Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1611

  • Pour en finir avec l’idolâtrie de la République – Par Guillaume Faye

    La notion de ”république” est devenue un outil idéologique contre la France et son identité nationale. « La République contre la Nation », c’était le titre d’un article sulfureux de Jean Raspail paru voici quelques années dans Le Figaro qui lui valut d’ailleurs des ennuis. Il y expliquait déjà que le concept de ”république” tendait à se substituer au patriotisme charnel et menaçait la démocratie nationale. Et qu’au nom des prétendues valeurs républicaines, on détruisait la Nation. Aimer la République contre la France : histoire d’un adultère.

    Relisons l’histoire

    La notion française de ”république”, extrêmement ambigüe, s’est construite au XVIIIe siècle – notamment dans les sociétés de pensée et dans la franc-maçonnerie – par fascination et imitation de la République romaine (res publica) qui a succédé au régime de la royauté héréditaire. Mais le contresens est total. Dans l’imaginaire du républicanisme français de la Révolution, il s’agit de remplacer une prétendue tyrannie monarchique et aristocratique par un système démocratique et populaire. Or, la République romaine, dont la clé de voûte était le Sénat, fut un régime essentiellement aristocratique entièrement dirigé par la haute noblesse latifundiaire et militaire. À tel point que l’instauration de l’Empire, qu’il faudrait mieux qualifier de principat, par César et surtout par Auguste, était pensé comme une prise du pouvoir par le peuple, dirigé par son représentant et défenseur, l’Empereur (Princeps), contre l’aristocratie sénatoriale oligarchique et ”républicaine”.

    Donc la connexion entre république et démocratie ne va pas de soi. D’ailleurs, remarque aujourd’hui la philosophe Chantal Delsol : « La France est bien davantage République que démocratie ». Elle signifie par là que la République française est devenue le gouvernement d’une oligarchie, dominée par un dogme idéologique, qui ne tient plus compte du peuple autochtone, de ses souhaits et de ses intérêts.

    Il ne faut pas oublier que c’est la Révolution française ”républicaine” qui a produit la Terreur d’État (1792-1794) au nom du Bien commun. Le totalitarisme marxiste stalinien s’en est largement inspiré. Le fanatisme républicain n’est pas une légende. Les massacres des Vendéens, les exécutions capitales d’innocents complets, les expropriations de biens ont été commis au nom de la ”république”. Pendant longtemps, l’idée républicaine s’opposait à l’idée de patrie charnelle. Par la suite, après la chute catastrophique du Second Empire et l’instauration de la IIIe République, cette perspective a complètement changé. La République s’est réconciliée avec l’Histoire de France plurielle – ce que voulait réaliser Napoléon – et a fini par faire la paix avec l’Église catholique, qui, elle non plus, n’était pas exempte de tout péché d’intolérance. Avec la Ve République, un équilibre avait été trouvé, un compromis historique entre État monarchique présidentiel et démocratie ; il ne dura que sous De Gaulle et Pompidou.

    La méritocratie élitiste et égalitaire républicaine, patriote, l’école d’excellence, le refus conjoint de l’étatisme socialiste et du mondialisme, un État régalien mais démocratique, tout cela s’est effondré. La ”nouvelle République” qui nous domine aujourd’hui a tous les inconvénients des pires lubies idéologiques du républicanisme français sectaire, sans retenir les meilleurs idéaux républicains.

    Le concept de ”république” est devenu un fourre-tout

    La ”république” ne désigne qu’un régime politique, et encore, de manière très floue. Elle ne colle pas à une identité nationale et garantit encore moins un système démocratique protecteur des libertés et de la sécurité des citoyens. Bien au contraire. La ”chose publique” n’est que ce que les dirigeants décident de nommer telle, en s’accaparant au besoin ses attributions. En revanche, le concept de ”démocratie” est beaucoup plus clair : c’est l’application de la volonté de la majorité du peuple.

    Dans l’histoire récente, on remarquera que les pires des régimes furent ou sont des ”républiques”. Pensons aux ”républiques socialistes” aujourd’hui disparues, mais aussi aux républiques telles que Cuba ou la Chine ou à toutes celles qui prospèrent en Afrique et en Amérique latine. Sans parler de la république iranienne. Les pays les plus démocratiques ne sont pas toujours des ”républiques”, loin s’en faut.

    Les monarchies constitutionnelles en Europe (où le concept de ”république” n’a aucun sens) seraient-elles réellement moins démocratiques et libres que la France? Grande-Bretagne, Belgique, Espagne, Pays-Bas, Suède, Danemark, Luxembourg, ces pays de monarchie constitutionnelle, sont-ils moins libres que notre République ? Même le Canada, l’Australie, la Nouvelle Zélande, membres du Commonwealth, sont formellement et constitutionnellement des États liés au système monarchique britannique.

    En réalité, le concept de ”république” est un fourre-tout. Il peut donner lieu à des autocraties de régimes tyranniques et totalitaires, comme à des régimes réellement démocratiques. Ce qui signifie, en terme de science politique, que le concept de République n’a toujours pas de signification claire. Aujourd’hui en France, cette notion idolâtrée de République sert à déconstruire l’identité nationale et à limiter la démocratie. Comme un couteau suisse, ça peut servir à tout. Les socialistes, furieux, ont même intenté un procès à l’UMP qui a changé son nom en ”Républicains”. On croit rêver… Les oligarques se disputent le monopole du mot fétiche. Mais est-il de droite ou de gauche ? Comme les escargots, il est à la fois masculin et féminin. Asexué.

    Aux USA, la droite, c’est le ”parti républicain ”, et la gauche, c’est le ” parti démocrate”. Dans la sémantique américaine, ”républicain” signifie une appartenance droitière. De même ”libéral” a une connotation de gauche aux USA et de droite en France. Toujours cette distorsion entre les mots et les choses. C’est par imitation des Américains que la droite UMP a choisi l’appellation ”Républicains”. Il ne faut pas oublier que, dans les années 70, l’extrême droite avait créé un faux nez (éphémère) nommé PR ou Parti républicain. Il a été torpillé par l’irruption du Front national.

    Le RPR (Rassemblement pour la République) comme l’UNR (Union pour une nouvelle République) de 1958 et l’UDR de 1968 (Union pour la défense de la République) avaient choisi ce mot de ”république” comme un marqueur contre la gauche marxisante et socialiste. Peine perdue. L’État PS s’est réapproprié le concept de ”république” et le conteste aujourd’hui à la droite.

    Disjonction entre ”république” et France

    Nicolas Sarkozy, dans une récente déclaration, a affirmé qu’il regrettait d’avoir entamé, quand il était Président, un débat sur l’identité de la France. Il aurait mieux fait, dit-il, de parler de l’identité de la ”république”. Aveu significatif de la part d’un homme politique complexé qui partage approximativement, même si c’est en mode mineur, les mêmes présupposés que ses ”adversaires ” de gauche. Pour lui, les valeurs républicaines valent mieux que l’identité nationale. Les barons socialistes pensent la même chose.

    La République, vue par le Parti socialiste, se pose clairement contre le peuple autochtone et pour l’invasion migratoire quand son Premier secrétaire, J-Ch. Cambadélis, profère au dernier congrès de Poitiers cette formule provocatrice et ouvertement antinationale et anti-française : « les socialistes sont pour le traitement républicain de l’immigration, c’est-à-dire que l’on peut s’installer où l’on veut, quand on veut ». Les clandestins qui affluent en masse de toute l’Afrique et du Moyen-Orient ont compris ce message ”républicain”. M. Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, lui aussi grand ami républicain de l’immigration déferlante et de l’islamisation, a déclaré vouloir « créer une République inclusive de tous ses enfants ». Ce nouveau concept (langue de bois) d’ ”inclusion” renvoie à l’utopie de cohabitation communautariste, avec la fin de l’hégémonie de l’identité française sur le territoire national.

    On constate donc que l’idée républicaine actuelle, non seulement n’a plus rien à voir avec la Nation française enracinée dans l’histoire, mais vise à l’abroger. C’est l’utopie marxiste de la table rase, de l’ ”homme nouveau”. On la retrouve dans les récents programmes de l’Education publique qui non seulement prônent la théorie du genre (mal secondaire, car personne ne peut avaler cette ânerie) et torpillent avec persévérance toute transmission de l’identité nationale. Vouloir confondre l’identité de la France (et de l’Europe) avec le concept abstrait et mal clarifié (sémantiquement et historiquement) de ”république” aboutira à un échec certain : la fin conjointe de la République et de la France.

    Les contradictions de l’idéologie républicaine

    Une première contradiction de l’idéologie républicaine actuelle est qu’elle prône à la fois la laïcité – c’est-à-dire la neutralité – de l’État tout en favorisant objectivement l’implantation de l’islam. Et, en même temps, subrepticement, elle s’en prend au catholicisme et elle ferme les yeux sur les exactions antijuives et antichrétiennes de ses protégés.

    La seconde contradiction porte sur le fonctionnement de l’ ‘État républicain. Cet obèse (6 millions de fonctionnaires privilégiés, 57,2% du PIB en dépenses publiques) a réussi ce prodige de faillir dans toutes ses fonctions régaliennes – enseignement public de qualité, sécurité, justice efficace et protectrice, défense des frontières contre les flux migratoires, indépendance nationale – et de restreindre les libertés civiques et économiques par un appareil réglementaire délirant et en inflation permanente.

    Troisième contradiction : la République d’aujourd’hui déteste la démocratie nationale (c’est-à-dire l’avis majoritaire du peuple de souche, la Nation) et lui oppose les ”valeurs républicaines” qui sont tout simplement la justification des privilèges des apparatchiks et des allogènes. Ces derniers sont beaucoup plus choyés et protégés que les citoyens autochtones des classes moyennes et populaires non entretenues par l’État. Les classes moyennes autochtones sont le fondement de toute démocratie et elles sont les cibles, en France, d’une spoliation fiscale unique au monde. En ce sens, l’idéologie marxisante a fait un rapt sur la République.

    Donc, les ”valeurs de la République”, dont on nous rebat les oreilles, ne sont plus respectées : ni l’enseignement public méritocratique, ni la laïcité, ni l’indivisibilité territoriale, ni la sécurité publique, ni la préférence pour la citoyenneté nationale, ni la liberté absolue d’expression, ni l’égalité devant l’impôt et le respect du droit de propriété, ni la souveraineté législative et judiciaire nationale. En général, l’emphase sur les mots sert à dissimuler la disparition des choses. L’idolâtrie idéologique de la République est le signe de sa décrépitude.

    (1) La monarchie française s’est suicidée le jour où Louis XVI a financé et aidé militairement la révolution républicaine américaine des insurgents indépendantistes contre la monarchie anglaise rivale de la France, grâce à M. de La Fayette. L’effet de boomerang a joué et nous avons eu 1789, c’est-à-dire la schizophrénie historique.

    Guillaume Faye

    http://www.gfaye.com/pour-en-finir-avec-lidolatrie-de-la-republique/

  • Washington et le mythe de la « Russie isolée »

    La Russie se rapproche de la Turquie ou de l’Égypte, sous les imprécations et les sarcasmes de la petite presse occidentale, plus tellement lue, mais tellement subventionnée…

    Le SPIEF (Saint Petersburg International Economic Forum) ouvre ses portes à Saint-Pétersbourg le 18 juin. Il rassemble soixante-treize nations. Il démontre, s’il en était besoin, l’impact mondial de cette belle cité (on ne va pas la comparer à Las Vegas, tout de même ?), l’intégration aussi de la Russie au « monde des affaires » et surtout au monde. L’importance des BRICS est même reconnue par un Occident jaloux et déphasé qui ne sait comment se féliciter d’avoir fait de la Russie un « pays isolé et condamné par tous sur la scène internationale ». Mais même au niveau européen, on ne peut pas dire que la rencontre de Vladimir Poutine avec le pape François, Renzi et Berlusconi – qui a demandé la fin des sanctions – puisse être perçue comme une démonstration de faiblesse et d’écrasement. Mais passons…

    Sagesse de Dieu, folie du monde, dit saint Paul ; sagesse du monde, folie de l’Occident, pourrions-nous dire ici en rappelant aussi que la Russie se rapproche aussi de la Turquie ou de l’Égypte, sous les imprécations et les sarcasmes de la petite presse occidentale, plus tellement lue, mais tellement subventionnée…

    Lire la suite

  • La mixité sociale, pour quoi faire ?

    Pourquoi obliger des personnes qui ne le souhaitent pas à vivre ensemble ?

    Le gouvernement vient d’annoncer des mesures visant à contraindre les communes réfractaires qui ne respectent pas les règles d’urbanisme en vigueur, en particulier la loi SRU (solidarité et renouvellement urbain), à construire des logements de type HLM dans le but de renforcer la mixité sociale.

    Dans le même temps, des mères de famille d’origine étrangère, issues notamment d’Afrique du Nord, déplorent l’absence d’élèves français de souche dans les écoles de leurs quartiers, réclamant la présence de quelques « têtes blondes » afin que leurs enfants aient le sentiment de vivre en France et, accessoirement, pour que ces jeunes Gaulois les aident à se familiariser avec notre langue et notre culture.

    Mais qu’est-ce que la mixité sociale, cette panacée propre à résoudre tous les problèmes rencontrés dans les « territoires perdus de la République » ? Au sens traditionnel, elle désigne des lieux où cohabitent des personnes de catégories ou de classes sociales différentes, comme il en existait jadis lorsque, dans les mêmes immeubles, les familles bourgeoises vivaient aux étages nobles tandis que leurs domestiques se logeaient sous les combles.

    Lire la suite

  • Le dhimmi du jour est… Gérald Darmanin, maire de Tourcoing

    Gérald Darmanin est le député maire des Républicains de Tourcoing. C’est aussi un des proches conseillers de Nicolas Sarkozy. Le même Nicolas Sarkozy qui a engagé des réunions avec les représentants musulmans de France pour construire le fameux « Islam de France ».
    L’hebdomadaire Valeurs Actuelles nous apprend que la ville de M. Darmanin financera d’un montant de 200 000 € le déménagement de l’antenne de l’Institut du monde arabe dans sa ville.
    La ville de Tourcoing est d’ores et déjà en bonne partie islamisée sur le plan démographique. Le maire de la ville semble vouloir donner un coup de pouce supplémentaire à l’islam, pour que Tourcoing soit également islamisée sur le plan culturel.

    http://fr.novopress.info/

  • Christiane Taubira prend ses directeurs de cabinet pour des esclaves

    Le JDD livre quelques explications sur le fait que Christiane Taubira ait usé trois directeurs de cabinet en trois ans alors qu'un quatrième devrait prendre ses fonctions cette semaine : 

    "Depuis deux mois, une grosse demi-douzaine de candidats auraient refusé le poste. "Pas jouable", confie l'un d'eux au JDD, persuadé que "travailler avec elle est impossible"… "Christiane Taubira use ses 'dircabs', elle les appelle à 3 heures du matin et leur fait mener un rythme infernal", glisse un magistrat en poste à la chancellerie. Pas tout à fait faux. La ministre, qui "dort quelques heures par nuit, et certaines nuits pas du tout", admet un proche, travaille ses dossiers 24 heures sur 24.

    "Elle nous envoie des e-mails ou des SMS à n'importe quelle heure du jour et de la nuit, souvent à 3 ou 4 heures du matin, mais rien n'oblige à y répondre", réagit un de ses collaborateurs. Tous l'admettent, la ministre de la Justice est "exigeante"(...) Le cabinet a compté depuis 2012 une valse de départs, et au moins un burn-out. "Deux", disent certains. "C'est dur, on ne le cache pas."

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Libye : l'État islamique dissimule-t-il des combattants parmi les clandestins ?

    L'annonce du conseiller gouvernemental libyen est fracassante. Dans une interview à la BBC, Abdul Basit Haroun affirme que le groupe État islamique (EI) envoie en Europe des djihadistes qu'elle fait passer pour des migrants illégaux.Des propos qui font écho à l'avertissement de Frontex, l'agence européenne pour la sécurité et les frontières extérieures de l'Union européenne, qui estimait en mars "possible" que des djihadistes s'infiltrent sur le vieux continent par le biais d'embarcations clandestines.
    Présente officiellement en Libye depuis le 31 octobre 2014, la branche libyenne de l'EI s'est fait connaître du monde entier en décapitant sur une plage 21 Égyptiens. Sur les images de l'exécution, l'un des djihadistes masqués, couteau à la main, s'en prend alors à l'Europe. "Aujourd'hui, nous sommes au sud de Rome, sur la terre musulmane de la Libye". Une menace à peine voilée qui a résonné jusqu'à la capitale italienne, où le chef de la diplomatie, Paolo Gentiloni, a jugé"considérable" le risque de "terroristes infiltrant les flux migratoires".
    "Pure propagande"
    "Il s'agit de pure propagande !" estime pour sa part le journaliste Wassim Nasr, expert des questions djihadistes à France 24. "L'EI n'a aucun intérêt à investir dans l'envoi de combattants clandestins depuis la Libye. Il lui est beaucoup plus intéressant de faire appel à des sympathisants déjà en Europe ou d'y envoyer des djihadistes titulaires de passeports européens." "L'EI n'a jamais communiqué ni donné d'ordre sur l'envoi de djihadistes en Europe", renchérit Romain Caillet, chercheur et consultant sur les questions islamistes, qui rappelle que la position officielle de l'organisation est d'appeler au contraire les musulmans d'Europe à quitter le continent pour rejoindre son califat. "Néanmoins, ajoute-t-il, il paraît évident que l'organisation État islamique profite de l'appel d'air sur la question des migrants pour implanter des cellules dormantes à l'intérieur du territoire européen, afin de punir l'Occident des raids qu'il mène sur son territoire en Irak et en Syrie".
    Chaos post-Kadhafi
    Pour l'heure, la branche libyenne de l'EI s'emploie à étendre ses conquêtes sur le modèle de son "califat" autoproclamé à cheval sur la Syrie et l'Irak. En Libye, l'organisation contrôle également de véritables territoires, à travers trois régions, notamment les villes de Syrte, située à 500 kilomètres à l'est de Tripoli, et de Derna, à 1 300 kilomètres à l'est de la capitale. De l'avis des experts, le nombre important de départs de migrants autour de ces régions laisse à penser que les djihadistes prélèvent leur dîme sur chaque embarcation.
    Délaissée par la communauté internationale au lendemain de la chute de Muammar Kadhafi en 2011, la Libye est de nouveau l'objet de toutes les préoccupations depuis l'apparition de l'organisation État islamique à quelque 300 kilomètres de l'Europe, mais aussi la multiplication de drames de migrants en mer. Fuyant un pays en proie au chaos, au moins 34 500 clandestins ont réussi à gagner l'Italie depuis le début de l'année 2015, mais quelque 1 770 ont trouvé la mort, selon les chiffres de l'Organisation internationale pour les migrations.
    Faveurs de l'Occident
    Conscient du brusque regain d'intérêt occidental pour leur pays, les dirigeants libyens enchaînent depuis les déclarations alarmistes, tant sur la menace de l'EI que sur le risque de nouvelles catastrophes en mer Méditerranée, n'hésitant pas à lier les deux fléaux. "La question migratoire a toujours été instrumentalisée par le pouvoir libyen dans ses relations avec l'Europe, y compris sous Kadhafi", rappelle Saïd Haddad*, chercheur associé à l'Iremam/CNRS. "Quant au recours à la lutte contre le terrorisme, il vise ici à s'attirer les faveurs de la communauté internationale, mais aussi à gagner du poids à l'intérieur du pays dans la lutte que se livrent les deux gouvernements rivaux", ajoute ce spécialiste de la Libye. En effet, le "lanceur d'alerte" Abdul Basit Haroun conseille uniquement le gouvernement de Tobrouk. Seul exécutif reconnu par la communauté internationale, celui-ci est dominé par des forces libérales et a été désigné par la Chambre des représentants, assemblée issue des élections du 25 juin 2014. Il repose sur les forces du général Haftar, qui s'appuie sur d'anciens éléments de l'armée de Muammar Kadhafi, ainsi que sur les brigades prolibérales de Zintan (sud-ouest de Tripoli).
    Milices islamistes
    Face à lui se dressent les milices islamistes qui forment la coalition Fajr Libya (Aube de la Libye). Surfant au contraire sur la légitimité révolutionnaire, elles sont alliés aux puissantes milices de Misrata (est de Tripoli), et se sont emparées en août 2014 de la capitale où elles ont installé leur propre gouvernement et réhabilité l'ancien Parlement. Le "gouvernement de Tripoli" contrôle désormais les plus grandes villes du pays (Tripoli, Benghazi, Misrata). Pour reprendre le dessus, le gouvernement de Tobrouk, le seul reconnu par la communauté internationale, réclame la levée de l'embargo de l'ONU sur la livraison d'armes à la Libye afin de lutter contre les "terroristes", terme dans lequel il englobe les miliciens de Fajr Libya, pourtant eux aussi opposés à l'organisation État islamique en Libye. Rien d'étonnant, dès lors, à ce que le gouvernement de Tripoli insiste désormais à son tour sur la nécessité d'être aidé par l'Union européenne dans sa lutte contre l'immigration clandestine.

  • L’euthanasie sans demander votre avis ? Bienvenue en Belgique !

    Un article du Daily-Mail alerte sur l’inquiétant manque de contrôle des pratiques d’euthanasie en Belgique. Un constat que partage Joseph Junker qui souligne l’impunité de certains de ces actes infligés sans le consentement des victimes.

     

    Manifestation anti-euthanasie à Bruxelles en 2014. Crédits photo : Virginia Mayo/AP

    Le moins qu’on puisse dire, c’est que le contrôle de la pratique de l’euthanasie en Belgique n’en finit pas de faire parler de lui à l’étranger, et pas en bien.

    Samedi dernier encore, le grand quotidien populaire britannique Daily-Mail (second tirage du royaume) publie un article dévastateur à ce sujet, alors que le débat sur l’euthanasie fait rage des deux côtés de la manche. La raison ? La publication par le très sérieux Journal of medical ethics d’un non moins sérieux rapport académique sur la pratique de l’euthanasie en Belgique. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que ses conclusions sont pour le moins inquiétantes pour les ressortissants du plat pays. Son auteur, le professeur Raphaël Cohen-Almagor de l’université de Hull ne mâche pas ses mots : « Les citoyens belges devraient être conscients de la situation actuelle, et savoir que leur vie peut en arriver au point où des médecins pensent qu’elle ne vaut plus la peine d’être vécue, et décider de mettre le patient à mort en l’absence de volonté contraire explicite ». Un peu plus loin, le rapport gratifie la Belgique d’un assassin : « les barrières de sécurité prévues par la loi sont inadéquates et insuffisantes », tandis qu’un opposant à la loi ajoute Ceci démontre, si les faits exposés sont corrects, que l’euthanasie en Belgique et ailleurs est complètement hors de contrôle et cela explique pourquoi je m’opposerai aux propositions de lois déposées au parlement britannique ».

    Mais ces faits sont-ils corrects ? Ce rapport scientifique n’est-il pas un peu alarmiste ? L’euthanasie est-elle vraiment hors de contrôle en Belgique alors que ce pays vient de l’élargir aux mineurs ? Une telle dérive, des euthanasies non-consenties seraient-elles donc possibles bien qu’un cadre légal existe pour indiquer précisément ce qui est permis et ce qui ne l’est pas ? [....]

    La suite dans Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-euthanasie-sans-demander-votre

  • La pensée libérée : les intellectuels entre réveil et lâcheté

    L’intellectuel était une espèce disparue, ou controversée, depuis que ces phares de la pensée formatée que sont BHL, Minc ou Attali l’eurent écrasé de leurs grosses pattes pleines d’argent.

    La pensée unique a volé en éclats et les fatwas des puritains ne terrorisent plus personne. Il n’est plus une semaine sans que le gouvernement ne reçoive sa volée de bois vert de la part d’intellectuels en appelant à la défense des chrétiens d’Orient, à l’interdiction de la GPA, à l’annulation de la réforme du collège ou, comme dans le dernier numéro (mai-août 2015) de la revue Le Débat, en remettant les points sur les i à propos de la laïcité et de la manipulation Charlie.

    L’intellectuel était une espèce disparue, ou controversée, depuis que ces phares de la pensée formatée que sont BHL, Minc ou Attali l’eurent écrasé de leurs grosses pattes pleines d’argent et que les thuriféraires de l’idéologie antiraciste et autres épigones de l’œuvre dépassée de Foucault et Bourdieu dominaient les médias et l’université.

    Lire la suite

  • Last Rhodesian...

    On a vu une fois a plusieurs reprises ce qu’il arrive quand une ethnie prétend s’imposer et dominer les autres. Les 2 derniers sont Brevik en Scandinavie, et dernièrement un certain Dylan Storm Roof a Charleston, VA, USA.

    Eh oui, certains pètent les plombs, quand la "justice" de leur pays donne systématiquement raison aux "autres".

    Sans (bien sur, voyons !) cautionner ce genre d’incivilites, comme on dit quand ce sont des noirs ou des gris qui tabassent, egorgent, lapident etc, voici le site web de ce Dylan Storm Roof. Il devrait etre vite coupe par la bienpensance americaine...

    http://lastrhodesian.com/

    Il y a en fait 2 pages : Un texte en anglais dont voici un extrait plus bas, et un fichier de photos au format ZIP.

    Le probleme majeur a mes yeux est qu’aucun gouvernement ne semble vouloir comprendre la raison de ce genre d’incivilités ! Combien en faudra-t-il encore pour que les gens ouvrent les yeux sur le danger que representent certaines ethnies dans nos pays ?

    Allez, QUI osera "Je suis The Last Rhodesian" ? :)

    Extrait : Blacks

    Lire la suite

  • Immigration : 5 CRS en mission à Calais atteints de tuberculose

    Parmi les nombreux « bienfaits » de l’immigration massive, il y a le retour ou l’apparition de maladies graves, venues d’ailleurs…

    Ainsi, plusieurs cas de tuberculose se sont déclarés parmi les policiers de la CRS 20 de Limoges (Haute-Vienne). Selon un témoignage recueilli par France Bleu Limousin, un premier fonctionnaire s’est déclaré atteint de la maladie, puis bientôt trois, et enfin cinq, sans que la hiérarchie prenne de mesures pour endiguer l’épidémie.

    Selon France Bleu Limousin, la hiérarchie policière ne dément pas ces cas de tuberculose mais affirme qu’il s’agit d’un problème de santé personnel.
    Mais elle oublie de dire qu’actuellement, cette compagnie est ainsi en mission à Calais, ville confrontée à un afflux de clandestins venus d’Afrique et du Moyen-Orient qui tentent de s’introduire au Royaume-Uni.

    Source

    http://www.contre-info.com/