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lobby - Page 1636

  • L’esclavage n’est pas une fatalité

    Le cadavre du communisme bouge encore: dans le cadre des commémorations du 8 mai 1945, dans trois villes du Val-de-Marne,  Villejuif, Champigny, et Villiers (les deux premières sont toujours aux mains du PC «F», la dernière a été conquise par l’UMP), les frontistes présents aux cérémonies ont été insultés, conspués par les permanents communistes dépêchés sur place, empêchés de déposer une gerbe. À Villejuif , celle du conseiller municipal FN Alexandre Gaborit, a carrément été jeté à la poubelle. Le très médiocre et haineux Pierre Garzon, secrétaire de la section communiste de cette municipalité, a osé déclarer au Parisien que «Beaucoup de personnes présentes ont été très choquées par ce dépôt de gerbe (du FN, NDLR), en particulier la fille et sœur de deux fusillés, qui a fondu en larmes » (sic). Pour le sans-culotte Garzon plus c’est gros et con…venu,  plus ça passe? D’une cérémonie l’autre,  se déroulait hier dans la ville du grand écrivain populaire Alexandre Dumas, à Villers-Cotterêts, (Aisne),  la cérémonie de la Journée nationale de l’esclavage, de la traite et de leurs abolitions. Le maire FN,  Franck Briffaut, refusant par principe la compétition victimaire et mémorielle, l’«auto-culpabilisation permanente », n’a pas pris part comme l’année dernière à cette cérémonie. Il a cependant  honoré la mémoire du père de l’écrivain, le général Dumas, le 4 février dernier, jour anniversaire du premier décret de l’abolition de l’esclavage (4 février 1794).

    Cette année encore,  un «Collectif de lutte contre l’extrême droite» cornaqué par l’extrême gauche a voulu utiliser cette cérémonie du 10 mai pour organiser contre la municipalité FN «une marche contre le racisme», laquelle, de l’aveu même de la presse locale,  a été un gros bide ne rassemblant que …80 personnes. La commémoration proprement dite au pied de la statue du général Dumas, organisée par l’association des amis du général Dumas, présidée par l’écrivain Claude Ribbe,  a réuni une petite centaine de personnes. Les militants antinationaux présents –Jean-Claude Monnier, de  l’association (coquille vide)  Philopolis et du Front de Gauche,  Olivier Spinelli, de la Ligue des droits de l’homme , Jacques Krabal, député PRG de l’Aisne qui a éructé contre «ce parti qui nie l’esclavage et la Shoah  » – ont donc été eux aussi tout autant snobés par les habitants de la ville.

    Invité à cette commémoration par M. Ribbe, le militant antillais Josse Rovélas a exigé,  sur la même ligne que le  tout aussi communautariste Louis-Georges Tin, président  du Cran, ou encore du militant indépendantiste ami de Christiane Taubira, Elie Domota, chef du LKP et de  l’UGTG (Union générale des travailleurs de Guadeloupe), des réparations financières de l’Etat français pour les descendants d’esclaves.  

    Ce à quoi s’est de nouveau opposé François Hollande hier à Pointe-à-Pitre (Guadeloupe ) au cours d’un discours  bien  terne et  pompeux,   placé comme il se doit sous le signe de la lutte contre le racisme. Une allocution prononcée à l’occasion de l’inauguration,  dans le quartier difficile du Carénage,  du plus grand mémorial existant sur l’esclavage,  le Mémorial ACTe, ou «Centre caribéen d’expressions et de mémoire de la traite et de l’esclavage ». Une fois n’est pas coutume, nous ne pouvons que partager les critiques d’Elie Domota sur le coût de celui-ci,   83 millions d’euros -dont 37 financés par le conseil régional- qui ont  été déboursés  par les contribuables français  pour la réalisation de ce Mémorial,   alors que nos compatriotes antillais  sont frappés eux aussi par de très nombreuses difficultés sociales  et économiques.

    Pendant  qu’à Brest une sculpture baptisée Mémoires était inaugurée, Nantes vient donc de perdre donc au profit de Pointe-à-Pitre  son statut de capitale française de l’abolition de l’esclavage. Le Mémorial nantais sur ce thème avait été  ouvert  en  mars 2012 en présence de Christiane Taubira, hier aux côtés de François Hollande, et de Jean-Marc Ayrault. Hier le maire PS de la Ville, Johanna Rolland,  avait invité pour cette cérémonie du 10 mai Angela Davis,  militante historique du combat pour les droits civiques aux Etats-Unis dans les années 70.

    Mme Rolland n’a pas rappelé l’opposition virulente de cette américaine à la loi interdisant le voile islamique dans l’espace public en France. Ni son pédigrée complet. Prof de philo marxiste-léniniste, féministe, membre des Black Panthers, Angela Davis fut aussi la dirigeante du Parti communiste des États-Unis -candidate à la vice-présidence des États-Unis en 1980 et 1984 sous cette étiquette-  et comme telle, bénéficia du soutien de Moscou et de ses satellites avant la chute de l’URSS.  Mme Davis certes, n’a pas réussi hier à susciter l’intérêt des Nantais qui n’étaient moins de trois cents à avoir fait le déplacement pour l’entendre… et profiter des animations gratuites.

    Autrement plus écouté sous nos latitudes, l’homme de gauche, historien, sociologue et essayiste Emmanuel  Todd fut lui aussi (brièvement) membre des Jeunesses communistes et du Parti communiste «français». Il défraye pour sa part la chronique pour son opposition sans cesse grandissante à un PS qui affirme-t-il , a tout trahi, tout vendu, tout lâché comme il l’écrit de nouveau dans son dernier livre «Qui est Charlie». Un opus qui a agite le tremblotant Manuel Valls. Après s’en  être pris à une autre figure de la gauche, le philosophe Michel Onfray, le Premier ministre a longuement dénoncé  l’essai de M. Todd dans une tribune publiée jeudi dans Le Monde. Au vu de  la situation actuelle de la France, M. Valls n’a t-il pas mieux à faire que d’ordonner à un de ses collaborateurs de pondre une tribune signée de son  nom pour fustiger  un livre qu’à l’instar de  Fleur Pellerin il  n’a certainement pas lu ?

    Félicitons-nous pour notre part de la lucidité (en partie)  retrouvée d’un intellectuel, incontestablement brillant, comme M. Todd, dont nous ne partageons pas pour autant, souligne Bruno Gollnisch, très loin s’en faut, toutes les vues, les analyses, voire les obsessions. M Todd qui vota oui au référendum sur la constitution européenne de 2005, s’était aussi décrédibilisé avec son concept de «hollandisme révolutionnaire» au nom duquel il avait appelé à voter pour le candidat du PS à la présidentielle de 2012.

     Pour autant ne boudons pas notre plaisir: ses critiques charpentées  sur la faillite de l’euro, l’Europe bruxelloise, les Etats-Unis, l’atlantisme, la social-démocratie UMPS vont incontestablement dans le bon sens.  Celui de la liquidation de ce Système qui conduit  notre peuple à un  esclavage sans cesse accru. 

    http://gollnisch.com/2015/05/11/lesclavage-nest-pas-une-fatalite/

  • L’Europe rappelle a Cameron qu’elle est anti-démocratique

    Au lendemain de la victoire des conservateurs aux législatives Britanniques, Hollande « rappelle » à Cameron qu’il y a des « règles en Europe ».

    Premier ministre britannique a réaffirmé sa volonté d’organiser un référendum pour ou contre la sortie de la Grande-Bretagne de l’Union Européenne d’ici à 2017. Une volonté démocratique inacceptable pour les européistes, qui a aussitôt suscité la réaction du président français.
    Diplomatiquement, François Hollande a parlé de « concertation » et de « dialogue », mais le rappel à l’ordre de Hollande évoque celui de Junkers à l’encontre de la Grèce :

    Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens

    Cela se confirme, la seule évocation d’un appel au peuple rend aussitôt nerveux nos chers eurocrates…

    http://fr.novopress.info/

  • Christiane Taubira se compare à Roger Salengro… Et pourquoi pas à Casimir ?

    Roger Salengro, avec Léon Blum et la CGT d’alors, fut l’un des premiers à promouvoir la préférence nationale à l’embauche, précédant en cela le Front national d’au moins quatre décennies.

    On ne sait trop à quoi carbure le garde des Sceaux Christiane Taubira ; mais ça doit sûrement être du lourd, de la weed guyanaise génétiquement modifiée ou du rhum local customisé. Car voilà que l’intouchable idole de la gauche enclenche la surmultipliée : « Ils n’auront pas mon suicide ! » Et la donzelle de comparer son sort à celui de Roger Salengro…

    Au fait, qui est Roger Salengro ? Tout simplement un ministre de l’Intérieur socialiste, ayant officié lors du Front populaire en 1936. Pas de chance pour lui, une rumeur prétend qu’il aurait un peu déserté durant la Grande Guerre ; fait qui ne fut jamais véritablement avéré ou infirmé. Nonobstant, il n’en faut guère plus à la presse de l’époque – tout aussi teigneuse des deux bords de l’échiquier politique – pour lancer de vigoureuses campagnes contre le ministre en question. En la matière, les journaux de droite et d’extrême droite sont évidemment en première ligne, mais leurs homologues communistes ne laissent pas non plus leur part au chat.

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  • Les Français lassés par les "valeurs républicaines"

    Selon un sondage Ifop pour Atlantico, pour deux tiers des Français (65%) les termes "républiuqe" et "valeurs républicaines" ne parlent plus vraiment car ils ont été trop utilisés et ont perdu de leur force et de leur signification. Jérôme Fourquet de l'Ifop apporte quelques explications :

    "Il n’y a qu’un tiers des Français (...) qui se déclare encore sensibles à ces termes quand les politique les emploient, et qui possède une fibre républicaine très développée (...) Dans les deux grandes familles politiques aujourd’hui, il y a environ une personne sur deux qui est assez peu sensible à l’usage de ces termes par les politique, et inversement une autre moitié qui garde toujours la fibre républicaine bien chevillée au corps. C’est intéressant parce que l’UMP comme le PS emploient ces termes, or chacun dans leur camp ne touche que la moitié des sympathisants (...)

    70% [d'insensibilité] au Front national : là on est sur un vrai écart. Au FN, cela peut s’expliquer par le fait que dans cet électorat, quand on entend parler de « République », c’est souvent pour dénigrer ou disqualifier le parti dont on se sent proche, avec par exemple le fameux « front républicain » qui est régulièrement mis en pratique contre le FN dans les élections, ou bien la non-invitation de Marine Le Pen à la « marche républicaine du 11 janvier » car elle est considérée comme hors du cercle républicain. On pourrait multiplier les exemples, notamment avec les déclarations de Valls, du déni de brevet de républicanisme accordé au Front. Cela peut expliquer pourquoi une large majorité d’électeurs frontistes, quand ils entendent ce terme, se montrent insensibles (...)

    Commenatires de Vincent Tournier, maître de conférence de science politique à l’Institut d’études politiques de Grenoble :

    "Ce résultat s’explique d’abord par le manque de crédibilité de la parole politique. Les électeurs sont devenus très méfiants. Il faut donc s’attendre à ce qu’ils soient encore plus sceptiques lorsque les responsables politiques font appel aux grands principes.

    Mais il faut aussi tenir compte du fait que, au fil du temps, le terme de République a perdu de sa substance. Que signifie-t-il aujourd’hui ? Qui est en mesure de dire aujourd’hui à quoi correspondent les valeurs républicaines ? Les notions sont assez floues. Cela tient notamment au fait qu’il n’y a plus de conflit sur la nature républicaine des institutions. La République est devenue une notion consensuelle : tout le monde ou presque est républicain, que ce soit à gauche ou à droite."

    Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Taubira brandit la menace d’une guerre raciale

    C’est ce que l’on peut comprendre en lisant le ministre de la « Justice », qui se lâche dans un entretien au Figaro :

    Le monde n’est pas à eux [« les racistes»]. Les enfants qui me ressemblent ont toute légitimité au monde. Il faudra qu’ils s’y habituent. La lucidité les conduira à voir que les gens qui me ressemblent sont plus nombreux. Et qu’il vaut mieux ne pas trop défier ce monde-là», avertit la locataire de la place Vendôme.

    Comment sait-elle qu’ils sont nombreux ? A-t-elle, elle, des statistiques raciales ?

    taubira

    http://www.contre-info.com/

  • Le vocabulaire franco-socialiste : le plus dangereux d’Europe – par NOBELINE

    Apartheid – Ghetto sont venus s’ajouter, récemment, aux éternelles - Discrimination – Victimisation.

    La liste employée est longue chez ces gens-là donneurs des leçons de morale. Ne viennent-ils pas de réinventer la mixité sociale ?

    Si nous leur rappelions la réalité ?

    Dans les programmes de construction de grands ensembles d’il y a quarante-cinquante ans, on compte un certain nombre de logements dits sociaux, gérés par les mairies ou les offices de HLM, les autres étant la propriété des promoteurs de ces monumentales et, parfois, hideuses cités.

    Qui achetait et qui louait ?

    -Il y avait ceux qui acquéraient pour en retirer un revenu locatif.

    -Beaucoup de Français de souche européenne (nous les nommerons, ici, FSE) se sont endettés, souvent, pour acquérir leur résidence principale. Ils devenaient propriétaires d’un appartement hypothéqué par les organismes bancaires. C’est à l’époque de Giscard que les premiers prêts conventionnés ont été créés pour inciter les citadins à migrer en milieu rural, souvenez-vous.

    -Et il y avait ceux qui n’avaient pas les moyens d’acheter mais pouvaient obtenir, par les municipalités, un logement en location à prix honnête, plus confortable que ceux dans lesquels ils vivaient, souvent à l’étroit et dans des cadres pas si odieux que cela, avec parc ou jardin d’enfants, desservi par des transports en communs, proches des écoles et des commerces, etc…

    Cela faisait le bonheur de tout le monde tout en permettant de désengorger les villes et les FSE, locataires et propriétaires, vivaient en bonne intelligence.

    Mais voilà que la politique du regroupement familial des mêmes Giscard et Chirac change la donne.

    Il faut loger les milliers de familles immigrées venues rejoindre le père ou le frère ou le grand père venues des pays d’Afrique subsaharienne ou du Nord. (Nous les nommerons FSA et FSNA, ici).

    Que s’est-il passé dès lors que les portes de ces cités radieuses leur ont été ouvertes ? Ils se sont regroupés en fonction de leur pays d’origine, de leur culture, voire même, de leurs villages ou de leurs clans familiaux, aidés en cela par nos services sociaux  et associations de gauche qui voyaient, là, une manière d’apaiser l’éloignement du pays. Il est bien connu que lorsque une famille FSA ou FSNA arrive dans un quartier, un bâtiment ou un village, dix tentent de les rejoindre jusqu’à obtenir leurs places aux côtés des premiers arrivés.

    Sauf que… Réunis, ils ont continué à vivre comme dans les douars ou les villages africains, imposant aux FSE leurs us et coutumes, leurs familles nombreuses et tout ce qui va avec.

    Peu à peu, les FSE ont déserté ces cités et ont été, systématiquement, remplacés par les FSA et FSNA toujours demandeurs, qui y trouvaient leur compte. Et nos cités radieuses se sont vite transformées en cités de la joie… façon Calcutta, hideuses à souhait.

    Aujourd’hui, Valls parle d’apartheid. Il est fou. Nous ne les avons jamais regroupés ni maintenus à part. Ils se sont installés, mixés, volontairement et ils ont, eux-mêmes, créé leurs ghettos. Alors, quand nous l’entendons parler de la mixité sociale à recréer, ça peut faire rire certains ou faire froid dans le dos des FSE en demande de logement social.

    Quant à croire et faire accroire qu’ils sont défavorisés, discriminés parce que réunis dans ces cités, il y a une énorme mauvaise foi patentée de la part de ces politiques puisque ce sont ces immigrés, eux-mêmes, qui l’ont voulu ainsi.

    Les FSE ne font plus, depuis longtemps, des familles nombreuses. Dans leur culture, deux ou trois enfants sont le maximum qu’elles puissent élever décemment… et encore !

    A l’inverse, les familles FSA et FSNA ne connaissent que peu ou pas la contraception que ce soit par conviction religieuse ou non. Elles forment, en moyenne, des familles comptant six enfants voire plus.

    Il en est résulté une surpopulation dans ces cités où la jeunesse grouille d’ennui dès que la scolarisation n’est plus obligatoire. Et quand des jeunes s’ennuient, ils font n’importe quoi.

    On l’a pu constater, dans les cités périphériques des villes de France, cela va du trafic de drogue au commerce des armes en passant par les vols à l’arraché ou les vols par effraction jusques et y compris les assassinats et autres règlements de comptes que la France connait depuis quelques années.

    Il est évident que, aujourd’hui, dans ces cités, les gens vivent mal. Le sentiment de victimisation que les bienpensants leur ont inculqué en a fait des rebelles repliés dans des zones incontrôlables appelées, aussi, zones de non droit. La situation internationale ne faisant rien à l’affaire, les apprentis terroristes s’y sont multipliés là où les recruteurs rencontrent un terreau fertile.

    Ceci est la réalité. Alors, qu’espère donc obtenir notre gouvernement de gauche en prônant le retour à la mixité sociale, sauf à dépenser plus d’argent que la France n’en a les moyens ?

    Aucun FSE, fut-il le plus pauvre, n’acceptera d’élever ses enfants dans des cités - même neuves - qui deviendront, en très-très peu de temps, des poubelles, ce qu’elles sont aujourd’hui.

    Nombre de familles FSA et FSNA ne veulent rien entendre, non plus. Elles se sont assimilées et ne veulent, pour rien au monde, mélanger leur progéniture à ceux-là. Elles n’ont pas tort, on ne les protège jamais assez.

    Mais alors, exiger de construire de nouveaux logements sociaux, les imposer à d’autres villes, d’autres endroits, sous peine d’amendes comme ils le préconisent, ne pourra jamais être la solution. On voit bien, d’ici, ce que donnerait un tel programme. Refouler plus loin, encore, les FSE et les familles assimilées qui fuiront ces quartiers, ces villages et nombre de demandeurs de logements sociaux, FSE ou autres, qui refuseront de cohabiter avec les familles FSA et FSNA fortes de l’exemple qui leur est, tous les jours, démontré.

    Le résultat est que ce programme, souhaité par la gauche au pouvoir, ne fera qu’étendre les zones de non droits au lieu de les faire disparaître.

    Nous ne sommes pas en face d’un problème social mais, bien, d’un problème crucial qui est d’ordre culturel et cultuel.

    Et il perdurera tant que la gauche continuera de refuser d’admettre qu’un FSA ou un FSNA n’est pas un occidental et qu’ils refusent, dans leur grande majorité, de s’intégrer ou de s’assimiler.

    La question à se poser est : Faudra-t-il un jour, séparer les villes d’immigrés des villes de FSE comme elles existaient, plus ou moins, dans les anciennes colonies françaises ?

    C’est, pourtant, ce qui existe depuis plus de trente ans mais les gens de gauche et les bienpensants ne veulent pas le voir. Dans toutes les villes françaises, nous avons les cités en majorité maghrébines et africaines ou ce qu’on appelle, les quartiers arabes. Des endroits où, seuls, de rares FSE cohabitent avec eux. Sauf que le grand banditisme et le terrorisme y sont en développement constant. Ajoutez à cela qu’ils y règnent en petits caïds et que, du simple commerçant FSE aux forces de l’ordre, interdiction leur est faite de s’installer ou s’approcher de « chez eux » sous peine de graves sévices.

    Aucun de nos présidents antérieurs et, encore bien moins, ce dernier en exercice, n’a cherché à faire comprendre à ces immigrés qu’ils n’étaient pas des citoyens exceptionnels. Au contraire, ils ont fait preuve d’un laxisme et d’une lâcheté (politique avec les pays arabes, oblige) envers leur incivisme et, même, leurs crimes qui les a confortés dans le sentiment qu’ils étaient intouchables.

    Face à cet état de fait, il faut chercher à résoudre le problème avant que nous ne soyons totalement submergés.

    La République, une et indivisible, est la seule solution au problème. Qu’ils vivent entre eux, si ça leur plait mais en respectant les Lois de la République Française. Tant qu’il y aura deux poids deux mesures qui séparent bien plus ces communautés des Français républicains que la mixité sociale, nous ne pourrons jamais vivre ensemble. Parce que La Loi doit s’appliquer à tous ceux qui vivent en France.

    Alors, que restait-il à ces politiques, de leur esprit du 11 janvier, guignolesque à souhait, pour se maintenir à flot ?

    On savait qu’il y avait une manipulation flagrante de leur part et que leur retournement de veste allait s’opérer rapidement. Mais le scrutin à venir les a obligés à se dévoiler plus vite, encore. Après ces  crimes racistes que les Français ont vécus et la pantalonnade socialo du 11 janvier, il  leur fallait récupérer les voix potentielles de ces communautés pour éviter la débâcle amorcée et celle de la droite, aussi.

    Que pouvaient-ils offrir, en échange, à ces électeurs-là ? Des paroles… oui, ils n’en manquent pas. Mais il fallait des (projets d’) actes pour essayer de convaincre les zonards et autres immigrés de leur faire confiance. Comme ils ne sont jamais à court de mensonges, Hollande et Valls, pour ne nommer qu’eux, ont pondu la mirifique mixité sociale à venir après avoir dénoncé un apartheid sorti de leur esprit mythomaniaque et les ghettos devenus, pour l’occasion, musulmans.

    Ce qui est infiniment plus grave et doit nous faire réagir rapidement c’est qu’ils sont bien capables de mettre  leur projet à exécution ; ils ont encore deux ans pour le faire. Il en résulterait l’extension des zones de non droit dans nos villes et nos villages, surprotégées comme ils le sont aujourd’hui, par une ministre de la Justice, garde des Sceaux faisant preuve d’une affection particulière pour les rebelles et autres indépendantistes antifrançais.

    Français, FSE ! Il n’y a plus une minute à perdre. Si nous voulons sauver notre République, si nous voulons sauver la France, votons vite et bien à toutes les élections,  à commencer (ou à continuer) par les Régionales de décembre prochain.

    http://www.francepresseinfos.com/2015/04/le-vocabulaire-franco-socialiste-le.html#more

  • Quand un Africain rétablit la vérité sur la traite des esclaves

    Entre les gesticulations "mémorielles" de la communiste Angela Davis aux commémorations anti-esclavage de la ville de Nantes, les exigences sonnantes et trébuchantes du CRAN auprès de la famille Seillière, dont la fortune, opportunément issue de la traite, pourrait permettre de juteuses compensations, entre François Hollande qui inaugurait aujourd'hui  le plus grand centre au monde d'expression et de mémoire sur la traite et l'esclavage à Pointe-à-Pitre, et les imprécations menaçantes de Christiane Taubira, qui ne perd pas une occasion de rappeler ses origines et de se poser en passionaria de la cause noire, les Français dits "de souche" n'ont plus qu'à se résigner : ils sont d'horribles esclavagistes, et doivent faire leur mea culpa.

    Mais la réalité a la peau dure et mauvaise volonté, et fait voler en éclats les images d'Epinal de Madame Taubira et autres spécialistes de la culpabilisation.Outre-mer 1ère interrogeait, le 29 avril 2014, l’anthropologue et économiste sénégalais Tidiane N’Diaye, auteur de "Le génocide voilé" (éditions Gallimard, 2008). Un Africain, un Noir, donc. Il dit (extraits) :

     "Alors que la traite transatlantique a duré quatre siècles, c’est pendant treize siècles sans interruption que les Arabes ont razzié l’Afrique subsaharienne. La plupart des millions d’hommes qu’ils ont déportés ont disparu du fait des traitements inhumains et de la castration généralisée."[...]

    "J’ai l’habitude de rappeler que mon travail ne cherche à communautariser ni l’histoire ni les mémoires. Ce qui serait la porte ouverte à une hiérarchisation victimaire, donc une approche dénuée de tout caractère scientifique.[...]Par conséquent [...]je n’ai pas oublié de rappeler d’abord, que les premières victimes de cette calamité furent les Slaves,que les Vénitiens et les Marseillais allaient razzier en Europe centrale et orientale, pour les vendre aux notables du monde arabo-musulman. Cela devait durer toute l’époque carolingienne au Xème siècle sous les monarques saxons Henri l’oiseleur et Otton Ier. Comme on sait, il fallut l’émergence d’États puissants en Europe de l’Ouest et l’arrêt de l’expansion arabe aux Pyrénées pour que cela cesse.Et c’est pour combler ce déficit en eunuques et esclaves blancs, que les Arabo-musulmans allaient massivement se tourner vers les peuples négro-africains.[...]

    Quelles ont été les caractéristiques de la traite arabe par rapport à la traite transatlantique ?
    Tidiane N’Diaye : 
    "Pour la traite transatlantique, en dépit de la monstruosité des traitements, des humiliations et autres calamités, un esclave avait une valeur vénale. Le maître le voulait productif et rentable à long terme.Le but n’était donc pas l’extermination d’un peuple malgré la querelle sémantique opposant certains chercheurs à ceux qui veulent qualifier ce crime contre l’humanité de génocide.Alors que pour ce qui est de la traite arabo-musulmane, plus que le crime des occidentaux,les Arabes ont razzié l’Afrique subsaharienne pendant treize siècles. La plupart des millions d’hommes qu’ils ont déportés, ont presque tous disparu du fait des traitements inhumains, de l’infanticide et de la castration généralisée, pour qu’ils ne fassent pas souche dans le monde arabo-musulman. Il faut dire qu’à partir du moment où l’Afrique noire devenait leur principale source d’approvisionnement en esclaves, dans l’inconscient collectif des Arabes, l’homme noir devenait aussi symbole ou synonyme de servitude. Et sa couleur de peau sera même associée à un déni d’islam. Alors que cette religion comme toutes les autres, a hérité du joug de l’esclavage. Et si l’islam tolérait, voire recommandait l’asservissement de non convertis, il n’a jamais clairement ciblé les peuples noirs comme particulièrement prédestinés à l’asservissement. Mais des érudits respectés et très écoutés dans le monde arabe, allaient interpréter les textes sacrés, pour justifier et perpétuer la traite et l’esclavage des Noirs.Ainsi bien avant que les chercheurs européens de l’anthropologie physique n’élaborent au 19ème siècle les théories raciales fantaisistes que l’on sait, dans le monde arabe on avait déjà figé dans le temps et de manière presque irréversible l’infériorité de l’homme noir. Ce qui explique sans doute que les traitements inhumains et la mutilation généralisée des captifs noirs étaient acceptés et passaient pour un moyen commode pour empêcher que ces « animaux » ne prolifèrent sur leurs lieux de déportation. Le résultat est que de nos jours, ils ont presque tous disparu en Turquie, au Yémen, en Irak et on en trouve très peu au Maghreb ou en Arabie Saoudite." [...]

    On arrive ainsi à une évaluation proche des 17 millions de morts ou de déportés dont la plupart étaient des survivants castrés par les Arabes. Force est donc de reconnaître, que cette traite arabo-musulmane fut un véritable génocide de peuples noirs par razzias sanglantes, massacres et castration massive.A titre de comparaison, si de nos jours près de 70 millions de descendants ou de métis d’Africains peuplent le continent américain, des États-Unis au Brésil passant par les Iles de la Caraïbe, seule une infime minorité de Noirs a pu survivre en terres arabo-musulmanes." [...]

    Aussi, force est de reconnaître que les misères, la pauvreté, la longue stagnation démographique et les retards de développement actuels du continent noir, ne sont pas le seul fait des conséquences du commerce triangulaire, comme bien des personnes se l’imaginent, loin de là. Rien n’est comparable à l’infamie qui a ravagé les populations africaines, avec l’arrivée des Arabes et la traite négrière à grande échelle qu’ils inaugurèrent.L’Afrique en subit encore les conséquences."[...]

    Pourquoi la traite arabo-musulmane est-elle si peu connue et étudiée, sinon carrément occultée ?
    Tidiane N’Diaye :
     "En fait cette traite, qu’il est difficile de ne pas qualifier de génocide de peuples noirs par massacres, razzias sanglantes puis castration massive, chose curieuse, très nombreux sont ceux qui souhaiteraient le voir recouvert à jamais du voile de l’oubli, souvent au nom d’une certaine solidarité religieuse, voire idéologique. C’est comme un pacte virtuel scellé entre les descendants des victimes et ceux des bourreaux, qui aboutit à ce déni. L’entente tacite est bien réelle. Parce que dans cette sorte de « syndrome de Stockholm à l’africaine », Arabo-musulmans et Africains convertis s’arrangent sur le dos de l’Occident. Les descendants des victimes sont devenus des obligés, amis et solidaires des descendants des bourreaux, sur qui ils décident de ne rien dire. Ce silence ou la sous-estimation du mal arabe permet de mieux braquer les projecteurs, uniquement sur la traite transatlantique. Ceci comme un ciment devant réaliser la fusion des Arabes et des populations négro-africaines, longtemps « victimes solidaires » du colonialisme occidental."

    "Alors, que des lettrés et autres intellectuels arabo-musulmans, tentent de faire disparaître jusqu’au simple souvenir de cette infamie, comme si elle n’avait jamais existé, peut encore se comprendre. Ces derniers ne se décident toujours pas à regarder leur histoire en face et à en débattre avec leurs compatriotes. Ce qui explique que ce pan de l’histoire de l’humanité, reste encore profondément enfoui dans la mémoire coupable de ces peuples qui en sont responsables. En revanche, il est difficile de comprendre l’attitude de nombreux chercheurs - et même d’Africains américains qui se convertissent de plus en plus à l’Islam - qui n’est pas toujours très saine et fortement animée par une sorte d’autocensure. Comme si évoquer le passé négrier des Arabo-musulmans revenait à essayer de minimiser la traite transatlantique. C’est ainsi qu’un voile de silence a longtemps recouvert cette sombre page de notre histoire commune, parce qu’on y observe une étrange amnésie même de la part des élites noires. Elles ont du mal à passer d’une vision mémorielle affective de ce génocide, pour des raisons de solidarité religieuse, à tout simplement une approche distanciée et scientifique de l’histoire qui elle, ne traite que de faits avérés, comme c’est le cas pour la traite transatlantique."[...]

    Il ne reste plus à Monsieur N'Diaye qu'à rappeler que les Africains ont été eux-mêmes les acteurs de leur déportation vers l'esclavage, certaines tribus n'hésitant pas à vendre leurs voisins aux prédateurs arabo-musulmans. La vérité finit toujours par triompher.

    Marie Bethanie http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Régionales : encore une tête de liste UMP pro-LGBT

    La commission nationale d'investiture de l'UMP a désigné la première adjointe d'Alain Juppé à Bordeaux, Virginie Calmels, en Aquitaine-Poitou-Charentes-Limousin pour les régionales. 

    Dans un portrait dressé en 2012, Libération écrivait :

    "le mariage gay lui semble d’une évidence modérée".

    Après 

    • Dominique Reynié dans la région Midi-Pyrénées/Languedoc-Roussillon 
    • Valérie Pécresse en Ile de France
    • Christian Estrosi dans le Sud-Est

    cela commence à faire beaucoup.

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • BELJANSKI : ON A TOUT FAIT POUR QUE VOUS AYEZ PEUR :

    Beljanski : ce nom restera gravé dans l’histoire de la lutte contre le cancer. Il y a vingt ans, le succès des produits mis au point par ce grand scientifique s’est répandu sous le manteau comme une traînée de poudre chez les malades du cancer. Et la poudre a pris feu… Beaucoup d’entre vous connaissent la suite : la fin dramatique d’un homme poursuivi à mort par les autorités judiciaires françaises. Son nom, sa réputation scientifique, ses produits, frappés d’anathème. Un acharnement sournois et dissuasif est, depuis, à l’œuvre, qui nous laisse croire en 2014 que les produits Beljanski sont interdits tout en faisant passer pour un danger sanitaire le seul fait d’en parler. Et pourtant : des centaines, des milliers de patients suivent les traitements originaux et en sont satisfaits, en France comme ailleurs et plus souvent qu’on ne le croit avec la coopération de leur médecin.

    Cet article vous paraîtra peut-être un peu long, mais si vous avez le cancer, lisez-le jusqu’au bout, c’est important, et en plus… passionnant.

    Tant de contre-publicité et de contrefaçons pour rien ?

    Que n’a-t-on dit, vu, entendu… Des livres entiers ont été écrits sur le sujet et des kilomètres d’informations, contradictoires, se déroulent sur le Net. Des hommages, certes, mais de méchantes accusations souvent, de pseudo « démystifications ».

    Les autorités de santé et les labos pharmaceutiques peuvent se frotter les mains. Leur incroyable travail de sape a porté ses fruits. Dans les grands médias, c’est le black-out, avec juste ce qu’il faut de désinformation de temps à autre… Pour encore dissuader les récalcitrants, sait-on jamais… Mais pas un mot qui pourrait laisser penser qu’il n’y a rien d’illégal à utiliser un produit Beljanski !

     

    En 20 ans, au fond, rien n’a changé

    Un pseudo reportage du Magazine de la Santé de France 5, diffusé le 14 février 2013, résume à lui seul la situation. Avec un titre-question dont on devine la réponse : « Mirko Beljanski, héros ou escroc ? ». Un monument d’ignorance (feinte ?) et de mensonges dans lequel le « journaliste » va jusqu’à affirmer que ce scientifique a refusé de publier ses résultats (objets de 133 publications…) et se trompe sur la date de décès de celui qu’il prétend cerner…

    Les calomnies en tout genre continuent de se répandre, les mauvaises langues se concentrant désormais sur l’« affairisme » présumé de la famille Beljanski, exilée aux Etats-Unis. Ces produits mènent leur vie, attisant des jalousies. Et pour nous embrouiller définitivement, une grosse quinzaine de sites Internet étrangers proposent des imitations ou des contrefaçons que le système médical en place met dans le même sac. En vrac.

    Des produits sans intérêt méritent-ils tant de mauvaise publicité et copie-t-on copie massivement ce qui ne marche pas ?

    Comment ne pas se tromper quand le cancer vous presse ?

    Si nous ne sommes pas tous dupes, cette situation met quand même sur la touche, par méconnaissance ou ignorance, nombre de patients qui pourraient ainsi augmenter leurs chances de guérir d’un cancer. Et elle ne peut que favoriser la triche ou les abus que d’autres malades subissent pour les mêmes raisons. Devant tant de mensonges, comment ne pas se tromper, ou être trompé quand apparaît le cancer, que le temps presse et que l’on n’est pas épaulé par des thérapeutes avertis ?

    Comment ne pas méjuger de l’intérêt de tel ou tel produit ? Ma réponse est nette : mieux vaut s’adresser à Dieu qu’à ses saints, à la maison-mère (fille à vrai dire), Natural Source, qui garde le bénéfice de l’antériorité, avec la garantie de produits fabriqués selon les formulations d’origine de Mirko Beljanski.

    Primo, et même si on ne les a pas déjà expérimentés directement ou à travers un proche, le large usage qui en a été fait toutes ces années les valide en partie.

    Secundo, ces garanties sont aussi d’ordre scientifique, ce que beaucoup ignorent encore. Il est donc temps de clarifier la situation. De rétablir quelques vérités pour comprendre le fin mot de l’histoire. Et de donner à ces traitements naturels (articulés autour de cinq compléments) la juste place qu’ils méritent.

    Et que ceux d’entre vous qui ont la malchance de devoir affronter un cancer se rassurent : ces thérapies naturelles n’excluent pas les traitements officiels auxquels, inquiet, on se raccroche toujours dans l’urgence. Au contraire !

    Interdits par qui ?

    On dit toujours ces produits « interdits », alors on se les procure discrètement. En réalité, ils ne sont interdits en France que dans les esprits car il n’existe aucune preuve négative d’une quelconque interdiction.

    La DGCCRF, que j’ai interrogée à ce sujet après que l’ANSES (l’agence en charge des compléments alimentaires) ait botté en touche, ne m’a d’ailleurs jamais répondu. Silence vaut aceptation… De fait, beaucoup de médecins ou thérapeutes les recommandent. Ils n’ont pas à faire d’ordonnance, et c’est parfaitement légal.

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  • Comment Marine Le Pen est devenue l'otage de Florian Philippot

    Jean-Marie Le Pen détrôné, Marine Le Pen n’en devient pas reine pour autant. Jour après jour, la vérité des luttes internes au sein du FN finit par émerger. Nous n’assistons par au vrai sacre de Marine, longtemps reporté pour cause d’omniprésence paternelle, mais à la prise du pouvoir par Florian Philippot. 
    Le Canard Enchaîné de cette semaine révèle que le vice-président du FN a fait déposer, auprès de l’INPI, ce qui pourrait être le prochain nom du Front national. Le parti de Jean-Marie Le Pen s’appellera-t-il bientôt "Les Patriotes"? En tout cas, c’est la marque que l’un des membres de la camarilla Philippot au siège du parti lepéniste, Joffrey Bollée, a fait inscrire dans le marbre de la protection juridique, au début du mois d’avril dernier. 
    Ce dernier épisode montre que la liquidation politique de l’héritage de Jean-Marie Le Pen par Florian Philippot a été conçue de longue date. Si l’on en croit encore le Canard, Jean-Marie Le Pen finira par être exclu du parti qu’il a fondé en 1972, au terme d’une procédure pour le moins étonnante : le Congrès nécessaire à la destitution du titre de "président d’honneur" accordé à Jean-Marie Le Pen n’aura jamais lieu. 
    C’est par vote internet ou par courrier que les militants seront appelés à se prononcer sur le sort du "Menhir". La méthode douce, en douce. Pas de réunion publique. Pas de salle surchauffée. Pas de débats passionnés. Pas de procès médiatisé. Pas de caméras indiscrètes. Pas de Petit journal persifleur. Pas de direct continu sur BFMTV. Pas de remous médiatique. Pas de bruit. Qui se souciera du destin de Jean-Marie Le Pen à la fin du mois de juillet ou au début du mois d’aout? Pas grand monde en vérité. D’ici là, l’opinion, et surtout les militants du FN auront acté que le règne de Jean-Marie Le Pen est terminé. En silence. 
    Le crépuscule du vieux 
    Philippot n’entend même pas offrir à Jean-Marie Le Pen le final wagnérien auquel ce dernier, compte tenu de son parcours, était en droit d’espérer. Ni cuivres, ni tambours. A la place du crépuscule des dieux, le crépuscule du vieux. Philippot est impitoyable. 
    Ce que rapporte le Canard est la démonstration, parmi d’autres, que désormais le parti lépéniste, même présidée par Marine Le Pen, est en passe de devenir un parti philippotiste. "Les Patriotes" tel sera, peut-être, le nom du futur parti présidé par Marine Le Pen. Tragique ironie de l’histoire pour Jean-Marie, qui avait tout mis en œuvre pour faciliter l’accession de sa fille à la tête de sa création, dans l’espoir de perpétuer, à travers son nom, la grande histoire des Le Pen. 
    Florian Philippot est l’homme qui a libéré Marine de son père. Pour mieux l’emprisonner à son profit ? 
    Aujourd’hui, l’évidence est patente. Le vrai patron du Front national, c’est Florian Philippot. Il en est l’inspirateur et l’organisateur. L’idéologue et l’apparatchik.Selon ses détracteurs internes, au siège du parti, il s’est constitué une petite cour de permanents qui surveillent en permanence les activités des uns et des autres, notamment sur les réseaux sociaux. Cette petite cour a beau insupporter certains militants historiques, tel le maire du 7e arrondissement de Marseille, Stéphane Ravier, encore et toujours attachés à la figure de "Jean-Marie", elle est devenue incontournable. 
    La racine d'un arbre qui irrigue le FN 
    Philippot est la racine d’un arbre qui irrigue son influence au sein de toutes les branches du FN. Face à ce deus ex machina, celui qui entendrait jouer les rebelles a désormais tout à perdre. Ce rapport de force explique le peu de réactions véritablement hostiles à l’éviction programmée de Jean-Marie Le Pen. On peut ainsi être militant FN, applaudir le Menhir place de l’opéra le 1er mai, et ne rien dire de sa suspension trois jours plus tard. C’est dire le pouvoir de Philippot sur l’appareil frontiste. 
    Les adversaires de Florian Philippot, gardiens du temple lepéniste originel, sont condamnés au silence ou à la marginalisation. La semaine passée, l’Obs a publié le témoignage de ces nostalgiques du FN de Jean-Marie. Vieux pétainiste. Ancien d’Indochine ou d’Algérie. Réactionnaire hostile à la Gueuse. Lesquen. Holeindre. Bourbon. Tous ont répondu à l’appel de l’Obs. C’est dire leur désarroi de ces représentants de l’extrême droite traditionnelle, rendus qu’ils en sont aujourd’hui, pour se faire entendre, à être tributaires de la curiosité à leur endroit d’un journal de gauche. Tous vilipendent Philippot, son gaullisme de façade, ses mœurs, sa cour omniprésente et ses méthodes d’apparatchik. Mais tous sont désormais impuissants à l’empêcher de régner. 
    Et Marine Le Pen dans tout cela ? 
    Marine Le Pen n’est plus rien sans Philippot. Elle lui doit tout. Elle en est devenue tout à la fois l’otage et la création. Et le Front national avec. Elle ne peut plus défaire, en l’état, ce qu’a fait Philippot pour la délivrer de sa statue du Commandeur. Désormais, à la tête du Front National se rejoue le drame hégélien porté au cinéma par Joseph Losey (The Servant). 
    Délepéniser le FN 
    En vérité, l’héritière apparaît désormais comme dépossédée du Front National. Pour mieux se libérer de la prison Le Pen, elle s’est enfermée dans la prison Philippot, cernée par les affidés et inféodés de son propre numéro deux. Fatale illusion de liberté reconquise. Marine Le Pen a laissé créer autour d’elle une situation porteuse de son contraire. Plus elle laisse Philippot éloigner le FN de ses fondements d’origine, abandonner le post-pétainisme paternel pour un néo-gaullisme réactionnaire, plus elle le laisse "délepéniser" le FN, plus elle prend le risque de se délégitimer aux yeux des militants. A terme, la question se posera : pourquoi garder une Le Pen à la tête d’un parti qui n’a plus rien de Le Pen ? De ce point de vue, si elle laissait Florian Philippot rebaptiser le FN en "Les Patriotes", ce serait accélérer le phénomène, donc la tentation… 
    Pour asservir l'appareil frontiste, Philippot a su jouer de la rivalité père et fille. Une leçon de manipulation politique appliquée à la psychanalyse. Du grand art. 
    Entre Marine et Florian, le rapport de soumission n’est donc pas celui qui est apparent. Le maître est dépendant du serviteur. Situation de plus en plus problématique pour Marine Le Pen, qui ne paraît pas consciente du danger que cela représente, sur un temps long. 
    Question : combien de temps encore, avant que Florian Philippot, numéro 2 et maître effectif d’un FN "délepénisé" de fond en comble, ne finisse par décider qu’il est temps pour lui de devenir numéro 1? 
    Question corollaire : combien de temps, avant que les partisans de Marion Maréchal-Le Pen ne décident de se donner les moyens d’en finir avec l’intermède Philippot ?