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Retour sur le colloque organisé conjointement par la Grande Loge de France (GLDF) et la Grande Loge Féminine de France (GLFF) avec le soutien du ministre de l’Education nationale Najat Vallaud-Belkacem.
Malgré les renforts de publicité, les invitations placardées dans les couloirs des établissements fréquentés par les étudiants et la retape des professeurs francs-maçons, rien n’y a fait.
Le colloque franc-maçon destiné à la jeunesse s’est déroulé dans une salle à moitié vide (même pas 300 personnes au lieu des 600 escomptés).
Les forces occultes attirent de moins en moins de jeunes.
Intervention de Philippe Miailhes (FN) au Conseil Régional de Bretagne:"La Théorie du Genre est la remise en cause de l'altérité Homme/Femme... Vous vous attaquez aux rôles du Père et de la Mère"!
Florence Robine, Directrice générale de l'enseignement scolaire, a envoyé un message aux enseignants du public pour les mettre en garde contre... les théories du complot. Y aurait-il donc un complot contre l'Education Nationale ?!
"Les discours complotistes et conspirationnistes, s'ils ne sont pas nouveaux, ont pris une ampleur préoccupante avec le développement d'internet. L'École, comme lieu de transmission des savoirs, est directement visée par ces discours, qui nient la raison et la recherche de la vérité. D'où la grande importance pour la communauté éducative de mieux appréhender ces phénomènes et d'adopter les moyens de lutte les plus efficaces. Le 9 février dernier, le ministère a réuni au Muséum national d'histoire naturelle à Paris des collégiens, des lycéens, des professeurs, des journalistes, des psychiatres et partenaires associatifs pour échanger sur le phénomène complotiste et conspirationniste. Nous avons réuni sur le site éduscoll'intégralité des interventions de cette journée, ainsi que des entretiens et d'autres outils pédagogiques. Ces ressources vous permettront de travailler avec vos élèves, dans le cadre de l'enseignement moral et civique, de l'éducation aux médias et à l'information ou tout autre cadre qui vous paraîtra approprié."
Et sinon, l'école peut-elle apprendre à lire, écrire et compter ?
Le ministre de l’Education nationale, alerté par les maires, vient de s’émouvoir de l’expansion des écoles musulmanes, sous contrat avec l’Etat mais le plus souvent sans. La plupart de ces établissements sont sous influence salafiste. Comment peut-on s’en étonner puisque le Premier ministre a reconnu que le salafisme « est en train de gagner la bataille idéologique et culturelle » (voir Présent du 6 avril) et l’école n’est-elle pas le lieu privilégié pour livrer cet assaut dès le plus jeune âge ? Ce ne sont pas les musulmans supposés « modérés » qui choisissent ces établissements scolaires là, mais les partisans d’un islam rigoriste, proches de l’UIOF, filiale française des Frères musulmans. Les autres se contentent de l’enseignement public ou… de l’école catholique. Il n’est en effet plus rare, dans certaines banlieues, qu’on trouve dans les écoles catholiques la moitié d’élèves musulmans, voire 80 % dans d’autres, ce dont l’épiscopat français a fini par s’émouvoir lors de la récente assemblée de Lourdes.
Alors que le gouvernement avait négligé le phénomène pendant des années, il a décidé, après les attentats de novembre, de dépêcher dans les écoles de l’islam un bataillon d’inspecteurs de l’éducation. Ces fonctionnaires, jusque-là, n’étaient pas arabophones. On vient d’y songer, il était temps ! Mais même sans comprendre l’arabe, les inspecteurs y ont constaté des « pauvretés pédagogiques », indique-t-on rue de Grenelle, l’essentiel étant d’y vivre l’islam plus que d’apprendre la littérature française des mécréants. Un ex-enseignant du lycée Averroès de Lille, sous contrat, en a témoigné : « Sous couvert de projet éducatif républicain, il pratique un double jeu et diffuse de manière sournoise, une conception de l’islam qui est celle des Frères musulmans. »
Que faire ? Le ministre de l’Education nationale a déclaré : « Nous explorons toutes les voies possibles y compris celle d’une évolution essentielle du droit. » Cela vise surtout les écoles hors contrat. Il convient de rappeler ici les dégâts collatéraux infligés aux catholiques par la percée de l’islam. Pour ne pas « discriminer » les fidèles de Mahomet, en bannissant le voile à l’école on a interdit dans le même mouvement la croix aux catholiques. L’idée étant que tout ce qu’on refuse aux musulmans doit l’être aux chrétiens. Certains de ceux-là demandent donc que, puisque l’appel à la prière du muezzin n’est pas possible en France, les cloches des églises soient aussi interdites. C’est une des conséquences du refus de constater les racines chrétiennes de l’Europe dans le Traité de Lisbonne, concocté par Sarkozy.
Le changement de législation dans un sens restrictif visant les écoles musulmanes sera évidemment appliqué aux chrétiens, de nombreux parents, désireux d’échapper à l’idéologie du genre, suscitent des établissements vraiment libres et catholiques. Parmi les reproches faits aux écoles musulmanes, il y a, selon Najat Vallaud-Belkacem, un manque de volonté d’y « développer l’esprit critique ». Il faut entendre par là une critique de la religion que nos socialistes veulent appliquer à toutes, la foi devant fondre au rouge soleil des Lumières et, actuellement, par ricochet, ils espèrent bien atteindre l’Eglise en prétendant lutter contre la Mosquée.
Guy Rouvrais
Article paru dans Présent n° 8583 daté du 8 avril 2016
“La mosquée d’Athènes”, voilà qui pourrait devenir un titre de roman, d’horreur si je devais choisir le genre. Je fais référence ici à l’intense conflit autour de la construction d’un de ces lieux de culte de la fausse religion mahométane qui se multiplient en Europe de l’Ouest et du Sud.
En lisant la presse grecque ces derniers jours, on apprend en effet que l’extrême-gauche au pouvoir en Grèce est déterminée à liquider ce qu’il reste de l’héritage spirituel de ce pays dont elle préside à l’effondrement.
Le journal britannique Mail online rapporte (source) :
Un officiel du ministère de l’Education et des Affaires Religieuses a déclaré qu’ils doivent avancer rapidement sur la construction de la mosquée qui été annoncée en 2006 mais qui est retardé par des recours.
L’officiel indique : “C’est précisément en raison des récentes attaques terroristes que nous devons avancer rapidement sur la construction de la mosquée à Athènes. Chaque jour sans mosquée et imams officiels à Athènes, nous payons pour un risque accru de radicalisation des musulmans agissant dans l’ombre ou dans des lieux non officiels de culte”.
Je publiais récemment un article sur ce même blog intitulé “Chaque attentat accroit la capitulation des élites, pas l’inverse” (lire ici). Le titre résume assez bien le propos et si je le cite ici c’est parce que ce n’est pas le fruit de conjectures délirantes de ma part mais d’une réalité observable, dans toute l’Europe occidentale.
Dans ce cas d’espèce, c’est bien le gouvernement grec – pas moi – qui établit un lien entre terrorisme et nécessité de répondre aux exigences toujours plus croissantes de l’envahisseur musulman, d’origine orientale ou africaine. Ce que l’on appelle “l’apaisement”.
Politique dont Churchill disait : “Un promoteur de l’apaisement, c’est quelqu’un qui nourrit le crocodile en espérant qu’il le mangera en dernier”.
Psychologie du pacifisme
Dans une article de 2009, traitant du pacifisme occidental d’avant-guerre dans un article intitulé A la guerre comme à la paix (lire ici), Annaëlle Lebovits parle du profil psychologique du pacifiste qui ne sera pas sans vous rappeler quelque chose de plus contemporain :
“Le pacifiste se réfugie derrière des intentions droites et nobles, ses discours se parent d’humanisme, de foi en l’autre et de respect. Car la figure du faible enjoint la compassion […] La réciprocité absolue des rapports humains fait l’objet de la foi triviale qui meut le pacifiste. La bonté appelle la bonté, pense-t-il, et le respect, le respect ; seule la haine engendre la haine, les victimes sont des bourreaux qui s’ignorent. Le pacifiste nie ainsi sa dissemblance à l’ennemi.”
Elle poursuit :
Tout pris qu’il est dans ce rapport d’identification imaginaire à l’autre, le forçat de la paix en oublie de composer avec l’Autre. Il le fait d’autant plus facilement qu’il épouse tacitement le discours de cet autre, qu’il y repère un écho de vérité propre à rassembler ce que tout oppose en apparence.
Annaëlle Lebovits tire de cette disposition d’esprit une conclusion pratique :
Le pacifiste se prépare souvent une guerre plus franche que celle qu’il prétend éviter. Plus franche, parce que pour s’endormir au doux son de promesses de paix, il ne voit pas, ne peut pas voir venir la guerre. Loin que la réalité commande chez lui la stratégie à adopter, elle se conforme au contraire à la seule stratégie qui lui convienne : ne rien faire, s’aplatir toujours plus et respirer toujours moins fort.
Vous vous souviendrez ici du fameux discours de Manuel Valls suite aux attentats de Charlie Hebdo : les agresseurs sont les agressés, les victimes sont les coupables. Les djihadistes, “fondamentalement bons”, se sont simplement “égarés” des suites d’une “ségrégation” dont ils seraient l’objet :
Psychologie du revanchard
Le Führer du Reich, Adolf Hitler, avait un projet géopolitique – l’unité allemande – et entendait en finir avec les conséquences du Traité de Versailles. Les Français ne concevaient pas à quel point le sentiment d’injustice avait forgé une génération vaincue d’Allemands qui entendaient réécrire l’histoire.
Hitler ne cachait pas à quel point “l’apaisement” franco-anglais lui paraissait une marque de faiblesse et non, comme le pensaient ses adversaires, de magnanimité propre à le calmer. Il déclarait en 1939 :
“J’ai vu à Munich les chefs des gouvernements français et britanniques ; ce sont des créatures faibles et lamentables, incapables d’offrir une résistance quelconque.”
Ce que ne comprennent pas, paradoxalement, les apologistes de “l’Autre”, c’est que “l’autre est autre” par définition. Et que ce dernier n’est pas réductible à soi-même, a fortiori quand il est racialement, culturellement et religieusement radicalement différent.
Or, toutes les actions entreprises face à la menace reposent sur l’idée que les afro-musulmans – tant chez eux que chez nous – raisonnent dans les mêmes termes.
Parce qu’ils sont fondamentalement mus par des desseins hostiles, revanchards et conquérants, la soif de l’ennemi allogène est inextinguible. Chaque tentative de conciliation est perçue comme un signe de faiblesse et constitue une puissante incitation à pousser l’avantage.
Le cerveau reptilien des masses musulmanes ne conçoit pas autrement les mesures diplomatiques visant à les apaiser.
Les élites nourrissent le crocodile
Pour en revenir à la mosquée d’Athènes, capitale fondatrice de la civilisation euro-occidentale doit-on le rappeler, l’annonce depuis plusieurs années de ce projet avait instantanément été interprétée comme une brèche.
L’ancien occupant ottoman tentait d’exploiter l’opportunité comme le rappelle cet article d’un site musulman qui, comme on le voit, n’a rien oublié (voir ici) :
Suite à sa conversation avec le ministre grec Samaras Antonis à Doha, le Premier Ministre turc Recep Tayyip Erdogan a proposé de construire une mosquée à Athènes […] En proposant de financer la construction de la mosquée d’Athènes, le premier ministre turc enlèvera ainsi un point crucial qui freine le dossier. Malheureusement, le Ministre grec a préféré rejeter l’offre de son homologue. La question d’une mosquée officielle à Athènes, se posait depuis plusieurs années. Alors que la Grèce est sur-endettée, le rejet d’une telle proposition est un comble, et une preuve de la difficile acceptation de l’islam dans le pays, et de l’influence de l’Église orthodoxe. Pour cette question, Athènes risque encore de rester l’exception de l’Union Européenne.
Pour se plonger encore dans l’univers mental des masses musulmanes, je citerai cet extrait du site salafiste Islam & Infos sur le sujet (voir ici) :
Bonne nouvelle pour les Grecs ! En effet, après des années de polémiques et de rebondissements, Athènes va enfin pouvoir avoir une Mosquée pour ses fidèles.
Il est vrai que les musulmans d’Athènes sont confrontés à l‘islamophobie des militants d’extrême droite et même de certains habitants comme en novembre 2011 lors de la prière de l’aîd où ils se sont fait insulter et jeter des œufs en pleine prière.
Vous aurez relevé l’impudence typique de la mentalité islamo-sémitique.
Comme j’ai déjà eu l’occasion de le dire, la notion d’égalité entre individus est absente dans les sociétés musulmanes, qu’elles soient arabes, maghrébines, turque, etc. Le fondement du rapport social est la soumission au plus fort. Dans ce contexte, la morale est contingente.
L’extrême-gauche, je l’ai souvent dit, est vouée à se diluer dans le fanatisme islamique. Sa haine de la civilisation européenne, son nihilisme névrotique, la conduit inexorablement à collaborer.
Il n’est pas surprenant que le gouvernement grec, situé dans les limbes du gauchisme trotskiste, réagisse de la sorte. Mais bien loin “d’apaiser” l’ogre, il aiguise son appétit.
Toute concession à la progression de l’islam et de ses masses invasives devient une incitation à lahaine raciale contre les populations européennes et contre la civilisation helléno-chrétienne. Le meurtre alimente le meurtre, avec l’appui d’élites bourgeoises, émasculées et terrorisées.
La logique pacifiste – ou “capitularde” plus exactement – a sa propre dynamique. Une fois le précédent posé, le contexte conditionne celle-ci. Si la Grèce construit une vaste mosquée dans sa capitale suite à des attentats à Bruxelles, combien en construira t-elle lorsque des attentats la frapperont directement ? Le double, le triple, le quintuple. La France a finalement donné l’exemple lorsqu’elle avait annoncé le “doublement du nombre de mosquées” suite aux attentats de Charlie Hebdo, posant ainsi l’objectif à 6 000 mosquées sur le territoire hexagonal (voir ici).
Pour reprendre le mot de Churchill, ces élites sont bien décidées à “nourrir le crocodile”. Avec vous, vos enfants, vos amis, vos voisins, peu importe, tant que cela leur permet de continuer de rester au pouvoir.
Être prêts pour l’escalade totale
Quelle est la réaction à adopter ? J’étais personnellement favorable à l’utilisation, par l’armée française, d’une arme nucléaire tactique sur Raqqah, capitale de l’État Islamique. Car le combat n’est absolument pas conventionnel, mais idéologique et psychologique. Jusqu’à présent, aucun gouvernement n’a compris la nature de l’ennemi ni sa détermination.
Une seule arme nucléaire tactique aurait suffi à terroriser la totalité des djihadistes concernés. Au surplus, une escalade progressive devrait être prévue pour frapper, avec toujours plus de force, tous les acteurs musulmans, états ou groupes, candidats à des représailles.
Ce n’est pas tant d’avoir la volonté de recourir à l’arme nucléaire une seule fois qui était nécessaire que d’en faire la base technique d’une escalade exponentielle assumée selon la pensée stratégique clausewitzienne.
Que les musulmans appliquent la chariah dans leurs pays m’indiffère. Elle l’est déjà en Arabie Saoudite et je m’en accommode parfaitement.
Mais dès lors que leurs organisations tentent de frapper l’Europe, une puissante dissuasion doit être mise en place. Car c’est lui qui nous a désigné comme ennemi, n’en déplaise aux tenants de l’illusion pacifiste.
La psychologie musulmane, comme je l’ai dit, n’admet que la force comme base du rapport social et politique. Toute idée visant à vouloir changer le fonctionnement de leurs sociétés est une imbécilité universaliste et égalitariste qui a été convaincue d’absurdité en Afghanistan ou en Irak. Des entreprises militaires sur lesquelles comptent par ailleurs la guérilla révolutionnaire islamique pour épuiser les armées occidentales et accroître leur propre poids.
Ceux qui s’opposent à cette approche sont les mêmes qui conditionnent l’aggravation de la situation en incitant l’ennemi à l’audace. A ceux qui y voient une hypothèse délirante, je rappellerai simplement que c’est exactement en ces termes que les Alliés, la Russie et la Chine présentèrent l’alternative qui s’offrait au gouvernement japonais depuis Potsdam, le 26 juillet 1945 :
« Nous appelons le gouvernement du Japon à annoncer dès maintenant la capitulation sans condition de toutes les forces armées japonaises […] La seule alternative pour le Japon est une destruction rapide et totale ».
On ne peut demander cependant une telle chose à la France, dans la mesure où la marxisation de ses élites comme leur corruption morale et leur lâcheté les ont déjà fait acter de leur capitulation.
Seules deux puissances me semblent avoir encore suffisamment de volonté et de courage pour user de la force nécessaire contre cet ennemi : les USA et la Russie.
Nous devons répondre à cette guerre d’extermination qui nous a été déclarée. Toutes les manœuvres dilatoires ne feront qu’accroître le coût humain.
Il est encore trop tôt pour appréhender tous les aspects, les origines, les stratégies de communication, les conséquences des Panama Papers. Mais on peut déjà souligner des absences troublantes, des présences (trop) tonitruantes et des présences (trop) discrètes.
Parmi les absences, celles des américains qui ne sont représentés que par quelques hommes d’affaires de Floride. Il semble étrange – étrange est un euphémisme – que le monde entier se soit croisé dans les bureaux du cabinet Mossack Fonseca… sauf les sujets américains. Cherchez l’erreur. Par contre Poutine (premier portrait de la une du Monde daté du mardi 5 avril) et Assad (second portrait) figurent en première page du Monde… alors qu’ils ne sont directement cités dans aucun papier du cabinet panaméen. Si Poutine a le droit a une page entière « La banque des copains de Poutine », l’Ukrainien Porochenko directement impliqué n’est même pas cité dans les deux premières éditions papier et son nom se retrouve de manière marginale dans LeMonde.fr. Étonnant ?
Dans son numéro suivant Le Monde ne consacre pas moins de deux pages complètes au Front National… alors que le parti n’est jamais cité directement dans les papiers. Pour Patrick Drahi, cherchez et cherchez bien ! Arrêtez de chercher vous ne trouverez pas son nom. Jérôme Fenoglio directeur du quotidien s’en est expliqué d’une manière embrouillée à la matinale de France Culture le 5 avril : c’est à cause de Xavier Niel propriétaire de Free et actionnaire du Monde, il ne fallait pas donner l’impression d’un conflit d’intérêts ou d’un coup de Jarnac à un concurrent. Diable ! Doit-on comprendre que si Bouygues ou Orange, eux aussi concurrents de Free (propriété de Niel), sont mis en cause pour toute autre affaire, Le Monde invoquera une réserve de neutralité sur le thème non possumus ? Étrange conception du journalisme.
De son côté, Patrick Drahi a démenti avoir utilisé une société panaméenne à des fins d’évasion fiscale. Le groupe Altice, maison mère de SFR, a bien utilisé une société panaméenne mais « de manière légale ». Qui viendra à la rescousse de Drahi (voir son infographie ici) ? Eh bien BFMTV propriété de … Patrick Drahi. C’est @rrêt sur images qui le fait remarquer, citation : « Comment parler de son patron, sur une chaîne de télévision, alors que son nom apparaît dans ce qui pourrait être un nouveau scandale d’évasion fiscale mondial ? BFMTV a trouvé la solution : en contre-attaquant ! Sur le plateau de l’émission BFMStory, l’animateur Olivier Truchot a ainsi pris la défense de Drahi (sans préciser qu’il s’agissait de son patron) face au journaliste du Monde, Jérémie Baruch. « Vous avez vu la réaction des gens qui ont été cités ? Ils se défendent c’est normal. Patrick Drahi, par exemple, qui reconnaît avoir une société, mais rien d’illégal. Lionel Messi qui dit avoir eu une société, mais pas de fonds. Et puis d’autres. Est-ce que finalement c’est la bonne méthode de jeter en pâture des noms de personnalités, sans qu’elles aient vraiment la possibilité de se défendre ? Elles se défendent après, mais le mal est fait en quelque sorte.»
N’est ce pas charmant ? Pour être complet, BFM a cité plus longuement Drahi plus tard en indiquant sa qualité d’actionnaire de la chaîne. Remarquons qu’aucun média n’a fait d’enquête approfondie sur les mouvements au Panama d’Altice de Patrick Drahi entre novembre 2008 et décembre 2010. Drahi est pourtant la dixième fortune de France et la 205ème selon le magazine Forbes.
Et Libération ? De gros titres sur le FN et Jean-Marie Le Pen mais pour Drahi une discrétion de violette. Il faut taper Drahi sur le moteur de recherche du journal pour obtenir une mention le 4 avril à 12h30 sous la signature de Robin Korda qui reprend essentiellement …le communiqué d’Altice. Comme dirait François Ruffin : « Merci patron ! ».
Extrait d'une lettre ouverte adressée à Manuel Valls par Eric L'Huillier, ancien ingénieur de l'Armement, polytechnicien et diplômé de l'ENA, à propos de la campagne "Tous unis contre la haine" :
"(...) Cette campagne est couplée avec une « grande enquête », confiée à une société spécialisée dans les opérations de « testing ». Cette enquête a pour but de savoir si les gens qui portent un nom arabe sont discriminés à l’embauche. Il était parfaitement inutile de mettre le contribuable à contribution pour cela. N’importe qui vous aurait apporté gratuitement la réponse. Et cette réponse est évidemment OUI. La question intéressante était de savoir pourquoi, et, éventuellement, comment y remédier. Le pourquoi est évidemment la méfiance qu’ils suscitent. Et cette méfiance est indépendante de ce que la pensée unique veut ramener à la peur. Ce qui « pourrit » la vie ne fait pas nécessairement peur. Or le patron qui envisage d’embaucher un de ces nouveaux Français sait qu’il multiplie ses chances d’aller au devant de complications : revendications religieuses (...), récriminations de toute sorte, difficultés relationnelles avec les « de souche », voire attentats en interne (...), le tout justifié par le soupçon de racisme et la victimisation qui en découle. Ce qui suscite cette méfiance est objectif et relève de la vie de tous les jours, sans qu’il soit besoin d’évoquer des choses qui pourraient évidemment faire peur, comme la décapitation d’un patron.
On peut aussi aller plus loin et se demander la raison de ces conduites qui provoquent la méfiance des « Gaulois ». Et là, tout s’éclaire : c’est de notre faute ! Je ne fais pas là de l’humour, Monsieur le Premier Ministre. C’est notre faute, car nous sommes coupables de ne pas les aimer suffisamment et, très logiquement, ils réagissent en étant revendicatifs, voire agressifs, éventuellement violents et in fine meurtriers. C’est notre faute ! J’en conviens en battant ma coulpe. Mais c’est aussi notre droit ! Nous avons le droit de ne pas les aimer, ou plus exactement de ne pas aimer qu‘ils s‘installent en grand nombre sur notre territoire, y prolifèrent, en dénaturent l’identité, y révèrent leur livre saint, le Coran, qui est un torrent fou d’appels au meurtre des infidèles que nous sommes, et attendent, paisiblement et en faisant beaucoup d’enfants ou dans la violence du célibat djihadiste, de nous imposer la loi de leur future majorité. Et ce droit de ne pas les aimer et de ne pas vouloir de leur présence envahissante est légitime, même si l’expression publique de tels sentiments est illégale et si le seul credo qui ait droit de cité dans notre République masochiste est la sacro-sainte « intégration ». Je ne sais même pas si j’ai le droit de penser (...) que, si j’avais une fille à marier, je préfèrerais qu’elle me donne des petits-enfants avec un grand blond de type nordique, doté d’un QI de 150, plutôt qu’avec un petit brun au QI de 70 et de type méditerranéen, expression policière que j’ai toujours trouvée bizarre car elle ne fait pas de distinction entre les habitants des rives Nord et Sud de la Méditerranée. En effet, cette opinion peut être taxée de racisme. Or, comme la propagande officielle nous le serine, « Le racisme n’est pas une opinion, mais un délit ». A ce compte, les tribunaux risquent de crouler sous les dossiers de futurs beaux-pères ! Mais les Espagnols, que vous devez très bien comprendre, aimaient ils les Maures…. qu’ils ont mis sept siècles à chasser de chez eux ? Et aurait-il été souhaitable de les « rééduquer » pour qu’ils les aiment ? Je ne le crois pas. C’est pourtant ce que vous êtes en train d’essayer de faire avec la France. Mais je dois à la vérité de dire que vous n’êtes pas le premier dans cette voie, où la droite que j’appelle collabo est aussi zélée que la gauche dite caviar (...)
Mais votre hargne n’est pas celle du prolétaire, c’est celle de l’imposteur. Vous n’êtes pas un fils de pauvre. Votre famille est constituée, côté paternel, de riches banquiers espagnols franquistes et, côté maternel, de marchands d’art et de colons italiens ayant fait fortune en Afrique. On ne peut donc pas dire que le manque de moyens de vos parents vous a empêché de faire des études un peu difficiles. La France vous a, me semble t’il, extraordinairement bien traité. Alors pourquoi, en y implantant à toute force des populations du Tiers-Monde, votre nouvel électorat depuis que les classes populaires ont quitté le PS, en faites vous un objet de raillerie et de mépris de la part des étrangers qui ont le respect d’eux-mêmes ? (...)
Comme toujours lorsqu’on aborde un sujet trop souvent traité par les media, il importe de le définir avec précision. Le totalitarisme n’est nullement propre à une idéologie : c’est le comportement de tout régime où l’on veut obtenir l’uniformité de comportement, de pensée et d’expression. Par définition donc, il s’agit d’un système où les maîtres de la vie politique et judiciaire imposent une réglementation sur tous les sujets, y compris l’exercice professionnel et la vie privée des individus, en plus d’un prêt à penser et de confusions sémantiques obligatoires, devenant des stéréotypes… du genre : « Seul le Blanc est raciste », ce qui fait hurler de rire qui a un peu fréquenté les études historiques et les quartiers chauds, riches en immigrés exotiques. Par la volonté des génies du soi-disant gouvernement européen, siégeant à Bruxelles, et du fait de la complicité active de leurs confrères qui font semblant de gouverner à Paris, Berlin, Londres, Rome et autres lieux, l’Europe occidentale est entrée dans un totalitarisme, encore mollasse et sournois, mais qui envahit progressivement toutes les activités quotidiennes. Jamais le régime nazi (que l’auteur de ces lignes connaît un peu cliquez ici) n’a légiféré sur la vie privée, hormis pour réprimer l’inceste, lutter contre le harcèlement sexuel sur le lieu de travail, interdire stupidement certaines unions (notamment avec ceux qui depuis 33 siècles pratiquent rituellement l’endogamie) et limiter la vitesse des automobiles en ville, en une période où les « démocrates » préféraient ignorer les crimes et délits sexuels et ne s’intéressaient guère aux accidents de la circulation. De nos jours, les parents et grands-parents deviennent délinquants s’ils calottent un rejeton grossier, arrogant ou malfaisant. De la même façon, il est mal vu de forcer les (pas toujours) charmants potaches à travailler plus et mieux : leçons et devoirs sont devenus presque intolérables, et l’on va même jusqu’à adapter l’orthographe française au crétinisme et à la débilité ambiants. L’agriculture et l’artisanat sont victimes d’une foule de décrets bruxellois qui règlementent jusqu’aux insecticides et pesticides, voire la fabrication des fromages, pour complaire à quelques ânes bâtés de l’écologie mondaine… et lorsque les rats pulluleront de nouveau, l’on pourra étudier in vivo ces cas de peste qui n’existent plus, de nos jours, que dans les zones les plus arriérées de la planète. De la même façon, l’on met une foule d’obstacles à l’obtention du gaz de schistes ou du pétrole de roches, par révérence aux multinationales qui ne veulent pas de cette concurrence, d’autant plus gênante que les coûts d’extraction sont moindres qu’on ne le pensait. Quant à la pollution des nappes phréatiques, c’est un argument stupide, bien digne des écologistes ignares : les zones d’extraction se situent à des centaines de mètres du niveau des nappes… au XVIIIe siècle, les mines de charbon étaient déjà réputées frelater les sources d’eau potable ! Tout ce qui est utile aux véritables maîtres du jeu économico-politique devient ipso facto vérité évangélique : nécessité d’une immigration de masse avec, en corollaire, l’islam envisagé comme une religion de paix et d’amour ; réchauffement climatique ; notion de « rogue state » (État voyou… soit celui qui résiste à la globalo-mondialisation) ; la grande avancée technologique de la voiture électrique (sans trop se soucier de la fréquence du rechargement des batteries) ; le péril viral imminent, partant, la nécessité de donner de larges aumônes aux organismes quêtant pour l’Afrique (sans trop se soucier, là encore, de la véritable destination des sommes ainsi collectées) etc. Les grandes vérités, répétées jour après jour, sur tous les tons, par les media, les politiciens et les manifestants des rues et des boulevards sont, bien sûr : la nécessité du métissage universel, le « péril fasciste » et la « dérive sécuritaire »… en résumé, les slogans de la lutte très active de nos maîtres contre le bon sens et la simple autodéfense des Nations européennes, menacées dans leur existence même. Les Européens se croyaient débarrassés du totalitarisme depuis la fin du fanatisme chrétien et de l’impérialisme communiste. Fatale erreur ! On leur impose le fanatisme et l’obscurantisme médiéval de l’islam, la sottise des écologistes aussi arrogants qu’ignares – et qui font un tort considérable à la véritable écologie -, une réglementation multinationale grotesque – qui fait reculer d’année en année l’échéance d’une véritable union des Nations européennes -, un humanitarisme de pacotille, niais en apparence, très fortement mercantile dans sa triviale réalité – qui est une offense au principe même de la solidarité humaine. Notre époque est abjecte, non seulement par son hédonisme et sa platitude, mais aussi par la profonde médiocrité de sa propagande omniprésente, standardisée au point qu’on la retrouve quasi-identique dans tous les continents… « l’ennui naquit un jour de l’uniformité », a écrit notre La Fontaine. De la bêtise, de l’arrogance et de l’incompétence des maîtres, surgira l’insurrection dans chaque continent. Du totalitarisme globalo-mondialiste, naîtra l’Europe unie, la vraie : celle ces Nations de souche européenne.