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lobby - Page 1352

  • Les mondialistes perdront par déni d’humanité…

    Au-delà du Brexit, ce référendum marque un coup d’arrêt sur 40 ans de manipulation mondialiste.

    Les gratte-ciel continuent à tanguer depuis l’onde de choc du Brexit. Pour la première fois, les élites politiques, culturelles, financières et médiatiques ont conscience qu’elles peuvent perdre. Cependant, et au lieu de se remettre en cause et de tirer les leçons de leur échec, les mondialistes ressemblent à des enfants capricieux privés de dessert. Depuis vendredi, certains tapent du clic sur la table afin d’exiger un nouveau référendum. Pour eux, la démocratie est censée être du côté des gentils — ce qu’ils sont persuadés d’être —, et le gentil, eh bien, ça gagne toujours à la fin ! D’autres, souvent jeunes, déversent leur mépris sur ces « vieux » qui ont majoritairement voté pour le Brexit, et aimeraient qu’ils se voient retirer leur droit de vote. Face à la beauté et la dignité de ce que « la citoyenneté européenne » a réussi à produire, on ne peut être qu’admiratif et envieux…

  • Réussites bruxelloises?

    Les statistiques sont  formelles, depuis le référendum  de 2005 sur la constitution européenne,  les NON  Français et néerlandais, toutes les consultations populaires  qui ont porté sur l’Europe se sont traduites par un camouflet pour Bruxelles. La veille des résultats du référendum britannique, fort des derniers résultats des sondages commandés par des groupes financiers, Bernard-Henry Lévy se réjouissait pourtant un peu vite sur twitter d’une «déroute des souverainistes», et des «xénophobes» (sic). BHL a depuis mangé son chapeau, et exprime, à l’instar des autres figures de  la vaste tribu des euromondialistes, sa colère, voire  sa soif de revanche.  Loin de ce déchaînement outrancier, Bruno Gollnisch enregistrera pour sa part aujourd’hui, sur le mode apaisé qui le caractérise, sa traditionnelle vidéo d’entretien  depuis le Parlement européen. Elle sera consacrée exclusivement au Brexit, au décryptage du déferlement de commentaires (horrifiés et  apocalyptiques) qu’il a  généré, aux perspectives qu’il ouvre…

    Au nombre de celles-ci, Le Monde s’inquiète  du résultat de la présidentielle française l’année prochaine, affirmant que déjà en 2002, « la tragédie américaine (le onze septembre 2001, NDLR)  avait donné une redoutable résonance historique (à Jean-Marie Le Pen, NDLR) au triptyque gagnant de l’extrême droite, islam, immigration, insécurité (…). Quinze ans plus tard, l’Histoire semble se répéter, au profit désormais de Marine Le Pen (…). Comme lui, elle peut espérer, en silence ou presque, tirer bénéfice des soubresauts internationaux et de leur impact en France. Mieux que lui, même, puisque ce n’est pas un mais plusieurs traumatismes qui ont secoué le pays ces derniers mois : les attentats islamistes à Paris, en janvier et en novembre 2015, la lancinante crise des réfugiés qui frappent aux portes de l’Europe, enfin le référendum britannique et la victoire du Brexit  le 23 juin.»

    C’est ce mardi également que débute  le premier sommet européen depuis le Brexit en présence bien évidemment du Premier ministre britannique David Cameron. Il y sera bien évidemment question du calendrier de sortie du Royaume-Uni d’une UE à laquelle, ayant gardé sa souveraineté monétaire et non membre de l’espace Schengen, il était bien moins soumis que la France  y compris par toutes sortes de dérogations. Cette sortie du Royaume-Uni, possible en vertu de  l’article 50 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, devra incomber en octobre au successeur de M. Cameron, a annoncé  ce dernier. Trop long ( ?) pour François Hollande et le chef de l’exécutif italien Matteo Renzi,  qui veulent un départ rapide tout comme  le président  de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker  qui ,sur le ton de la menace, a prévenu que cette sortie de l’UE ne sera pas un «divorce à l’amiable. »

    Le gouvernement d’Angela Merkel campe lui sur une position plus souple vis-à-vis de Londres et semble même parfois remettre en cause les résultats des urnes. Le directeur de la chancellerie, Peter Altmaier, a ainsi été jusqu’à dire que «la classe politique (britannique) devrait avoir la possibilité de réfléchir une  nouvelle fois aux conséquences d’un retrait.»

    La crainte d’une contagion possible du vote britannique, de voir d’autres peuples européens réclamer leur liberté est en tout cas bien réelle. Mme Merkel  a annoncé le souhait des dirigeants de  l’Allemagne, de la France et de l’Italie de «donner une nouvelle impulsion» au cours des prochains mois «au projet européen», notamment  dans les domaines de «la défense, la croissance, l’emploi et la compétitivité.» Des formules mille fois entendues. Marine, le FN en France, le Parti National Slovaque (SNS ) en Slovaquie, le FPÖ en Autriche, Geert Wilders au Pays-Bas ont tous évoqué la possibilité d’un référendum dans leur pays respectif. Même le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, plutôt favorable jusqu’alors au maintien dans l’Europe,  a expliqué que le départ programmé du Royaume-Uni avait changé  la donne : «L’UE représente le désordre, la Hongrie représente l’ordre »

    L’historien Henry Rousso  évoquait hier dans  Libération, sa «colère» et son «inquiétude» après le vote des Britanniques et affirmait que « l’Europe des patries, fantasmes des souverainistes, n’a de fait jamais existé » (sic).  L’Europe que Jean-Marie Le Pen défendait lors de son discours du 1er mai en 1988  rappelait dans le même numéro le quotidien de Patrick Drahi, celle d’avant Maastricht et la chute des dictatures communistes à l’Est. Le président du FN réclamait alors  «la construction d’une Europe politique, économique et militaire», «cadre de la civilisation européenne». N’en déplaise à M Rousso, les dérives liberticides de l’ UE, la fuite en avant mondialiste, doivent laisser la place à une Europe de la libre coopération entre Nations souveraines, aux coopérations inter-étatiques. Ce sont elles qui sont constructives et bénéfiques  comme l’attestent  notamment les programmes Airbus, Ariane, le Cern , qui ne sont pas des réussites bruxelloises comme veulent nous le faire croire les  euro-atlantistes de la classe politicienne.

    http://gollnisch.com/2016/06/28/reussites-bruxelloises/

  • La méthode Sarkozy pour ne pas respecter un vote démocratique fait des émules

    Visiblement la méthode Sarkozy pour annuler un référendum donne des espoirs aux mauvais perdants que sont les eurocrates :

    "Le Monde explore les pistes apparues sur la question, qui donnent un espoir aux partisans d’un maintien du Royaume-Uni dans l’Union européenne (UE) (...)

    Pour que ce retrait soit effectif, le pays qui souhaite quitter l’UE doit d’abord notifier sa décision au Conseil européen. S’ouvre alors une période de négociation qui doit déboucher sur un accord régissant les futures relations entre l’Etat membre et l’Union européenne. Si la concertation échoue, la sortie de l’UE est actée deux ans après la notification de retrait – un délai qui peut être prolongé avec l’approbation de tous les Etats membres.

    En résumé, un vrai compte à rebours sera déclenché au moment où Londres va, pour de bon, appuyer sur le bouton « out ». D’où la volonté des autorités britanniques de gagner du temps. Le premier ministre David Cameron, qui a annoncé qu’il quitterait son poste à l’automne, a laissé à son successeur le soin d’activer l’article 50 (...)

    « Quel que soit le premier ministre en charge, je crois qu’il ne sera pas assez stupide pour appuyer sur le bouton », résumait dimanche, auprès du Monde, un diplomate bruxellois (...)

    Un coup de théâtre est-il à envisager durant cette période ? Un diplomate bruxellois interrogé par Le Monde se prend à espérer : « Avec le temps, les “Brexiters” vont se rendre compte de l’erreur qu’ils ont faite, et le référendum sera annulé. Personne ne s’en plaindrait ici. » (...)

    Le référendum de jeudi dernier était consultatif et non contraignant juridiquement (...)

    Aussi, certains réclament que le Parlement se saisisse désormais du dossier avant qu’il n’aille à Bruxelles, et vote contre la sortie de l’UE.« Réveillez-vous. Nous n’avons pas à faire cela. Nous pouvons mettre fin à cette folie et faire cesser ce cauchemar par un vote au Parlement », a ainsi réagi le député travailliste David Lammy.

    Au moins 479 députés sur les 650 que compte la Chambre des communes s’étaient prononcés pour le « Remain » lors de la campagne. Mais le Parlement peut-il prendre une décision qui irait à l’encontre du choix fait par 17,4 millions d’habitants ? Ce serait possible « en théorie », a résumé auprès de l’agence Associated Press le constitutionnaliste Alan Renwick, de l’University collège de Londres, « mais en pratique, c’est absolument impossible ».

    L’avocat Geoffrey Robertson n’est pas de cet avis. « Notre démocratie n’autorise pas la prise de décision par référendum. Ce rôle appartient aux représentants du peuple, et non au peuple lui-même », écrit-il dans une tribune sur le site du Guardian. Selon lui, les députés devraient ainsi être appelés à voter pour ou contre le Brexit, au moment où le futur premier ministre engagera la procédure de sortie."

    Philippe Carhon

  • La CGT entre deux manifs

    Au lendemain de la journée du 23 juin, dominée dans l'Hexagone par une manifestation pour le retrait de la loi travail, on pouvait légitimement se demander ce que la énième pseudo-mobilisation des masses ouvrières annoncée pour le 28 juin cherche encore à démontrer, sinon sur son propre déclin tout au long de ce pluvieux et décevant printemps.

    Le dixième défilé avait accepté, symboliquement, de tourner en rond, partant à 14 h 15 de la place de la Bastille, revenant moins d’une heure après à son point de départ.

    La veille 22 juin, Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT avait cru pouvoir affirmer : "il va y avoir du monde". Mais, comparé aux 80 000 personnes du 14 juin ou aux chiffres du 26 mai, la police n'estimait plus les effectifs qu'à 20 000, un nombre de piétons encore en recul.

    Il apparaît cependant, désormais, que la CGT en appelle discrètement, contre Valls, à François Hollande : "Il faut qu’il prenne les affaires en main", proclame Philippe Martinez. Il est vrai qu'en appeler au roi de la capitulation pourrait bien se révéler un habile calcul.

    Il est vrai que jusqu'au dernier moment on a pu imaginer que le gouvernement et son préfet de police maintiendraient, lors de cette folle semaine, l'interdiction de défiler. Et le secrétaire général de FO Jean-Claude Mailly a même pu déclarer que "si Manuel Valls n’avait pas fait ses déclarations intempestives publiques, il n’y aurait pas eu de manifestation aujourd’hui."

    La signification pseudo-syndicale de ces manifestations, qui durent depuis trois mois, s'est cependant effacée au fil des semaines. Leur dimension s'affirme en effet exclusivement politique : il s'agit, uniquement désormais, de dissocier la gauche d'inspiration marxiste, celle qui se réclame encore de la lutte des classes, et qui englobe une fraction du parti socialiste, de la gauche dite de gouvernement.

    Parmi les sept organisations participant à cette mobilisation certes une partie des adhérents de la CGT, de Force ouvrière, voire certains membres de Solidaires, sont concernés par le projet de loi dont on demande le retrait, mais les quatre autres centrales ou mouvements, la FSU, l'UNEF, la FIDL ou l'Union Nationale des Lycéens ne sauraient se prévaloir de la représentation d'aucun salarié du privé.

    Pour assurer qu'il ne se produirait plus, contrairement aux journées précédentes, ni débordement, ni incident, le service d’ordre de la CGT verrouillait scrupuleusement le défilé. Ses militants ont toutefois essuyé leur lot d'insultes – "traîtres", "collabos",réservées jusqu'ici aux (prétendus) "jaunes" de la CFDT.

    À Rennes encore cependant, une manifestation sauvage a donné lieu à des incidents, prouvant l'utilité des mesures de précaution.

    "Si le gouvernement s’entêtait, on verra cet été, a déclaré Jean-Claude Mailly, mais on verra surtout à la rentrée."

    La CGT et FO vont donc changer de terrain et faire davantage pression sur les parlementaires avant le vote en deuxième lecture à l’Assemblée nationale, début juillet. Elles n’attendent plus rien de Manuel Valls, "anxiogène" et "pyromane", selon les mots du dirigeant de FO, encarté au parti socialiste et, en fait, lié au clan Aubry.

    Cette mobilisation réitérée contre une loi en cours de débat parlementaire obéit donc bel et bien, pour la CGT, à une préoccupation politique. Elle le confirme en se donnant son dernier rendez-vous le 28 juin, jour du vote au Sénat. FO se joint à elle, à la fois sous l'emprise de son appareil de formation trotskiste-lambertiste, mais aussi en raison d'un aspect technique : implantée dans le secteur public, FO est trop faible dans les entreprises privées pour pouvoir vraiment participer à des négociations se situant au-dessous du niveau des branches, et pour cela l'article 2 de la Loi El Khomri ne peut pas lui convenir dans sa version actuelle.

    Cette loi, au bout du compte, n'est cependant plus qu'un prétexte.

    L'ont compris à leur manière tous ceux qui ne répondent pas aux appels à la mobilisation générale. Il serait temps que cette écrasante majorité silencieuse s'exprime à son tour.

    http://www.insolent.fr/

  • L’Académie de médecine réclame l’instauration d’« une médecine sexuée »

    FRANCE (NOVOpress) : L’Académie nationale de médecine vient de publier une étude alarmiste sur la « parité en santé », dans laquelle elle appelle à passer de toute urgence d’une « médecine indifférenciée à une médecine sexuée ». Attirant l’attention des pouvoirs publics sur le dogme de « la parité en santé », elle affirme que « la recherche scientifique et la médecine ne peuvent plus ignorer les différences biologiques entre les sexes » :

    Médecine-sexuée-300x215.jpg« Les hommes et les femmes ne sont pas égaux devant la maladie et doivent donc être traités différemment. Plusieurs pays européens ont déjà adapté en conséquence leur recherche scientifique et leurs stratégies thérapeutiques, prenant ainsi au moins dix ans d’avance par rapport à la France, où sous prétexte de parité, on évite de reconnaître les différences entre les hommes et les femmes, au mépris des évidences. »

    Ou encore :

    « La primauté donnée au genre sur les réalités du sexe risque de créer une injustice de plus, dont il est du devoir des scientifiques et des médecins de prendre conscience pour alerter et agir. »

    L’Académie nationale de médecine explique que « l’incidence et la progression de nombreuses maladies diffèrent d’un sexe à l’autre, de sorte que le sexe peut à lui seul être un facteur protecteur, parfois plus important que les traitements existants, et que l’efficacité des stratégies thérapeutiques ou préventives dépend en grande partie du sexe ».

    Elle émet donc un certain nombre de recommandations, comme de « concevoir et/ou interpréter les études sur l’Homme ou l’animal en tenant compte du sexe », car « l’étude d’un seul sexe ou le regroupement d’échantillons des 2 sexes risquent de ne pas permettre d’identifier une proportion importante de gènes ou les réseaux qui contribuent différemment pour l’homme et la femme au développement de maladies ou de comportements complexes. En effet, même si les réponses sont équivalentes, la cellule, selon qu’elle est mâle ou femelle, réagit souvent différemment », ou d’« intégrer dans la formation des médecins et des professionnels de santé les différences liées au sexe autres que celles seulement liées à la reproduction ».

    Fondée en 1820 par ordonnance de Louis XVIII, l’Académie nationale de médecine est l’héritière de l’Académie royale de chirurgie fondée en 1731 par Louis XV et de la Société royale de médecine fondée en 1778 sous Louis XVI. Elle est chargée de « répondre aux demandes du gouvernement sur tout ce qui intéresse la santé publique ».

    http://fr.novopress.info/

  • Du Brexit au Frexit !

    Communiqué de presse de Bruno Gollnisch,
    député européen (FN)

    Brexit : le peuple britannique a démontré ses capacités de résistance à une campagne de pressions sans précèdent, qui jouait sans vergogne de toutes les peurs injustifiées et de prédictions aussi calamiteuses que fantaisistes.

    Une majorité inflige aujourd’hui un camouflet sévère et mérité aux Euro-mondialistes qui depuis des années dévoient la coopération européenne, en édifiant méthodiquement la bureaucratie d’un « Super-État », véritable prison des peuples, tout en ouvrant les frontières à tous les flux de personnes, de marchandises et de capitaux, fussent-ils dévastateurs.

    Le Front National a été le premier à dénoncer cette évolution et à proposer une autre politique. Puisse-t-il enfin être entendu !

    http://gollnisch.com/2016/06/24/du-brexit-au-frexit/

  • Si tu veux la paix, défend la famille (Ludovine de la Rochère)

  • Comment a-t-on pu en arriver là ?

    Chronique de Thierry Gobet

    L’assassinat du commandant de police et l’égorgement de son épouse à leur domicile de Magnanville (78) par un islamiste - fiché faut-il le rappeler - est un acte d’une telle gravité qu’il oblige à établir un constat, un constat sévère sur la situation actuelle de notre pays, voire même en Europe, sans oublier les Etats-Unis avec la fusillade d’Orlando, mais où notre responsabilité n’est pas ici directement engagée. L’assassinat du couple de policiers à leur domicile est un fait d’autant plus grave et emblématique qu’il ne s’agit pas d’un fait unique, «accidentel», provenant d’un « déséquilibré » - tel que l’on a coutume de définir ce genre d’individus pour étouffer les origines de leurs actes - mais d’une nouvelle agression criminelle s’ajoutant à d’autres de la même veine. Je fais référence à l’égorgement d’un alpiniste français dans l’atlas algérien par son propre guide, aux attentats du Bataclan (130 morts), ainsi que dans les restaurants parisiens (20 morts) le 13 novembre 2015, à la décapitation d’un chef d’entreprise en juin 2015 dont la tête avait été exposée sur une grille avec des inscriptions musulmanes. A ce sujet, les médias avaient déclaré que le chef d’entreprise avait repris son employé d’une façon «sévère», suite à une faute professionnelle. Rien de plus naturel… Après cette exécution j’avais déclaré à un ancien chef d’Etat-Major de l’Armée que nous étions «en situation de guerre», ce à quoi il ne me fit aucune objection. On a entendu déclarer dans les médias que les accidents de la route le week-end occasionnaient plus de morts qu’au Bataclan… Ce genre de réflexion, à elle seule, suffit à montrer l’état de décadence avancée de notre société, que je qualifierais de pathologique.

    La situation est tellement grave que la majorité de la population préfère ne pas voir la réalité en face (1), abandonnant son destin à une classe politique absolument pas à la hauteur de la situation, tant par sa formation, que prisonnière d’une idéologie délétère, et de la captation de notre souveraineté tant politique que financière (2).

    Il n’existe pas plus de situation spontanée en politique qu’il n’existe de génération spontanée en science. Toute situation politique n’étant que le résultat, l’aboutissement de situations politiques antérieures, elles-mêmes produites par des décisions politiques, validées par les électeurs.

    Nous nous bornerons ici à n’en citer que quelques-unes :

    - Le 18 mai 2016, une voiture de police est incendiée à Paris avec des policiers à l’intérieur. Les coupables arrêtés sont relâchés dans la journée. Sans commentaires …

    Pourquoi ces individus très dangereux issus de l’immigration musulmane bénéficient-ils d’un tel régime de faveur ?

    Les pays du Golfe (Arabie Saoudite, Qatar) qui soutiennent et financent les mouvements islamistes, financent également l’Occident, dont les grandes banques après la crise financière de 2008, de même que les médias et les politiques, mais cela n’est pas suffisant pour expliquer le phénomène.

    Ainsi, l’ancien ministre socialiste Jean Glavany a-t-il déclaré : « L’islam contribuera à l’affaiblissement du catholicisme ».

    L’idéologie de la culpabilisation du Blanc, raciste et colonialiste selon la vision marxiste de la colonisation européenne - a annihilé l’instinct naturel de défense de l’occidental (« L’Occident est émasculé » déclarait Soljenitsyne il y’a déjà 30 ans) et a fait de l’immigré une victime avec tous les droits. Depuis 1981 les socialocommunistes ont érigé ce dogme en principe de politique.

    - Alors qu’un jeune délinquant immigré s‘était tué en voiture lors d’une poursuite avec les gendarmes, le Président Mitterrand avait reçu ses parents à l’Elysée. Pas un tel honneur pour les familles de pompiers ou sauveteurs en mer morts en service…

    - L’ex-ministre socialiste de la Justice Taubira fut la championne d’une justice inversée en faveur des délinquants - dont une majorité est issue de l’immigration - au détriment des honnêtes gens.

    - Quant à la présumée Droite, Nicolas Sarkozy, ministre de l’Intérieur a supprimé la dite « double peine », le retour au pays des grands délinquants, pour cause de «traumatisme des familles». Pas de traumatisme pour les Français d’Algérie, pour qui c’était «le cercueil ou la valise»…

    - Sous Nicolas Sarkozy toujours, trois policiers furent mis en accusation avec renfort de propagande dans les grands médias pour « faits de violence » sur la personne de délinquants d’origine maghrébine condamnés à 12 ans de prison.

    Tous ces politiques, vraie gauche - fausse droite confondues, ont bien été élus et réélus par le peuple et soutenus par leurs administrations, dont la police. Donc tous ont leur part de responsabilité dans ce qui arrive aujourd’hui.

    Ici encore, les Présidentielles de 2017 ne changeront rien. Seul un bouleversement profond du système sauvera notre pays et sa civilisation.

    (1) Cf. chronique du 18 mars 2016 : « Encore un instant Monsieur le bourreau… »

    (2) Cf. chronique du 27 mai 2016 : « la France vassale »

     
  • Un « réfugié » a commencé le regroupement familial de ses 3 femmes et 20 enfants qui vont tous vivre aux frais des contribuables

    Au Danemark, le cas de Daham Al Hasan est dans tous les journaux. Ce « réfugié » s’est installé au Danemark. Mais il a trois épouses et vingt enfants ! Il est d’abord arrivé seul. Puis une de ses femmes et huit enfants ont suivi. Et il a demandé de bénéficier du regroupement familial pour pouvoir faire venir ses autres femmes et tous leurs enfants au Danemark si accueillant. Grâce aux pressions, neuf autres enfants sont déjà arrivés au Danemark. Et, bien que la législation danoise interdise la polygamie, les experts juridiques considèrent que les deux autres femmes doivent pouvoir venir à leur tour au Danemark puisque… la plupart de leurs enfants y sont déjà arrivés.

    Il faut encore préciser que Daham Al Hasan affirme être trop malade pour travailler et trop vieux pour apprendre la langue danoise. Il se réjouit donc de pouvoir vivre avec sa grande famille grâce aux allocations que lui accordent le Danemark. Des allocations très importantes puisqu’elles tiennent compte des vingt enfants dont dix-sept ont moins de quinze ans.

    Curieusement, il paraît que de plus en plus de Danois envisagent de voter pour un parti anti-immigration. Etrange, non ? Mais surtout un peu trop tard…

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  • Angleterre, l'inévitable catastrophe identitaire


    Dans de nombreux endroits du Royaume anglais, le nombre d'immigrés a entraîné une modification conséquente du substrat ethnoculturel local.
    Voici un exemple de ces bouleversements avec des données issues du recensement de 2011 qui démontrent que les musulmans sont de plus en plus nombreux parmi les jeunes anglais. Au point même de dépasser, en nombre, les jeunes chrétiens dans certaines zones du pays.
    Birmingham
    Total jeunes : 278 623 (100 %)
    Jeunes chrétiens : 93 828 (33,67 % du total des jeunes)
    Jeunes musulmans : 97 099 (34,85 % du total des jeunes)
    Leicester
    Total jeunes : 79 139
    Jeunes chrétiens : 18 190 (22,98 %)
    Jeunes musulmans : 22 693 (28,67 %)
    Tower Hamlets
    Total jeunes : 56 090
    Jeunes chrétiens : 8,995 (16,04 %)
    Jeunes musulmans : 34 597 (61,68 %)
    Redbridge
    Total jeunes : 72 244
    Jeunes chrétiens : 21 500 (29,76 %)
    Jeunes musulmans : 24 216 (33,52 %)
    Newham
    Total jeunes : 79 658
    Jeunes chrétiens : 27 769 (34,86 %)
    Jeunes musulmans : 34 041 (42,73 %)
    Bradford
    Total jeunes : 114 514
    Jeunes chrétiens : 47 144 (41,16 %)
    Jeunes musulmans : 52 135 (45,53 %)
    Certes, ces changements ethnoculturels ne sont visibles que dans certaines villes et certains quartiers bien précis. Mais cela préfigure très clairement l'Angleterre de demain.
    Cela marque également la rupture totale avec l'Angleterre d'hier.
    Source : http://www.dailymail.co.uk/news/article-2755654/The-changing-face-Britain-A-child-Birmingham-likely-Muslim-Christian.html

    http://www.ventscontraires.fr/