on croit rêver, « la patte » du Front national derrière les manifestations de policiers qu’il n’hésite pas à qualifier de « hors-la-loi ». Pour lui, le Front national, Marine Le Pen en tête, « se camoufle dans la situation politique » et « manie tout à la fois la banalisation et l’excitation ». Faut quand même oser.
Réponse de Florian Philippot à ce médiocre et minable diagnostic de Jean-Christophe Cambadélis : « Pas de “patte” du FN mais un soutien sans faille face à un pouvoir qui a manifestement de la haine pour la police. »
CPierre Malpouge
Article paru dans Présent daté du 21 octobre 2016
http://fr.novopress.info/201157/police-troisieme-nuit-debout/#more-201157
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La vassalisation des politiques vis à vis du Golfe
Les journalistes et ex-otages Christian Chesnot et Georges Malbrunot publient un ouvrage sur les relations de la France avec les monarchies du Golfe. Christian Chesnot, journaliste à Radio France,est interrogé sur Ouest-France. Révélations :
"Notre relation avec les pays du Golfe a depuis quarante ans été assez pervertie par l’argent, qui a coulé à flot à certains moments. Avec deux niveaux. La diplomatie des grands contrats (rafales, technologie nucléaire etc…). Et puis une sorte de danse du ventre de notre classe politique. Oui. Les monarchies du Golfe ont volontiers joué du chéquier, mais il y a aussi chez nous tendance à les prendre pour un distributeur de billets.
Tous partis confondus ?
Sous Sarkozy, c’est la lune de miel avec le Qatar. Leur ambassadeur arrose Paris. Subventions, financements, cadeaux personnels.A chaque Noël, il envoie des paquets à une trentaine de personnalités, d’une valeur de 10 000 euros à peu près.Aucun sac de grand luxe n’a été retourné à l’ambassade. Certains élus français se plaignent même lorsque le cadeau n’arrive pas ou les Qataris refusent de payer tel ou tel voyage.
Cela continue ?
Avec le Qatar bashing, les Qataris ont mis un frein depuis trois ans. Mais les subventions restent. Le maire de Cannes a autorisé la construction de deux mosquées saoudiennes, et en même temps il interdit le burkini. A Nice, c’est le ministre saoudien des affaires religieuses qui finance, de son propre chef, une mosquée. C’est légal, mais cela a de quoi dérouter. On est dans une relation tout sauf saine.
Quel est le rôle de ces pays dans le financement du terrorisme djihadiste ?
Depuis la révolution iranienne en 1979 et l’aide apportée aux mudjaïdines en Afghanistan, des réseaux financiers se sont créés pour financer le djihad dans le monde. Les rapports américains, du FBI et de la CIA, le disent clairement. [...]
Sur la Syrie, on a sous-estimé la montée djihadiste?
Oui, on a fermé les yeux sur cette menace. Les services de sécurité étaient au courant, mais à l’échelon politique, on ne voulait pas voir. Sous Sarkozy comme avec Fabius. On parlait de modéré, d’exagérations… Les 150 personnes que nous avons rencontrées sont aussi des gens qui avaient le sentiment d’avoir prêché dans le désert. Des militaires, des diplomates, des agents de renseignement. On vend des armes, mais les militaires qui opèrent au Sahel, au Niger, au Mali, au Tchad, voient bien l’influence contradictoire des pays du Golfe par rapport à leur mission. [...]"
Sur France Inter ce matin, Christian Chesnot révèle aussi que Jean-Marie Le Guen aurait demandé 10 000€ par mois pour bloquer les questions sur le Qatar à l'Assemblée.
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Jean-Frédéric Poisson victime du lobby-qui-n’existe-pas
Hier, nous nous inquiétons de la liberté d’expression qui se réduit tous les jours un peu plus, et la judiciarisation toujours plus pesante du débat public. Hélas, chaque jour qui passe vient nous apporter de nouvelles preuves. Cette fois-ci, c’est un candidat à la primaire Les Républicains, parti consensuel s’il en est, qui en a fait les frais. Pourtant, vous allez le voir, il n’y a pas de quoi fouetter un chat, mais les bâilloneurs sont très susceptibles et il en faut très peu pour les faire sortir de leurs gonds.
Ainsi, dans une interview dans le cadre de la primaire des Républicains, Frédéric Poisson était invité à donner son opinion sur les élections américaines. Poisson a émis des réserves au sujet d’Hillary Clinton, jusque là, rien que de très normal, mais là où certains voient un scandale, c’est à cause des raisons qu’a fournies Poisson : En effet, ce dernier a jugé «dangereuses pour l’Europe et la France » la « proximité » de la candidate démocrate « avec les super-financiers de Wall Street » et sa « soumission aux lobbies sionistes ».
Il n’en a pas dit plus, mais c’en est trop pour certains. Plutôt que de réfuter les dires de Poisson avec des arguments et ainsi opposer arguments contre arguments comme cela devrait être dans un débat qui cherche la vérité, un certain lobby a sonné l’hallali : Le CRIF a publié un communiqué jugeant que ces « propos abjects » et « nauséabonds » méritent une « sanction exemplaire » et une « condamnation ferme » de la part de la commission d’organisation de la primaire de la droite et du centre. Pas moins.
On devrait penser que le parti Les Républicains viendrait en aide à l’un de ses candidats, bassement attaqué par un lobby que l’on n’a pas le droit de nommer car, paraît il, ce lobby n’existe pas. Eh bien, c’est exactement l’inverse qui s’est passé, ce parti se couchant littéralement devant le diktat du lobby-qui-n’existe-pas. Ainsi, Thierry Solère, président de ladite commission, a donné raison au Crif dans la foulée, faisant fi de la neutralité dont il est supposé être. « En tant que député de Boulogne/Boulogne-Billancourt, je condamne avec la plus grande force les propos de Jean-Frédéric Poisson », affirme-t-il, ajoutant que l’expression «lobby sioniste (…) nourrit les thèses conspirationnistes et a un caractère insidieusement antisémite. » Soyons sûrs que les autres candidats à la primaire partagent l’avis de Solère.
Quant à Poisson, s’il a arrondi les angles (jugeant maladroite la formulation), il n’a pas renié le fond de sa pensée, ce qui est à son honneur.
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Accueil LMPT d'Alain Juppé à Rennes
Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Pour les migrants presque 10 milliards d’euros en trois ans
Pour mener en avant les politiques d’accueil, le gouvernement italien est en train de saigner le pays.
Pour ses contributions à l’Union Européenne, l’Italie a déjà dépensé 2,6 milliards d’euros en 2015. Elle prévoit d’en dépenser 3,3 en 2016 et 3,8 en 2017. Le coût se montera au tour des 10 milliards. Un chiffre monstrueux qui non seulement n’a pas résolu le problème migratoire mais qui a en revanche accru les difficultés économiques de l’Italie.
L’impact compressif sur le bilan de l’État italien concernant les dépenses pour les migrants est impressionnant. Ces chiffres ont été mis noir sur blanc par le ministre de l’Économie, Pier Carlo Padoan, et maintenant ils sont sur la table de l’Union Européenne.
Le gouvernement italien se sert de cette somme pharamineuse pour obtenir de la part de Bruxelles plus de flexibilité.
« L’Italie fait un énorme effort pour sauver des vies humaines, accueillir et gérer un énorme flux d’immigrés, explique Padoan en rappelant que beaucoup de pays de l’Union Européenne se refusent à le faire. « Les pactes valent sur tous les thèmes, pas seulement sur le déficit. »
Les portes ouvertes aux migrants par Matteo Renzi, chef du gouvernent, et Angelo Alfano, ministre de l’Intérieur, sous la pression de la chancelière allemande Merkel, ont permis l’invasion de la botte par des milliers de clandestins et ont vidé les caisses de l’État. De l’argent qui vient soustrait aux Italiens.
« L’Italie dépense chaque année, depuis 2014, entre deux et trois fois plus que la moyenne entre 2011-2013, avant que n’explose l’urgence humanitaire, lit-on dans le rapport. La dépense pour les migrants que l’Italie est en train de soutenir ne peut être évaluée seulement en termes de dépenses augmentées par l’urgence, qui est exclue des pactes de stabilité, mais devrait tenir compte de l’effort complexe engagé dans ce domaine, confronté avec une situation où il n’y a pas d’urgence humanitaire. »
La révélation de la dépense astronomique allouée à l’immigration par l’Italie témoigne de l’échec total des politiques d’accueil qui appauvrissent considérablement les pays, qui comme l’Italie, sont soumis à l’invasion migratoire.
Francesca de Villasmundo
http://www.secoloditalia.it/2016/10/per-i-migranti-10-miliardi-in-anni-salasso-firmato-renzi-alfano/
http://www.medias-presse.info/pour-les-migrants-presque-10-milliards-deuros-en-trois-ans/62862