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lobby - Page 1356

  • Des sanctions judiciaires contre l'Action française à l'heure des casseurs de l'ultragauche ? C'est une rigolade !

    A cause de l'incurie de la droite régionale, la région provençale ne dispose que d'une presse quotidienne de gauche ou d'ultragauche monocolore. A la soviétique. Qu'elle s'en prenne à la droite politicienne - plutôt que de balayer devant sa porte, d'ailleurs désertée - n'est pas notre affaire. Qu'elle diffame l'Action française, qu'elle ait le culot de réclamer contre elle des sanctions judiciaires - autrement dit sa dissolution - au moment même où les casseurs de la gauche radicale mettent le pays à feu et à sang, face à un gouvernement incapable - cela, en revanche, nous importe.  

    Aussi, le communiqué qu'on va lire, publié mardi dernier par l'Action française Provence nous est-il apparu particulièrement intéressant et bienvenu. Il remet les pendules à l'heure alors que non seulement la gauche, mais aussi la droite politicienne et l'ensemble du Système s'effondrent dans une sorte de chaos généralisé.  Lafautearousseau 

    Aix-en-Provence, le 14 juin 2016

    A l'attention du service politique

    Communiqué de presse

    Mensonges : la gauche récidive

    « Les violentes exactions de l'Action française se multiplient mais aucune sanction judiciaire n'est encore tombée », pouvait-on lire samedi* dans La Marseillaise et La Provence. La gauche, se croyant investie de l'autorité judiciaire. accuse et condamne. Généreuse avec les délinquants et les casseurs, elle est sans pitié avec ses opposants, qu'elle verrait bien derrière des barreaux. La démonstration vaut son pesant de cacahuètes : « Si des syndicalistes mènent une action dans les locaux d'une organisation politique ou contre un siège social, cassent du matériel et cognent sur les gens. le quart d'heure d'après, ils sont en taule. » Or, selon ses dires, l'Action française est coupable de « rassemblements fracassants, d'une tentative d'incendie, de menaces de mort et de distributions de coups ». Et « au marché, quand ils vendent leur torchon, ils crient 'Mort à la juiverie internationale!' » Par conséquent. il faut des « réponses judiciaires aux exactions de l'Action française ».

    Nous signalons aux staliniens et autres robespierristes qui s'étonnent « d'une situation stupéfiante du point de vue du droit » que leurs déclarations audacieuses n'en demeurent pas moins diffamatoires et susceptibles de poursuites pénales. A vouloir trop charger la barque, celle-ci craque sous le poids de leurs mensonges, plus fantaisistes les uns que les autres : peut-on croire un seul instant que des militants prétendument armés auraient pu faire l'objet d'un simple contrôle d'identité ? Le Parti socialiste et le Syndicat de la Magistrature. s'indignant de l'impunité supposée dont bénéficierait l'Action française, semblent ainsi convaincus d'un complot royaliste au sommet de l'État — à moins que ce ne soit un simple effet de leur imagination désordonnée.

    La lutte contre l'Action française. voilà un combat à la mesure de ces organisations syndicales, associatives et partisanes, incapables de faire plier le gouvernement sur la Loi Travail. L'épouvantail de l'extrême-droite se révèle fort utile : on peut se décharger de ses propres responsabilités et se refaire à peu de frais une virginité politique en l'accusant d'être violent et, surtout, à onze mois de l'élection présidentielle, il permet de battre le rappel des troupes divisées, ce que ne cachent d'ailleurs pas ceux qui demandent notre dissolution : « Tout le monde doit se mobiliser, d'autant plus à la veille d'élections cruciales lors desquelles le Front national compte s'imposer ».

    Un constat s'impose : la gauche est en faillite, elle n'existe plus qu'à travers nous. Les progressistes en pantoufles peuvent fulminer, la jeunesse de France leur a d'ores et déjà tourné le dos. Qu'à cela ne tienne, s'ils ne peuvent gagner. ils renverseront la table. « Après nous le déluge ! », semble être la conclusion de quarante années d'échecs et de politiques mortifères. Cela, nous ne pouvons l'accepter, et nous ne les laisserons pas nous priver de notre avenir, de celui de notre pays. Demain nous appartient. 

    * 11.06

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le Grand Remplacement, une arme politique de la gauche libérale-libertaire

    L’élection, sous l’étiquette travailliste, du nouveau maire de Londres, Sadiq Kahn, un musulman d’origine pakistanaise, illustre un autre aspect du Grand Remplacement des Européens : sa dimension politique.
    La gauche, c’est-à-dire l’oligarchie libérale/libertaire qui a pris le pouvoir à la fin des années 1980, a en effet misé partout sur l’immigration et les « minorités » pour assurer son emprise politique sur la société – et réduire au silence les autochtones.
    Elle a organisé le Grand Remplacement et elle compte désormais en tirer un avantage politique décisif.
    La gauche a misé partout sur l’immigration de peuplement
    Aux Etats-Unis c’est la ligne adoptée par le Parti démocrate qui a assuré l’élection de Barak Obama, alors que la majorité des électeurs d’origine WASP avait apporté ses suffrages au candidat républicain.
    La candidate démocrate probable aux futures élections présidentielles américaines, Hillary Clinton, mise de même sur le vote des « minorités » afro-américaines et hispaniques, qui deviennent d’ailleurs majoritaires dans certains états : elle ne rate donc jamais une occasion de se faire filmer bien entourée de personnes de couleur ou d’origine mexicaine.
    En Grande-Bretagne le Parti travailliste a repris des forces en misant sur le vote des personnes d’origine immigrée. A Londres, Sadiq Kahn a ainsi mobilisé 56,8% des électeurs, soit le meilleur score travailliste depuis des années.
    En France le Parti socialiste a fait de même depuis le lancement de l’opération « SOS Racisme » en 1984. Différentes analyses montrent que François Hollande lors des présidentielles de 2012 a massivement bénéficié du vote des électeurs musulmans.
    Si les partis de droite courent aussi après cet électorat, la gauche rafle partout la mise. Car une étroite symbiose s’est établie entre la gauche et le Grand Remplacement.
    Le Grand Remplacement au service de la Grande Trahison libérale/libertaire
    Par un heureux hasard, en effet, la gauche a choisi de défendre l’immigration au moment même où elle se ralliait au néo-libéralisme mondialiste.
    L’immigré a alors remplacé le prolétaire dans la symbolique doloriste et le discours de gauche. Avec cette différence notable que l’immigration est au service du capitalisme mondialisé, alors que le prolétariat devait annoncer la fin du capitalisme national.
    La promotion de Big Other, pour reprendre l’expression de Jean Raspail, a masqué la grande trahison de la gauche qui s’est opérée à la fin du XXe siècle, quand la gauche a renoncé à toute volonté de remettre en cause le système capitaliste, à la suite de l’effondrement de l’URSS et du communisme européen.
    La promotion bruyante des « droits » et des prétendus malheurs des potes/immigrés « victimes-du-racisme-et-des-discriminations » a servi à masquer la déconstruction méthodique des droits sociaux des travailleurs européens, opérée au nom d’un néo-libéralisme auquel la gauche européenne s’est ralliée, comme le montre en France la « gauche Macron ».
    Et la lutte contre le « racisme » a servi à mettre en accusation ceux que l’on trahissait : les peuples autochtones. Du grand art…
    Un changement de sens significatif
    La promotion du Grand Remplacement a servi à détourner l’attention de la Grande Trahison des élites de gauche, qui ont abandonné les peuples autochtones à la dure loi du marché mondialisé.
    De fait dans le vocabulaire de la gauche les mots « populaire » ou « social » ont changé de sens.
    Un « quartier populaire » ne désigne plus une zone de résidence où vivent des gens issus de notre peuple mais, au contraire, une zone peuplée de personnes issues de l’immigration. Et la « mixité sociale » n’a plus rien à voir avec les classes sociales : elle n’est en réalité qu’une cohabitation ethnique ou religieuse que l’on veut imposer.
    Ce changement sémantique traduit le changement de perspective politique de la nouvelle gauche libérale/libertaire.
    Un réservoir électoral convoité
    L’immigration constitue en outre un réservoir électoral d’autant plus convoité à gauche que celle-ci est sur le déclin puisqu’elle a perdu sa raison d’être révolutionnaire et populaire et qu’elle a abandonné les classes moyennes.
    C’est, en France, la stratégie préconisée par la Fondation Terra Nova : alors que les classes populaires se tournent vers le Front national, la gauche doit miser électoralement sur les « minorités », qu’elles soient immigrées, ethniques, religieuses ou sexuelles.
    Cette stratégie de niches électorales ne manque pas de cohérence ni d’efficacité compte tenu du vieillissement de la population, du déclin de la classe ouvrière du fait de la désindustrialisation, et du dynamisme démographique des électeurs issus de l’immigration et/ou de religion musulmane.
    La gauche instrumente le Grand Remplacement à des fins politiciennes
    D’où l’attitude systématiquement bienveillante de la gauche vis-à-vis du communautarisme, notamment musulman, qui serait « tout-à-fait-compatible-avec-les-valeurs-de-la-République ». D’où aussi une politique de naturalisation plus que généreuse, car la fabrique de Français de papier permettra de bourrer les urnes demain. D’où aussi la « politique de la ville » destinée à acheter à la fois la paix sociale mais aussi les futurs électeurs. D’où aussi la menace, sans cesse évoquée à gauche, d’une ouverture du droit de vote aux résidents et non pas aux seuls citoyens.
    D’où aussi enfin la volonté de diaboliser tout débat sur l’immigration ou l’islamisation, afin d’empêcher de remettre en cause ce fonds de commerce électoral de l’oligarchie libérale/libertaire – et les intérêts économiques qu’il recouvre.
    L’immigration compte aussi sur la gauche

    En contrepartie, les électeurs d’origine immigrée ont tendance à apporter leurs suffrages aux partis de gauche car ceux-ci sont à la fois les plus laxistes en matière de régulation de l’immigration et les plus redistribuants en matière de prestations sociales.
    En votant pour les partis de gauche ils votent donc en réalité pour plus d’immigration, c’est-à-dire pour peser encore plus dans la société.
    Ceux qui, à droite, pensent que les « réformes sociétales » ont compromis l’image de la gauche auprès de cet électorat s’illusionnent. Car la population d’origine immigrée reste pour l’essentiel étrangère au déclin des mœurs qu’elles induisent : elle continue de croire à l’autorité paternelle, à l’inégalité homme/femme, à se marier et faire des enfants, à la différence des bobos décadents.
    Plus prolifique et dotée de parentèles et de croyances solides, la population d’origine immigrée profite en réalité du déclin sociétal des autochtones pour imposer ses préférences.
    L’oligarchie : le parti de l’étranger
    En d’autres termes, l’alliance entre la gauche et l’immigration se situe pour le moment dans une logique gagnant/gagnant pour chacune des parties : la gauche engrange des suffrages et l’immigration prospère. Cette alliance a donc toutes les chances d’être durable à moyen terme, car la France d’en bas, seule, subit la catastrophe migratoire.
    L’oligarchie est donc bien devenue, dans tous les sens du terme, le parti de l’étranger : le parti de ceux qui misent sur les étrangers pour asseoir leur pouvoir et qui servent des intérêts de plus en plus étrangers à ceux de leur peuple.
    L’oligarchie escompte bien aussi que l’évolution démographique permettra de marginaliser la révolte identitaire et populaire qui s’annonce partout en Europe : car du fait du Grand Remplacement, le temps politique dépend désormais du temps démographique. Et celui-ci est de plus en plus compté aux Européens.
    A un an des échéances présidentielles de 2017, il serait temps d’en prendre conscience en France aussi.

    Source initiale : Polémia : http://www.polemia.com/le-grand-remplacement-est-aussi-une-arme-politique-au-service-de-la-gauche-liberalelibertaire/

    La dissidence française :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuyykkZplAyRJDhdDU.shtml

  • Déréliction occidentale versus islam conquérant

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    Dr Bernard Plouvier

    Certains commentateurs semblent percevoir de-ci de-là un frémissement d’auto-défense des Blancs dans leurs territoires envahis d’allogènes violents, frustes et fanatiques. Ni la situation des USA, ni celle de l’Europe occidentale et scandinave ne paraissent entrer dans ce schéma, qui s’avère exact en Europe danubienne et orientale.

    Ne serait-ce pas du côté de l’intolérance qu’il faudrait chercher la cause de cette différence de comportement ? Une foi - politique ou religieuse, c’est tout un – procure l’impression forte de mener le bon combat, avec son corolaire : une tolérance très faible, voire nulle, pour le déviant social ou l’ennemi idéologique.

    L’angoisse existentielle pousse la plupart des humains à se croire, sinon indispensables, du moins utiles à la marche de l’Univers, à se représenter comme étant un chaînon, minuscule mais nécessaire, entre l’Alpha (l’origine de l’Univers) et l’Oméga (le glorieux finale où triomphe le Bien, ou quelque autre grand principe analogue). C’est la raison d’être de toute religion ; c’est ce qui assure la pitance et l’importance sociale des clergés.

    Mais la grande aventure politique procure exactement la même sensation, amputée de la notion d’éternité, puisque l’espérance de vie de chaque grande civilisation dépasse rarement quelques siècles. À l’échelle humaine, c’est déjà beaucoup, suffisamment pour y engager son existence. Après tout, il est assez peu de grandes causes qui procurent un sens à la vie.

    Beaucoup d’humains revendiquent une récompense surnaturelle, puisqu’il n’y a pas grand-chose à espérer de la reconnaissance de ses congénères et fort peu de la justice immanente. Les religions apportant une espérance eschatologique (un Paradis après la mort du corps) seront toujours achalandées : le triomphe actuel de l’islam, religion médiévale et à très faible valeur intellectuelle ajoutée, prouve à quel point l’obscurantisme n’effraie pas le chaland, si on lui offre en contrepartie la carotte paradisiaque.

    D’autres humains se satisfont de la notion du devoir bien accompli, la difficulté ayant toujours résidé dans l’objet de ce devoir. Le XXe siècle, qui fut celui des grandes expériences politiques, s’est achevé par la ruine des populismes impérialistes, fondés sur la lutte des races et la lutte des classes. On peut biffer ces expériences, sans refuser d’en tenter d’autres : aucun savant digne de ce nom n’a jamais renoncé à poursuivre sa quête parce qu’une hypothèse s’était avérée fausse.

    Le manichéisme des totalitarismes (religieux ou politique, on le répète : le phénomène est de même essence) enchante les esprits primaires : l’antithèse entre les « bons » et les « méchants » a toujours fait recette. C’est comme cela que les Alliés ont axé leur propagande débile durant les deux guerres mondiales du XXe siècle ; ce fut également le credo de la « guerre froide ». C’est comme cela que fonctionne l’actuelle religion de conquête, l’islam. Ce système ami-ennemi, simpliste et rudimentaire puisque faisant appel à l’archéo-cortex, sera toujours d’un excellent rapport sociologique, alimentant la cohésion du groupe et stimulant son ardeur combative.

    Toute civilisation décline quand elle baisse sa garde, tolérant la pensée d’allogènes. Tout ce qui est à la fois mal défendu et raffiné cède devant la force brutale du barbare agressif et avide. Le retour en force de la grande politique doit s’accompagner d’une vigoureuse intolérance envers l’ennemi. Sans objectif et sans ennemi, aucune collectivité n’est dynamique… on n’a pas attendu les théoriciens du XXe siècle pour s’en rendre compte.

    Depuis la plus haute Antiquité, l’alternative est inchangée, parce qu’il s’agit de l’unique vérité historique, universelle et diachronique : ou l’on accroît sa puissance ou l’on périt, la stagnation n’est que le début de la chute.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Provocation massive de l’OTAN contre la Russie

    Récemment, la Russie déclarait que la Mer Noire ne deviendrait jamais un lac de l’OTAN. Merkel, dont la Bundeswehr a accouché d’un livre blanc sur les relations germano-russes et destiné à être publié en juillet, déclare que la Russie est désormais, non plus un partenaire, mais un adversaire. Un livre blanc, allemand, qui deviendrait la Bible de l’OTAN.

    Voilà que l’OTAN passe à la vitesse supérieure, par une provocation massive contre la Russie. Paul Craig Roberts, analyste célèbre en Amérique, ancien sous-secrétaire au Trésor de Ronald Reagan, Noam Chomsky, tout aussi célèbre intellectuel de gauche, tout comme, aussi, Stephen Cohen, le meilleur analyste de la Russie, craignent cette escalade depuis bien deux ou trois ans. Quant à Kissinger, néocon, membre à vie de Bilderberg – qui s’est rassemblé ces jours-ci à Dresde -, il n’est pas du genre à désapprouver cette escalade

    Il va sans dire que le groupe Bilderberg, comme la Trilatérale, doivent se frotter les mains. Pensez : une guerre, ça ferait les affaires, tant du complexe militaro-industriel que de l’agroalimentaire. À ce sujet, je cite Henry Kissinger – encore un titulaire du prix Nobel de la paix, fomenteur de guerre ! – qui disait, il n’y a pas si longtemps : « Les militaires sont des cons, des animaux stupides qu’il faut utiliser en tant que pions en politique étrangère. » Et encore : « Contrôlez le pétrole, vous contrôlez les nations ; contrôlez l’agroalimentaire et vous contrôlez les peuples. »

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  • Rennes contre la GPA

    "Hier soir à 19 heures, Place de la République à Rennes, les manifestants LMPT contre la GPA ont été encerclés par des militants des associations LGBT et des mouvements de l’extrême-gauche radicale. Alors que les enjeux de la GPA dépassent largement les clivages et concerne tous les Français, ces militants ont voulu les empêcher de s’exprimer, ont refusé le débat, proféré de nombreuses insultes, et montré leur haine pour les défenseurs de la famille.

    Mais en agissant ainsi, ils ont montré leur vrai visage face au calme et à la détermination des manifestants LMPT, les Rennais sauront de quel côté est l’intolérance. La Manif Pour Tous doit être visible, mission remplie à Rennes !"

     

    Les photos sont ici.

    Marie Bethanie

  • Dans la douleur

    C’était avant la victoire du onze tricolore sur la modeste équipe roumaine, avant les violences de ces derniers jours entre supporters Allemands, Ukrainiens,  Anglais et Russes, à Marseille, Nice et Lille. Le sondage Ifop commandé par le quotidien gratuit  metronnews et réalisé juste avant le début de l’Euro 2016 indiquait    que seuls  48 % des Français trouvaient  l’équipe de France sympathique. « Un pourcentage encore plus élevé chez les électeurs du FN et de Marine:  61% d’entre eux n’éprouvent pas de sympathie à l’égard des Bleus (…).  En outre, 56% des électeurs FN ne suivront pas les matches des Bleus durant l’Euro, contre 48% pour l’ensemble de la population. Enfin, les sympathisants de Marine Le Pen sont 73% à ne ressentir aucun intérêt pour le foot, légèrement au-dessus de la moyenne nationale (70%). » La même semaine, évoquant l’accueil houleux réservé par des militants cégéto-communistes à Emmanuel Macron lundi dernier  à Montreuil - voir notre blogue - Bruno  Roger-Petit dans Challenges  pointait une « convergence » Front de Gauche-Front National. Elle  aurait pour base commune  « le rejet des politiques. La fragmentation sociale. La haine du bas envers le haut. Et la collusion des gauches de la gauche avec le Front National, les deux termes de l’horizontalité politique française ayant intérêt à entretenir la haine entre Français. »

    Et l’éditorialiste, qui doit se réjouir de la décision  des pays de l’UE, sous injonction de Washington, de prolonger fin juin  les sanctions économiques  prises contre Moscou,  pourtant en première ligne dans la lutte contre  le terrorisme,  de pointer une  « étrange et inquiétante cohorte extrémiste. » En l’espèce, celle  « qui voit le porte-parole de Jean-Luc Mélenchon, Alexis Corbière (…)  à l’unisson (dans leur analyse de cette affaire Macron, NDLR)  avec  l’économiste souverainiste Jacques Sapir, zélé admirateur de Poutine et avocat de l’alliance des gauches de la gauche avec le FN (…) » et « Florian Philippot« .  » Même référent symbolique, le costard de l’élite dominante opposé au t-shirt du petit peuple en souffrance. Même réification du corps physique de l’ennemi politique, qui légitime l’agression. Même sortie du champ républicain » (sic).

    Roger-Petit pour appuyer sa thèse qui est, grosso modo, celle de l’intelligentsia progressiste, du ventre mou de la politique française, de Juppé à BHL, de Nicolas Sarkozy à  Alain Duhamel, de Pierre Gattaz à Manuel Valls,  ajoute  sur ce mode  anxiogène qu’il affectionne tant :  « Gauches de la gauche et Front  National convergent vers leur objectif premier : détruire les forces démocratiques centrifuges afin de devenir les deux termes dominants de l’offre politique, chacun dans leur camp. »

    Pourtant n’en déplaisent à tous les Roger-Petit du microcosme médiatique, à tous les Juppé de laCaste au pouvoir, ce qui inquiète les Français, les Européens, ce n’est pas un fantasmatique  complot rouge-brun, la montée des populismes, mais la présence au sein de nos sociétés d’individus, noyés dans la masse de l’immigration massive,  animés de pulsions terroristes meurtrières, les fous d’Allah et autres djihadistes. Encore une fois si tous les musulmans ne sont pas terroristes (très loin s’en faut) tous les terroristes sont musulmans.

    En ce début de ramadan, c’est aux Etats-Unis après la fusillade à motivation djihadiste de San Bernardino (Californie)  en décembre,  que le terrorisme a frappé hier à Orlando (Floride)… comme il frappe quotidiennement chrétiens et musulmans  en  Syrie, en Irak, en Afrique, dans les zones aux prises avec les milices djihadistes sans que cela suscite, il faut bien le dire, beaucoup d’émotion dans nos contrées. Mais cette fois c’est un symbole de l’Occident décadent qui a été visé par un américain d’origine afghane,  Omar Mateen, 29 ans, juste après qu’il ait  fait allégeance à l’Etat Islamique.  Ce jeune homme, finalement abattu, est l’auteur présumé du pire  massacre terroriste depuis le 11 septembre 2001,  une fusillade dans une boîte de nuit gay qui a fait au moins 50 morts et 53 blessés.

    Comme souvent,  l’auteur de cette tuerie  a été décrit par les médias,  ses proches, son père, sa femme  comme « un loup solitaire », un individu « instable », « impulsif », « bipolaire », mais pas du tout comme un  « religieux »…  Dans le cas présent, il aurait basculé soudainement dans la haine après avoir  vu deux hommes  en train de s’embrasser dans la rue alors qu’il se promenait avec son jeune fils.

    L’Express rapporte cependant que cet ex gardien « dans un établissement pour délinquants juvénile qui » occupait depuis 2007 un poste dans une entreprise de sécurité, G4S, dont le slogan est Securing your world (protéger votre monde) », était dans le collimateur des services de renseignements. « Le patron de la police fédérale à Orlando, Ronald Hopper, a révélé que le jeune homme avait été interrogé plusieurs fois en 2013 et 2014. Le FBI s’était intéressé à lui après « des remarques à ses collègues suggérant d’éventuels liens avec des terroristes », a-t-il expliqué. D’après Le Monde, le FBI avait en 2013 lancé une première enquête « plus approfondie ». Il avait été interrogé, deux fois, ainsi que ses proches. En 2014, la deuxième enquête a estimé que « le contact » avec Moner Mohammad Abu Salha, considéré comme étant premier kamikaze américain en Syrie, était minimal et ne constituait pas une relation substantielle ou une menace à l’époque, rapporte le journal. »

    D’ores et déjà la grande inquiétude des médias Français est…  que ce drame  profite électoralement à  Donald Trump, lequel avait déjà déclaré, sans excès de finesse, après l’attentat de San Bernardino,  qu’il interdirait l’entrée sur le territoire américain aux   musulmans.  M. Trump a ainsi annoncé que son  discours de campagne, qui avait pour thème initial  la  calamiteuse Hillary Clinton,  était remplacé  par une allocution sur « l’islam » et la « sécurité nationale ». Spécialiste des Etats-Unis pour BFMTV, François Durpaire (par ailleurs scénariste d’une BD, « La  présidente« , décrivant sur un mode catastrophiste Marine Le Pen élue à l’Elysée),  a estimé que la tuerie d’Orlando était  un tournant de première importance   dans la campagne présidentielle américaine.

     Avec ou sans attentats, la stigmatisation dans nos médias de la candidature de Donald Trump  (le socialiste Bernie Sanders jouissant sans surprise d’un traitement plus sympathique constate Bruno Gollnisch), ne faiblira pas dans les mois à venir.  Cette hostilité pour un candidat qui « casse les codes »,  s’apparente aussi à de la frayeur chez   les bruxellois  qui se satisfont de vivre sous la tutelle du Nouvel ordre mondial et qui, pour cette principale raison,  repeignent  pareillement Vladimir Poutine sous les couleurs les plus sombres.

    Jean-Michel Quatrepoint,  journaliste économiste qui  a travaillé  au Monde, à La Tribune et au Nouvel Economiste,  notait dans Le Figaro en mars dernier que M. Trump « renoue avec l’isolationnisme traditionnellement ancré dans le parti républicain jusqu’au tournant de la Deuxième guerre mondiale. Sa vision du monde n’est pas unipolaire mais multipolaire; son slogan Make America great again est concentré davantage sur la situation socio-économique interne du pays que sur son implication dans les affaires du monde. S’il est élu, il devrait renouer avec une politique extérieure réaliste, pragmatique et non messianique, à la différence de (Hillary) Clinton. »  Trump ajoutait-il,  « a réussi à court-circuiter la machine à financements, car il est auto-suffisant. Il ne dépend de personne, et c’est pour ça que beaucoup d’Américains le soutiennent. C’est la seule manière d’élire quelqu’un qui ne soit pas corrompu et qui ne dépende de personne, d’aucun gros donateur, d’aucun lobby. Comment Hillary Clinton peut-elle être indépendante de Goldman Sachs quand cette banque est l’un des principaux contributeurs du financement de sa campagne? »

    M. Quatrepoint dit aussi l’évidence quand il  explique  que des deux côtés de l’Atlantique,  « la montée des populistes, comme on les qualifie non sans un certain dédain, est la manifestation del’échec patent de ceux qui gouvernent et du modèle économique dominant depuis un quart de siècle (…). Trump et Sanders sont les candidats anti-establishment qui portent les rancœurs et les revendications des classes moyennes, plutôt blanches de la middle-working class, encore majoritaire aux Etats-Unis. »

    « En France, le FN a beaucoup plus percé que le Front de Gauche car il s’est approprié une part des revendications sociales autrefois portées par la gauche de la gauche, et a attiré à lui les petits blancs, la white middle working class qui n’est pas, n’est plus, dans ces grandes métropoles qui se distinguent particulièrement du reste du territoire: le désert français, ou l’Amérique profonde. Les habitants des périphéries sont peut-être mal considérés par l’élite métropolitaine, mais s’expriment par leur vote. Après avoir essayé droite et gauche, et devant l’aggravation de leur situation, ils veulent tenter autre chose. C’est Trump outre-Atlantique, c’est le FN en France. »

    « Trump a pris tout monde par surprise, alors que cela fait quarante ans que le FN est installé dans le paysage médiatique et politique. Ses dérapages verbaux ne le desservent pas. Au contraire, ils le font monter dans les sondages. Ses soutiens se disent: enfin quelqu’un qui parle notre langue et qui nous défend !». Mais il n’a pas gagné, car l’Establishment, le Big Business, fera tout pour l’abattre. Tout comme le système fait tout pour abattre les Le Pen (…). »

    Establishment, Big Business qui peuvent encore compter sur leurs employés des gros médias pour débiter le bon catéchisme, distribuer bons points et fatwas. Mais sont-ils encore audibles, crédibles ? A la fin c’est toujours le principe de réalité qui l’emporte, hélas parfois dans la douleur.

    http://gollnisch.com/2016/06/13/dans-la-douleur/

  • Loi travail, beaucoup de bruit pour rien ?

    La gauche de la gauche est vent debout contre la loi El Khomri, avec à sa tête la CGT. hollande tiendra-t-il ? La politique de l’édredon va-t-elle à nouveau payer ? Philippe Martinez se dit maintenant prêt « à discuter » sans « préalable » avec le gouvernement. Le début de la fin du bras de fer ?

    Pénuries d'essence, grève dans les centrales électriques, les transports publics, blocages des routes... La CGT (et FO à sa suite) a sorti le grand jeu contre la loi « Travail ». La centrale syndicale réussira-t-elle là où les frondeurs ont échoué ? Les gros bras de Montreuil feront-ils mieux que les bobos noctambules de Nuit Debout et les casseurs qui les parasitent, eux et les multiples manifestations contre la loi El Khomri ?

    Pas sûr. Après le coup de force du 49-3, Valls joue son rôle préféré, celui de l'homme-viril-droit-dans-ses-bottes. « On ne lâche rien » hurlent les camions sono de la CGT ? « On ne lâche rien », leur répond le Premier ministre. Ni amendement, ni retrait. L'objet de ce bras de fer vaut-il pourtant de plomber des PME, de pourrir la vie des Français, de menacer la fragile reprise, de se mettre les électeurs et population à dos ?

    Depuis sa présentation en février, le projet de loi, censé fluidifier le marché du travail, est passé plusieurs fois à la moulinette. La rue a ainsi obtenu en mars le retrait du plafonnement des indemnités prud'homales, remplacé par un barème indicatif. L'assemblée a également adouci le texte. Ainsi, les licenciements économiques sont encadrés par un barème de baisse du chiffre d'affaires en fonction de la taille de l'entreprise. Mais surtout, dans le cas de multinationales, ces critères s'estiment au niveau du groupe et non de la filiale française.

    Un texte édulcoré, mais encore très libéral

    Le PS tenait à cette mesure « anti-licenciements boursiers », qui empêchera une société faisant des bénéfices à l'étranger de licencier en France. Un sérieux frein à l'investissement étranger dans notre Pays.

    Les jeunes ne sont pas oubliés : la Garantie jeunes, un dispositif destiné au départ à ceux qui peinent à trouver un travail, devient un « droit » étendu à tous. À la clef, 461 euros mensuels, sans condition, cadeau.

    Enfin, la loi comporte un joli marqueur « de gauche », avec ce qu'ils appellent désormais le compte personnel d'activité. Un dispositif qui permet aux travailleurs de conserver leurs droits à la formation, leur compte pénibilité et un « compte d'engagement citoyen » tout au long de leur vie professionnelle et même après la retraite. C'est surtout un bel emballage de mesures existantes et le transfert de leur gestion à l'entreprise. À en croire Jean-Christophe Cambadélis, ce serait même « la grande avancée du quinquennat », il faut savoir se contenter de peu.

    C'est d'ailleurs ce que doit se dire Valls à propos des syndicats et de sa gauche, car pour le reste, la loi El Khomri penche clairement en faveur des entreprises. Ainsi, les accords offensifs pour l'emploi permettent aux entreprises d'augmenter le temps de travail sans augmenter les salaires, en cas de surcharge d'activité. Le gouvernement a aussi renoncé à surtaxer les CDD.

    L'article II : celui de la discorde

    Gardons le meilleur pour la fin, c'est surtout le fameux article II qui cristallise toutes les oppositions (de gauche) au projet. En cause, la primauté des accords d'entreprise sur les accords de branche. Chaque entreprise sera donc libre d'ajuster le temps de travail ou le montant des heures supplémentaires, pour peu qu'elle obtienne un accord avec la majorité des syndicats ou lors d'un référendum d'entreprise. Et comme elles sont en position de force au niveau local, les syndicats craignent avec raison que la mesure n'aboutisse à un dumping social entre sociétés d'un même secteur d'activité et à un détricotage des accords de branche. La première à augmenter le temps de travail ou à baisser la rémunération des heures sup sera immanquablement suivie par d'autres, qui ne pourront laisser cet avantage concurrentiel à leurs compétiteurs.

    Voulue à tout prix par le gouvernement pour satisfaire les patrons, les vrais, ceux de Bruxelles, la loi Travail est certes un clou de plus dans le cercueil du modèle social français. Mais son abandon et la victoire d'une CGT plus radicale que jamais signeraient la mort de toute possibilité de réformer sereinement ce modèle sclérosé, le condamnant à l'explosion. Dans les deux cas, ce serait une victoire à la Pyrrhus pour les salariés français.

    Une vraie réforme à la Hollande.

    Richard Dalleau monde&vie  9 juin 2016

  • Arrestation d’un élu LR dans une affaire de pédopornographie – « J’ai hâte que tes enfants aient des bébés ! Tu me les prêteras ? »

    L’élu municipal LR Éric Kempe, deuxième adjoint de Franck Dhersin, maire de Téteghem, a été placé en garde à vue lundi et a été mis en examen, mardi en début de soirée, pour téléchargement d’images pédopornographiques. Il a été placé sous contrôle judiciaire. Son arrestation fait suite à celle de Stéphane Bak, il y a quinze jours. 

    Les faits dont Éric Kempe est suspecté relèvent du téléchargement et de la détention d’images pédopornographique. Son interpellation fait suite à celle de Stéphane Bak, survenue le 24 mai.

    Selon La Voix du Nord, les deux hommes auraient échangé via internet des fichiers pornographiques mettant en scène de très jeunes enfants, agrémentés de messages comme : « J’ai hâte que tes enfants aient des bébés ! Tu me les prêteras ? »

    Les enquêteurs de la brigade des mineurs ont découvert le nom d’Éric Kempe dans l’ordinateur de Stéphane Bak, le directeur d’une boîte d’intérim de Grande-Synthe, qui avait téléchargé des centaines d’images pédopornographiques sur fond de zoophilie. Ce pervers partageait sa « déviance » avec ses « copains » et d’autres personnes adeptes de la pédopornographie sur Internet.

    L’avocat d’Éric Kempe, Jean-Pierre Mougel, a annoncé qu’Éric Kempe, qui a avoué les faits, avait pris la décision de démissionner sur-le-champ du conseil municipal.

    http://www.medias-presse.info/arrestation-dun-elu-lr-dans-une-affaire-de-pedopornographie-jai-hate-que-tes-enfants-aient-des-bebes-tu-me-les-preteras/56138