lobby - Page 1395
-
#TousUnisContreLaHaine
-
Refrain habituel : les auteurs des attentats étaient connus des services
Deux frères, Khalid et Brahim El Bakraoui, étaient connus des services de police pour grand banditisme. Ils ont été identifiés comme les suicidés de l'aéroport de Bruxelle. Ce sont les deux hommes gantés à une seule main dont les images avaient été enregistrées par la vidéo-surveillance.
Khalid avait loué sous une fausse identité l'habitation du 60 rue du Dries à Forest, où avait éclaté une fusillade avec la police le 15 mars dernier. Cette fusillade, survenue lors d'une perquisition, avait abouti à la capture de Salah Abdeslam, trois jours plus tard à Molenbeek, autre commune de l'agglomération bruxelloise.
Le commando ne se limite pas aux hommes qui ont fait exploser les bombes : la police est en effet à la recherche de deux véhicules, une Renault Clio et une Audi S4 noire « appartenant à un Limbourgeois de 22 ans fiché depuis l’an passé en terrorisme par la Sûreté de l’État » ! Ce véhicule a été vu à l’aéroport « avec trois ou quatre individus à son bord ».
« Le propriétaire de l’Audi , un certain A., âgé de 22 ans, était fiché en terrorisme par la Sûreté après un déplacement suspect effectué en avril 2015 en Arabie saoudite. Il s’y est rendu en compagnie de trois Limbourgeois de 22, 25 et 26 ans, et d’un Anversois de 33 ans quant à lui d’origine marocaine. »
D’autre part, une partie du commando ayant frappé à l’aéroport de Bruxelles «serait arrivée à Brussels Airport mardi matin à bord d’un taxi » : c’est le chauffeur de ce taxi qui a livré l’adresse schaerbeekoise à laquelle il a embarqué les terroristes, « provoquant ainsi la perquisition de ce mardi après-midi. Perquisition lors de laquelle la police a retrouvé des produits chimiques et un engin explosif contenant des clous ».
Le bilan, toujours provisoire, des attaques s’élève à 34 morts et 202 blessés: 14 morts et 96 blessés à l’aéroport, 20 morts et 106 blessés à la station de métro de Maelbeek.
-
Russie : il est un nouveau rideau de fer, érigé par l’Ouest
Quatre jours passés à Moscou ont un effet étrange. Le rideau de fer a, certes, disparu dans la manière de vivre. Le Goum (Glavny Ouniversalny Magazin/Главный Универсальный Магазин), le grand magasin de la place Rouge (Красная площадь), n’est plus celui que j’avais connu en 1988 avec ses files pour le sucre ou pour les pièces de téléviseurs à réparer. C’est un ensemble de commerces, avec les enseignes les plus prestigieuses de la planète. Mais dans le fond, le rideau de fer existe toujours. Il s’est inversé.
Avant, il empêchait les ressortissants du bloc soviétique de s’évader de l’Empire et bloquait les idées dangereuses et leurs porteurs à l’entrée. Aujourd’hui, il est érigé par « l’Ouest ». Il interdit à un certain nombre de responsables russes de visiter des pays comme la France ou les États-Unis sous prétexte de sanctions, et c’est lui qui, au nom de la pensée unique et du politiquement correct, impose une ligne aux médias.
Regarder France 24 en Russie est une leçon d’humilité. Après un reportage inquisitorial sur le droit à l’avortement assorti de l’interview d’un représentant du Planning familial, destiné à condamner ceux qui osent la dissidence, on a droit sur la Syrie à une présentation westernienne avec les bons, les rebelles et les méchants, le régime. Un minimum de sens critique met alors mal à l’aise. Ce n’est pas de l’information mais de la propagande, et ce « prêt-à-penser » vient de chez nous…
Hélène Carrère d’Encausse avait écrit deux ouvrages magistraux sur l’Union soviétique : L’Empire éclaté et Le Pouvoir confisqué. En intervenant lors d’un colloque organisé par « Rethinking Russia » sur la démocratie directe, je ne pouvais m’empêcher de penser que la situation actuelle de la France est bien celle d’un pays où le pouvoir a été confisqué par des groupes de pression et où la démocratie est éclatée en communautés diverses. Il n’a pas été possible d’instaurer un référendum d’initiative populaire réalisable. La Constitution n’a accepté, en 2008, qu’une initiative partagée entre le Parlement et le peuple sur des sujets limités et sous le contrôle du Conseil constitutionnel. Le million de manifestants contre le mariage unisexe n’a pas pu donner lieu à une consultation populaire. Le mouvement initié contre la loi El Khomry par quelques organisations syndicales politisées a, en revanche, fait reculer le gouvernement.
Avons-nous des leçons à donner à un peuple qui adhère à 80 % à la politique menée par son président malgré la pression étrangère ? En France, c’est, au contraire, la part de la population qui refuse l’action présidentielle.
La technocratie européenne méprise les identités des peuples. La fin du communisme a au contraire restauré l’affirmation de l’identité russe. De Gaulle disait que la Russie boirait le communisme comme le buvard boit l’encre. C’est fait. Cette identité russe ne gomme en rien la religion orthodoxe qui a joué un si grand rôle dans la construction du pays. Chez nous, la « République » efface l’identité nationale et la laïcité arrache rageusement les racines chrétiennes de la France.
Le président Vladimir Poutine incarne la volonté de cette grande nation de restaurer sa riche personnalité et de retrouver la place à laquelle elle a droit dans le monde. Comme nous avons été plusieurs à le souligner, il y a une grande proximité avec notre gaullisme.Christian Vanneste
Boulevard Voltaire :: lien
http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuVlFyVkEZOWfjgBHC.shtml
Lien permanent Catégories : actualité, Europe et Union européenne, géopolitique, international, lobby 0 commentaire -
Bernard Antony : "Les nouvelles tueries de Bruxelles ne peuvent étonner que les imbéciles"
Réaction de Bernard Antony :
"Bruxelles toujours plus islamisée, Bruxelles endeuillée, Bruxelles paralysée, Bruxelles terrorisée, Bruxelles hébétée, Bruxelles antiracistement décervelée…
La vérité c’est que, issus d’une base sociale toujours plus vaste au sein de l’oumma islamique, dans nos pays chaque jour plus importante, disposant de soutiens logistiques sans cesse accrus grâce à la très belle réussite en effet de l’Europe « multiculturelle », les tueurs de l’islam jihâdiste frappent et frapperont de plus en plus, où ils veulent et quand ils veulent, comme ceux de leurs modèles dans le passé, hashishins et autres.
Les nouvelles tueries de Bruxelles ne peuvent étonner que les imbéciles. Tous les musulmans certes ne sont pas islamistes, surtout quand ils ne sont pas très pratiquants et même ne demanderaient pas mieux que de n’être plus musulmans si ce n’était la pression ; tous les islamistes ne sont pas des terroristes mais ils n’en demeurent pas moins qu’ils admirent l’exemple du prophète Mahomet qui, irréfutablement selon le Coran et selon les hadîths vendus dans toutes les librairies, et pas seulement islamistes, est un modèle d’égorgeur. Mais tous les jihâdistes sont islamistes ! (...)
Et alors que l’État islamique, al-Qaïda et les autres organisations de l’islam terroriste, développent une troisième guerre mondiale, voilà que notre gouvernement, à grand renfort de millions d’euros, développe une grande campagne « antiraciste » à la fois idéologiquement perverse et bête à en pleurer. On en déduirait que les racismes anti-blancs, anti-jaunes et anti-chrétiens n’existeraient pas. On en déduirait donc que seuls les européens seraient porteurs de l’indélébile tare de racisme. Stupidité raciste s’il en est !
Mais ce sont les moindres expressions non conformes au « pas d’amalgame » que traquent les polices de la pensée. Et Valls, ce prétentieux qui est d’une affligeante inculture sur l’idéologie islamique de vouloir en faire une gentille petite religion, bien républicaine, bien maçonniquement correcte, dans laquelle il espère bien formater les vagues de la tsunamigration musulmane que croit réguler madame Merkel en collaboration avec le sinistre dictateur islamo-ottoman Erdogan.
Depuis des dizaines d’années, la Bruxelles eurocratique comme la Bruxelles de la classe politique belge, a été l’émanation de l’infinie stupidité idéologique qui affecte presque tous les dirigeants de l’Europe occidentale. Leur crétinerie est hélas criminelle."
-
Pas claire cette histoire de d’élévation du niveau des océans !
La double étude que l'Académie Nationale américaine des Sciences, la NAS, a publié en février concerne donc l'élévation du niveau des mers. La première, réalisée par des chercheurs de l'Université Rutgers, prend en compte le rebond post-glaciaire - ou soulèvement de masses terrestres consécutif à la fonte des calottes glaciaires. On peut lire dans le communiqué de l'Université de l'Etat du New Jersey : « Le niveau global des mers s'est relevé plus rapidement au cours du XX° siècle qu'il ne l’a fait durant n’importe lequel des 27 siècles précédents ». Correspondant à l'idéologie globale cette observation a aussitôt fait le tour des cénacles de décision. D'autant que, est-il affirmé, « sans le réchauffement climatique, le niveau global des océans se serait relevé de moins de la moitié de ce qui a été observé au cours du XXe siècle et même aurait pu baisser. Cette élévation, tout à fait substantielle sur les côtes basses susceptibles d'être inondées aura atteint 14 centimètres entre 1900 et 2000 ». Le responsable de l'étude, Robert Kopp, directeur associé de l'Institut de l'Energie de Rutgers, ajoute même : « L'augmentation du XX° siècle a été extraordinaire dans le contexte des trois derniers millénaires et fut encore plus rapide au cours des deux dernières décennies ».
Au cours de leurs travaux les chercheurs observent par ailleurs que lors de la petite période glaciaire, entre 1000 et 1400 de notre ère, les températures fraîchissant de 0,2°C et que le niveau des mers aurait baissé de 8 cm. Ce qui renvoie au dernier Grand Maximum Glaciaire d'il y a 24500 ans BCE (Before Common Era) suivi d'une déglaciation qui se poursuivît jusqu'en 12500 BCE lorsque les températures s'accrurent de 3 à 5°C avec brutale montée des eaux d'une quarantaine de mètres. Il est tout de même important de noter qu'alors aucun gaz à effet de serre anthropique et aucune activité humaine ne pouvaient être tenus pour responsables d'un tel phénomène. C'est pourquoi on s'efforce de nous persuader de l'importance de la rapidité de l'actuel réchauffement. Même s'il est admis qu'il ne s'agira jamais que de 14cm sur 100 ans.
Obsédés par le C02, qui conditionne la révolution mondialiste en cours, les auteurs de l'étude, indifférents à l'action des tâches solaires sur le climat de la terre, ont ainsi calculé qu'au cours du 21° siècle le niveau des océans s'accroîtrait de 50cm à 13 mètre. Et de 20cm à 60cm si la consommation d'énergie fossile était réduite.
Le second rapport, publié par l'organisation Climate Central est encore plus intéressant. Il émane de sources similaires. On y retrouve le Professeur de l'Université de Rutgers Robert Kopp qui s'est spécialisé dans l'interaction entre risques économiques et Changement Climatique et fait partie du Giec. Un vrai fonds de commerce, en somme. Avec la sienne voisine la signature du Pr. Benjamin Strauss, grand spécialiste américain du niveau des mers et des vagues déferlantes. Invité de toutes parts, largement financé et partout célébré. Il n'est pas par hasard vice président de Climate Central. Cette organisation, bien qu'elle se défende d'être un groupe de pression, sert de base de données sur les risques supposés résultant du Réchauffement Climatique. On peut lire dans un de ses documents « qu'il y a de fortes chances pour que des inondations centennales ou pires surviennent aux Etats Unis, à plusieurs reprises avant 2030. Causant des dégâts considérables. Près de 5 millions de personnes vivent dans 2,6 millions de maisons qui se trouvent à moins de 1,2 mètre des marées hautes quand les scientifiques tablent sur une montée des eaux de 60cm à 2 mètres ». Evidemment selon l'institut tout dépendrait de l'efficacité de la lutte contre le changement climatique. Ont participé également à ces travaux, Klaus Bitterman, un Allemand qui a étudié dans le cadre du NOAA, le service de la météorologie US (National Oceanic and Atmospheric Administration), et William Sweet, océanographe auprès du même NOAA.
Dans son rapport, au titre édifiant - « Inondations côtières non naturelles - l'augmentation du niveau des mers et l'empreinte humaine sur les inondations US depuis 1950 », Climate Central souligne le nombre des destructions causées au cours du dernier siècle par l'augmentation du niveau des eaux. Et il en précise clairement les causes : « En gros les trois quarts des journées d'inondation dues aux marées survenant dans les villes de la Côte Est, ne surviendraient pas s'il n'y avait pas augmentation du niveau des mers causée par des émissions anthropiques ».
La preuve ? Entre 1955 et 1984 le nombre de jours d'inondations relevés à Boston, Atlantic City, Philadelphia, Washington, Charleston, La Jolla (San Diego), and San Francisco ont été de 51, 83, 96, 265, 132, 32, and 169 respectivement. Entre 1985 et 2014, pour les mêmes villes, ils ont été de 90, 414, 199, 568, 496, 133, and 286. Or entre les deux dates se seront écoulés 60 ans. Si l'on prend la station balnéaire de La Jolla près de San Diego la plupart des habitations n'existaient pas et se trouvent quasiment sur la plage. C'est également le cas d'Atlantic City. À Charleston, ils n'étaient que 70 000 en 1950. Entre 1990 et 2014 la ville est passée de 80 000 à 130 000. À l'évidence de nombreux faubourgs neufs ont été construits près des plages. Il en va de même de San Francisco, passé de 1985 à 2014 de 700 000 à 850 000. Ce phénomène existe dans toutes les agglomérations des côtes américaines où, au cours de la dernière décennie, les constructions se sont multipliées aux abords des plages, augmentant d'autant les risques liés aux conditions climatiques. D'autant que les derniers immigrés ont tendance à s'agglutiner dans les mégapoles du bord de mer. Le plus bel exemple en est la Floride dont la population est passée de 2,8 millions en 1950 à plus de 20 millions en 2015. Et cela fait des années que les compagnies d'assurance ont tiré la sonnette d'alarme : le bétonnage de la côte d'année en année devient un fardeau insupportable après le passage de chaque cyclone. Non pas qu'ils soient plus violents ni plus dévastateurs mais simplement parce qu'il y a dix fois plus de dégâts à indemniser à cause d'une population multipliée par dix.
C'est la même chose pour le Texas. En 1950 Houston n'atteignait pas 600 000 habitants. Ils sont aujourd'hui près de 23 millions. Alors 7,7 millions, les Texans sont aujourd'hui près de 28 millions.
« Une campagne d’anti-science »
Bien qu'émanant du plus important institut scientifique US expert en matière d'élévation anthropogénique du niveau des mers, un des chevaux de bataille du GIEC et de l'idéologie du Changement Climatique, faut-il néanmoins s'abstenir de toute réserve ? Sachant que tous les membres de la distinguée organisation sont cooptés et la direction élue par eux. La NAS appartient au Conseil International pour la Science dont le siège est à Paris et la devise est : « L'universalité de la science dans son sens le plus large est de développer une communauté scientifique véritablement mondiale sur la base de l'équité et de la non-discrimination ». En 2005 avec les académies nationales de la science des pays du G8 elle signa une déclaration sur une réponse globale au Changement Climatique, selon laquelle celui-ci était suffisamment prouvé par la science pour justifier une action rapide des nations.
Depuis quelques semaines cette étude fait le tour de toutes les revues scientifiques et de vulgarisation de la Planète. Une officine de propagande aussi percutante que France-Info n'a pas perdu de temps pour la faire connaître aux jeunes soumis au roulement de la pensée unique, invitant une scientifique française, experte en ce domaine, à apporter sa caution à cette manipulation manifeste. Parce qu'il s'agit bien d'une nouvelle imposture pseudo-scientifique. Aussitôt mise à mal par d'autres spécialistes de grand renom mais qui, eux, ne diffusant pas la vérité consacrée, n'ont droit à aucun porte-voix médiatique et doivent s'exprimer dans des organes marginaux, que les média de masse désignent comme "conspirationnistes"'.
Nils-Axel Morner, par exemple, qui dirigea le département de Paléo-géophysique et de Géodynamique de l'Université de Stockholm. Il présida les commissions sur la néo-tectonique et sur les changements des niveaux des océans de l'Union Internationale pour l'Etude du Quaternaire. Or si celle-ci de façon parfaitement orthodoxe soutient la notion de réchauffement anthropique, il est lui totalement opposé aux thèses du GIEC. Momer a pendant des années étudié le soit disant envahissement
des îles Maldives par l'Océan indien, démontrant tout ce qu'il y avait de faux dans cette théorie utilisée par les responsables de cet archipel pour obtenir des aides internationales et la reconnaissance pour ses habitants d'un statut de « réfugié climatique ». Bien sûr ses affirmations suscitèrent une levée de boucliers de la part des "scientifiques" qui se trouvaient confrontés à une contestation dont ils prétendaient qu'elle ne pouvait exister. Il ne laissa donc pas passer la publication des universitaires de Rutgers sans la dénoncer : « L'article du NAS, vient-il de déclarer, est encore une triste contribution à la campagne démagogique d'anti-science menée en faveur des gaz à effet de serre. Elle va à l'encontre des faits observables et des principes éthiques... Ce texte est plein de violations très méprisables des faits observables... ».
Morner a plus publié sur cette question qu'aucun autre scientifique de renommée mondiale. Et pourtant il n'est cité nulle part lorsqu'il est fait état d'une élévation du niveau des océans entraînant, prétend-t-on, des millions de « réfugiés climatiques ». Et notamment lorsqu'il a souligné quatre points passés sous silence ou contestés par la doxa climatique :
« Les jauges des marées mondiales montrent des taux moyens modérés ».
« De nombreux sites clés et sites de test ne laissent apparaître que peu ou pas d'élévation ».
« On ne trouve nulle part de trace de véritable « accélération ».
« L’altimétrie satellitaire laisse apparaître une augmentation moyenne de 0,5+/-01mm par an après étalonnage »,
« Les oscillations du niveau des océans dans le passé ont été plus rapides et plus brutales qu'au cours du dernier siècle ».
La climatologue américaine Judith Curry occupe une place à part dans ce créneau.
Ancienne directrice de l'Ecole de la Terre et des Sciences Atmosphériques de l'Institut de Technologie de la Géorgie, bien qu'appartenant au NOAA et ne refusant pas la notion de changement climatique quoiqu'elle n'y voie pas de responsabilité humaine, elle est très méfiante quant aux positions défendues par le Giec. Se retrouvant souvent sur la même ligne d'attaque que les "climato-sceptiques". Sur la question de la montée des eaux océaniques, tout en reconnaissant qu'elle existe depuis la dernière période glaciaire, elle conteste néanmoins que les gaz à effet de serre anthropiques en soient la cause. Elle considère en effet que ce phénomène s'est à plusieurs reprises dans le passé déjà produit et qu'il s'agit souvent d'une manifestation très locale dont les causes sont multiples et pas forcément générées par une fonte de glace arctique.
« Le niveau des mers, écrit-elle, continuera à monter quelles que soient les émissions de C02. Le chiffre donné par le GIEC de 3,14mm suggère qu'il n'y a eu aucune accélération étant donné les forts taux d'élévation océanique dans la première partie du XXe Siècle. Tant que nous n'aurons pas compris les variations des niveaux d'élévation décennaux et multi-décennaux nous ne pourrons faire aucune déduction quant à l'accélération ». Ajoutant encore que « … comme "le changement climatique", l’élévation du niveau de la mer a été imputé aux Humains. Le niveau des océans est monté pendant des milliers d'années, néanmoins, ainsi que le rapporte le papier de Kopp, il y a eu des périodes pouvant aller jusqu'au siècle, durant lesquelles, au cours du dernier millénaire, les océans se sont abaissés ».
Mais ont-ils le droit de s'exprimer ceux qui échappent au consensus canonique ?
Jim REEVES. Rivarol du 17 mars 2016
-
Gilles-William Goldnadel : « Comment se fait-il qu’il n’y ait pas un clip contre le racisme anti-blanc ? »
Les grandes Gueules ont réagi ce lundi à la campagne contre les actes racistes et antisémites lancée par le gouvernement. L’avocat Gilles-William Goldnadel a dit tout le mal qu’il pense de cette campagne à l’un de ses instigateurs, le délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme.
Gilles-William Goldnadel s’est dit révulsé :
Ça s’appelle Tous unis contre le racisme, et c’est principalement contre le racisme anti-juif, anti-arabe et anti-noir. Comment se fait-il qu’il n’y ait pas un clip contre le racisme anti-blanc ou anti-chrétien ? Il arrive même que des blancs se fassent tabassés parce qu’ils sont blancs. On n’a pas pensé à eux”, se désole-t-il. Pourtant, selon Gilles-William Goldnadel, “ce racisme, c’est le principal vecteur aujourd’hui de la haine islamiste.
-
L’arrestation d’Abdeslam révèle avant tout le fiasco de la politique irresponsable de nos dirigeants
Dans la droite ligne des attentats, l’arrestation d’Abdeslam pose trois types d’interrogations.
Renforcement des contrôles aux frontières, coopération accrue entre les services de police, échange de renseignements entre les pays européens, telles sont les mesures que le président de la République et le gouvernement annoncent aujourd’hui après l’arrestation, à Molenbeek, de Salah Abdeslam. Mais toutes ces actions ne sont-elles pas décidées trop tard ? Ne devaient-elles pas être la contrepartie indispensable à l’ouverture des frontières dans le cadre des accords de Schengen ? Ne s’imposaient-elles pas durablement au lendemain des premiers attentats de janvier 2015 ? Devant leur incapacité à gérer les désordres provoqués par leurs politiques migratoire et sécuritaire, les apprentis sorciers socialistes qui nous gouvernent en sont réduits à des effets d’annonce dont on sait qu’ils seront inopérants à combattre le mal qui nous ronge désormais. Derrière l’arrestation de l’un des instigateurs présumés des attentats de novembre dernier se dissimule, en effet, un fiasco retentissant et lourd de conséquences, celui d’une politique irresponsable qui a fait basculer la France dans un chaos sécuritaire dont on n’est pas près de sortir. -
Une tête de cochon sur une mosquée c’est plus grave que la tête d’Hervé Cornara sur le portail ?
Suite de notre analyse de la démentielle campagne « anti-raciste » du gouvernement contre les Blancs.
On peut ajouter, cerise sur le gâteau, que le gouvernement, avec l’argent du contribuable, est en train de financer une campagne anti-FN (ennemi numéro 1 qui occupe tous les occupants de l’Elysée, de Matignon et des Ministères, comme chacun sait) dans la perspective des élections de 2017. Géant.
On appréciera les videos, preuve par neuf que dorénavant le gouvernement (et les juges ? ) confondent allègrement actes anti-musulmans et actes anti-islam, simples manifestations d’islamophobie.
Bref, le gouvernement est passé à la vitesse supérieure. Le projet de l’OCI de faire interdire toute critique de l’islam sur l’ensemble de la planète prend forme en France.
L’OCI avait perdu une première manche :
Mais ils n’avaient pas dit leur dernier mot. Le travail de fond auprès des élites mondialisées porte ses fruits, aidé par le terrorisme :
Les Frères musulmans et l’Etat Islamique l’ont décidé, Hollande l’a fait.
La première des videos est plus que scandaleuse. A-t-on vu et entendu une campagne du gouvernement montrant la veuve et les enfants de Hervé Cornara en pleurs à côté du grillage où la tête de leur mari et père avait été accrochée pour dénoncer le racisme anti-Français ? Racisme musulman nourri par le coran et les haddith-s ? Pour dénoncer le terrorisme et les terroristes ? La mort de Hervé Cornara n’aurait pas valu la peine de lancer une campagne nationale d’avertissement sur les textes, les mots, les actes anti-Français, anti-non musulman mais une tête de cochon si ? C’est une insulte aux mânes de Hervé Cornara, à sa famille et à tous les Français.
Rien contre le terrorisme à part des dénégations, des menaces, des bougies, des « pas d’amalgame ». Mais une campagne -financée par le contribuable- à propos d’une malheureuse tête de cochon sur une mosquée, oui. On l’a déjà dit et redit. Ceux qui mettent un étron ou une tranche de jambon devant une mosquée ou sur ses murs ne sont pas dangereux, ils se contentent d’envoyer un message à nos gouvernants, ils ont peur de l’islam et voient avec un énorme stress les avancées de l’islam en France. Et ce sont eux qui sont stigmatisés (la véritable stigmatisation c’est bien celle-ci) par ceux qui sont censés les représenter, les défendre. Un scandale.
#TousUnisContrelaHaine. Combattre les actes anti-musulmans 2
Ajoutée le 20 mars 2016En 2015, chaque jour, Plus de 5 actes et menaces racistes, antisémites et anti-musulmans se produisent en France. Le Gouvernement se mobilise pour lutter contre cette haine de l’autre.
Donc mettre une tête de cochon sur une mosquée, est considéré comme tellement grave que cela nécessiterait une video à part entière… Et mettre sur le même plan cette tête de cochon, des crachats, des coups, du sang…fallait oser. Surtout quand on sait qui use à longueur de journée du crachat contre les nôtres. En tout cas la messe est dite. Il y a et il y aura dorénavant en France les nôtres et les autres. Ainsi le veut le gouvernement. Bref, la guerre contre les islamophobes est lancée, bref les islamophobes sont plus que jamais assurés d’avoir raison, on organise sous leurs yeux leur remplacement et leur criminalisation.
Par ailleurs voir les musulmans de la video en train de pleurer, littéralement, pour une pauvre tête de cochon sur la mosquée, alors qu’on ne les a pas entendus quand la tête de Hervé Cornara était sur la palissade… A vomir, à avoir envie effectivement de mettre des têtes de cochon partout, réaction tellement dérisoire et tellement dépourvue de haine, elle…
Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, immigration, islamisme, lobby 0 commentaire -
LE BELGIKISTAN, SANCTUAIRE DU TERRORISME
Pieter Kerstens - Notre correspondant à Bruxelles
On aura beau dire et répéter que l’Islam « n’est pas radical »,n’importe quel enfant de 8 ans aura constaté que : TOUS LES IMMIGRES NE SONT PAS MUSULMANS - TOUS LES MUSULMANS NE SONT PAS DES TERRORISTES - MAIS TOUS LES TERRORISTES SONT DES IMMIGRES !
Et l’aveu d’Angela Merkel : « le multikulti a échoué, lamentablement échoué », le samedi 10 octobre 2010, devant le Congrès de la CDU confirme aujourd’hui que l’Islam « modéré », version light des prêcheurs de la Nouvelle Religion Droits-de-l’hommiste n’est pas compatible avec nos sociétés. La caste au Pouvoir a beau nous asséner ses délires dogmatiques, la réalité s’impose à elle tôt ou tard et tous les princes qui nous gouvernent ne peuvent plus se justifier par une pirouette ou une habile esquive. La 5ème colonne existe !
TOUT EST POSSIBLE, TOUT EST PERMIS !
On aura beau argumenter, démontrer l’inverse, polémiquer ou démentir les agressions, les attentats, la dérive ou la radicalisation, le constat demeure : c’est bien l’Islam, les musulmans et les djihadistes qui sont responsables et coupables des diverses tueries et attentats depuis longtemps! Que l’on se rappelle donc l’attentat commis par Carlos « Illich Ramirez Sanchez »le 15 septembre 1974 à Paris. Ce jour-là, Carlos en personne attaque le Drugstore Saint-Germain, à « l’algérienne » en lançant 2 grenades au milieu des consommateurs (2 morts et plus de 30 blessés), puis disparaît tranquillement et revendique son action. Cela pour obliger la France à libérer l’un des dirigeants de l’Armée Rouge Japonaise -Yukata Furaya-, laquelle A.R.J s’était intégrée au Front Populaire de Libération de la Palestine « opérations spéciales » (FPLP-OS de Waddi Haddad). Déjà des attentats arabes, sous « faux drapeau ». Et au fil des années, quarante ans plus tard, ce n’est pas en qualifiant les djihadistes de « nazislamistes » ou « islamofascistes » que les politicards, les médias et les analystes vont pouvoir régler le problème de l’invasion de nos quartiers et l’infiltration dans les esprits de l’Islam conquérant.
Mais ce qui est absolument stupéfiant c’est que la plupart des responsables politiques se déclarent choqués, horrifiés et surpris par la répétitions de tueries sanglantes dans les pays européens et organisant de grands rassemblements populaires pour communier dans la sensiblerie, les pleurnicheries et la bouffonnerie.
CHIENLIT, SAUVAGEONS, CRAPULES ET RACAILLES
Depuis des lustres la France, comme ailleurs en d’autres pays d’Europe à l’image de la Belgique, a dépensé des milliards d’euros dans une politique de la Ville pour améliorer l’habitat et les infrastructures sportives, tous azimuts. Ces rénovations n’ont servi à rien et la « culture de l’excuse » disculpant les délinquants a bien au contraire développé chez les immigrés de la 2e ou 3e génération un sentiment d’impunité qui leur permet une répétition de méfaits et de se glorifier d’un casier judiciaire comportant 20, 30 ou 50 condamnations ! Inutile donc de vouloir une politique répressive envers les crapules, alors que la Justice baisse les bras et que par conséquent, la Police ferme les yeux, depuis de longues années.
On comprend dès lors beaucoup mieux pourquoi les petits caïds des Zones de Sécurité Prioritaires se trouvent être également les janissaires attentifs et actifs d’un Islam envahissant. Par contre, alors que le Pouvoir est clairement au courant des agissements de ces racailles, il est inadmissible que les élus communaux ou les fonctionnaires de l’Etat occultent ou cautionnent ces dérives criminelles. Leur obsession de la société citoyenne, du « vivrensemble », du « padamalgam », de la discrimination « positive » et du politiquement « correct » abouti à un déni des réalités et une situation conflictuelle quasi généralisée.
BRUSSELABAD, CAPITALE DE L’EURABIA
Dans une étude du sociologue Jan VERTONGEN, de l’université de Gand, on relève que 66% de la population de Bruxelles est d’origine étrangère et que 33% est de confession musulmane. Ce n’est pas une surprise…il suffit de se promener dans la rue !
Différentes communes de Bruxelles (Anderlecht, Forest, Molenbeek Saint-Jean, Saint-Gilles ou Schaerbeek) ont servi de bases-arrière au terrorisme international depuis fort longtemps. Que ce soit l’ETA, Action Directe, le GIA, les CCC, la cellule qui assassinat le commandant Massoud en septembre 2001 ou Sharia4Belgium et DAESH aujourd’hui, Molenbeek se profile alors comme le FOYER du terrorisme international, avec la complaisance des autorités. En effet, et d’après les déclarations ce 18 mars du député Alain Marsaud, ancien magistrat, chef du service central de la lutte anti-terroriste au parquet de Paris,« on peut se poser des questions quant aux capacités des services de sécurité belges » et il rejoint en cela l’opinion du juge Bruguière, qui eu à traiter du dossier Daoui avec la Justice belge, et doute lui aussi de l’efficacité des responsables de la sécurité. Ce qui est certain, c’est que pour des raisons bassement électoralistes, les partis traditionnels (PRL/MR, PSC/CdH ; ECOLO, PS) ont tous sollicité les musulmans et octroyé des avantages aux maghrébins afin de pouvoir engranger leur voix lors des élections successives, et cela depuis plus de 40 ans ! L’exemple le plus instructif est celui de Philippe Moureaux, sénateur-bourgmestre de Molenbeek de 1992 à 2012 et qui a déclaré récemment : « On encourageait les gens à aller se battre en Syrie (contre Bachar al-Assad –ndlr) comme des héros. ». En 1980, ce fils de l’ex-ministre Charles Moureaux et de Mme Blaton, entre comme ministre dans les gouvernements Martens 3 et 4. Le 30 juillet 1981, il fait voter la loi contre le racisme et la xénophobie qui porte son nom. Il fut ensuite encore trois fois ministre sous Martens 8 et 9 et puis Dehaene. C’est lui qui ouvre les listes du PS aux candidats non européens à partir de 2000. Le sénateur Alain Destexhe lui a reproché d’avoir complètement négligé la question de la radicalisation islamiste de sa commune pour des raisons électoralistes. Ce bourgmestre, cacique du PS, s’était marié en 2010 avec Latifa Benaïcha, marocaine musulmane, de 35 ans sa cadette, collaboratrice du Ministre Président de Bruxelles, Charles Picqué. Franc-maçon déclaré, Moureaux s’est converti à l’Islam, tel que cela a été confirmé par le consulat du Maroc à Bruxelles, parce que l’article 39 du code marocain de la famille n’autorise pas le mariage d’une musulmane avec un non-musulman. Philippe Moureaux a donc été officiellement le 1er Bourgmestre musulman de Belgique, malgré ses pitoyables dénégations de l’époque ! Ceci explique-t-il cela ?
Depuis des années les ministres et politicards belges rivalisent de déclarations hypocrites et mensongères. De Martens à Charles Michel, de Jean Gol à Jan Jambon, de Laurette Onkelinx à Joëlle Milquet, TOUS savaient que des commandos ou cellules terroristes de toutes obédiences résidaient dans la capitale de l’Europe. Par complaisance idéologique et tolérance coupable, ils n’ont pas pu, pas su ou pas voulu combattre et mettre hors d’état de nuire ces assassins barbares. Et que l’on ne me rétorque pas que ce sont des affirmations gratuites. En 2005, la journaliste Hind FRAIHI mène l’enquête sur l’implantation des islamistes à Molenbeek, objet de son livre « Immersion à Molenbeek ». Elle y décrit que les recruteurs des filières djihadistes agissaient ouvertement sur la voie publique et que dans les mosquées les imams prêchaient la guerre sainte. Personne ne l’a soutenu, aucun politicien ne voulait reconnaître les faits. Pire : elle a été critiquée et accusée de mensonges. Seul le Vlaams Blok (V.B), qui comptait des élus communaux à l’Hôtel de Ville, confirmait l’exactitude de son enquête et son constat de la réalité.
Comme on le voit dans les multiples reportages visuels sur l’arrestation de Salah Abdeslam, dans le quartier de Molenbeek, commune qui possède 22 mosquées et 8 centres culturels arabes, on n’aperçoit aucun blanc, hormis dans les forces de l’ordre et parmi les journalistes qui sont persona non grataquand ils enquêtent sans protection policière… Et si la crapule Abdeslam a pu se permettre une cavale de 4 mois, c’est bien parce qu’il avait des complicités dans les milieux bruxellois et pouvait compter sur la protection et l’aide de ses « frères ». Selon l’aveu du Premier mnistre belge, il a fallu plus de 100 perquisitions pour finir par l’arrestation de l’ennemi public n°1 en Europe !
Lien permanent Catégories : actualité, Europe et Union européenne, immigration, insécurité, islamisme, lobby 0 commentaire -
#TousUnisContrelaHaine : les « petits blancs » toujours coupables, jamais victimes ?
Philippe Bilger dénonce une campagne antiraciste coûteuse, malhonnête et à sens unique.
Comme elle est mignonne, cette campagne sous l’égide de #TousUnisContrelaHaine !
Si je me moque du caractère gentil, voire gentillet, de cette démarche publique qui montre que l’Etat a bon cœur, ce n’est pas parce que je serais cynique et ceux qui m’approuvent dénués d’éthique. Mais parce que la dérision est presque inévitable.
En effet, si on confronte l’intensité et la monstruosité du terrorisme international qui est inspiré peu ou prou par la racisme ou l’antisémitisme - déguisé en haine religieuse - à ces œuvres touchantes et pleines de bonne volonté, on ne peut que d’emblée prendre acte d’une terrifiante et ridicule disproportion. D’un côté la volonté de tuer, de l’autre une leçon de morale.
Cette inégalité ne serait pas suffisante à elle seule pour battre en brèche ces desseins tout emplis d’humanisme officiel.
Mais le coût d’une telle entreprise est-il bien justifié quand on s’acharne à faire des économies sur tout et notamment au détriment d’associations qui sur le terrain, concrètement, ont sans doute une action plus efficace pour diminuer le racisme et l’antisémitisme dans les têtes, les esprits malfaisants et ignorants, pour tenter de diminuer les effets ravageurs de ce poison ? Est-il normal de gaspiller pour l’inutile et de priver malgré la possible utilité ? [....]
La suite sur Le Figaro.fr
http://www.actionfrancaise.net/craf/?TousUnisContrelaHaine-les-petits