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lobby - Page 1635

  • Je suis Français d’abord

    Laurent Morin, premier adjoint FN chargé des finances auprès du maire de Mantes-la-Jolie (Yvelines) Cyril Nauth, aurait commis voila quelques heures un tweet antirépublicain.  Son crime de lèse république ? L’élu FN a eu l’audace de publier deux photos prises à vingt-cinq ans d’intervalle, des membres du club de foot de Mantes-la-Ville. Les Gaulois  ultra majoritaires à l’époque, ont aujourd’hui été éradiqués et plus un seul n’apparait désormais à l’image… Les esprits mal intentionnés ne manqueront pas d’y voir la confirmation de la théorie du grand remplacement.  A l’instar de ces photos de classes circulant sur internet montrant pareillement les conséquences démographiques des politiques migratoires de MM. Mitterrand, Chirac, Sarkozy et Hollande  dans de nombreux établissements de nos villes et quartiers, en l’espace d’une génération…Laurent Morin a reçu de nombreux soutiens, notamment celui de notre camarade Julien Sanchez, maire de Beaucaire (Gard),  face aux attaques dont il est l’objet de la part des bien-pensants; Cyril Nauth a également souligné pour sa part sur France 3 que « les dirigeants du club (de Mantes, NDLR) pratiqueraient une forme particulière de discrimination positive, ils se servent de ce club pour mettre en valeur les jeunes issus de l’immigration »…

    De  « République » universelle et multiculturelle  il était encore question  avant-hier dans la bouche de François Hollande célébrant le métissage et le vivre-ensemble à l’occasion de la commémoration de l’abolition de l’esclavage. République encore et toujours dont le nom est scandé par le catastrophique ministre de l’Education Najat Vallaud-Belkacem. Cette dernière lance ce mardi la « réserve citoyenne d’appui aux écoles», au nombre des « réponses républicaines » mises en œuvre pour réagir aux attentats islamistes de janvier. Des «volontaires»,  au  nombre officiellement, de 4600,  pourraient être sollicités pour inculquer plus avant  «les valeurs de la République». Une action venant s’ajouter à celle des officines de propagande  antiracistes comme la Licra, Sos racisme, le Mrap, la LDH, etc., intervenant déjà en renfort dans les établissements. Les volontaires en questions aborderaient des thématiques comme « citoyenneté et valeurs de la République », «actualité et médias», « arts et culture », « Histoire et mémoire »…ça promet !  

    Mais quand «les grands mots sont traînés», les concepts, les symboles brandis et répétés jusqu’à la nausée par un personnel politique démonétisé, décrédibilisé, ils finissent par  être frappés par l’opprobre entourant ceux qui les prononcent.  Sur le site Atlantico, vient d’être  publié  les résultats du sondage de l’Ifop autour des termes de  « République » et de  « valeurs républicaines » qui est à cet égard très éclairant.

    Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de cet institut,  a jugé utile d’interroger les Français sur ces notions, à l’heure ou l’UMP se transforme en Les Républicains,  pour constater si nos compatriotes «étaient toujours sensibles à cette terminologie-là, ou si, au contraire, elle était un peu éculée et galvaudée (…). Or, force est de constater que pour deux tiers des Français (65%) ces termes ne parlent plus vraiment car ils ont été trop utilisés et ont perdu de leur force et de leur signification. Il n’y a qu’un tiers des Français (…), qui se déclare encore sensibles à ces termes quand les politique les emploient, et qui possède une fibre républicaine très développée ».

    «Dans les deux grandes familles politiques aujourd’hui (UMP et PS, NDLR) précise M. Fourquet, il y a environ une personne sur deux qui est assez peu sensible à l’usage de ces termes par les politique, et inversement une autre moitié qui garde toujours la fibre républicaine bien chevillée au corps. C’est intéressant parce que l’UMP comme le PS emploient ces termes, or chacun dans leur camp ne touche que la moitié des sympathisants ».

    Significativement à la question posée dans cette enquête« quel terme vous touche d’avantage quand il est employé par les politiques ? », 38% des personnes interrogées répondent  l’identité nationale,  devant la République  (33%) . « Mais, élément non-négligeable, 29% ne se reconnaît ni dans l’un ni dans l’autre, ce qui fait du monde, et qui va à l’encontre de cette opposition binaire. Donc cela illustre également la crise du politique, certaines personnes en ont ras-le-bol que la République soit mise à toutes les sauces, et se tournent vers l’identité nationale, et au-delà de ça, d’autres ne sont même plus raccrochées par l’évocation d’un des deux concepts ».

    « (…)  Plus on va vers la droite, plus on a tendance à privilégier l’identité nationale. On culmine à 64% au Front National, et à 47% à l’UMP. Cependant, là aussi, un bon quart de l’électorat de gauche se dit plus sensible à l’identité nationale qu’à la République, ce qui n’est pas rien. Si on se concentre uniquement sur l’UMP, désormais appelée  Les Républicains , on voit pourtant que ce qui fait le plus recette est l’identité nationale, avec 47% contre 37%. Il y a ici quelque chose d’intéressant, c’est que Nicolas Sarkozy est sans doute conscient de cette forte attente identitaire qu’il a ressentie dans son électorat, mais que pour pouvoir parle d’identité nationale il doit se distinguer de Marine Le Pen, pour ne pas lui être associé, et doit pouvoir parler d’identité au nom de la République. D’où le choix du nom du parti (…) . Il parle de la République, mais pour, in fine, aller sur le terrain de l’identité nationale, et cela correspond à une attente qui est majoritaire dans son électorat (…) ».

    Sur le site des  Inrocks le 8 mai à l’occasion de la sortie  du livre co-écrit avec  Alain Mergier  « Janvier 2015, le catalyseur », Jérôme Fourquet  rappelle que cette étude  traite des Français  des « classes populaires » « et des régions subissant davantage les chocs de la mondialisation »,  qui n’ont pas défilé derrière les pancartes Je suis Charlie. Sur le site du magazine, il  rappelait les  « trois niveaux d’insécurisation » ressentis par un frange croissante de la population. Ce sont eux  qui fondent le vote FN explique-t-il: «l’insécurisation physique (peur de l’agression), l’insécurisation économique (peur de pas boucler ses fins de mois), et l’insécurisation culturelle (peur de ne plus se sentir chez soi, d’être remis en cause dans ses habitudes, ses valeurs, son histoire) ».

    Dans ce contexte, Jean-Yves Le Gallou  constate, dans un entretien  à Monde & Vie et mis en ligne sur son blogue Polemia , que «là où le Front National est le mieux à même de gagner, c’est là où il est opposé à un candidat de gauche. Cela représente les 9/10e des cantons gagnés aux dernières élections. Marine Le Pen, en 2017, ne peut avoir une chance de l’emporter que si elle est opposée à un candidat de gauche. L’arithmétique électorale du FN aujourd’hui est simple : une voix prise à l’UMP vaut deux voix prises à la gauche. Evidemment une voix est une voix, qu’elle vienne du PS ou de l’UMP, mais, comme le FN ne peut gagner que face au PS, il faut prioritairement affaiblir l’UMP pour que le PS passe devant au premier tour. Il s’agit donc de passer l’UMP à la centrifugeuse, en dissociant ses élites centristes de son électorat droitier ».

    Alors que  Jean-Marie Le Pen  vient d’annoncer le lancement d’une formation qui  n’aurait pas vocation a concurrencer le FN sur le terrain électoral, M.  Le Gallou notait également que «contrairement à ce que pense l’immense majorité des commentateurs, la diabolisation est moins la conséquence d’erreurs, d’imprudences ou de maladresses que la volonté systématique du Système. Quiconque veut lutter contre l’immigration est qualifié d’extrême droite et diabolisé partout en Europe. D’ailleurs le premier homme politique qui ait subi ce traitement médiatique et politique n’est pas Jean-Marie Le Pen. C’est un Anglais, Enoch Powell, ancien d’Oxford, helléniste, qui n’a jamais commis le moindre dérapage, mais qui a dénoncé dès 1968, dans un discours à Birmingham, les dangers de l’immigration. De sa part, ce n’était pas une erreur, encore moins une faute. C’était un acte de courage qui lui a coûté sa réputation et sa carrière politique. La question de l’immigration est bien le nœud de la diabolisation ».

    Quant à  cet autre pilier historique du corpus frontiste, à savoir  la défense des valeurs traditionnelles, elles ne sont   pas tant le prétexte à une  «diabolisation » qu’à   une  « ringardisation »,  par les faiseurs d’opinions, des  hommes et des femmes qui y sont  attachées. Mais Jean-Yves Le Gallou   le souligne avec pertinence:   «  comme si les foules immenses qui ont défilé lors de la Manifestation pour tous, ou les jeunes qui se sont mobilisés autour du Printemps français étaient ringards !  En fait ce que j’appelle la Génération 2013 a vocation à remplacer la génération 1968. Le vieux monde, ce n’est pas celui du renouveau de la Tradition ou du renouveau identitaire, c’est celui des antivaleurs portées par les médias, qui continuent de peser sur les partis politiques ».

    Or,  « le risque est évidemment ce que j’appellerais le concessionisme, qui consiste, de concession en concession, à céder petit à petit sur l’essentiel. Il ne faut pas accepter la diabolisation. Pas non plus la ringardisation. La pire faute à éviter, en matière de dédiabolisation, c’est de croire que l’on se dédiabolise en ringardisant son plus proche. En agissant ainsi on renforce la diabolisation et on renforce sa propre diabolisation par contagion ».

    Un point de vue largement partagé par Bruno Gollnisch qui affirme que si la politique est l’art du possible, si le  compromis est souvent indispensable, nécessaire dans l’expression de nos propositions, il ne saurait se transformer en compromission. C’est en affirmant haut et fort nos valeurs, notre idéal, la doctrine qui forme la colonne vertébrale de l’opposition nationale, que nous sauront convaincre le plus grand nombre de Français qui constatent la faillite des politiques et de la « vision du monde »  de nos adversaires.

    http://gollnisch.com/2015/05/12/je-suis-francais-dabord/

  • (Esclavage aujourd’hui) Grande-Bretagne : 1 400 mineures blanches violées par des criminels pakistanais protégés par les autorités

    « Personne ne connaît l’ampleur de l’exploitation sexuelle qu’ont subi des enfants à Rothertham à travers les années » a précisé Alexis Jay, auteur d’un rapport sur la mise en esclavage de plusieurs centaines d’enfants blancs par des gangs criminels pakistanais durant plus de quinze ans à Rotherham. Les menaces des familles des criminels, comme la peur et la honte des Blancs agressés et les mensonges des autorités ont empêché de dresser un bilan exhaustif des crimes racistes commis contre les Blancs par les occupants de la Grande-Bretagne. L’enquêtrice a reconnu que, les plaintes de nombreuses victimes ayant été ignorées par la police, il a été impossible de retrouver la trace de nombreuses blanches violées.

    Selon les chiffres obtenus, 1.400 enfants mineurs ont été victimes de viols entre 1997 et 2013 à Rotherham, dans le nord de l’Angleterre. Les Pakistanais ont commis contre ces Européens d’innombrables crimes parmi les plus odieux ; certaines ont été contraintes à se prostituer, ont été « prêtées » à des réseaux de criminels étrangers opérants dans d’autres villes.

    « Des enfants ont été aspergés d’essence puis menacés d’être enflammés, ont été menacés avec des armes, ou encore ont été forcés d’être témoins de viols très violents ».

    D’autres ont été « victimes de viols collectifs, d’échanges avec d’autres villes du nord de l’Angleterre, enlevés, battus et intimidés ». Les plus jeunes filles identifiées avaient onze ans.

    Ces crimes ont été commis avec la complicité des autorités. La police a reçu de nombreuses plaintes sans jamais enquêter ; les faits ont fait l’objet de trois rapports officiels, que les services de Rotherham ont ignoré ou censuré.

     

    Les victimes blanches ont subi le véritable racisme antiblanc du système. Le professeur Alexis Jay note que la police a « considéré un grand nombre de ces victimes avec mépris ». Certains fonctionnaires complices des racistes antiblancs ont « fait part de leur nervosité à identifier les origines ethniques asiatiques des auteurs présumés, de peur de passer pour raciste ».

    À ce jour, seuls cinq criminels pakistanais ont été condamnés à de légères peines de prison ; aucun des fonctionnaires ni des élus de Rotherham – ces derniers s’étant contentés de présenter leurs « excuses à ceux qui ont été abandonnés alors qu’ils avaient besoin d’aide » n’ont été poursuivis. Aucun n’a fait l’objet de salutaires mesures de justice populaire.

    La mairie de Rotherham était dirigée par des travaillistes, la version britannique de la gauche marxiste ; le maire Roger Stone a annoncé sa démission après la parution de ce quatrième rapport. Outre les criminels marxistes, les esclavagistes bénéficiaient de l’appui de certains des leurs au sein de la municipalité, comme celui de Jahangir Akhtar, qui a sciemment caché les faits, sachant que ses coreligionnaires ciblaient des enfants blancs.

    Il est à noter que la totalité des médiats francophones qui ont évoqué l’affaire ont masqué le caractère raciste antiblanc des criminels Pakistanais, présenté en France comme des « Asiatiques », alors que ces faits sont très clairement présentés ainsi par les médiats du système britannique comme The Guardian.

    Source : JN

    http://www.contre-info.com/grande-bretagne-1-400-mineures-blanches-violees-par-des-criminels-pakistanais-proteges-par-les-autorites#more-34221

  • Esclavage : aujourd’hui la repentance, demain les réparations ?

    Inauguration du Mémorial ACTe sur l’esclavage : au delà de la repentance hémiplégique habituelle, se dessine la possibilité de réparations. La preuve, Hollande l’a exclu.

    La grand-messe de la repentance sur la traite négrière s’est tenue hier. C’était la journée nationale de commémoration de la traite et de l’abolition de l’esclavage. François Hollande a inauguré, à Pointe-à-Pitre en Guadeloupe Mémorial ACTe, centre caribéen d’expressions et de mémoire de la traite et de l’esclavage. Le plus grand centre au monde consacré à la question a coûté au contribuable la bagatelle de 80 millions d’Euros, un argent que les Guadeloupéens auraient peut-être préféré voir investi dans des activités plus rentables pour l’île en crise.
    Au delà de l’exercice désormais traditionnel de repentance sur le commerce triangulaire, on entend toujours aussi peu de bonnes âmes sur la traite des blancs par les Barbaresques ou sur la traite des Africains par d’autres Africains ou des Arabes (dont la rédaction avoue ne pas savoir si elles sont abordées par le mémorial ACTe…).

    L'esclavage à enseigner aux enfants

    Musée DA SILVA – L’esclavage à enseigner aux enfants – Porto Novo – Bénin

    On n’a pas non plus entendu François Hollande rappeler le respect de la dignité humaine lors de son voyage en Arabie saoudite, sujet sûrement trop sensible chez ce partenaire économique de la France qui monte en puissance. Pas un mot enfin sur la traite d’esclaves sexuelles, principalement chrétiennes, par les troupes de l’État Islamique. Le seul lien avec l’actualité fait par François Hollande concernait les trafiquants et passeurs d’immigrés clandestins en Méditerranée, ce qui lui a valu en substance d’être traité d’imbécile par sa ministre de la justice. On en a démissionné pour moins que ça, mais au vu du silence radio sur l’épisode, il semble que l’immunité totale reste acquise à Christiane Taubira.

    L’autre couac est venu du CRAN : Le Conseil Représentatif des Associations Noires de France a annoncé par l’intermédiaire de son président Louis-Georges Tin avoir assigné en Justice le baron Ernest-Antoine Seillière pour « crime contre l’Humanité et recel de crime contre l’Humanité ». L’association communautariste accuse l’ancien président du Medef de jouir d’une fortune forgée grâce à la Traite négrière. Louis-Georges Tin a souligné que « Les descendants des esclavagistes ne sont pas coupables, mais ils sont bénéficiaires et leur fortune est faite de biens mal acquis », ajoutant « Et en refusant toute réparation, ils deviennent solidaires de fait du crime dont ils essaient de se démarquer en vain ». En parallèle, la section CRAN Guadeloupe a assigné la France en personne pour les mêmes chefs d’accusation.

    Dans le droit français, les crimes contre l’humanité sont imprescriptibles, ce qui en théorie rend la plainte valide. Il n’est donc pas absurde qu’elle aboutisse, au besoin avec l’appui des cours européennes de justice, toujours promptes à créer ce type de précédent jurisprudentiel.
    Preuve supplémentaire de la crédibilité de cette plainte : François Hollande excluait au même moment dans son discours toute indemnisation relative à l’esclavage…

    http://fr.novopress.info/

  • Droit d’asile : quand l’enfer est pavé de bonnes intentions

    Le président-dictateur général de Bruxelles, qui fait la pluie et le beau temps en Europe, propose d’imposer des quotas d’accueil aux pays européens.

    À première vue, la tribune de Bernard Cazeneuve parue dans Le Figaro d’hier sous le titre « La réforme du droit d’asile ne peut plus attendre » pourrait passer pour un retour au réel. La lecture de son texte montre qu’il n’en est rien, alors que, de son côté, Jean-Claude Juncker propose des quotas obligatoires d’accueil aux pays d’Europe.

    Cazeneuve constate le drame humain qui se joue en Méditerranée, et le relie assez lucidement au chaos libyen. Il poursuit en ces termes : « Ni l’Europe ni la France ne peuvent rester aveugles à cette réalité. C’est pourquoi il est plus que jamais urgent de moderniser notre système de l’asile, afin de nous donner les moyens d’accueillir sereinement ceux qui relèvent de notre protection. » Et c’est là que les choses se gâtent.

    Car le ministre se garde de définir ceux qui ont besoin de notre protection… Évoquant ensuite la saturation des centres d’accueil, de même que l’allongement du délai de traitement des procédures administratives, il ne propose évidemment pas une politique de fermeté, mais une « solution » typiquement socialiste : le gouvernement « a créé 4.000 places supplémentaires en CADA en deux ans et se fixe l’objectif d’en ouvrir 5.000 de plus d’ici à 2017, afin que ce type d’hébergement soit enfin la norme pour les demandeurs d’asile accueillis en France. » En clair, face à la déferlante migratoire (que, sans crainte de la contradiction, le ministre réfute par ailleurs), ouvrons plus grand les guichets d’accueil.

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  • L'UE veut imposer des quotas de migrants

    L'Union Européenne montre au quotidien sa volonté de ne respecter ni la volonté des peuples ni la souveraineté des nations qui la composent : 

    "L'équipe Juncker veut mettre en place un «mécanisme de distribution» pour les seuls réfugiés qui «ont clairement besoin d'une protection internationale», d'après le document de travail consulté par Le Figaro. Pour chacun des pays de l'UE, la clé de répartition tiendrait compte du PIB, de la population, du taux de chômage et du nombre de demandeurs d'asile déjà volontairement pris en charge.

    Ce serait un système temporaire, face à l'urgence, en application de l'article 78.3 du traité de Lisbonne. Mais l'ambition est affichée de pousser plus loin, dès la fin de l'année: un système «permanent», «automatique» et «obligatoire» de transfert à travers toute l'Europe des échoués de la Méditerranée et autres demandeurs méritant l'asile, selon les textes en préparation. Ces quotas, quel que soit leur nom, sont de la dynamite politique."

    Philippe Carhon  

  • Le Collectif contre le racisme et l’islamophobie débouté de son référé contre Robert Ménard

    Le Collectif contre le racisme et l’islamophobie (CRI) avait saisi vendredi dernier le tribunal administratif de Montpellier, réclamant les fichiers soit disant tenus par la mairie de Béziers à la demande de son maire Robert Ménard. Le tribunal a rejeté aujourd’hui la requête de l’association d’une façon cinglante :

    «L’existence sous forme matérielle ou informatique de fichiers recensant spécifiquement les élèves de confession musulmane inscrits dans les écoles publiques n’était pas démontrée (…) Il en a tiré la conclusion qu’il ne pouvait être ordonné à la commune de cesser d’élaborer de tels fichiers ou d’en remettre les supports matériels ou informatiques existants.»

    Les chasseurs de prime à l’anti-racisme en sont pour leurs frais !

    http://www.medias-presse.info/le-collectif-contre-le-racisme-et-lislamophobie-deboute-de-son-refere-contre-robert-menard/31132

  • Esclaves de la repentance (Présent 8352)

    La loi de 2001 reconnaissant l’esclavage comme un crime contre l’humanité et la responsabilité de la France dans la traite négrière n’y suffisait donc pas. Venu inaugurer dimanche, à Pointe-à-Pitre, le « Mémorial ACTe », un « centre caribéen d’expressions et de mémoire de la traite et de l’esclavage » qui aura coûté aux contribuables la bagatelle de 83 millions d’euros, François Hollande, invoquant les mémoires d’Aimé Césaire, de Toussaint Louverture et autres indépendantistes voire racistes anti-Blancs, s’est répandu lamentablement en excuses devant les Antillais.

    Un discours inspiré par Taubira

    Une de Présent 8352

    Une de Présent 8352

    S’exprimant devant le bâtiment composé d’un enchevêtrement d’aluminium censé symboliser les âmes des esclaves morts, Hollande, accompagné du gratin indépendantiste et notamment des incontournables Taubira et Thuram, a d’abord retracé « l’histoire » de la traite et du combat pour l’abolition de l’esclavage. Une histoire à sa sauce. Ou plus exactement à la sauce Taubira, puisque celle-ci avait tracé les grandes lignes du discours présidentiel. C’est dire l’honnêteté du propos… A ce sujet et la place nous manquant pour rétablir un certain nombre de vérités historiques, nous ne saurions trop conseiller aux lecteurs de se plonger dans l’excellent ouvrage publié en 2006 par Arnaud Raffard de Brienne (1).

    Repentance à tout va, donc, qui devait bien sûr s’accompagner du traditionnel petit couplet sur l’indispensable lutte contre le « poison du racisme », « grande cause nationale » en 2015.

    Des sous, des sous !

    Mais, même ainsi, Hollande n’en a pas fait assez. Car ce qu’attendaient surtout les enragés de la repentance et autres indépendantistes, c’est que la France passe à la caisse. Or, sur ce point, Hollande a déçu. Ecartant indirectement les réparations financières, le Président a en effet expliqué : « Le débat sur les réparations, je le sais, n’est pas épuisé. Je reprends à mon compte les mots d’Aimé Césaire quant à la nature irréparable du crime. Cependant, en lui donnant un nom et un statut en 2001, le Parlement français accomplissait un acte de vérité, de courage et de justice, indispensable, la première des réparations. »

    Franck Delétraz

    (1) La désinformation autour de l’esclavage, par Arnaud Raffard de Brienne, aux éditions Atelier Fol’fer

    http://fr.novopress.info/187362/esclaves-repentance-present-8351/

  • 52% des Français favorables au rétablissement de la peine de mort

    C'est l'information donnée par La Monde. Floris de Bonneville commente ce sondage sur Boulevard Voltaire :

    "Il y apparaît que la peine de mort est souhaitée par 52 % d’entre nous ! Soit 15 points de plus que l’an dernier. Et cela, toutes sensibilités politiques et religieuses confondues. 

Mais quelles pourraient être les causes de ce basculement tout à fait inédit depuis des dizaines d’années, pour ne pas dire spectaculaire ? (...)

    Seule Marine Le Pen (encore elle) détonne sur la question de l’application de la peine capitale. Elle promet d’organiser un référendum proposant aux Français de choisir entre la peine de mort et la perpétuité réelle. Une peine de prison à vie, comme aux États-Unis où nombre de condamnés ont accumulé des centaines d’années de prison. L’assassin ne sortira de sa cellule que les pieds devant.

    On se demande d’ailleurs bien pourquoi la justice française a cette hypocrisie suprême de condamner un assassin à perpétuité pour le laisser sortir 22 ans après. Mais quel que puisse être le résultat d’un tel référendum, tant que la France est dépendante des instances européennes qui, il faut bien le dire, n’ont qu’une lointaine notion de la démocratie, elle ne pourra jamais être appliquée puisque la peine de mort est contraire au protocole du Conseil de l’Europe et à la charte des Nations unies sur les droits de l’homme.

    Souhaitons, tout de même, que pour les actes terroristes et les assassins violeurs d’enfants, la France puisse, un jour et très vite, appliquer cette perpétuité réelle (...)"

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    Mais que chacun se rassure, l'ancien président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, est encore là pour rappeler à quel point l'Union Européenne est démocratique :

    "Le rétablissement de la peine de mort est tout simplement impossible pour un membre de l'UE. Le débat a été clos il y a longtemps. C'est une affaire réglée pour tous les membres"

    Ce qui a été rapidement confirmé par le président en titre, Jean-Claude Juncker :

    "L'abolition de la peine de mort est une condition et un préalable pour rejoindre l'UE et pour y demeurer"

    Philippe Carhon

  • Statistiques ethniques : 55% des Français y sont favorables

    Médias dominants et politiques ne cessent de souffler sur les braises de la polémique déclenchée par les révélations de Robert Ménard. Celui-ci fait part d’un pourcentage de 64,9% d’élèves musulmans dans sa ville. Au lieu de s’interroger sur ce chiffre alarmant, il est fait cas de l’emploi de statistiques ethniques.

    Il se pourrait, cependant, que l’opinion ne soit pas menée là où on voudrait qu’elle aille. En effet, si une partie des Français s’avère choquée (54%), 55% d’entre eux se montrent favorables à la constitution de statistiques ethniques.

    Selon un sondage Odoxa pour Itélé publié vendredi 8 mai, le clivage gauche-droite est très net.

    77% des sympathisants de gauche se disent choqués, 23% non. Au contraire, 68% des sympathisants de droite ne se disent pas choqués, contre 31% qui le sont. Au sein de ces sympathisants de droite, 22% des sympathisants du FN se disent choqués, contre 77% qui ne le sont pas. 1% ne se prononce pas.
    78% des sympathisants de droite favorables aux statistiques.

    Les interrogés sont également sondés “de manière générale” sur “la constitution de statistiques ethniques”. 55% des sondés sont favorables à cela “car mieux connaître la réalité est le meilleur moyen de lutter contre les discriminations”. 44% sont opposés “car il est choquant de tenir compte de l’origine ou de la race des gens lorsque l’on enregistre des statistiques sur eux”. 1% des sondés ne se prononce pas.

    Dans le détail, 35% des sympathisants de gauche sont favorables à de telles statistiques, contre 64% opposés. 78% des sympathisants de droite y sont favorables, contre 21% opposés. Au sein des sympathisants de droite, 91% des adhérents du FN sont favorables, contre 8% opposés.

    http://fr.novopress.info/