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lobby - Page 1712

  • Apologie de terrorisme : 6 mois de prison ferme pour avoir relayé une photo sur Twitter

    6 mois ferme pour avoir relayé cette photo sur Twitter : voir ici. Lorsque la république se sent menacée, elle n’hésite pas à infliger des peines lourdes en comparaison des délits commis.

    Lu sur BFM TV : Marié et père de deux enfants, le prévenu avait relayé sur Internet une photo montrant un fusil d’assaut posé au sol avec une phrase manuscrite disant « Bons baisers de Syrie, Bye bye Charlie ».

     A la suite de l’attentat visant Charlie Hebdo, plus d’une cinquantaine de procédures pour apologie du terrorisme ont été ouvertes. Mardi, un homme de 30 ans a été reconnu coupable de ce chef d’accusation par le tribunal correctionnel de Strasbourg. Il a été condamné à six mois de prison ferme.

    Dans cette affaire, le parquet avait requis un an de prison ferme.

    L’homme a finalement été condamné à une peine aménageable de six mois ferme. Le prévenu, ressorti libre à l’issue de son procès, sera convoqué ultérieurement devant le juge d’application des peines.

    Une « mauvaise blague »

    Ce Strasbourgeois de 30 ans, marié et père de deux enfants, avait relayé sur Internet une photographie montrant un fusil d’assaut posé sur le sol avec plusieurs munitions et une phrase manuscrite: « Bons baisers de Syrie, Bye Bye Charlie ».

    L’homme, plusieurs fois condamné par la justice notamment pour des affaires de stupéfiants, avait alors regretté sa « mauvaise blague » devant le tribunal, assurant ignorer l’existence du délit d’apologie du terrorisme.

    http://www.contre-info.com/apologie-de-terrorisme-6-mois-de-prison-ferme-pour-avoir-relaye-une-photo-sur-twitter#more-36506

  • Christine Lagarde lèche-babouche (Présent 8281)

    Après les condoléances appuyées de François Hollande au nouveau roi Salmane, c’est Christine Lagarde qui a rendu hommage samedi au roi Abdallah d’Arabie saoudite, décédé la veille. Un hommage honteux. Scandaleux. Au cours duquel la présidente du FMI est allée jusqu’à saluer ce « grand leader » qui « était, de manière discrète, un grand défenseur des femmes » !

    Une véritable provocation

     

    Une du numéro 8281 de "Présent"

    Une du numéro 8281 de “Présent”

    Une véritable et insupportable provocation quand on sait que sous cette tyrannie wahhabite, fondée sur l’application la plus stricte de la charia, les femmes sont, de leur naissance jusqu’à leur mort, sous la tutelle permanente et légale des hommes. Pour étudier, se marier, voyager, pratiquer l’une des très rares professions qu’elles ont le droit d’exercer, subir une opération chirurgicale… Rien ne se fait sans l’autorisation du père, du mari, du frère, de l’oncle ou encore du fils. Et puis, il y a la liste interminable des interdits : activité sportive, conduite automobile… Pensez qu’il aura fallu attendre 2013 pour que ces dames soient autorisées à faire… du vélo ! Et encore : à condition d’être accompagnées d’un homme de leur famille et dans les zones de faible affluence.

     

    Barbarie institutionnalisée

    Dans ce beau pays où la plupart des bâtiments ont une entrée pour les hommes et une autre pour les femmes, les violences conjugales sont quasiment impunies. Et gare à celles qui tombent entre les mains de la sinistre Muttawa : flagellations, lapidations et même décapitations sont monnaie courante.

    Une barbarie dont les femmes, d’ailleurs, ne sont pas les seules victimes : pour avoir défendu la liberté d’expression, considérée comme « une insulte à l’islam », le blogueur Raif Badawi a ainsi été condamné en novembre 2014 à dix ans de prison, une amende de 1 000 riyals et 1 000 coups de fouet. Il s’est d’abord vu infliger, le 9 janvier dernier, devant une mosquée de Jeddah, les 50 premiers coups de fouet et devait en recevoir 50 autres vendredi. Mais en raison d’une cicatrisation lente de ses premières plaies, la seconde flagellation a dû être reportée…

    Franck Delétraz

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    http://fr.novopress.info/181629/christine-lagarde-leche-babouche-present-8281/

  • Le prix du politicien sectaire

    Le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, refuse de participer mardi soir à la remise des prix politiques du Trombinoscope en raison du prix "de l'élu local de l'année" décerné au maire FN d'Hénin-Beaumont, Steeve Briois.

    La remise de ces prix, qui mettent à l'honneur "les personnalités politiques ayant marqué 2014", aura toutefois lieu comme prévu à l'Hôtel de Lassay, résidence officielle du président de l'Assemblée nationale. Le jury a désigné

    • Manuel Valls comme "personnalité politique de l'année",
    • Ségolène Royal "ministre de l'année",
    • Emmanuel Macron "révélation politique de l'année",
    • Steeve Briois comme "élu local de l'année".

    Ce dernier prix, qui sera remis par le président de la chaîne Public Sénat, Gilles Leclerc, consacre le fait, "qu'on le veuille ou non", que "l'année politique 2014 en France aura été marquée par la propulsion visible du Front national non plus seulement dans le débat politique mais sur le plan électoral", a expliqué le jury.

    "On sait désormais qui remportera le prix du sectarisme en 2015", a répondu l'élu frontiste dans un tweet.

    Le prix du Trombinoscope, annuaire des principaux acteurs de la vie publique, est attribué depuis 23 ans.

    Michel Janva

  • Dérives de la campagne du référendum slovaque sur le mariage et la famille

    La Manif Pour Tous alerte l’opinion publique internationale et demande à Harlem Désir (Secrétaire d’Etat chargé des affaires européennes) de se mobiliser pour la démocratie en Slovaquie :

    M"En Slovaquie, la dérive d’un référendum d’initiative populaire inquiète La Manif Pour Tous en raison des violations graves des droits des citoyens et d’une discrimination dans la sphère privée et publique.

    Ce référendum est prévu le 7 février prochain. Il concerne le mariage et la famille. Il propose aux citoyens slovaques :

    • de définir le mariage comme l’union d’un homme et d’une femme afin de ne pas commettre d’injustice en privant délibérément un enfant de père ou mère
    • d’interdire l’adoption par des couples de personnes de même sexe
    • de rendre facultatif le suivi des cours d’éducation sexuelle pour les enfants : ce sont les parents qui pourront décider ce qui leur semble préférable pour leurs enfants. 

    A l’origine de ce référendum se trouve l’Aliancia za Rodinu (Alliance pour la famille) qui a rassemblé 400 000 signatures dans un pays de 5,4 millions d’habitants. A moins de 15 jours du référendum, La Manif Pour Tous s’inquiète de la tournure de la campagne électorale puisqu’il y a déjà eu des violations graves des droits des citoyens et une discrimination dans la sphère privée et publique. Les militants de l’Alliance pour la Famille se sont déjà vu refuser l'accès aux chaînes de télévision privées SK malgré leur publicité payée. La société de radio-télévision publique (RTVS) a refusé de diffuser des spots télévisés en faveur du référendum. A plusieurs reprises, des réservations de salles pour des débats publics (y compris sur un campus universitaire) ont été reportées ou même annulées. La semaine dernière, au cours d’une déclaration publique, le médiateur slovaque, Jana Dubovcová, est sorti de sa neutralité en expliquant qu'elle voterait « Non » au trois questions posées et qu'elle considérait que ce référendum n’était pas important. Et ce n’est malheureusement pas un cas isolé puisque des responsables politiques encouragent les citoyens à ne pas participer à ce référendum ! "

    Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous, déclare :

    « Tous ces éléments sont préoccupants car ils montrent des dysfonctionnements, pour ne pas  dire plus, dans un processus démocratique. La liberté d’expression est menacée ». « Ce référendum sur la famille est au contraire un enjeu essentiel pour l’avenir de la société slovaque. C’est pourquoi nous allons alerter très largement les responsables politiques européens pour s’assurer que ce référendum se déroule dans les meilleures conditions et permette aux Slovaques de se prononcer dans la sérénité ».

    La Manif Pour Tous vient d’écrire à M. Harlem Désir, Secrétaire d’Etat chargé des affaires européennes, afin de l’informer des dérives de la campagne slovaque et de lui demander de veiller à ce que toutes les conditions d’une libre et pleine expression de la démocratie soient assurées pour tous les citoyens slovaques.

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La haine monte…mais d’où vient-elle ?

    Lundi soir à Cracovie (Pologne), le cinéaste engagé Steven Spielberg et créateur de la Fondation de la Shoah, aux côtés du président du Congrès juif mondial Ronald S. Lauder, a fustigé « les efforts qui montent pour bannir les Juifs d’Europe ». Le même jour à Prague (Tchéquie), le président du Congrès juif européen, Moshe Kantor, estimait que « la communauté juive d’Europe est très proche d’un nouvel exode ». Selon des statistiques qui viennent d’être divulguées par le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), le nombre d’actes antisémites aurait doublé (+101%) en 2014 par rapport à 2013 (851 actes antisémites répertoriés l’année dernière, contre 423 l’année précédente). Le nombre d’actes avec violences physiques serait ainsi passé de 105 en 2013 à 241 en 2014, soit une augmentation de 130%.Un climat anxiogène, que l’attentat sanglant commis par l’islamo-délinquant Coulibaly contre l’hypermarché casher de la Porte de Vincennes ne fait que renforcer. Les antisémites s’en réjouissent peut être mais cela fait aussi les «affaires» de Benjamin Netanyahou et l’Etat israélien: plus de 7000 juifs ont quitté la France en 2014 pour faire leur  Alyah (« montée ») vers l’Etat hébreu.

     Le gouvernement israélien a d’ailleurs annoncé officiellement que, pour la première fois, la France fournit le plus gros effectif, à l’échelle de la planète,  devant les Etats-Unis et la Russie, de l’émigration vers Israël. L’Agence juive prévoit que ce sont 10 000 juifs venus de France qui s’installeront en Israël en 2015. Une force d’appoint non négligeable dans le combat démographique, la guerre des ventres qui opposent aussi Israéliens et Palestiniens…

     Selon le Crif, « cette tendance confirme bien malheureusement la persistance, voir le renforcement des préjugés antisémites en France, parfois leur radicalité croissante qui fait qu’on passe de l’insulte à la violence, de la violence au terrorisme ».

     Certes, tout aussi controversé que le Crif de Roger Cukierman, Abdallah Zekri, Président de l’Observatoire National contre l’Islamophobie, dénombrait de son côté, depuis les attentats des 7 et 9 janvier derniers, 116 actes anti-musulmans , dont 28 actions contre les lieux de culte et 88 menaces,  soit une hausse de 110 % par rapport à janvier 2014.

    Ce qui est cependant certain, et il faudrait être bien aveugle ou partial pour le nier, c’est que le vivre-ensemble est de plus en plus (particulièrement)  problématique, entre les communautés juives et musulmanes sur notre sol, dans les zones où les populations  maghrébines, musulmanes, sont majoritaires.

    Le phénomène n’est pas si nouveau mais il s’est accentué. Cela a entraîné le départ de très nombreuses familles juives des banlieues plurielles,  trajectoire qui est aussi suivie par  des familles de gaulois, d’européens,  voire d’immigrés, chassées de certains territoires perdus de la République par la violence, la tiers-mondisation de leur environnement, ou une manière de vivre qui n’est pas la leur…C’est cela la réalité de cet apartheid dont Manuel Valls impute la responsabilité aux méchants Français…

     Il est tout aussi évident que ce sont dans les établissements scolaires babélisés que l’enseignement de l’histoire officielle s’avère le plus difficile. Cela est vrai notamment pour l’histoire des religions, et donc de la foi mahométane, de certains épisodes de notre histoire conflictuelle avec l’islam, de la colonisation, ou encore  celle de la seconde guerre mondiale et de la Shoah. Cette dernière est  assimilée à de la propagande sioniste par des jeunes arabo-musulmans, chez qui les idées révisionnistes circulent assez largement et rencontrent un véritable écho.

     Le site du quotidien  La Croix en faisait état hier, «un certain nombre de professeurs doivent, depuis des années, faire face à des contestations ou à des provocations à connotation antisémite quand ils abordent cette partie du programme (le dernier conflit mondial, NDLR) ». « Le président de la République  avait promis, le 21 janvier, qu’à l’école,  aucun incident  ne serait laissé  sans suite»  et « Najat Vallaud-Belkacem souhaite des sanctions, des suites éducatives  en cas de perturbation de l’enseignement de la Shoah. Mais, poursuit-elle, la fermeté ne saurait suffire (…), le fait d’avoir inscrit l’holocauste dans les programmes n’a pas toujours permis de vaincre ce que la ministre appelle  le relativisme et la perte de repères  observés chez un certain nombre d’élèves. Beaucoup d’élèves ne sont pas perméables à ces enseignements,  s’inquiète Najat Vallaud-Belkacem. Le défi (…) est  d’éveiller leur humanité, résume-t-elle » car  « enseigner la Shoah est  une responsabilité qui augmente au fur et à mesure que les voix des témoins disparaissent… ».

     Dans ce contexte, François Hollande est aujourd’hui avec les présidents allemand Joachim Gauck et ukrainien Petro Porochenko,  le secrétaire américain au Trésor Jack Lew, ou encore les familles royales belge et néerlandaise, à Auschwitz (Pologne) dans la cadre de la commémoration du 70ème anniversaire de sa  libération par l’Armée rouge. Le président Vladimir Poutine, n’a pas été officiellement invité c’est pourquoi la Russie est représentée par le chef de l’administration présidentielle Sergueï Ivanov.

    M. Hollande l’a répété ces dernières heures, il entend profiter du climat pour brider un peu plus la liberté d’expression de tous les Français, en renforçant les sanctions contre le racisme et l’antisémitisme (dont les définitions ambiguës laissent souvent place à l’arbitraire) et étendre leur champ d’application.

     Un vœu qui s’inscrit dans le cadre des trois propositions formulées par le ministre de la Justice Christiane Taubira mi- janvier. D’abord la possibilité de bloquer de sites internet que l’on accuserait de propager une  « haine raciste ou antisémite ». Haine à laquelle  pourraient être assimilées demain,  par quelques zélés serviteurs de l’idéologie dominante, toutes contestations de l’immigration invasion, de la société plurielle, ou toute critique du « sionisme » ?

     Ensuite, la généralisation de la circonstance aggravante de racisme « comme les agressions sexuelles, le harcèlement sexuel, le harcèlement moral, la séquestration, la traite des êtres humains, le bizutage, l’atteinte aux biens et le chantage notamment ».

     Enfin, le vœu de sortir les injures et diffamations du droit de la presse (loi du 29 juillet 1881) pour les introduire dans le code pénal « lorsqu’elles sont aggravées par une circonstance liée au racisme, à l’antisémitisme ou à l’homophobie ».

     Autant dire que nous sommes très circonspects et dubitatifs sur cet arsenal là, qui vise (sciemment ?) à côté, qui, loin de s’attaquer à la racine du problème entend museler aussi, dans l’esprit des Torquemada et Fouquier-Tinville socialistes, ceux qui le dénonce. Plus largement encore, Bruno Gollnisch est convaincu, il l’a souvent dit, que les inconvénients d’un excès de libertés sont moindres que ceux d’un excès de censure.

     Ce que nos compatriotes constatent aussi c’est que les premiers visés dans leur foi, dans leur identité comme en convenait il y a  quelques années déjà  un membre du Crif comme Me Gilles-William Goldnadel, ce sont les Français de souche, nos  églises, nos édifices, nos  cimetières catholiques. Participant à la Marche pour la vie ce dimanche, Bruno Gollnisch a aussi été interpellé sur ce sujet.

    Notons aussi,  par ailleurs, que ce ne sont pas des barbus (pas invités dans les médias !) mais des membres du show-biz qui ont multiplié dernièrement les déclarations malveillantes et agressives. Ainsi en est il du comédien Jacques Weber  vendredi sur LCI qui a traité sans surprise l’humoriste Dieudonné de  « voyou », de « gangster », d’ «enfoiré » et  Marine Le Pen de «danger public»,  de «grande menteuse, extraordinairement habile ».

     Un autre « comique», Stéphane Guillon, s’est lui réjoui hier du début d’incendie qui  a (fort heureusement seulement  légèrement) brûlé au visage le président d’honneur du FN  à son domicile, déplorant qu’il  en réchappe. Dans son tweet le citoyen Guillon écrit : «Jean-Marie Le Pen sort indemne de l’incendie qui a ravagé son appart. Pour une fois qu’un hommage à Jeanne d’Arc nous aurait fait plaisir… »

     Alors de quel côté se trouve la haine ? Il se trouvera toujours des imbéciles, des obtus, des petites âmes mesquines, des gamellards honteux pour reprocher au FN, non pas tant ses idées politiques, qui comme telles sont toujours discutables,  que son extrême droiture, la  justesse de ses avertissements, sa fidélité à des convictions.  Là aussi les Français jugeront.

    http://gollnisch.com/2015/01/27/la-haine-montemais-dou-vient-elle/

  • Charlie se couche devant le fascisme islamique

    Riss a annoncé la future ligne de l’hebdo. On pourra représenter le Christ sodomisé par une croix : liberté d’expression… Mais plus le prophète : respect des croyants (musulmans seulement…) !

    Riss, qui succède à Charb, a donc annoncé que le prochain numéro de Charlie ne comporterait pas de caricatures du prophète. En 2006, nombre de médias français, derrière France Soir, avaient repris les dessins du caricaturiste danois Kurt Westergaard, menacé de mort. On se souvient que Chirac avait parlé de « provocation inutile », tandis que Sarkozy avait eu, lors du procès contre Charlie Hebdo, cette remarquable formule : « Plutôt un excès de caricature que pas de caricature du tout. » Cette fois, la presse française, qui participe à la campagne d’enfumage sur le « Pas d’amalgame », s’est courageusement couchée devant les tueurs d’Allah.

    Le 11 janvier, les caricatures de Mahomet, par ailleurs fort peu offensives envers un prophète assassin (tribu juive de Médine) et pédophile (Aïcha épousée à

    6 ans et déflorée à 9 ans), n’inondaient pas les cortèges. Le jour des obsèques de Charb, personne n’a osé la moindre référence à la religion des frères Kouachi.

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  • Réduire les redoublements pour des raisons financières ?

    La gestion de l'Education nationale ne se fait pas en fonction du bien des élèves mais désormais en fonction du budget de l'Etat. L'Etat veut à la fois garder le contrôle quasi-total du système scolaire et tenter de faire des économies. Alors qu'en libéralisant le système scolaire, par le biais par exemple duchèque-éducation, il ferait ces économies sans que cela ne nuise à l'instruction. Or plus il dépense, moins il instruit...

    Le coût du redoublement est estimé à environ 2 milliards d'euros par an. Le budget de l'Éducation nationale est de 65 milliards environ. C'est le 1er budget de l'Etat avec le remboursement des intérêts de la dette publique, l'un alimentant l'autre... 

    L'Institut des Politiques Publiques (IPP) propose donc de supprimer de façon partielle ou totale le redoublement dans les différents degrés de la scolarité, en lien avec la volonté actuelle du ministère de limiter fortement le nombre de redoublants. Pour une économie de 2 milliards par an... à partir de la rentrée scolaire 2027.

    Sur la fin du redoublement, Anne Coffinier écrivait :

    "cette décision revient à casser le thermomètre pour pouvoir déclarer le malade de l’Education nationale guéri. Elle conduit tout droit à un nivellement par le bas. A noter aussi que dans sa magnanimité, Najat Vallaud Belkacem n’oublie pas l’enseignement privé sous contrat qui se verra lui aussi interdire de faire redoubler les élèves qui en auraient besoin. Cette décision ministérielle constitue une ingérence caractérisée dans la liberté pédagogique des professeurs en général et de l’enseignement privé sous contrat en particulier.

    [...] Les opposants au redoublement pensent que ce dernier est ineffectif et souvent stigmatisant pour l’élève. C’est en effet souvent le cas. Pour autant, le non redoublement n’a jamais prouvé sa supériorité sur le redoublement. Les pays qui ne pratiquent pas ou peu le redoublement recourent à l’enseignement en groupes de niveaux homogènes, la spécialisation précoce des élèves dans les matières où ils sont bons, la différentiation précoce des filières  – à l’opposé du mythe du collège unique, et l’accompagnement des élèves faibles dès l’apparition des toutes premières difficultés…. Autant de dispositifs qui n’existent pas en France. [...]"

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Grande réussite de la Marche pour la Vie

    La Marche pour la Vie 2015 a réuni plusieurs dizaines de milliers de personnes (45.000 selon les organisateurs) dimanche 25 janvier dans les rues de Paris. Certains médias haineux ont été jusqu’à parler de « quelques centaines » de participants…

    Cette édition 2015 était placée sous le thème de la lutte contre « la légalisation de gestes euthanasiques », alors qu’elle est traditionnellement dévolue à la dénonciation de l’avortement.

    http://www.contre-info.com/

  • Charles-Philippe d’Orléans : « Non, je ne suis pas Charlie »

    Sur sa page personnelle Facebook, le prince Charles-Philippe d’Orléans, duc d’Anjou s’explique suite aux attentats de Paris. Non, le prince ne fait pas partie de ce vaste mouvement « Je suis Charlie » même si évidemment il condamne ces actes qui ont tellement ébranlé la France et le monde entier.

    Voici ces déclarations : « Je vais aller à contre-courant de la bienséance émotionnelle en me dissociant du mouvement « Je suis Charlie ». Non, je ne suis pas Charlie parce que je n’ai jamais aimé ce journal manichéen.

    Charlie Hebdo est un papier vulgaire, méprisant les opinions qui ne sont pas les siennes qui, sous couvert de la liberté d’expression, se permet toutes les provocations. Charlie Hebdo est un journal agressif qui exploite le filon de la haine des religions en passant soi-disant par l’humo…ur. Charlie Hebdo est à l’image de la société athée européenne de gauche, un pourvoyeur de rancune et un ennemi du respect et de la fraternité entre les peuples et les hommes, quelles que soient leurs différences, leur race, leur couleur, leur religion.

    Je refuse donc de prendre part à une « alliance sacrée républicaine » pro-Charlie parce que, tout simplement, je ne comprends pas ce que je dois défendre.

    Je ne suis ni irrespectueux ni indécents et ne souhaites pas offenser la mémoire des crayonneurs abattus. Les mots manquent pour dire l’horreur de l’attaque qui a frappé la rédaction du journal. Je condamne cet acte de barbarie et présente aux familles et proches des défunts mes plus sincères condoléances.

    Je dénonce juste la stérilité de la tentative d’union nationale et l’hypocrisie des citoyens qui n’ont jamais lu l’hebdomadaire humoristique et qui l’ont toujours critiqué. Rendre hommage aux victimes, oui. Rendre hommage à Charlie Hebdo, non. »

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/charles-philippe-dorleans-non-je-ne-suis-pas-charlie_126761.html#more-126761