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lobby - Page 1413

  • Brexit : l’Union européenne mobilise les associations écolos qu’elle subventionne

    13/04/2016 – PARIS (NOVOpress) : Une récente mise en garde, dans une lettre ouverte contre le Brexit, estime que les lois de Bruxelles ont « un effet extrêmement positif » sur l’environnement. Cette déclaration était signée par une douzaine d’associations vertes, dont Natural England, l’Alliance Verte, Oxfam, Action contre la faim. Ce qui n’était pas mentionné dans cette touchante proclamation, c’est que la Commission européenne finance directement huit de ces douze organisations signataires. Bien sûr, « sauvez nos campagnes » sonne mieux que « sauvez nos subventions », mais on ne peut pas empêcher de se demander quelle est la réelle motivation de cette démarche.

    En fait toute cette propagande est un grand classique dans tous les pays de l’Union. Déjà en 2007, la Grande-Bretagne devait approuver un transfert important de sa souveraineté à Bruxelles quand le traité de Lisbonne a été ratifié. Le ministre des Affaires étrangères de l’époque, David Miliband, avait fait un grand show en présentant devant le Parlement toute une série d’organisations en faveur de ce vote. « One World Action, Action Aid et Oxfam donnent leur soutien », disait-il alors d’un air satisfait.

    Le discours officiel proclamait que « les ONG environnementales appuient les dispositions du traité sur le développement durable, et même la commission des évêques soutient cette démarche. Il s’agit d’une coalition, non d’idéologie, mais d’intégrité. » Intégrité ? Il s’est avéré toutes les organisations citées avaient reçu des subventions de l’UE. Rien d’étonnant donc que toutes veuillent entériner consciencieusement un traité soutenu par leurs bailleurs de fonds.

    Ce qui est surprenant est de découvrir l’ampleur de leur dépendance financière. Action Aid, la NSPCC (protection de l’enfance), One World Action et Oxfam ont reçu 43 millions d’euros pour une seule année ! Comment des ONG recevant de telles subventions peuvent-elles légitimement prétendre être indépendantes ? Peuvent-elles encore se décrire comme des organisations « non gouvernementales » ?

    Même question au sujet de cette fameuse « commission des évêques », qui s’est révélée être « la Commission de l’épiscopas de la Communauté européenne », basée à Bruxelles et dont le but est « de promouvoir la réflexion, basée sur la doctrine sociale de l’église, sur les défis pour une Europe unie ». En d’autres termes, tout en cherchant à donner l’impression d’un vaste soutien de la société civile pour un nouveau transfert de pouvoirs à Bruxelles, le Secrétaire britannique aux Affaires étrangères en est réduit à citer des organismes qui seraient en faillite si l’UE disparaissait.

    En 2003, lorsque la Constitution européenne a été élaborée, 200 organisations de la soi-disant « société civile » ont été invitées à soumettre leurs suggestions sur le contenu de ce document. Toutes étaient bénéficiaires de subventions de l’UE…

    http://fr.novopress.info/

  • Le combat contre l'invasion n'est pas une rêverie

    6a00d83451619c69e201b8d1bade81970c-250wi.jpgJean-Yves Le Gallou, qui avait publié en 1985 La Préférence nationale : réponse à l’immigration (Albin Michel), et en 2008 Immigration : l’illusion de l’intégration, récidive cette année avec Immigration la catastrophe. Que faire ? Après 40 ans de déni, la réalité explose : des émeutes de banlieues en 2005 à la tuerie du Bataclan en 2015, le réveil est brutal. Le succès d'Eric Zemmour montre que le peuple semble commencer à prendre conscience des difficultés. Dans cet ouvrage, Jean-Yves Le Gallou dresse, sans lunettes roses, un état de la situation, catastrophique comme l'indique le titre. L'immigration n'est pas une chance pour la France : c'en est la destruction, opérée avec la complicité de toutes les élites, judiciaires, politiques, médiatiques, mondialistes, ...

    Mais pour Jean-Yves Le Gallou, si la situation est catastrophique, elle n'est pas perdue pour autant. Et il montre qu'avec du courage politique, il est possible, et même souhaitable de défendre l'identité nationale et de reconduire ces immigrés d'où ils viennent. Il considère ainsi que l'intégration est un leurre et l'assimilation est dépassée par le nombre d'immigrés. Et il écrit :

    "[I]l faut répondre  sans trembler à trois objections : l'une morale, mois devons aider les malheureux ; la deuxième juridique, ils sont français ; la troisième pratique, ils sont trop nombreux, l'invasion est acquise.

    A la première il est facile de répondre qu'aider les malheureux ne revient pas à se laisser envahir : la France est maîtresse de la charité qu'elle exerce. Ceux qui ont des états d'âme peuvent faire du bénévolat dans le tiers-monde. Aux deux suivantes,l'Histoire répond qu'il s'est souvent trouvé des exodes massifs de populations qui se considéraient chez elles depuis des siècles, Arabes d'Espagne, Turcs de Grèce et même, depuis des millénaires, Grecs de Turquie. Ou encore, plus près de nous, Allemands de Prusse, de Silésie ou des Sudètes, et pieds-noirs d'Algérie. C'est donc possible, matériellement et juridiquement, même aux yeux des plus sourcilleux défenseurs des droits de l'homme. Le combat contre l'invasion n'est pas une rêverie."

    Michel Janva

  • Le soi disant modèle ne capitule pas

    Qu'on se souvienne des grands calculs des ralliés au candidat Hollande en 2012. Les grands habiles cherchaient à se convaincre eux-mêmes. Vous verrez, nous disait-on, il fera les réformes et il aura le soutien de la gauche pour des raisons philosophiques. L'équation idéale en somme.

    Littéralement certes on pourrait s'interroger sur ce qu'on appelle "les" réformes. Sans doute pense-t-on au programme rédigé en 2008 par Jacques Attali, rapport gentiment demandé à la gauche par le chef de l'État, qui venait d'être élu par la droite : il s'appelait à l'époque Nicolas Sarkozy. Il cherchait le consensus : il l'a réalisé – contre lui. Le rapport Attali fut publié par la Documentation française, s'il vous plaît, sous le titre "300 décisions pour changer la France".

    Et bien que le citoyen Attali se soit toujours trompé, pas question de remettre en cause ses oracles.

    Il fallait donc l'entendre le 23 février sur BFM-TV. En superforme, Attali cassait du sucre sur le dos de la loi El Komri. Normal : il ne l'avait ni rédigée ni inspirée. Au-delà des défauts intrinsèques du projet voilà qui constitue la matière-même d'un scandale. Impardonnable.

    L'accusation tombe alors comme un couperet de guillotine : "On a l'impression qu'on a photocopié un document du Medef dans certaines parties." Pouahh !

    Et voyez comme en quelques semaines et après quelques manifs, cette fameuse loi présentée, à tort ou à raison, pour réformatrice, libératrice de l'embauche, destinée à redresser la courbe du chômage, a été retournée contre les employeurs, vidée de son contenu, renvoyée à la géhenne.

    Pas question de toucher au beau "modèle", celui que le monde nous envie et se garde bien d'imiter.

    http://www.insolent.fr/

  • Pédophilie, espionnage, corruption : les sombres coulisses du Quai d’Orsay dévoilées

    Vincent Jauvert, journaliste à  l’Obs, publie un livre intittulé «La face cachée du Quai d’Orsay». Un récit noir qui révèle après plusieurs mois d’enquête, certaines dérives sous les ors de la République survenues au cours de ces dernières années.

    Centre névralgique de la diplomatie française, le Quai d’Orsay est l’un des ministères régaliens les plus prestigieux. De ce monde feutré, le grand public n’en conçoit, sans nul doute, que de vastes pièces accueillant des réunions sensibles dans un cadre pour le moins somptueux. Un livre vient désormais dépeindre un lieu où la loi républicaine est loin d’être reine.

    Une affaire de pédophilie mise au placard

     

    Le Quai d’Orsay aurait-il étouffé une affaire de pédophilie mettant en cause un diplomate ? C’est en tout cas ce qu’affirme l’auteur du livre. Bien qu’aucun nom ne soit cité dans cette affaire, les détails s’y afférant sont nombreux. En 2013, le FBI mène une opération anti-pédophilie et parvient à obtenir «les numéros de téléphone des prédateurs». Au sein de cette liste, figure celui d’un diplomate muté du Quai d’Orsay vers le siège des Nations unies. L’homme est cependant congédié sine die par le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-Moon qui aurait eu vent de son passé. Recherché par la justice américaine, il parvient à rejoindre Paris en transitant par Montréal et n’a à ce jour pas été licencié. Son nom est même récemment apparu dans un jury de concours interne du ministère.

    Un ancien diplomate accusé de détournement de fond

    Proche de l’ancien président François Mitterrand, Bruno Delaye est accusé d’avoir, sur base de photocopies de factures, détourné environ 90 000 euros de fonds publics lorsqu’il était ambassadeur à Madrid. Au début de l’été 2012, il aurait reçu cette somme de plusieurs entreprises qui ont loué l’ambassade de France pour y organiser des soirées. Ces prestations devaient logiquement être directement payées à l’ambassade. L’implication de cet énarque est une mauvaise nouvelle pour l’Elysée où officie un ami proche, Paul Jean-Ortiz, conseiller diplomatique de François Hollande.

    Très chers ambassadeurs…

    Si le salaire des élus de la République fait souvent les choux gras de la presse, celui des ambassadeurs est rarement évoqué. Et pour cause, ces derniers sont plutôt réticents à se confier autour de ce sujet. Néanmoins, le journaliste a réussi à se procurer les salaires perçus par quelques uns d’entre eux.

    «Les représentants en Afghanistan, en Irak et au Yémen sont aujourd’hui les mieux rémunérés avec environ 29 000 euros net par mois (…). L’ambassadeur à Pékin gagne 21 000 euros ; à Washington 20 000 ; celui à l’OTAN, 19 000 ; à N’Djamena ou à Londres, 17 000 ; au Gabon ou à Oman 15 000 ; en Afrique du Sud, 14 000 ; au Cap-Vert, 13.000 ; au Canada, 12 000 ; en Lettonie et à la FAO, à Rome, 11 000 ; et à Bruxelles, 10 000», affirme le journaliste. Des revenus bien supérieurs à ceux perçus par de nombreux acteurs de la vie politique et qui sont en partie exonérés d’impôt.

    Certaines ambassades françaises abritent des activités d’espionnage

    Offusquée par le programme d’espionnage américain de la NSA révélé par Edward Snowden, la France ne serait pas en reste dans ce domaine. Selon l’auteur, les toits de certaines des ambassades françaises sont utilisés pour espionner les communications dans plusieurs pays. «Personne aux Affaires étrangères ne vous le dira, mais il y a des centres d’écoutes dans toutes nos représentations diplomatiques au Sahel et au Maghreb», rapporte un haut responsable.

    La couverture diplomatique est également utilisée pour des activités d’espionnage. «Depuis quelques années, il y a au moins un espion sous couverture diplomatique dans la plupart des ambassades de France. Ils sont, par exemple, quatre à Washington, trois à Johannesburg, et à N’Djamena, deux à Riga et à Jérusalem, et une à Ottawa», révèle l’auteur.

    Les larges prérogatives de la compagne de Laurent Fabius

    Marie-France Marchand-Baylet,  aurait fait le pluie et le beau temps au ministère en ayant un poids décisionnel important sur les nominations des attachés de presse et des diplomates. Selon le livre, elle aurait refusé la nomination d’une diplomate après un rendez-vous conflictuel. Son mari aurait alors déclaré à ce sujet qu’il s’agissait d’une simple «mésentente entre femmes».

    Source : RT

    http://www.contre-info.com/pedophilie-espionnage-corruption-les-sombres-coulisses-du-quai-dorsay-devoilees#more-41578

  • Soumission aux assassins djihadistes : le cas Antoine Leiris

    Face aux attentats islamiques et au djihad sanguinaire arabo-musulman, on relève souvent une attitude depardon – et donc de soumission. Le refus de toute idée même de vengeance s’accompagne de larmoiements bisounours avec allumage de bougies et bouquets de fleurs sur les lieux des attentats.  Cet esprit victimaire (”Je suis Charlie”), symbole de dévirilisation, mêle angélisme infantile et – paradoxe véritablement maladif – condamnation indignée de toute ”islamophobie”. Ce qui plonge dans l’hilarité, le mépris et l’excitation les très nombreux approbateurs et coreligionnaires des tueurs djihadistes.  

    Symbole de peur, exemple de reddition

    Le journaliste et auteur Antoine Leiris, 34 ans, dont la femme Hélène Muyal–Leiris a été assassinée au Bataclan le 13 novembre 2015 par les djihadistes arabes, est l’exemple type de cet état d’esprit de soumission et de naïveté. Il a posté sur Facebook, rebondissant sur la mort de sa femme, un message émotif qui a fait le tour du monde et qui a été repris par Le Monde et Der Spiegel, –deux puissants médias du politiquement correct de gauche – intitulé « Vous n’aurez pas ma haine ». Autrement dit : je ne hais pas les assassins de ma femme. Il vient d’en faire un livre (même titre) publié chez Fayard, éditeur au bon instinct commercial. Son discours est un concentré de platitudes soporifiques politiquement correctes et un« plaidoyer pour la tolérance », selon la langue de bois de l’idéologie dominante. « Une déclaration d’amour à sa femme » liées au pardon pour les assassins, selon le Journal du Dimanche  (03/04/2016), organe, lui aussi, de la pensée fléchée, qui titre « l’amour à perpétuité ». Face aux tueurs qui éclatent de rire, on allume des bougies, on pleure, on renifle.

    Il pardonne aux assassins de sa femme. Pardonner aux assassins, ne pas les haïr et refuser la vengeance est non seulement offensant pour la mémoire des victimes mais en dit long sur l’état mental d’une société qui adopte un   comportement contre nature. C’est un dévoiement pathologique du principe chrétien du pardon.

    Sans aucunement vouloir porter atteinte à l’immense chagrin de cet homme, j’estime que le message de son livre est détestable et qu’il encourage les futurs  djihadistes à tuer. Son attitude et celle des médias qui le soutiennent sont stupides et lâches. Face à la haine, refuser la contre attaque et la riposte est suicidaire. À propos du livre et du message d’Antoine Leiris, le JDD, sentencieux, énonce cette contre–vérité stupide :« l’homme sans haine refuse toujours la colère  et la peur ». Il faudrait rétablir les choses et dire : ”l’homme qui a peur n’ose pas se mettre en colère et prétend ne pas haïr ”. Le message qui est retenu du déplorable essai de Leiris, c’est : on a peur. Un cadeau pour les djihadistes et tous leurs amis.

    Dévirilisation, xénophilie, haine de soi

    Le djihadiste qui hait et cherche à assassiner, avec l’approbation de nombre de ses coreligionnaires, se délecte de ce qu’on ne le haïsse pas. Il est ravi par les cérémonies larmoyantes, les alignements de bougies, les ”pas d’amalgame”, les condamnations de l’ ”islamophobie. C’est dire si l’ essai d’Antoine LeirisVous n’aurez pas ma haine et son bon accueil par les médias du système rassurent sur notre faiblesse les musulmans belliqueux ; cela les excite et encourage le recrutement de nouveaux tueurs parce que l’idéologie véhiculée est un signal de démission humiliante, un appel masochiste aux prédateurs : allez-y, tuez, je ne me vengerai pas. Humiliez- moi, humiliez-nous ! implorent les amis idéologiques de Leiris.

    Faisant allusion à cette affaire, Éric Zemmour fait l’analyse suivante, très pertinente : « nous subissons une féminisation de la société, qui s’affirme dans ses valeurs les plus sacrées : pacifisme, principe de précaution, négociation, consultations, psychologisation, hiérarchie délégitimée. Et dans les comportements de ces hommes occidentaux qui refusent de se battre, assument leurs sentiments et laissent couler leurs larmes et préfèrent allumer des bougies et ” refuser la haine” plutôt que venger leurs femmes ou leurs enfants massacrés par les djihadistes ». (Le Figaro , 07/04/2016). 

    Ce cocktail de dévirilisation, de xénophilie et de haine de soi est une potion mortelle pour la civilisation européenne. La gauche bien pensante est le principal incubateur de ce poison idéologique.

    Collaborateurs et idiots utiles

    Le pire, en effet, c’est le discours ”islamo–gauchiste”, tenu par une frange importante des politiques et intellectuels de gauche (dont Jean-Luc Mélenchon, Edwy Plenel, etc.) On en a lu un exemple récent dansLibération (23/03/2016) avec une tribune de Corinne Torrekens, directrice de DiverCity (jeu de mot sur ”diversité”), un lobby de l’Université libre de Bruxelles, proche du think tank français Terra Nova, communiant dans le même discours pro-immigration et islamophile (ou islamolâtre) militant.

    Cette idéologie prêche la ”culture de l’excuse”, qui protège aussi bien le voyou de droit commun que le djihadiste musulman. Les populations  d’origine immigrée et musulmane sont présentées comme des victimes de discriminations et d’exclusions socio-économiques, selon une logique (marxiste, dénoncée par Orwell) d’inversion de la réalité puisqu’elles sont en réalité privilégiées. Victimiser l’islam radical est un sport intellectuel répandu à gauche, par exemple par Pierre Siankowski, dans les colonnes du périodique bobo–gaucho Les Inrockuptibles, qui déverse sa haine sur les « islamophobes » et s’agenouille  devant ses maîtres. (1)

    L’islam ne produit pas seulement le terrorisme physique, mais le « terrorisme intellectuel », comme l’a noté Ivan Rioufol, en paralysant de peur tous les Antoine Leiris (très nombreux dans les rédactions et les cabinets ministériels et aussi effrayés et couards à droite qu’à gauche) qui non seulement n’osent pas le désigner comme ennemi mais pardonnent et excusent ses exactions. (2)

    Antoine Leiris et tous ceux qui l’approuvent sont, de mon point de vue, des ennemis au même titre que les envahisseurs eux-mêmes. Ils en sont les idiots utiles et ils ne seront ni remerciés ni épargnés par leurs maîtres. Les collabos doivent toujours payer le double prix du sang : envers ceux qu’ils servent et qui se débarrasseront d’eux, et envers ceux qu’ils trahissent et qui les puniront. Avec ce message : « vous aurez ma haine ».

    NOTES

    (1) Les victimes du Bataclan et autres lieux festifs mitraillés en novembre 2015 appartenaient à des milieux sociaux parisiens ”bobos” gauchisants, antiracistes et islamophiles. Le paradoxe est intéressant. Les tueurs ont attaqué leurs défenseurs. Mais ces derniers continuent de les aimer !

     (2) Par simplicité et honnêteté, il faut utiliser le terme ”islam” et non pas ”islamisme”, parce que le véritable islam est l’islamisme et que l’ ”islam modéré” est une fiction qui ne correspond pas à la réalité de l’islam. Cette dernière est celle du Qoran. 

    1. Le prochain article sera la suite de « Marine Le Pen à l’Élysée. 1ère hypothèse : la catastrophe », déjà paru. Il s’intitulera : « Marine Le Pen à l’Élysée. 2ème hypothèse : l’incroyable solution.  

    http://www.gfaye.com/soumission-aux-assassins-djihadistes-le-cas-antoine-leiris/

  • Riposte Laïque victime d’une aberration judiciaire

    Alain-Jean Mairet, citoyen helvétique et directeur de Riposte Laïque Suisse, vient d’être condamné par la 17e Chambre du Tribunal de grande instance de Paris à verser 8000 euros dont 2000 euros de dommages et intérêts à la LICRA. La 17e Chambre s’était estimée compétente pour juger un citoyen suisse, et a donc admis que la LICRA, association française, avait le droit de traîner un résident suisse devant la justice française, arguant que les textes, publiés sur un site suisse, étaient accessibles en France. (Boulevard Voltaire.fr, 6/04/2016)

    Une jurisprudence trop grave pour que Riposte Laïque ne fasse pas appel.

    Ainsi, ils ont osé s’auto-proclamer police du monde ! Se rêvant futur tribunal international de La Haye, version antiracisme à géométrie variable, la 17e Chambre a d’abord jugé recevable la plainte du Parquet, relayant le signalement de la Licra, contre notre directeur de publication suisse.

    Puis, ne reculant devant rien, elle s’est estimée compétente pour juger cette plainte, et condamner Alain à 5.000 euros d’amende, 2.000 euros de dommages et intérêts pour la Licra, et 1000 euros de frais de justice.

    Une journée fructueuse pour l’officine présidée par Jakubowicz, qui a ramassé, le même jour, 5.000 euros de dommages et intérêts, plus 1.500 euros de frais de justice, de la part de Jean-Marie Le Pen. Le fondateur du Front national a en effet écoper de 30.000 euros d’amende (!) pour ne pas avoir fait repentance, devant Bourdin, des propos, par ailleurs peu glorieux, tenus sur le « détail » 30 ans plus tôt. Pour la clique Jakubowicz-Goldman, c’est donc une journée à 9.500 euros sur deux affaires.

    Naturellement, la presse de propagande exulte, et, comme des moutons, tous les journaleux reprennent la dépêche de l’AFP, qui classe Riposte Laïque à l’extrême droite, et nous attribue une « diatribe » violente contre les pauvres musulmans si paisibles… Aucun de ces laquais du pouvoir ne comprend la gravité de ce jugement, et la boite de Pandore qui s’ouvre…

    En effet, le pire n’est pas là. La 17e chambre a justifié la légitimité de la plainte du couple incestueux Parquet-Licra par le fait que le texte du Tunisien Salem Ben Ammar, validé par le Suisse Alain Jean-Mairet, sur un site suisse, était disponible en France, via internet.

    Si on suit cette logique, la France sera-t-elle le seul pays au monde qui s’autorise à poursuivre devant ses tribunaux des ressortissants étrangers, à cause du contenu de leurs sites ? Cela paraît difficile à justifier. Donc, si nos amis suisses sont poursuivis par la France, pourquoi l’Arabie saoudite ou le Qatar se priveraient-ils de ce droit ?

    Et dans ce cas, si la France juge des Suisses au nom des lois françaises, pourquoi, dans le même esprit, les Saoudiens ne condamneraient-ils pas Oskar Freysinger à lui couper une main, ou Mireille Vallette à recevoir cent coups de fouets, pour délit de blasphème à l’encontre du Prophète ?

    Délire ? Faut-il rappeler que récemment, le Qatar s’est permis de déposer plainte contre Florian Philippot, qui avait accusé l’émirat de soutenir les mouvements terroristes. Et n’oublions pas, même s’il n’était pas question de juger l’homme de confiance de Marine Le Pen à Doha, que l’avocat du PS et celui de l’UMP soutenaient cette démarche, et que Christiane Taubira avait demandé la levée de l’immunité parlementaire du député européen !

    Et pourquoi, dans ce contexte, profitant de cette aubaine, tous ceux qui ont envie de se faire du fric, comme nos antiracistes, ne se porteraient-ils pas partie civile ?

    Mais les citoyens français risquent d’être les premières victimes de la folie liberticide de leurs dirigeants. Si nous commençons à traîner devant les tribunaux et à condamner des ressortissants d’autres pays pour délit d’opinion, pourquoi les pays où il y a encore un délit de blasphème ne poursuivraient-ils des Onfray ou les dessinateurs de Charlie Hebdo ?

    C’est donc une énorme boite de Pandore que les juges aux ordres de la 17e chambre, présidée par Fabienne Siredey-Garnier, viennent d’ouvrir. C’est un véritable impérialisme judiciaire que se permet la France, à l’égard de nos amis suisses aujourd’hui, et pourquoi pas, demain, à l’encontre de Geert Wilders, de Frauke Petry (AfD), de Tommy Robinson, de Robert Spencer, de Pamela Geller, des leaders du mouvement Pegida et de tous ceux qui, dans le monde, refusent l’islamisation de leur pays. Un signalement de la Licra, ou d’autres racketteurs, une plainte instruite par le Parquet, les mouchards qui se portent partie civile, et nos amis, quelle que soit leur nationalité, pourraient se retrouver au tribunal et rackettés à la Française, comme notre président suisse…

    Par contre, nous ferons remarquer aux islamo-collabos de la Licra qu’ils n’ont jamais déposé plainte contre le moindre imam saoudien qui diffuse, sur des sites internet disponibles en France, des prêches qualifiant les juifs de singes. Nous ferons remarquer au procureur Solène Gouverneyre, qui a pris les patins de Sabrina Goldman sur cette affaire en déposant plainte contre RL, que le Parquet est également silencieux quand le prêcheur vedette de l’UOIF, Hassan Iquioussen, appelle à mettre douze balles dans la tête des apostats de l’islam.

    La police de la pensée, particulièrement virulente en ce moment, a donc décidé d’amplifier le combat contre les sites qui dérangent, dont Riposte Laïque. A peine un mois après la lourde condamnation de Caroline Alamachère à 9.500 euros d’amende et de dommages et intérêts à une directrice d’école catholique qui n’a pas apprécié que notre contributrice révèle qu’on y apprenant par coeur des versets du coran, une deuxième condamnation, de 8.000 euros, frappe notre directeur de publication suisse. Au total, frais d’avocats compris, cela monte à 20.000 euros. Soit 70 % des dons que vous avez eu la gentillesse de nous faire parvenir, il y a deux mois, quand nous vous avons appelé à l’aide, sentant l’aggravation de la situation.

    Nous n’avons pas fait appel de la condamnation de Caroline pour garder nos forces (et nos économies) sur l’affaire de notre directeur suisse. Notre avocat, Maître Haddad, a immédiatement fait appel de la condamnation d’Alain Jean-Mairet. S’il le faut nous irons jusqu’en cour de Cassation, et même devant la Cour européenne des Droits de l’Homme.

    Il en va du respect de la souveraineté des peuples et des lois des Etats-Nations, de la défense de la liberté d’expression, et du droit de qualifier un projet de société politico-religieux, l’islam, de barbare, puisqu’il l’est.

    Cette bataille que nous allons mener est celle de la liberté des internautes du monde entier, contre la censure que les élites, sous l’impulsion de la France, veulent imposer à leurs peuples. Nous ferons tout pour ne pas la perdre.

    Paul Le Poulpe, 6/04/2016

    Source : Riposte Laïque.c

    Voir aussi : Répression universelle ou Le syndrome saoudi

    http://www.polemia.com/riposte-laique-victime-dune-aberration-judiciaire/

  • La porte du paradis ? next door !

    Ce billet n'est pas un parangon de vertu et n'appelle pas au patriotisme comme il conviendrait. Mais notre petite Union soviétique qui a réussi (dixit Váçlav Havel) impose un taux de prélèvement obligatoire moyen de 71% des revenus (calcul du coin fiscalo-social), et comme ça ne lui suffit pas, emprunte à l'étranger. Comparée à celle de l'Allemagne, notre situation est indéfendable (clic). On ne peut évacuer ce pillage de la question de l'évasion fiscale, même si des pays prélevant moins en souffrent aussi. On ne voit nulle part le parti de la hache qui nous sauverait, les effectifs surnuméraires en cause de la fonction publique et parapublique étant importants et assidus aux urnes.

    Grand émoi chez les ligues morales à la publication des noms des évadés fiscaux par L'Internationale du Trou de Serrure : des mecs futés garent leur blé à l'insu de leur plein gré sous les tropiques. C'est l'affaire des Panama Papers (clic). Première et dernière question : pourquoi sous les tropiques et pas à Ushuaïa ? Je pouffe : malgré son nom, le monokini est impossible en Terre de Feu. Cherche pas plus loin la cerise au fond du Martini Dry. Une piscine à Ushuaïa et quoi encore.
    Finalement, c'est la presse d'investigation qui a sorti le scoop, les services fiscaux des Etats volés s'avérant particulièrement inaptes à combattre l'évasion fiscale s'ils en comprennent déjà la mécanique. Non ! Pas la mécanique d'avant-hier, celle de demain matin. Parce qu'il faut être suffisant comme un ministre des Finances français pour croire en la victoire finale dans le domaine de l'ingénierie financière avec des mecs payés au mois. Quand les besogneux de Bercy sur Seine auront terminé l'étude des voies et moyens de s'évader de l'enfer fiscal français, les gnomes des officines qui bossent 12 heures par jour avec des QI d'autistes auront, eux, remonté une mécanique nouvelle de sauvetage des peines et soins surtaxés, peut-être même sans argent en circulation ou sans argent du tout !
    Le monde des Etats est le monde visible. Celui des génies est plus grand. Or ce sont les génies qui sont convoqués à l'évasion des enfers. Chacun a entendu parler du Deep Web, l'internet invisible des robots. Cette Toile opaque ferait, pense-t-on, 95% de toutes les ressources en ligne et il est faux de croire qu'elle ne serait qu'un nid de pédophiles. Il y a des raisons purement techniques qui repoussent l'intérêt des robots (sites à clés, métablocage de sites, sites ultra-lourds) et des raisons professionnelles où le secret est primordial. On a la même chose dans la finance internationale.

    Selon « le Conseil de stabilité financière, le Shadow Banking (système bancaire parallèle), qui sert notamment de support à l’évasion fiscale, a globalement triplé dans le monde en une dizaine d’années et a été évalué à 67000 milliards de dollars en 2011 et probablement 74000 milliards en 2013. Il y circule aujourd’hui la moitié des actifs qui passent par le système bancaire traditionnel. C'est à dire que toutes les grandes banques dans le monde (environ 4000) sont concernées » (source Gilles Bridier in Slate).
    Ce n'est pas demain la veille de la Tranparence internationale pour tous. La seule chose qui va changer après le nouveau scandale de Panama sont les conditions d'accès aux officines d'ingénierie financière. Inutile de soulever le heurtoir si vous êtes inconnu au bataillon et même, non parrainé. On va se méfier des testeurs et des affairistes aux nerfs fragiles. Pour sortir des griffes socialistes le blé gagné à la sueur de votre front, il faudra investir en séjours à Nassau (champagne, piscine) et à Gstaad (cognac, jacuzzi) et vous y faire des relations sûres avant de prendre le train pour les tropiques. Si vous êtes de condition relativement modeste, vous réinvestirez l'argent de la schnouff dans un bar à p... de Phuket. On parle déjà  français (avec un inimitable accent de la Zone) dans bien des établissements ouverts aux touristes. Certains se procurent la convention fiscale franco-thaïlandaise, d'autres passent voir le commissariat de police en demandant où donner au temple.

    Si beaucoup de contribuables estiment trop payer d'impôts, une première mesure permettrait de diminuer cet effectif : réduire la pression fiscale en réduisant les dépenses publiques. On peut rêver pour un pays devenu moyen comme la France donc incapable de déporter des charges sur d'autres, et qui semble avoir complètement assimilé sa soviétisation. Les manifestations d'assistés consentants, place de La République, laissent peu d'espoir au surgissement de guerriers capables de vaincre notre déclin. Reste à partir.
    Bien des familles aisées ont fait ce choix, qui sont libres de revenir en France un ou deux mois par an pour visiter la parentèle et profiter de paysages exceptionnels et des atouts typiquement français. Mais leur carrière ou leurs affaires sont ailleurs, leurs enfants sont élevés ailleurs, leurs assurances sont prises ailleurs. J'en connais de plus en plus et au-delà de ma famille. Là, Bercy ne peut plus rien. La plus-value et les bénéfices ont disparu du Rôle de l'administration. La tendance à l'émigration est lourde¹. La porte du Paradis est à Roissy Charles-De-Gaulle.

    (1) Selon Contrepoints (15.09.2014) : 1/3 des milliardaires français sont partis (clic)
    Selon The Millionaire Migration Report for 2015 (©New World Wealth, mars 2016): dix mille millionnaires français se sont évadés en 2015 (clac).
  • Loi Travail : Valls reçoit une nouvelle fois les jeunes

    Nouveau rendez-vous pour Manuel Valls et les organisations de jeunesse. Deux jours après la dernière journée de mobilisation contre la loi Travail, le Premier ministre reçoit à Matignon en fin de matinée, ce lundi, les organisations d'étudiants et de lycéens.
    Huit seront présentes dont les trois qui font partie de l'intersyndicale mobilisée contre le projet de loi depuis plus d'un mois - l'Unef (étudiants), l'UNL et la FIDL (lycéens). Il s'était déjà entretenu avec elles le 11 mars sans réussir à les convaincre.
    Cette fois, Manuel Valls s'est dit «prêt à regarder» certaines des propositions de l'Unef. Le syndicat étudiant demande notamment l'«accès à un emploi stable» et «aux droits sociaux». Le RSA (revenu de solidarité active) n'étant pas accessible aux moins de 25 ans, le premier syndicat étudiant plaide pour que les bourses étudiantes continuent à être versées entre la fin du diplôme et l'accès à la vie professionnelle. L'organisation veut également une augmentation du nombre de places de formation professionnelle et l'amélioration des conditions de vie et de travail des apprentis.
    L'Unef appelle déjà à se mobiliser le 28 avril
    Mercredi dernier, ces organisations ont déjà été reçues par les ministres de l'Education nationale Najat Vallaud-Belkacem, de la Jeunesse Patrick Kanner et du Travail Myriam El Khomri. A la sortie, le président de l'UNef William Martinet avait toujours affiché un «désaccord» avec le gouvernement sur la loi Travail mais estimé avoir été «écouté».
    Les organisations de jeunesse ne veulent pas baisser la garde même si les dernières manifestations ont montré une mobilisation en baisse et ont été émaillées d'incidents. «Après plus d'un mois de mobilisation, six journées de manifestations et un soutien de l'opinion publique, et notamment des jeunes, qui est très fort, il est temps que le gouvernement entende nos revendications», a affirmé à l'AFP William Martinet.
    Le gouvernement, très attentif et inquiet depuis le début face à la mobilisation des jeunes et au rassemblement Nuit Debout, devrait faire des annonces concrètes. Mais d'ores et déjà, certaines des organisations ont prévenu que, quelles que soient les avancées, elles resteront solidaires de la prochaine journée contre la loi Travail, le 28 avril.

    Le Parisien :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuypFypllZvTMVuEHm.shtml

  • La nature a horreur du vide

    «Courage, on les aura !» : pour célébrer le centenaire de la célèbre exhortation aux poilus du «sauveur de Verdun », le général Pétain, dans son ordre du jour du 10 avril 1916, une délégation du FN était devant le monument aux Morts de Verdun hier. Bruno Rota, conseiller départemental et secrétaire départemental FN de la Meuse, Gilbert Prot, conseiller municipal de Verdun et les militants présents ont déposé une gerbe « Courage on les aura ! »… qui a été aussitôt retirée de manière très « irrespectueuse et antidémocratique », à la demande du maire PS Samuel Hazard. Sans grande finesse, l’édile socialiste a dénoncé très bêtement une «apologie de Pétain» à Verdun  «capitale de la Paix», «aujourd’hui le symbole de la réconciliation franco-allemande» . La teneur du bref discours prononcé par Bruno Rota a également écorché les oreilles de M. Hazard qui l’a jugé sans surprise «haineux, xénophobe et contraire aux valeurs de la République ». Dans celui-ci Bruno Rota s’est livré à un parallèle entre l’envahisseur de l’époque et le tsunami migratoire qui déferle aujourd’hui sur l’Europe, «le flot incessant de migrants qui, sous prétexte de quitter un pays en guerre, se répand par-delà nos anciennes frontières (…). Nous devons veiller à ce que l’esprit de cet ordre (du général Pétain, NDLR) perdure afin de protéger nos familles et nos descendants de ces invasions (…) ». Plutôt que de crier au scandale, socialistes, libéraux progressistes, adeptes de la position de l’autruche et autres bien-pensants seraient milieux inspirés d’analyser froidement la situation en Grèce où la submersion menace directement la paix civile

    C’était à prévoir, l’Afp rapporte que de nouveau heurts,troisième incident de cet envergure depuis février, ont ainsi éclaté « à la frontière gréco-macédonienne à Idomeni et au Pirée, principal port près d’Athènes, où s’entassent des milliers des migrants qui réclament « l’ouverture des frontières » et s’opposent à leur transfert dans des centres d’accueil» ; «Car le gouvernement grec peine à convaincre les (11 000) migrants d’Idomeni et les près de 5.000 autres qui campent au Pirée, le port près d’Athènes, d’accepter un transfert dans des centres d’accueil répartis dans toute la Grèce. Ils craignent d’y être enfermés avant une expulsion, ou carrément oubliés.»

    «Les migrants du Pirée et d’Idomeni font partie des quelques  46.000 personnes arrivées en Grèce via la Turquie avant l’accord UE-Turquie entré en vigueur le 20 mars, et coincées en Grèce continentale, la plupart dans des camps organisés. Les près de 7.000 personnes arrivées depuis le 20 mars sont pour leur part retenues sur leur île d’arrivée (Lesbos, Chios, Kos, Leros, Samos généralement), en attendant leur renvoi en Turquie si les demandes d’asile qu’elles déposent actuellement par milliers sont rejetées.»

    Cette dépêche précise encore que le porte-parole du service grec de coordination de la crise migratoire, Giorgos Kyritsis, « a dénoncé l’usage dangereux et condamnable de balles en plastique, des gaz lacrymogènes et des grenades assourdissantes par la police macédonienne.» Un blâme qui évite, note Bruno Gollnisch,  de s’interroger sur la nécessité dans laquelle se trouve un pays pauvre comme la Macédoine de contenir avec les moyens du bord,  l’invasion et surtout de pointer  les vrais responsables de cette situation chaotique.

    Dans ce contexte d’immigration subie, sans oublier l’immigration dite légale qui se poursuit de plus belle, un article signé par  Martin Legendre, publié hier sur le site Contrepoints,  explique qu’ «avec un programme économique et social aussi interventionniste que l’UMP et le PS, le FN éprouvera la même impuissance contre l’islam politique.» «Un tel programme amènera le Front National à davantage s’attacher à un compromis rétablissant la paix apparente, c’est-à-dire éviter les troubles à l’ordre public, qu’à un combat frontal, contre une partie d’ailleurs fortement croissante de la population, qu’il n’aura pas les moyens de faire financer, fut-ce un combat uniquement défensif. Exactement comme les actuelles gauche et droite traditionnelle françaises.»

    La longue argumentation de M. Legendre   se base sur un postulat totalement gratuit,  fait l’impasse sur l’ensemble de l’arsenal défendu par le FN  pour lutter contre le communautarisme, lutte qui n’est pas réductible à l’utilisation de moyens financiers, et à notre volonté politique sans faille dans ce domaine.  Ce qui changera  considérablement la donne  avec les décennies précédentes d’alternative droite-gauche. Sans même parler de l’inversion des flux migratoires que l’opposition nationale est la seule  à prôner et qu’elle mettra en place pour peu qu’elle arrive au pouvoir.

    La malignité du raisonnement de M. Legendre  est encore plus éclatante avec la comparaison délirante à laquelle il se livre et… qui arrive comme un cheveu sur la soupe : « Il faut lire  Comment Hitler a acheté les Allemands, de Götz Aly (2005), pour comprendre que la satisfaction des demandes d’assistanat des Allemands a été le fil conducteur de toute l’ascendance et du maintien au pouvoir du nazisme. L’assistanat est un cancer qui peut rapidement jeter une nation dans les bras de tout mouvement organisé pour répondre à la demande de dépendance économique des assistés. L’Islam politique, avec la confusion qu’il entretient entre la sphère civile et religieuse saura s’emparer de cette opportunité si elle se présente.»

    Pour anecdotique qu’il soit,  cet article a au moins un mérite, celui  de rappeler aussi que le fondamentalisme islamique, est une doctrine bien plus répandue que veulent bien le dire les    Sarkozy,  Bayrou,  Valls,  Juppé ou Mélenchon. Martin Legendre cite «une étude réalisée en décembre 2013 par le WZP (le plus grand centre d’étude allemand en science sociale, fondé en 1960 par tous les partis du Bundestag) (qui)  estime que le fondamentalisme religieux n’est pas du tout un phénomène marginal en Europe. Une étude portant sur près de 9 000 entretiens téléphoniques en Allemagne, France, Hollande, Autriche, Belgique et Suède auprès d’immigrés turcs et marocains établit que près de 60% d’entre eux estiment que les musulmans devraient revenir aux racines de l’Islam, 75% qu’il n’y a qu’une seule interprétation du Coran possible à laquelle chaque musulman doit rester fidèle et 65% que les règles religieuses sont plus importantes pour eux que les lois du pays dans lequel ils vivent.»

    «Ces chiffres ne portent certes que sur l’opinion d’immigrants et pas des populations musulmanes autochtones, mais il sont compatibles avec la perception croissante qu’ont beaucoup de Français qu’une part croissante de la population musulmane ne veut pas séparer statut civil et religieux et n’est pas d’accord de pratiquer sa religion dans un cadre respectueux des non-musulmans. Ils confirment également l’existence d’une opposition fondamentale et irréductible de cette fraction des musulmans à certains principes et valeurs essentielles des sociétés civiles européennes : autonomie de la femme, liberté sexuelle, liberté d’orientation sexuelle, liberté religieuse, liberté d’opinion, laïcité, combat contre le racisme et l’antisémitisme.»

    Il est cependant assez éclairant  que M Legendre, comme  les islamophobes de l‘établissement,  ne rappelle pas  qu’on ne meurt jamais que de sa propre faiblesse et que la nature a horreur du vide.  L’essor du   fondamentalisme  découle aussi  d’un échec  de l’assimilation, qui  se nourrit lui même de l’ immigration massive générée en partie  par une faible démographie autochtone;  immigration par ailleurs  justifiée par tous les lobbies faisant profession de combattre le racisme et l’antisémitisme. Et  c’est également  parce que  les principes du Beau, du Bien, du Vrai,  et les  valeurs essentielles de notre civilisation  helléno-chrétiennes sont bafoués, occultés ou tournés en ridicule que l’islamisme peut  séduire des déracinés. L’Islam - dans sa composante fondamentaliste mais pas que –   prospère   en réponse au matérialisme et  à un   vide spirituel occidental qui ne peut être comblé uniquement   à l’évidence par la déclaration des droits de l’homme,  les centres commerciaux et le mariage pour tous.

    http://gollnisch.com/2016/04/11/nature-a-horreur-vide/

  • Soros : après les Femen et les No Borders, l’affaire Panama Papers…

    Charles Demassieux Riposte laïque cliquez ici

    Qui est George Soros, dont on entend souvent parler en ce moment dans l’affaire des Panama papers, scandale financier que beaucoup d’élus font mine de découvrir, avec une hypocrisie qui force le respect ?

    D’après le site georgesoros.com, il « a été un partisan international de premier plan des idéaux et des causes démocratiques depuis plus de 30 ans. Son organisation philanthropique (Open Society Foundations – OSF) soutient la démocratie et les droits humains dans plus de 100 pays. » Jusqu’ici, tout va bien, parce qu’un philanthrope est une « personne qui est portée à aimer tous les hommes » (Le Robert). Tous les hommes ? Pas exactement, parce que tous les hommes ne se valent pas, selon ce milliardaire sulfureux.

    De son vrai nom György Schwartz, George Soros est né en 1930 à Budapest, dans une famille hongroise juive intellectuelle ; son père était médecin, avocat et écrivain. La situation politique dans son pays, devenue hostile aux juifs et proche du régime nazi, le contraint à changer de nom. Il parvient toutefois à éviter la déportation, tout en négociant des devises sur le marché parallèle hongrois. Plus tard, il admettra s’être approprié des biens de juifs déportés, se justifiant ainsi : « Si je ne l’avais pas fait, d’autres l’auraient fait. Parce que, si je n’avais pas fait ça, je n’aurais jamais eu d’argent. » L’argent, ou le baromètre moral de Soros !

    En 1947, Soros part s’installer en Grande-Bretagne pour fuir le régime communiste et y poursuivre des études. En 1956, il s’installe aux États-Unis avec l’irrépressible envie de devenir riche. Il exaucera son vœu au-delà de toutes ses espérances, puisqu’il est à ce jour l’une des plus grandes fortunes mondiales.

    Il crée alors un fond d’investissement, le Soros Fund Management. En 1973, il fonde, avec Jim Rogers, Fond Quantum, dont les gains vont dépasser les 30% pendant une dizaine d’années. C’est en 1992 que le monde fait sa connaissance, tandis que l’Europe traverse une crise monétaire. Cette crise sera d’ailleurs l’un des arguments majeurs pour la monnaie unique.

    Soros, par ses spéculations sur la livre, contraint l’Angleterre à sortir du système monétaire européen, profitant des faiblesses du marché pour s’enrichir, en bon financier qui se respecte ! On le surnommera même « l’homme qui fit sauter la Banque d’Angleterre ». Dit plus crûment, ça donne : « Etant donné la situation économique de l’Angleterre et le niveau des réserves de change, une attaque spéculative d’ampleur pourrait obliger l’Angleterre à sortir du Système Monétaire Européen (SME) et à dévaluer sa monnaie. En vendant à découvert la livre sterling, ce serait alors le jackpot. » En ce sens, Soros incarne à merveille la finance internationale qui se fout allègrement des conséquences humaines de telles pratiques !

    Mais Soros se veut aussi philanthrope : il crée plusieurs fondations, regroupées autour de l’OSF, « dont le but est de défendre les droits humains et promouvoir la gouvernance démocratique », et étend son influence au terrain politique. Mégalomane, il se définit comme un « chef d’État apatride ». Sa générosité ne connaît pas de limites, avec pour but de changer le monde, ce qui fait joli sur le papier : pas dans la réalité.

    Ainsi, il chapeaute des associations et des projets qui, tous, convergent vers un seul but : détruire l’identité des Nations occidentales. En 2009, il finance une étude en France sur les contrôles au faciès ; en 2012, il offre 35 000 euros au Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF). Cette association défend le port du voile, prône un « islam identitaire agressif », tel que rapporté dans un article du Figaro. Et ça, ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, car cette association « profite de ce combat légitime pour faire avancer des causes plus suspectes », selon le Huffington Post, site d’information pourtant très « propre » sur lui idéologiquement !

    Dans la crise des migrants – décidément, cet homme ne s’épanouit que dans les crises ! –, Soros joue son rôle en finançant les « No Border », groupuscule d’ultra-gauche qui refuse les frontières et soutient le flux migratoire sauvage en Europe. Flux migratoire qui charrie aussi des terroristes, nous le savons à présent.

    Auparavant, il y aura la crise ukrainienne. Sur CNN, Soros déclare avoir pris une part importante dans les événements de Kiev, en soutenant les pro-Européens, car, pour lui, la Russie a « une autre vision du monde où la violence remplace l’État de droit ». Comprenez : la conscience identitaire est haïssable. D’où son rejet pour toutes les Nations qui la revendiquent, dont Israël, via une organisation comme Human Rights Watch, abondamment arrosée par ses dollars, ou l’Arab Regional Office.

    Mais l’ingratitude étant ce qu’elle est, BDS (Boycott Apartheid Israël) a récemment mis en demeure ce mécène de l’islam : « Nous appelons toutes les organisations palestiniennes, arabes et internationales, qui ont reçu des fonds des fondations Soros, à faire pression sur M. Soros pour qu’il nettoie son portefeuille d’investissements dans des violations des droits de l’homme, et à s’abstenir de demander des fonds de ces fondations s’il ne parvient pas à le faire. » Voici donc l’arroseur arrosé !

    Soros déverse aussi son fric sur les Femen et LGBT, évidemment, puisque ça participe de la déconstruction des identités et qu’il faut normaliser l’indétermination sexuelle dans le meilleur des mondes du milliardaire !

    Cependant, la preuve de l’échec du modèle Soros, c’est le soulèvement de ces identités un peu partout en Occident. Ce prédicateur économique et politique devrait se souvenir qu’« On ne gouverne jamais une nation contre ses habitudes. » (Louis XVI)

    Quant à l’affaire des comptes offshore du Panama, Soros est-il derrière ou pas ? Disons que la présomption d’innocence, étant donné son pedigree, est difficile à admettre !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/