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lobby - Page 1356

  • Les écoles libres menacées

    Communiqué de l’abbé Christian Bouchacourt, Supérieur du District de France de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X :

    « Ce jeudi 9 juin Mme Najat VALLAUD-BELKACEM a annoncé une réforme des modalités d’ouverture des établissements d’enseignement privés hors contrat.

    Il  ne s’agira plus simplement d’informer d’une ouverture d’une école à l’Académie, mais de demander une autorisation qui sera ou non accordée dans un délai maximum de quatre mois.

    De plus, si cette réforme était adoptée, elle obligerait nos écoles à s’aligner presque intégralement sur les programmes du public pour avoir le droit d’exister !

    La deuxième quinzaine de juin, Madame Le ministre envisage de faire adopter un amendement lui permettant de mener cette réforme par voie d’ordonnance sans  passer par le Parlement. Un 49.3 qui ne dit pas son nom et donc un passage en force.

    Ces réformes projetées  portent non seulement une atteinte grave à la liberté scolaire mais aussi mettraient en péril l’existence même de nos écoles catholiques.

    Nous ne pouvons souscrire à un tel projet et nous invitons  les parents d’élèves et  tous nos fidèles à prier afin que cette réforme ne passe pas ou, si elle venait à passer, pour qu’elle puisse être invalidée et ne pas entrer en vigueur. »

    http://www.contre-info.com/

  • Hommage aux deux policiers assassinés : le témoignage du policier

    Le policier qui a refusé de serrer la main à Hollande et à Valls avant hier, a donné des explications lors de la manifestation du SIEL :

    Michel Janva

  • Brexit : l’affiche anti-migrants de Nigel Farage fait scandale

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    A une semaine du référendum sur la sortie de l’Union européenne – Brexit or not Brexit –, Nigel Farage a sorti une affiche-choc sur l’invasion de l’UE par les migrants. « Point de rupture – l’UE a tout raté », clame l’affiche de l’Ukip (Parti pour l’indépendance du Royaume-Uni), ajoutant : « Nous devons quitter l’UE et reprendre le contrôle de nos frontières. » Au Royaume-Uni, explique l’Ukip, le solde migratoire net est de plus de 330 000 personnes par an, ce que le pays n’a pas connu depuis un siècle.

    Cette affiche a fait scandale dans le camp des pro-UE (et pro-migrants), au point d’accuser Nigel Farage de procéder à une campagne « de style nazi » ! Le principal reproche : la photo utilisée montre une colonne de migrants à la frontière de la Slovénie, et le Royaume-Uni, n’étant pas membre de l’espace Schengen, n’est pas concerné.

    L’affiche a été publiée dans les grands journaux nationaux, comme The Telegraph,The Daily Star et The Daily Express, et arborée par des camionnettes sillonnant Londres.

  • La Manif Pour Tous est bien vivante

    Ludovine de La Rochère a été interrogée sur Radio Notre-Dame :

    Que reprochez-vous à la politique française concernant la GPA ?

    Une politique européenne aussi ambiguë sur la GPA? Cette mobilisation intervient alors que deux députés ont proposé deux lois entérinant l'illégalité de la GPA... Après les grandes Manifs, qu'est-ce que la Manif pour Tous aujourd'hui ?

    Michel Janva

  • Des sanctions judiciaires contre l'Action française à l'heure des casseurs de l'ultragauche ? C'est une rigolade !

    A cause de l'incurie de la droite régionale, la région provençale ne dispose que d'une presse quotidienne de gauche ou d'ultragauche monocolore. A la soviétique. Qu'elle s'en prenne à la droite politicienne - plutôt que de balayer devant sa porte, d'ailleurs désertée - n'est pas notre affaire. Qu'elle diffame l'Action française, qu'elle ait le culot de réclamer contre elle des sanctions judiciaires - autrement dit sa dissolution - au moment même où les casseurs de la gauche radicale mettent le pays à feu et à sang, face à un gouvernement incapable - cela, en revanche, nous importe.  

    Aussi, le communiqué qu'on va lire, publié mardi dernier par l'Action française Provence nous est-il apparu particulièrement intéressant et bienvenu. Il remet les pendules à l'heure alors que non seulement la gauche, mais aussi la droite politicienne et l'ensemble du Système s'effondrent dans une sorte de chaos généralisé.  Lafautearousseau 

    Aix-en-Provence, le 14 juin 2016

    A l'attention du service politique

    Communiqué de presse

    Mensonges : la gauche récidive

    « Les violentes exactions de l'Action française se multiplient mais aucune sanction judiciaire n'est encore tombée », pouvait-on lire samedi* dans La Marseillaise et La Provence. La gauche, se croyant investie de l'autorité judiciaire. accuse et condamne. Généreuse avec les délinquants et les casseurs, elle est sans pitié avec ses opposants, qu'elle verrait bien derrière des barreaux. La démonstration vaut son pesant de cacahuètes : « Si des syndicalistes mènent une action dans les locaux d'une organisation politique ou contre un siège social, cassent du matériel et cognent sur les gens. le quart d'heure d'après, ils sont en taule. » Or, selon ses dires, l'Action française est coupable de « rassemblements fracassants, d'une tentative d'incendie, de menaces de mort et de distributions de coups ». Et « au marché, quand ils vendent leur torchon, ils crient 'Mort à la juiverie internationale!' » Par conséquent. il faut des « réponses judiciaires aux exactions de l'Action française ».

    Nous signalons aux staliniens et autres robespierristes qui s'étonnent « d'une situation stupéfiante du point de vue du droit » que leurs déclarations audacieuses n'en demeurent pas moins diffamatoires et susceptibles de poursuites pénales. A vouloir trop charger la barque, celle-ci craque sous le poids de leurs mensonges, plus fantaisistes les uns que les autres : peut-on croire un seul instant que des militants prétendument armés auraient pu faire l'objet d'un simple contrôle d'identité ? Le Parti socialiste et le Syndicat de la Magistrature. s'indignant de l'impunité supposée dont bénéficierait l'Action française, semblent ainsi convaincus d'un complot royaliste au sommet de l'État — à moins que ce ne soit un simple effet de leur imagination désordonnée.

    La lutte contre l'Action française. voilà un combat à la mesure de ces organisations syndicales, associatives et partisanes, incapables de faire plier le gouvernement sur la Loi Travail. L'épouvantail de l'extrême-droite se révèle fort utile : on peut se décharger de ses propres responsabilités et se refaire à peu de frais une virginité politique en l'accusant d'être violent et, surtout, à onze mois de l'élection présidentielle, il permet de battre le rappel des troupes divisées, ce que ne cachent d'ailleurs pas ceux qui demandent notre dissolution : « Tout le monde doit se mobiliser, d'autant plus à la veille d'élections cruciales lors desquelles le Front national compte s'imposer ».

    Un constat s'impose : la gauche est en faillite, elle n'existe plus qu'à travers nous. Les progressistes en pantoufles peuvent fulminer, la jeunesse de France leur a d'ores et déjà tourné le dos. Qu'à cela ne tienne, s'ils ne peuvent gagner. ils renverseront la table. « Après nous le déluge ! », semble être la conclusion de quarante années d'échecs et de politiques mortifères. Cela, nous ne pouvons l'accepter, et nous ne les laisserons pas nous priver de notre avenir, de celui de notre pays. Demain nous appartient. 

    * 11.06

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le Grand Remplacement, une arme politique de la gauche libérale-libertaire

    L’élection, sous l’étiquette travailliste, du nouveau maire de Londres, Sadiq Kahn, un musulman d’origine pakistanaise, illustre un autre aspect du Grand Remplacement des Européens : sa dimension politique.
    La gauche, c’est-à-dire l’oligarchie libérale/libertaire qui a pris le pouvoir à la fin des années 1980, a en effet misé partout sur l’immigration et les « minorités » pour assurer son emprise politique sur la société – et réduire au silence les autochtones.
    Elle a organisé le Grand Remplacement et elle compte désormais en tirer un avantage politique décisif.
    La gauche a misé partout sur l’immigration de peuplement
    Aux Etats-Unis c’est la ligne adoptée par le Parti démocrate qui a assuré l’élection de Barak Obama, alors que la majorité des électeurs d’origine WASP avait apporté ses suffrages au candidat républicain.
    La candidate démocrate probable aux futures élections présidentielles américaines, Hillary Clinton, mise de même sur le vote des « minorités » afro-américaines et hispaniques, qui deviennent d’ailleurs majoritaires dans certains états : elle ne rate donc jamais une occasion de se faire filmer bien entourée de personnes de couleur ou d’origine mexicaine.
    En Grande-Bretagne le Parti travailliste a repris des forces en misant sur le vote des personnes d’origine immigrée. A Londres, Sadiq Kahn a ainsi mobilisé 56,8% des électeurs, soit le meilleur score travailliste depuis des années.
    En France le Parti socialiste a fait de même depuis le lancement de l’opération « SOS Racisme » en 1984. Différentes analyses montrent que François Hollande lors des présidentielles de 2012 a massivement bénéficié du vote des électeurs musulmans.
    Si les partis de droite courent aussi après cet électorat, la gauche rafle partout la mise. Car une étroite symbiose s’est établie entre la gauche et le Grand Remplacement.
    Le Grand Remplacement au service de la Grande Trahison libérale/libertaire
    Par un heureux hasard, en effet, la gauche a choisi de défendre l’immigration au moment même où elle se ralliait au néo-libéralisme mondialiste.
    L’immigré a alors remplacé le prolétaire dans la symbolique doloriste et le discours de gauche. Avec cette différence notable que l’immigration est au service du capitalisme mondialisé, alors que le prolétariat devait annoncer la fin du capitalisme national.
    La promotion de Big Other, pour reprendre l’expression de Jean Raspail, a masqué la grande trahison de la gauche qui s’est opérée à la fin du XXe siècle, quand la gauche a renoncé à toute volonté de remettre en cause le système capitaliste, à la suite de l’effondrement de l’URSS et du communisme européen.
    La promotion bruyante des « droits » et des prétendus malheurs des potes/immigrés « victimes-du-racisme-et-des-discriminations » a servi à masquer la déconstruction méthodique des droits sociaux des travailleurs européens, opérée au nom d’un néo-libéralisme auquel la gauche européenne s’est ralliée, comme le montre en France la « gauche Macron ».
    Et la lutte contre le « racisme » a servi à mettre en accusation ceux que l’on trahissait : les peuples autochtones. Du grand art…
    Un changement de sens significatif
    La promotion du Grand Remplacement a servi à détourner l’attention de la Grande Trahison des élites de gauche, qui ont abandonné les peuples autochtones à la dure loi du marché mondialisé.
    De fait dans le vocabulaire de la gauche les mots « populaire » ou « social » ont changé de sens.
    Un « quartier populaire » ne désigne plus une zone de résidence où vivent des gens issus de notre peuple mais, au contraire, une zone peuplée de personnes issues de l’immigration. Et la « mixité sociale » n’a plus rien à voir avec les classes sociales : elle n’est en réalité qu’une cohabitation ethnique ou religieuse que l’on veut imposer.
    Ce changement sémantique traduit le changement de perspective politique de la nouvelle gauche libérale/libertaire.
    Un réservoir électoral convoité
    L’immigration constitue en outre un réservoir électoral d’autant plus convoité à gauche que celle-ci est sur le déclin puisqu’elle a perdu sa raison d’être révolutionnaire et populaire et qu’elle a abandonné les classes moyennes.
    C’est, en France, la stratégie préconisée par la Fondation Terra Nova : alors que les classes populaires se tournent vers le Front national, la gauche doit miser électoralement sur les « minorités », qu’elles soient immigrées, ethniques, religieuses ou sexuelles.
    Cette stratégie de niches électorales ne manque pas de cohérence ni d’efficacité compte tenu du vieillissement de la population, du déclin de la classe ouvrière du fait de la désindustrialisation, et du dynamisme démographique des électeurs issus de l’immigration et/ou de religion musulmane.
    La gauche instrumente le Grand Remplacement à des fins politiciennes
    D’où l’attitude systématiquement bienveillante de la gauche vis-à-vis du communautarisme, notamment musulman, qui serait « tout-à-fait-compatible-avec-les-valeurs-de-la-République ». D’où aussi une politique de naturalisation plus que généreuse, car la fabrique de Français de papier permettra de bourrer les urnes demain. D’où aussi la « politique de la ville » destinée à acheter à la fois la paix sociale mais aussi les futurs électeurs. D’où aussi la menace, sans cesse évoquée à gauche, d’une ouverture du droit de vote aux résidents et non pas aux seuls citoyens.
    D’où aussi enfin la volonté de diaboliser tout débat sur l’immigration ou l’islamisation, afin d’empêcher de remettre en cause ce fonds de commerce électoral de l’oligarchie libérale/libertaire – et les intérêts économiques qu’il recouvre.
    L’immigration compte aussi sur la gauche

    En contrepartie, les électeurs d’origine immigrée ont tendance à apporter leurs suffrages aux partis de gauche car ceux-ci sont à la fois les plus laxistes en matière de régulation de l’immigration et les plus redistribuants en matière de prestations sociales.
    En votant pour les partis de gauche ils votent donc en réalité pour plus d’immigration, c’est-à-dire pour peser encore plus dans la société.
    Ceux qui, à droite, pensent que les « réformes sociétales » ont compromis l’image de la gauche auprès de cet électorat s’illusionnent. Car la population d’origine immigrée reste pour l’essentiel étrangère au déclin des mœurs qu’elles induisent : elle continue de croire à l’autorité paternelle, à l’inégalité homme/femme, à se marier et faire des enfants, à la différence des bobos décadents.
    Plus prolifique et dotée de parentèles et de croyances solides, la population d’origine immigrée profite en réalité du déclin sociétal des autochtones pour imposer ses préférences.
    L’oligarchie : le parti de l’étranger
    En d’autres termes, l’alliance entre la gauche et l’immigration se situe pour le moment dans une logique gagnant/gagnant pour chacune des parties : la gauche engrange des suffrages et l’immigration prospère. Cette alliance a donc toutes les chances d’être durable à moyen terme, car la France d’en bas, seule, subit la catastrophe migratoire.
    L’oligarchie est donc bien devenue, dans tous les sens du terme, le parti de l’étranger : le parti de ceux qui misent sur les étrangers pour asseoir leur pouvoir et qui servent des intérêts de plus en plus étrangers à ceux de leur peuple.
    L’oligarchie escompte bien aussi que l’évolution démographique permettra de marginaliser la révolte identitaire et populaire qui s’annonce partout en Europe : car du fait du Grand Remplacement, le temps politique dépend désormais du temps démographique. Et celui-ci est de plus en plus compté aux Européens.
    A un an des échéances présidentielles de 2017, il serait temps d’en prendre conscience en France aussi.

    Source initiale : Polémia : http://www.polemia.com/le-grand-remplacement-est-aussi-une-arme-politique-au-service-de-la-gauche-liberalelibertaire/

    La dissidence française :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuyykkZplAyRJDhdDU.shtml

  • Déréliction occidentale versus islam conquérant

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    Dr Bernard Plouvier

    Certains commentateurs semblent percevoir de-ci de-là un frémissement d’auto-défense des Blancs dans leurs territoires envahis d’allogènes violents, frustes et fanatiques. Ni la situation des USA, ni celle de l’Europe occidentale et scandinave ne paraissent entrer dans ce schéma, qui s’avère exact en Europe danubienne et orientale.

    Ne serait-ce pas du côté de l’intolérance qu’il faudrait chercher la cause de cette différence de comportement ? Une foi - politique ou religieuse, c’est tout un – procure l’impression forte de mener le bon combat, avec son corolaire : une tolérance très faible, voire nulle, pour le déviant social ou l’ennemi idéologique.

    L’angoisse existentielle pousse la plupart des humains à se croire, sinon indispensables, du moins utiles à la marche de l’Univers, à se représenter comme étant un chaînon, minuscule mais nécessaire, entre l’Alpha (l’origine de l’Univers) et l’Oméga (le glorieux finale où triomphe le Bien, ou quelque autre grand principe analogue). C’est la raison d’être de toute religion ; c’est ce qui assure la pitance et l’importance sociale des clergés.

    Mais la grande aventure politique procure exactement la même sensation, amputée de la notion d’éternité, puisque l’espérance de vie de chaque grande civilisation dépasse rarement quelques siècles. À l’échelle humaine, c’est déjà beaucoup, suffisamment pour y engager son existence. Après tout, il est assez peu de grandes causes qui procurent un sens à la vie.

    Beaucoup d’humains revendiquent une récompense surnaturelle, puisqu’il n’y a pas grand-chose à espérer de la reconnaissance de ses congénères et fort peu de la justice immanente. Les religions apportant une espérance eschatologique (un Paradis après la mort du corps) seront toujours achalandées : le triomphe actuel de l’islam, religion médiévale et à très faible valeur intellectuelle ajoutée, prouve à quel point l’obscurantisme n’effraie pas le chaland, si on lui offre en contrepartie la carotte paradisiaque.

    D’autres humains se satisfont de la notion du devoir bien accompli, la difficulté ayant toujours résidé dans l’objet de ce devoir. Le XXe siècle, qui fut celui des grandes expériences politiques, s’est achevé par la ruine des populismes impérialistes, fondés sur la lutte des races et la lutte des classes. On peut biffer ces expériences, sans refuser d’en tenter d’autres : aucun savant digne de ce nom n’a jamais renoncé à poursuivre sa quête parce qu’une hypothèse s’était avérée fausse.

    Le manichéisme des totalitarismes (religieux ou politique, on le répète : le phénomène est de même essence) enchante les esprits primaires : l’antithèse entre les « bons » et les « méchants » a toujours fait recette. C’est comme cela que les Alliés ont axé leur propagande débile durant les deux guerres mondiales du XXe siècle ; ce fut également le credo de la « guerre froide ». C’est comme cela que fonctionne l’actuelle religion de conquête, l’islam. Ce système ami-ennemi, simpliste et rudimentaire puisque faisant appel à l’archéo-cortex, sera toujours d’un excellent rapport sociologique, alimentant la cohésion du groupe et stimulant son ardeur combative.

    Toute civilisation décline quand elle baisse sa garde, tolérant la pensée d’allogènes. Tout ce qui est à la fois mal défendu et raffiné cède devant la force brutale du barbare agressif et avide. Le retour en force de la grande politique doit s’accompagner d’une vigoureuse intolérance envers l’ennemi. Sans objectif et sans ennemi, aucune collectivité n’est dynamique… on n’a pas attendu les théoriciens du XXe siècle pour s’en rendre compte.

    Depuis la plus haute Antiquité, l’alternative est inchangée, parce qu’il s’agit de l’unique vérité historique, universelle et diachronique : ou l’on accroît sa puissance ou l’on périt, la stagnation n’est que le début de la chute.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Provocation massive de l’OTAN contre la Russie

    Récemment, la Russie déclarait que la Mer Noire ne deviendrait jamais un lac de l’OTAN. Merkel, dont la Bundeswehr a accouché d’un livre blanc sur les relations germano-russes et destiné à être publié en juillet, déclare que la Russie est désormais, non plus un partenaire, mais un adversaire. Un livre blanc, allemand, qui deviendrait la Bible de l’OTAN.

    Voilà que l’OTAN passe à la vitesse supérieure, par une provocation massive contre la Russie. Paul Craig Roberts, analyste célèbre en Amérique, ancien sous-secrétaire au Trésor de Ronald Reagan, Noam Chomsky, tout aussi célèbre intellectuel de gauche, tout comme, aussi, Stephen Cohen, le meilleur analyste de la Russie, craignent cette escalade depuis bien deux ou trois ans. Quant à Kissinger, néocon, membre à vie de Bilderberg – qui s’est rassemblé ces jours-ci à Dresde -, il n’est pas du genre à désapprouver cette escalade

    Il va sans dire que le groupe Bilderberg, comme la Trilatérale, doivent se frotter les mains. Pensez : une guerre, ça ferait les affaires, tant du complexe militaro-industriel que de l’agroalimentaire. À ce sujet, je cite Henry Kissinger – encore un titulaire du prix Nobel de la paix, fomenteur de guerre ! – qui disait, il n’y a pas si longtemps : « Les militaires sont des cons, des animaux stupides qu’il faut utiliser en tant que pions en politique étrangère. » Et encore : « Contrôlez le pétrole, vous contrôlez les nations ; contrôlez l’agroalimentaire et vous contrôlez les peuples. »

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