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lobby - Page 1614

  • GPA : non, la personne n’est pas un objet de commerce !

    Le 19 juin, la Cour de Cassation devra se prononcer sur la transcription d’actes d’états civils d’enfants issus de GPA à l’étranger. Le Collectif pour le Respect de la Personne appelle les juges à ne pas instrumentaliser des droits qu’ils sont censés protéger.

    Depuis un an, le recours aux mères porteuses, appelé par euphémisme « gestation pour autrui » (GPA) ne cesse de faire la une de l’actualité judiciaire.

    En juin 2014 (arrêt Mennesson), la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) a condamné la France pour n’avoir pas respecté le droit à l’identité des enfants, dont ferait partie la reconnaissance du lien de filiation avec leur père biologique, sans préciser si ce droit devrait être garanti par la transcription des actes d’état civil étrangers ou d’une autre manière. En janvier 2014, elle a condamné l’Italie pour le placement d’un enfant que ses commanditaires avaient fait fabriquer en Russie sans même qu’il existe un lien biologique ni avec l’un ni avec l’autre. Autant valider le trafic d’enfants. L’Italie a obtenu le renvoi en Grande Chambre, la formation solennelle de la Cour. La CEDH est actuellement saisie de trois nouvelles affaires de GPA qui posent cette fois précisément la question de la transcription. Le sujet n’est donc pas clos.

    Le 15 mai dernier, le TGI de Nantes a ordonné la transcription intégrale d’actes d’état civil américains, indiens et ukrainiens issus de GPA. Le 19 juin, c’est au tour de la Cour de cassation de se prononcer à nouveau.

    Tout le monde est d’accord pour garantir les droits de l’enfant, qui ne sont pas responsables des conditions de leur naissance. Reste à savoir comment. Rappelons que les enfants ne sont ni « sans papiers » ni des « petits fantômes de la République » : ils ont des actes de naissance étrangers qui sont pris en compte dans la vie quotidienne. Aucun problème d’autorité parentale, d’accès à la sécurité sociale, etc. La question de la nationalité a été réglée en pratique par la circulaire Taubira. Elle aurait pu l’être autrement, le code civil permettant de donner la nationalité à tout enfant élevé depuis 5 ans par des Français. Si les enfants ont besoin d’une protection supplémentaire, cela peut être fait par des mesures spécifiques décidées démocratiquement par le législateur. C’est cela, la démocratie. [....]

    La suite sur Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?GPA-non-la-personne-n-est-pas-un

  • 20 juin à Paris : manifestation pour dénoncer l’Arabie saoudite

    et exiger des sanctions contre ce pays soutenant les djihadistes, organisée par Civitas.

    Plusieurs associations et organisations appellent à y participer.

    Le rendez-vous est à 15h place St Augustin.
    Des cars quasi-gratuits partiront de divers points de province : renseignements au 01 34 11 16 94.

    http://www.contre-info.com/

  • Les Anish Kapoor de la politique

    Le Système craque de toute part et ses représentants apparaissent chaque jour davantage inquiets et dépassés par les événements, pris au propre piège de leur doxa multiculturaliste et mondialiste. Le Monde  rapportait ces derniers jours les  craintes des petits kapos du lobby antiraciste devant l’étude qui va être lancée par de scientifiques  britanniques  de l’université de Leicester qui « vont étudier l’ADN d’une centaine d’habitants du Cotentin, collecté lundi et mardi 16 juin, pour en savoir plus sur la colonisation de la Normandie par les Vikings ». Il n’en fallait pas plus pour  affoler une officine antinationale  comme le  MRAP. Et Le Monde de citer  le commentaire angoissé de « Jacques Declosmenil, président du MRAP dans la Manche »: « On craint que cela développe l’idée qu’il y a de vrais Normands et de faux Normands. Quand on voit en “une” de certains journaux des photos de guerriers vikings brandissant leurs armes avec en titre “Avez vous du sang viking ?”, on ne peut que s’inquiéter ». « Dans le contexte actuel de montée de la xénophobie, c’est extrêmement dangereux, certains racistes pourraient par exemple se dire “j’aurai la preuve que j’ai pas de sang arabe” , ajoute l’ex-conseiller municipal MRC de Saint-Lô. Même prudence à l’université de Caen : « J’avais prévenu mes collègues britanniques que c’étaient des questions extrêmement sensibles en France. Nous, on ne pratique pas ça, explique Pierre Bauduin, professeur d’histoire médiévale. Il faut faire effectivement très attention à ce qu’il n’y ait pas de récupération. » Avec de tels cuistres ridicules, difficile de ne pas constater que l’antiracisme est LA religion dominante et inquisitoriale de notre  république laïque…

    C’est aussi au  nom de « l’antiracisme », notion étirable à l’infini, qu’il nous est demandé aujourd’hui de condamner le vandalisme dont a été l’objet « l’œuvre »  d’Anish Kapoor, dans les jardins de Versailles –voir notre article en date du 10 juin . Ce grand morceau d’acier rouillé en  forme de conque et trônant au milieu de rochers, intitulé « vagin de la reine »  ou « Coin sale» (dirty corner)  par l’artiste,  a été  aspergé de peinture jaune  dans  la nuit de mardi à mercredi par des inconnus.

    Dans Le Figaro,  M.  Kapoor affirme que « si cet acte de vandalisme dit quelque chose, cela parle plus d’une certaine intolérance qui apparaît en France que d’art quel qu’il soit. Le problème me semble plus politique qu’autre chose, il renvoie à une fraction que l’on me dit très minoritaire pour laquelle tout acte créatif est une mise en danger d’un passé sacralisé à l’extrême (sic) pour des desseins qui n’ont rien d’artistique (…).  Je pense qu’au moins 8% à 10% des Français ne sont pas des Français de souche. Ils viennent du monde entier. Comme les artistes qui apportent avec eux leurs questions, leurs formes, leurs métaphores, leur langage ».

    Une tirade assez convenue, qui évite de s’interroger sur la pertinence d’une forme de vandalisme visuel d’un certain art contemporain, sur l’éventuelle  incongruité à l’inviter à s’installer partout.  Invitée du dernier raout du très mondialiste Club Bilderberg –voir notre article en date du 15 juin- , Catherine Pégard, ex conseillère de Sarkozy,  présidente  du château de Versailles,   ne se pose pas ce  genre de questions. Elle ou d’autres nous  expliqueront certainement que ne pas cautionner l’installation de cet  immense « coin sale » dans la perspective du grand canal  s’apparente à du  cryptofascisme  et revient à refuser  le sens de l’histoire…

    Au nom de l’antiracisme toujours,  puisqu’il ne s’agit pas de remettre en cause le  bien fondé de l’immigration de peuplement, l’ex Premier ministre et ponte des Républicains,  Jean-Pierre Raffarin,  a proposé mardi d‘implanter  des familles d’étrangers dans « les zones rurales ». Là dit-il où se pose « un problème de déficit démographique ». Ses  familles non européennes  viendraient ainsi « sauver des territoires» selon la logorrhée habituelle du lobby immigrationniste. Celui là même que l’on voit à l’œuvre au sein des instances de l’Europe  de Bruxelles nous expliquant   qu’hors l’immigration  massive, point de salut  pour  l’Europe vieillissante…

    Bref constate une nouvelle fois Bruno Gollnisch et Marine, Nicolas Bay, ou encore Stéphane Ravier se sont émus tout comme lui de cette annonce de M.  Raffarin, au nom d’une analyse simpliste, à courte vue, du fait d’une incompréhension sidérante de ce qu’est l’identité française et européenne, on promeut une nouvelle fois la substitution de  population. Et ce,  en lieu et place de ce que commanderait la sagesse et un patriotisme basique, à savoir la promotion d’une politique nataliste autochtone et  d’accueil  de la vie…

    A dire vrai Jean-Pierre Raffarin et ses clones des Républicains ou d’ailleurs sont en quelque sorte les Anish Kapoor de la politique.  Qu’il nous soit permis de nous revendiquer de l’héritage d’un Auguste Rodin, d’un Aristide Maillol ou d’un Paul Belmondo.

    http://gollnisch.com/2015/06/18/les-anish-kapoor-de-la-politique/

  • Polytechnique : à la casse !

    La réforme de l’École polytechnique, une attaque en règle contre le modèle méritocratique français

    Collectif Marianne. Porte-voix de la jeunesse patriote.

    La jeunesse patriote est inquiète.

    En décembre dernier, Manuel Valls missionnait Bernard Attali, haut fonctionnaire et ancien PDG d’Air France, pour proposer une série de réformes de l’Ecole Polytechnique. Ce rapport, rendu public vendredi et dont une grande partie des propositions a été reprise par le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian lors de son discours du samedi 6 juin à Palaiseau, est une attaque en règle contre le modèle méritocratique français, et menace de faire imploser le système des grandes écoles. Les mesures envisagées pour l’X sont radicales :

    • Créer un accès directement après le bac, sans les deux ans de classes préparatoires ;
    • Supprimer la solde des élèves polytechniciens, remplacée par un système de bourses sociales :
    • Regrouper l’Ecole polytechnique avec d’autres écoles scientifiques.

    Les préconisations du rapport sont motivées par une obsession des classements internationaux et de l’uniformisation sur les campus anglo-saxons, que le Collectif Marianne a déjà dénoncée à de nombreuses reprises, ainsi que par un abandon de l’idée de méritocratie au profit de celle de diversité, beaucoup plus abstraite. Elles pourraient à terme être appliquées à d’autres établissements, comme l’ENS, qui fonctionnent sur un modèle similaire.

    Derrière le vernis de modernisation du rapport de Bernard Attali, la réforme de Polytechnique est en réalité directement liée à la baisse de niveau des élèves du secondaire, et les formations du collège et du lycée ne suffisent plus à assurer une réelle égalité des chances à l’entrée en classes préparatoires. Si les grandes écoles de la République n’assurent plus le rôle d’ascenseur social qu’elles pouvaient avoir il y a encore quelques décennies, ce n’est pas leur attachement à l’excellence qui doit être remis en cause, mais bien les manquements en amont de l’Education nationale.

    La capitulation des gouvernements de gauche comme de droite face au délitement de l’Education nationale est la cause réelle de la reproduction sociale des élites dans l’enseignement supérieur : la mixité sociale ne pourra être effective que si nous prenons à bras le corps le creusement des inégalités entre classes aisées et classes populaires dès le primaire et jusqu’au lycée. Une école méritocratique peut seule assurer le principe de justice sociale.

    Collectif Marianne
    Porte-voix de la jeunesse patriote

    9/06/2015

    Source : Collectif Marianne

    Le rapport de Bernard Attali sur la réforme de l’Ecole Polytechnique cliquer :

    ici

    http://www.polemia.com/polytechnique-a-la-casse/

  • Le gouvernement encourage les immigrés à venir

    Le gouvernement a annoncé la création de plus de 10000 places d'hébergement supplémentaires pour les migrants. Alors même que François Hollande avait osé refuser les quotas imposés par Bruxelles. Le président français s'écrase face à la troïka de Bruxelles et oeuvre ainsi au fameux "grand remplacement".

    Selon les chiffres publiés par l’Institut national italien des statistiques, l’Italie a perdu près de 100 000 habitants en 2014Et le solde migratoire a été positif de 141 000 personnes.

    Et la France continue de refuser d'aider Assad ou de rétablir l'ordre qu'elle a détruit en Libye. Alors forcément, les arrivées d'immigrés ne sont pas prêts de s'arrêter. Surtout avec des annonces comme celle-là.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Exclusif — Interview de Serge Federbusch : 2/3 : L’identité de Paris mise à mal

    Nous poursuivons nos échanges avec Serge Federbusch*, connaisseur et critique de la politique parisienne. Il évoque avec nous la destruction de l’identité de la capitale par l’équipe d’Anne Hidalgo.

    Plusieurs réalisations et projets ont été lancés par Delanoë et Hidalgo : la canopée du forum des Halles, la tour Triangle, les déserts visuels de la place de la République ou de la gare d’Austerlitz, les quais de Seine, la Philarmonique de Paris, le stade Jean Bouin… avec en commun une explosion des coûts (387M au lieu de 200 M pour le philharmonique/canopée évalué à 120 M€ en 2007 qui atteint 216 M€ à ce jour), des destructions de sites existants (serres d’Auteuil, parc des expositions, buvette d’Austerlitz) et un doute sur l’utilité de ces projets.

    reconstruction forum des halles

    Reconstruction du forum des Halles

    NOVOpress : Quel est le moteur réel des projets urbanistiques de la ville : simple vanité ou, plus grave, clientélisme (Unibail pour la tour Triangle) et favoritisme (Max Guazzini pour Jean Bouin) ?

    Serge Federbusch : Delanoë et Hidalgo sont fondamentalement capitulards devant les grands intérêts financiers privés surtout s’ils ont une influence dans les médias. Il ne faut donc pas s’étonner si LVMH, Unibail et les gens du sport business ont obtenu tout ce qu’ils voulaient aux Halles, à la Samaritaine, à Jean Bouin et demain, peut-être, aux serres d’Auteuil.

    NOVOpress : Pour rester dans les grands projets grandioses, la Mairie de Paris a lancé la réhabilitation de la Halle Freyssinet avec un budget d’environ 160 à 170 millions d’euros. Le projet a été lancé sans aucune concertation ni même information locale. Estimez-vous qu’il s’agit encore d’un projet de prestige « entre copains » avec Xavier Niel de Free, sans aucune retombée véritable au niveau de l’emploi ou de création de richesse où y a-t-il là un véritable renouveau technologique pour Paris ?

    Serge Federbusch : Malgré les rodomontades de la mairie et les faveurs accordées à Niel, Paris compte aujourd’hui huit à dix fois moins de start-ups que Londres. Mais ça, personne ne vous en parle.

    À côté de ces projets pharaoniques 3 à 5000 personnes dorment dans les rues de la capitale, familles Roms sur des bouches d’aération, campements sauvages d’immigrés africains sous tous les ponts et le métro aérien, bivouacs bien arrosés d’Européens de l’Est sans parler de 9 000 personnes en centres d’urgence et 14 000 en hôtels sociaux, là encore en grande majorité immigrée et dont le nombre ne cesse de croître.

    Migrants-deloges-le-Defenseur-des-droits-ouvre-une-enquete

    Clandestins délogés du campement de la Porte de la Chapelle

    NOVOpress :: Paris est-il devenu un camp de réfugiés à ciel ouvert et pourquoi un tel silence dans les journaux (sauf au moment de l’évacuation « musclée » du campement de la porte de la Chapelle) : à moins que comme dans le monde des Shadocks, s’il n’y a pas de solution il ne peut pas y avoir de problème ?

    Serge Federbusch : Tant qu’il y aura de l’argent pour financer les dépenses monstrueuses de cet hébergement en hôtel et que les sans-papiers seront loin de la vue des bobos, le scandale continuera.

    NOVOpress : Par ailleurs, entre fêtes du ramadan et subventions aux associations musulmanes, comme les 22 millions à l’Institut des cultures d’Islam (ICI) dans le XVIIIe arrondissement, a mettre en regard du manque d’entretien de nombreuses églises, la municipalité pousse-t-elle au Grand Remplacement ?

    Serge Federbusch : En tout cas, elle s’assoit hardiment sur les principes de laïcité et la loi de 1905 !

    Depuis quelques années : lorsqu’un bail commercial est à vendre dans le centre Est de Paris la Semaest (société d’économie mixte d’aménagement de l’Est parisien) peut préempter le local. Après l’avoir rénové et mis aux normes, elle fait un appel à candidatures et ce sont toujours les boutiques de « création » qui l’emportent : voilà comment le Marais est devenu un centre commercial chic et que ce phénomène s’étend sur votre quartier autour du faubourg St Martin.

    NOVOpress :: Sous couvert de l’habituel thème de « redynamisation » et de « favoriser la mixité » ne s’agit-il pas tout simplement d’une volonté de boboïser le centre de Paris ?

    Serge Federbusch : Là encore à grand renfort de subventions, on prétend s’opposer à une loi du marché qui conduit à la spécialisation géographique des commerces. Mais le résultat est anecdotique et le risque de copinage dans l’attribution de l’argent public est élevé.

    À propos de « buzz » le 23 mars dernier, la Mairie de Paris s’est fait mousser face au gouvernement avec un débat de quatre jours sous un ciel pollué pour défendre sa mesure de circulation alternée et montrer ainsi sa réactivité face à un problème majeur. Entre le réaménagement des bords de Seine, la voirie chamboulée et les vélib et les autolib, la politique anti automobile a favorisé des embouteillages infinis et la recherche permanente de stationnement.

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    Serge Federbusch

    NOVOpress :: Toutes ces mesures antipollution sont-elles efficaces ou ne masquent-elles pas le terrible retard pris par les grands travaux d’infrastructure dans la capitale. Plus globalement, globalement ne voyez-vous pas là une volonté de faire de Paris une ville-musée, réservée aux touristes en cars et aux Parisiens intra-muros dont seulement 1 foyer sur deux possède une voiture ? A-t-on enfin « rendu les bords de Seine aux Parisiens » ?

    Serge Federbusch : Une fois de plus, tout est com ». la pollution a diminué trois fois plus vite en France entière qu’à Paris et elle a augmenté sur les grands axes civilisés chers à Delanoë & Co. Vélib’ coûte une fortune : 400 euros par vélo et par an. Il vaudrait mieux en offrir un à tous les cyclistes intéressés ! La circulation alternée ne sert à rien contre les particules fines et les bords de Seine sont bien moins fréquentés que ce que la propagande municipale fait gober aux médias. Allez sur mon site pour les détails !

    *Ancien conseiller municipal du Xe arrondissement, président du Parti des Libertés, fondateur de Delanopolis.fr, premier site indépendant d’informations en ligne sur l’actualité politique parisienne.

    Crédit photo : jean-louis Zimmermann via Flickr (CC) = Bords de Seine de nuit, 2009
    Jeanne Menj via Flickr (CC) = Forum des halles, octobre 2013, la toiture du patio des Halles en construction. La canopée et ses grues.

    http://fr.novopress.info/189336/exclusif-interview-de-serge-federbusch-23-lidentite-de-paris-mise-a-mal/

  • Explosion des fraudes à la paternité : tout est bon pour devenir Français !

    On apprend que l'Office central pour la répression de l'immigration irrégulière a traité, en 2014, trois fois plus de dossiers qu'en 2013.

     

    Un ami médecin qui travaillait à l’époque à l’hôpital de Créteil me racontait, voilà déjà une bonne dizaine d’années, le trafic de nombreuses femmes d’origine africaine avec les cartes Vitale. Ainsi, disait-il, « on voit la “même” mère venir accoucher trois ou quatre fois dans l’année. Elles se refilent les papiers… » Et que faites-vous ? « Rien. Que veux-tu qu’on fasse ? On a déjà du mal à faire notre boulot, et puis on n’est pas là pour faire la police et dénoncer les gens », m’avait-il répondu.

    Depuis, les enfants sont nés. Toujours plus nombreux. Et si l’on pouvait, alors, forcer le passage à l’hôpital avec la carte Vitale de la voisine, il est sans doute plus difficile, aujourd’hui, de faire enregistrer par la Sécu trois accouchements dans l’année. Mais l’imagination des candidats à la nationalité française étant sans limite, ils n’ont pas tardé à trouver la parade : la multiplication des ventres féconds étant sous surveillance, ce sont maintenant les pères qui se fabriquent, sur notre sol, des familles « à l’africaine » : 10, 20, 30… jusqu’à 44 enfants reconnus par le même père.

    Lire la suite 

  • La fresque raciste, sexiste et pro-immigration a été subventionnée par la mairie de Paris

    L'AGRIF a annoncé hier qu'elle porterait plainte. De son côté le FN condamneégalement cette fresque par la voix de Gabriel Robin, secrétaire général du tout nouveau Collectif Culture, Libertés et Création (CLIC) :

    CHpMtVrWsAAjc1x"(...) A première vue, la démarche peut sembler positive et donner un peu de vie à un mur qui autrement serait nu. En outre, l’association donne à de jeunes artistes la chance de se faire connaître du plus grand nombre.Cependant, par delà les meilleurs intentions affichées par les membres de l’association, certaines œuvres sont fortement politisées et présentent un message particulièrement négatif et vulgaire. L’association se sert de l’art pour faire de la propagande raciste et promouvoir l’immigration illégale.

    Sur l’œuvre exposée en ce moment, figurent deux mentions : « La France aux Français »  barrée, et juste en dessous « Les Françaises aux Africains ». Rappelons-nous qu’une jeune fille a été violée par plusieurs hommes à Evry l’an passé, au seul motif qu’elle était « française » et donc dans l’esprit de ces jeunes barbares « une fille facile»La mairie de Paris soutient un projet qui appelle à ne pas respecter la loi, et n’hésite pas à laisser une association faire la promotion de l’immigration massive et illégale. En outre, le message « Les Françaises aux Africains » est tout aussi raciste que sexiste, laissant penser que les Françaises doivent s’offrir à tous les immigrés clandestins. Dans cette peinture au propos abject, les femmes sont réifiées au profit des hommes.

    Anne Hidalgo doit demander instamment des explications à l’association LE M.U.R. (qui)touche une subvention de 17.000 Euros par an de la mairie de Paris"

    La fresque a fait rapidement l'objet de dégradations comme le montre la photo...

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Versailles humilié, Versailles souillé… par Claude BOURRINET

    Le château de Versailles aura subi toutes les avanies. Je ne parle pas uniquement du sort tragique du pauvre Louis XVI, de Marie-Antoinette, de leurs enfants, ni des hordes de touristes qui ont au moins le mérite, par leur présence, de rendre hommage à la beauté, mais de ce que lui fait subir la bande de parvenus qui s’est emparée des commandes de la Nation.

     

    En effet, depuis 2008, des artistes dits bêtement « contemporains » ont occupé les lieux, comme des parasites tentant de tirer pathétiquement de ce cadre prestigieux une légitimité artistique qu’ils sont en peine d’avoir, au contraire de l’argent qu’ils amassent. Se sont ainsi succédé, avec plus ou moins de bon goût, et, somme toute, une prédilection pour le clinquant et le pétant, histoire d’épater le bobo, Jeff Koons, Xavier Velhan, Takashi Marakani, Bernar Venet, Joana Vasconcelos, Penone, Lee Ufan, et, le dernier, Anish Kapoor, qui veut « bousculer » Le Nôtre (on le croît sans peine), qui mettra le « souk » dans les jardins en installant une sorte de sculpture ressemblant furieusement à un vagin, « le vagin de la reine qui prend le pouvoir », sans doute pour faire écho au Plug anal monumental que Paul MacCarthy avait érigé Place Vendôme, avant qu’il ne connût la piteuse débandaison qu’on sait. Notre « artiste » n’est pas en reste, car il veut, dans la salle du Jeu de Paume, présenter une « œuvre » dont le titre romantique est « Shooting into corner », et qui serait un canon tirant de la cire rouge vif. « Nous sommes là dans une espèce d’éjaculation qui se produit », commente finement notre génie, un symbole phallique dirigé vers un tableau censé transmettre les idées de liberté, d’égalité, de fraternité : on ne pouvait mieux trouver comme emblème du libéralisme triomphant.

     

    Et, pour couronner le tout (comme il se doit dans la demeure du Grand Roi), on apprend qu’une « fête galante » est donnée, une sorte de sauterie pour bobos parisiens, à cent vingt euros le billet d’entrée, et costumes d’époque obligatoires, histoire de dissuader le vilain, le manant (qui pouvait pénétrer dans Versailles, du temps de Louis XIV). L’oligarchie vulgaire, qui a remplacé la bourgeoisie d’antan autrement plus cultivée, ces nouveaux riches dont l’occupation favorite est de cracher sur l’Histoire de France, d’en effacer toutes les traces, s’est mise dans son petit crâne d’épicier une folie bovaresque, histoire de s’enivrer dans les ors de la monarchie, en oubliant, à travers ces froufrous, que le chômage a battu son record historique, et que les Français souffrent d’avoir perdu leurs racines.

     

    Mais à vouloir trop singer, on risque de terminer dans un affreux laboratoire d’expérimentations plus ou moins cruelles de l’Histoire telle qu’elle est. Il n’y a guère de kilomètres entre le Palais des Glaces et la Place de la Concorde, où les ancêtres fanatiques de ces minables pataugeaient dans le fleuve du sang innocent.

     

    Claude Bourrinet

     

    • D’abord mis en ligne sur Synthèse nationale, le 6 juin 2015.

    http://www.europemaxima.com/