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  • Vous n’êtes « pas charlie » ? Le service civique obligatoire, vite !

    Selon une l’enquête Ipsos/Sopra-Steria citée hier par Le Monde -mais sur laquelle le quotidien précise qu’elle est a prendre « avec une précaution particulière » car effectuée à partir d’un « sous échantillon »- les sympathisants frontistes se démarqueraient assez sensiblement des autres électeurs français sur les questions des attentats, la mobilisation du 11 janvier, l’islam…Ils seraient ainsi nettement plus enclins à «l’agacement « (23 % contre 12 % en moyenne),  « le malaise » (19 % contre 10 %) et l’«indifférence » (13 % contre 6 %), au sujet de la mobilisation citoyenne contre le racisme et l’intolérance du 11 janvier. Ils seraient aussi plus nombreux à considérer que la France est « vraiment » en guerre (58 % contre 53 % en moyenne), que cette guerre doit être dirigée contre « l’islam en général » (42 % contre 16 %). « Un islam qui  porte en lui des germes de violence et d’intolérance , selon trois sympathisants FN sur cinq, alors que les deux tiers de l’échantillon total estiment que c’est  une religion aussi pacifiste que les autres ». Autre signe de cette méfiance (défiance) seulement  29 % des sympathisants du FN (contre 60 % en moyenne) concèdent avoir été convaincus par les propos des représentants de l’islam condamnant ces attaques terroristes. «S’agissant de la compatibilité des religions  avec les valeurs de la société française , les proches du FN ne se retrouvent à l’étiage moyen qu’au sujet de la religion catholique (94 % la jugent compatible, contre 93 % pour l’ensemble des Français). Quatorze points de moins que la moyenne s’agissant de la compatibilité  de la religion juive (qu’ils sont 67 % à reconnaître, contre 81 % de l’échantillon total), 35 points de moins au sujet de l’islam (12 % contre 47 %) ».

     Dire que l’actualité n’est pas pour rassurer nos compatriotes est un euphémisme. Dans un autre article,  Le Monde rapportait que « l’ombre de l’Etat Islamique » plane  sur Tripoli (Libye),  après l’attentat de mardi qui a fait dix victimes dont un Français dans le dernier hotelde la ville accueillant des étrangers . Une capitale livrée au chaos, à la guerre des milices islamistes, à l’instar de ce qui reste de la Libye après la croisade aux effets désastreux, sous couverture de l’Otan, qui y a été menée par  le trio infernal  Sarkozy-BHL-Juppé.

     Ce sont les mêmes grandes consciences, animées à des degrés divers par le même pervers  messianisme mondialiste, qui vantent (vendent) aux Français depuis quarante ans, les joies de la société (grande) ouverte, plurielle,  métissée et babélisée…mais pas pour eux bien sûr, qui s’en préserve  à tous les niveaux, le mélange c’est bon uniquement pour le populo…0

     Bernard Lugan le rappelait il y a peu sur Radio Courtoisie, convoquant les enseignements de l’Histoire universelle, quand deux peuples en arrivent à occuper  la même terre mais sont  animés par des valeurs, des souhaits, des préceptes,  une vision du monde  antinomiques, l’issue est rarement heureuse.

     C’est cette prise de conscience là ou cette intuition qui explique cette « islamophobie » d’une partie de la population française, quand bien même, répétons le ici une nouvelle fois avec Bruno Gollnisch, s’il n’existe peut être pas d’islam modéré, il y a des musulmans modérés, des citoyens français de confession musulmane parfaitement droits, honnêtes,  respectables et patriotes.

     Il n’en reste pas moins que la poursuite de l’immigration à  haut débit porte en elle des ferments d’éclatement  de notre Etat- nation, voire de guerre civile car  elle rend quasiment impossible l’assimilation et détruit l’identité française. La volonté exprimé par Manuel Valls de poursuivre une politique de dispersion de  l’immigration sur  l’ensemble du territoire pour la rendre moins problématique (?), moins visible (?), pour lutter contre « l’apartheid », mêle à la fois l’hypocrisie la plus écœurante et le cynisme le plus complet.   

     Dans ce contexte,  les médias ont relaté ces dernieres heures « l’affaire » du jeune Ahmed, 8 ans, écolier de CE2 à l’école Nice Flore (Nice), qui, lorsqu’il a été invité par son instituteur à s’exprimer sur les attentats au lendemain de la tuerie de Charlie Hebdo, aurait affirmé «Je ne suis pas Charlie, je suis avec les terroristes ». Le garçonnet a en outre  refusé d’observer une minute de silence et de participer à une ronde de solidarité dans son école, a indiqué le directeur départemental de la sécurité publique,  Marcel Authier.

     L’enfant dans le climat actuel, a donc été auditionné avec son père par la police a révélé l’avocat de la famille, Me Sefen Guez Guez, sur tweeter. Ses parents, immédiatement avertis, « ont joué un rôle pédagogique en lui expliquant ce qu’était réellement le terrorisme, et pourquoi il fallait évidemment être du côté des victimes à Charlie Hebdo », a affirmé Me Guez Guez.

     Metronews précise que selon  «  l’académie de Nice, contactée, l’enfant a tenu en classe des propos inadmissibles. Il y a eu un signalement auprès de la cellule de protection de l’enfance précise le rectorat. Convoqué par le chef d’établissement, le père de l’écolier aurait eu une attitude menaçante. L’école a alors déposé plainte contre le parent d’élève pour intrusions dans l’établissement et menaces ». Un  père  « qui était très défavorablement connu de l’école pour son comportement véhément depuis plusieurs mois », a précisé une source à BFMTV.

     Le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF),  présidée par Samy Debah et dont le  porte-parole est Marwan Muhamad, une officine  en cheville avec le lobby immigrationniste européiste, l’European Network Against Racism (ENAR), « réseau d’associations européennes contre le racisme »- a sauté  sur l occasion pour de se faire un peu de pub.

     Dans un communiqué le CCIF attaque bille en tête l’école : « Dans ce dossier, des faits de violence sont rapportés par l’enfant, lequel décrit des humiliations qu’il aurait subi de la part du corps enseignant. Diabétique, il rapporte la privation de son insuline par le corps enseignant suite à l’incident (…) (…)Les parents de Ahmed ont mené un vrai travail de pédagogie auprès de leur enfant pour qu’il comprenne mieux les événements. Mais ce qu’il s’est passé à l’école l’a profondément traumatisé. Il souffre de trouble du sommeil et du comportement (…). Le CCIF suit cette affaire depuis le début de concert avec l’avocat de la famille, que nous continuons à soutenir. Nous allons également alerter les pouvoirs publics afin de faire toute la lumière sur cette affaire et sur les responsabilités du corps enseignant et des policiers en charge du dossier ».

     La vérité commande de dire qu’il est très difficile pour de très nombreux musulmans de s’associer à l’émotion suscitée par les assassinats  des « blasphémateurs » de Charlie Hebdo. Et que les propos que le jeune Ahmed a  répété à l’école rendent compte d’un sentiment partagé par beaucoup, comme le prouve notamment les centaines (en réalité les milliers) de refus de rendre hommage aux victimes qui ont été rapportés lors de la minute de silence  décrétée dans les établissements scolaires.

     Cette réalité d’une éducation familiale, d’un environnement socio-culturel qui imprègnent les individus et que l’instruction  reçue à l’école de la République ne peut (pas toujours)  contrebalancer –et c’est souvent très heureux au vu de la propagande antinationale qui y est souvent déversée- a fini par interpeller François Hollande et ses conseillers.

     Notre Machiavel corrézien, selon RTL, réfléchit ainsi à l’idée d’une consultation référendaire  pour  imposer un service civique obligatoire de six mois à tous les jeunes Français, pour faire reculer dan les têtes la barbarie et l’intolérance. Ce que des années d’école laïque et obligatoire n’a pas su imposer, une demi-année de service civique le fera ?

     Une idée en tout cas que M. Hollande jugerait suffisamment consensuelle dans les têtes, bien dans l’esprit du 11 janvier, susceptible de lui redonner une légitimité bienvenue dans la perspective de 2017. Un OUI à ce referendum et il se verrait  remis en selle, bien dans la course…

     Pour notre part, il s’agit de constater que la faisabilité de généraliser ce service civique est sujette à caution, sachant que le service civique actuel reposant sur le bénévolat, rappelait mi-janvier Le Figaro,  «peine à satisfaire toutes les demandes, par manque de moyens ».

     Un service civique obligatoire (pour y dire, pour y enseigner, pour y faire quoi ?) couterait des milliards d’euros, nécessiterait des infrastructures que l’armée n’a pas, n’a plus. Encore un coup de génie typiquement socialiste.

    http://gollnisch.com/2015/01/29/vous-netes-pas-charlie-le-service-civique-obligatoire-vite/

  • Le 20 novembre 2013, à la Rada (parlement) le député Oleg Tsarev faisait d’étonnantes révélations…

    TRANSCRIPTION :
     
    - Le député Oleg Tsarov a la parole! 
     
    Honorables collègues,
    Honorable Vladimir Vasilievitch,
     
    Dans mon rôle en tant que représentant du peuple ukrainien, des militants de l’organisation se sont adressés à moi et m’ont fourni des preuves claires que sur notre territoire, avec le soutien et la participation directe de l’ambassade américaine à Kiev le projet « TechCamp » est mis en place en vertu duquel des préparatifs sont en cours pour une guerre civile en Ukraine. 
     
    Le projet « TechCamp » prépare des spécialistes pour une guerre de l’information utilisant les médias modernes pour discréditer les institutions étatiques et des révolutionnaires potentiels pour organiser des manifestations et le renversement de l’État de droit. 
     
    Le projet est actuellement supervisé et sous la responsabilité de l’ambassadeur américain en Ukraine: Geoffrey R. Pyatt. 
     
    Après ma conversation avec l’organisation « Volya », j’ai appris qu’ils ont réussi à accéder aux installations du projet  » TechCamp » en se faisant passer pour une équipe de spécialistes de l’informatique.À leur grande surprise, des séances d’information sur les particularités de l’utilisation des médias modernes ont eu lieu.
     
    Des instructeurs américains leur ont expliqué comment les réseaux sociaux et les technologies de l’Internet peuvent être utilisés pour la manipulation ciblée de l’opinion publique ainsi que pour activer le potentiel de protestation et pour provoquer des troubles violents sur le territoire de l’Ukraine par la radicalisation de la population et le déclenchement de luttes intestines.
     
    Les instructeurs américains montrent des exemples d’utilisation réussie des réseaux sociaux pour organiser des manifestations en Égypte, Tunisie et Libye.

     

    Les représentants de « TechCamp » délivrent actuellement des conférences à travers toute l’Ukraine.

    Un total de cinq événements ont eu lieu jusqu’à présent.

    Environ 300 personnes ont été formées comme agents, et sont maintenant actifs dans toute l’Ukraine.

    La dernière conférence « TechCamp » a eu lieu les 14 et 15 Novembre 2013 en plein cœur de Kiev sur le territoire de l’ambassade des États-Unis!

    Vous me dites quel pays dans le monde permettrait à une ONG de fonctionner à l’ambassade des États-Unis? C’est irrespectueux envers le gouvernement ukrainien et envers le peuple ukrainien !

    Je lance un appel aux autorités constitutionnelles de l’Ukraine avec la question suivante:

    Est-il concevable que des représentants de l’ambassade des États-Unis organisent les Conférences « TechCamp » en abusant ainsi de leur mission diplomatique ?

    Laissez-le parler!

    continuez!

    La Résolution de l’ONU du 21 Décembre 1965 réglemente le caractère inadmissible de toute ingérence dans les affaires intérieures d’un État de façon à protéger son indépendance et sa souveraineté conformément aux paragraphes un, deux et cinq.

    Je vous demande de considérer cela comme une requête de mener une enquête sur cette affaire.

    Merci!

    Source -
  • La loi Macron contre les journalistes

    Lu dans Le Monde :

    "Il y a un loup dans la loi Macron. Le projet de loi actuellement discuté à l’Assemblée nationale contient un amendement, glissé en catimini dans le texte, qui menace d’entraver le travail d’enquête des journalistes et, par conséquent, l’information éclairée du citoyen. Sous couvert de lutte contre l’espionnage industriel, le législateur instaure comme nouvelle arme de dissuasion massive contre le journalisme un « secret des affaires » dont la définition autorise ni plus ni moins une censure inédite en France.

    Selon le texte, le « secret des affaires » recouvre « une information non publique, qui fait l’objet de mesures de protection raisonnables » et qui a « une valeur économique ». Notre métier consistant à révéler des informations d’intérêt public, il sera désormais impossible de vous informer sur des pans entiers de la vie économique, sociale et politique du pays.

    Le texte, qui a été préparé sans la moindre concertation, laisse la libre interprétation aux seules entreprises de ce qui relèverait désormais du « secret des affaires ». Autrement dit, avec la loi Macron, vous n’auriez jamais entendu parler du scandale du Médiator ou de celui de l’amiante, de l’affaire Luxleaks, UBS, HSBC sur l’évasion fiscale, des stratégies cachées des géants du tabac, mais aussi des dossiers Elf, Karachi, Tapie-Crédit lyonnais, ou de l’affaire Amésys, du nom de cette société française qui a aidé une dictature à espionner sa population. Et on en passe… [...]"

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Nantes : un lycéen de 16 ans arrêté pour avoir relayé une parodie de Charlie Hebdo

    La République délire de plus en plus. Le gamin de 16 ans est placé en garde à vue pour avoir relayé sur Facebook une parodie (celle de droite) de la couverture d’un Charlie Hebdo (image de gauche). Les attentats sont désormais de l’ordre du sacré ! Aucune moquerie possible sans crainte d’être accusé de blasphème d’apologie du terrorisme.

     

    Pour avoir repris sur sa page Facebook un dessin qu’il trouvait amusant, un adolescent nantais a été placé en garde-à-vue et déféré devant le juge pour enfants le 16 janvier dernier pour « apologie de terrorisme ».

    Le dessin représente Charb visé par des balles,Charlie Hebdodans les mains, accompagné du message « Charlie Hebdo c’est de la merde, ça n’arrête pas les balles ». Une reprise ironique, sous la forme d’une mise en abîme de la couverture du Charlie Hebdo datée du 10 juillet 2013. Ce jour là, suite à une tuerie en Égypte, l’hebdomadaire, avait alors titré « Le Coran c’est de la merde, ça n’arrête pas les balles », en représentant un musulman criblé de balles, le Coran dans les mains.

    Pour justifier que la décision délirante du parquet des mineurs de Nantes de poursuivre pour apologie du terrorisme un lycéen de 16 ans, Yvon Ollivier, le vice-procureur chargé des mineurs, a expliqué :

    « Le parquet voudrait inciter ces jeunes gens à réfléchir. L’idée est de les responsabiliser et de les conscientiser. »

    Outre la circulaire de Christiane Taubira promulguée le 12 janvier dernier, beaucoup se demandent si la loi du 13 novembre 2014 ne serait pas réotroactivement un « Patriot Act à la française ». En effet, la loi instaure un délit pénal d’apologie du terrorisme puni de 5 ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende. Surtout, l’utilisation d’Internet est considérée comme une circonstance aggravante punie de 7 ans de prison et 100 000 euros d’amende.

    Source : E&R

    http://www.contre-info.com/nantes-un-lyceen-de-16-ans-arrete-pour-avoir-relaye-une-parodie-de-charlie-hebdo#more-36526

  • Trois semaines jour pour jour après les attentats

    Compte tenu de l'énormité des crimes commis et de l'immensité de l'émotion populaire, on doit observer la manipulation opérée par la classe politique et par les gros moyens de désinformation.

    On devra se souvenir de la manière exemplaire dont on a cherché à nous intoxiquer jour après jour. Si l'on pose l'idée que, pour un salaud, il est encore plus beau d'être un beau salaud, on pourra même admirer leur brillant retournement dialectique. On pouvait le pressentir dès le carnage ignoble du 7 janvier. La tentative explicite devenait énorme le 11 janvier.

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    Ce jour-là les gauchistes, cégétistes et les communistes, des gens qui, aujourd'hui, tous additionnés, contrôleraient difficilement 100 000 piétons sur tout le territoire de la république prétendaient imposer leurs mots d'ordre. La France pacifique des 4 000 000 de manifestants devait suivre sans discuter, répéter leurs slogans préfabriqués, arborer leurs badges, au rebours pourtant de ce qu'elle pensait vraiment

    Avouons donc, à peine trois semaines plus tard, en ce 28 janvier que l'opération a été rondement menée dans un pays tétanisé et hollandisé.

    C'est l'ignorance de cette réalité politico-religieuse que nous appelons indistinctement "islam" qui aura le plus grandement facilité le retournement dialectique. Sous prétexte de "ne pas stigmatiser les musulmans" le pouvoir et ses propagandistes nous invitent désormais à fouler aux pieds, une fois de plus impunément, la France insouciante et hospitalière.

    Et on nous chante que c'est, bien entendu, ce pays qui porte la responsabilité des actes commis à son encontre.

    Des crimes de l'islamo-terrorisme on nous a d'abord affirmé qu'ils n'avaient "rien à voir" avec l'islam : admettons qu'en effet il ne nous viendrait pas à l'esprit de les imputer à tous nos voisins de palier ou d'atelier plus ou moins tributaires de la religion mahométane, originaires du Maghreb ou d'Asie mineure.

    Mais en quelques jours, une fois concédé ce point, on est passé :

    D'abord à la récupération par les appareils les plus sectaires et/ou les plus pourris de la gauche et par les médias imbéciles ou pervers, parfois les deux, de la protestation unanime de tous les Français. Elle leur appartient, pas touche à leur position dominante.

    Ensuite à l'oubli des "failles" administratives, judiciaires, sécuritaires. Celles-ci peuvent se mesurer en parcourant le pedigree pénal de chacun des intervenants. Aucun compte n'est demandé à Mme Taubira.

    Puis, au retour ultrarapide des causes que l'on se propose de renforcer. "L'école" c'est-à-dire l'institution gestionnaire du monopole éducatif d'État a-t-elle fait faillite ? L'urbanisme concentrationnaire a-t-il produit les fameux "quartiers" et les sinistres "cités" ? L'idéologie "républicaine" a-t-elle produit ses catastrophes prévisibles ? Eh bien on va en rajouter une couche dans chacun de ces domaines subventionnaires.

    Et pour finir on apprend maintenant que les responsabilités, voyons, mais c'est bien sûr, incombent à cette France petite-bourgeoise, pouah ! qui les héberge et verse des allocations substantielles aux polygames de fait.

    Une fois surmontées l'émotion et l'horreur, le temps de la réflexion et de l'étude s'impose pourtant, au même titre que la nécessité d'agir et de renforcer nos moyens de maintien de l'ordre, de défense et de renseignement, c'est-à-dire tout ce que l'extrême gauche a toujours dénigré et s'est employé à affaiblir.

    Malheureusement dès le départ les personnes les plus qualifiées pour parler du sujet ont été mises sur la touche.

    À ceux qui prétendaient que "cela n'a rien à voir", il leur eût été facile de souligner au contraire, que "cela avait tout à voir" avec une certaine lecture du fait politico-religieux.

    Toutes mettaient en garde, à leur manière, contre le prétendu "refus des amalgames". Mais cette dernière démarche "volontariste", négatrice de la réalité, repose elle-même, en fait, sur un énorme amalgame ! Elle prétend, au bout du compte, nous empêcher de discerner les différences existant effectivement entre, d'une part, les personnes pacifiques et, d'autre part, les tueurs qui se réclament de telle conception homicide.

    Celle-ci va elle-même, doit-on le souligner ?, bien au-delà du "salafisme" proprement dit. Cette doctrine fait référence aux "pieux ancêtres". On pourrait donc, au besoin, lui rappeler que sur les quatre premiers califes "rachidoun", dont elle se réclame, trois sont morts assassinés. Mais le salafisme lui-même ne se traduit chez certains "que" par un retour à une pratique sectaire rigoriste.

    Oh, certes, toutes les femmes voilées ne posent pas de bombes.

    Car c'est plus précisément l'idéologie de la rupture, le "takfir", c'est la malédiction lancée par ces délinquants en révolte contre leur propre entourage, qui conduit à cette radicalité, observable dans d'autres expériences révolutionnaires, en particulier dans le léninisme. (1)⇓

     

    Cessons d'accuser une situation sociale ou une enfance malheureuse, et pourquoi pas "l'ultra-libéralisme" (on n'ose plus dire "le capitalisme", mais on le pense).

    Que les héritiers impénitents des expériences meurtrières léninistes, staliniennes, maoïstes, etc. prétendent fixer les frontières morales de ce qu'il est convenable de penser, n'est-ce pas le comble de l'impudeur ?

    Que les continuateurs de ceux qui, dès 1920, lançaient, au congrès de Bakou organisé par le Komintern, les premiers appels au "djihad" au nom de la révolution (2)⇓

    se prétendent innocents des crimes qu'ils appelaient de leurs vœux, voilà bien ce retournement dialectique que l'on ne doit pas laisser passer.

     

    Ce ne sont donc ni l'idéologie fumeuse et vague du "laïcisme" de Mme Vallaud-Belkacem, ni les prétendues "valeurs" d'une république en crise, qu'il faut enseigner, c'est tout simplement la vérité historique et la connaissance de ce qu'on appelait autrefois "la langue de l'ennemi".

    JG Malliarakis

    Apostilles

    1.  On lira à cet égard avec profit le tome Ier de la Sociologie du communismede Jules Monnerot intitulé, de manière prophétique "L'Islam du XXe siècle". [Compte tenu des circonstances les Éditions du Trident ont prolongé de quelques jours l'offre d'un prix spécial des trois volumes de cette œuvre de référence.]
    2.  cf. Le petit livre du colonel Rézanoff sur "Le Komintern" IIIe Internationale.

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  • Il n’est de réel que l’idée : conséquences de l’IDEALISME bourreau du particulier, de la personne et des peuples !

    Pour l’idéaliste, comme Vincent Peillon par exemple, seules comptent les idées que l’on se fait des choses. Désincarnation, dépersonalisation, mondialisme, universalisme s’imposent alors… pour changer le monde et conformer tous les hommes à une certaine idée…C’est toujours l’homme particulier qu’il faut combattre, le « franchouillard » qui ne comprend rien, le réactionnaire trop attaché à son existence particulière et à ses libertés concrètes contre la grande liberté promise à l’homme nouveau …grâce au transhumanisme etc…et autre rêve prophétique de Jacques Attali :« Pour rendre le peuple heureux, il faut le renouveler, changer ses idées, changer ses lois, changer ses mœurs, changer les choses, tout détruire, oui, tout détruire, puisque tout est à créer. »

    Dans son livre « Fondements de la Cité » (page 36), Jean Ousset explique comment l’IDEALISME est le complice du NOMINALISME  pour prétendre changer le monde…en un monde ORWELIEN…

    Tous les acteurs du « mouvement social » travailleront avec intérêt le nouvel ouvrage de formation publié par le Collectif Jean Ousset : La Dictature du Relativisme (200 pages – 12€ et 8,4€ en version numérique).

    Ichtus propose des formations inspirées des méthodes développées par Jean Ousset« Anthropologie et Politique »  à l’école de JP II avec Bruno de Saint Chamas, «  Faire aimer la Civilisation »  par l’Art avec Nicole Buron, «  Les ateliers de l’Histoire » avec Martin Dauch. 

    Jean Ousset :

    … « Le nominalisme (étudié la semaine dernière) n’est pas la seule réponse faite au problème des universaux.

    Dès les premiers siècles de l’histoire de la philosophie, ce qu’on devait appeler plus tard l’idéalisme s’opposa au « nominalisme ».

    Héraclite étant considéré comme un des maîtres de ce dernier, il est classique de lui opposer Platon. Le R.P. Garrigou-Lagrange l’a fait en un dialogue aussi plein d’enseignements que de souriante bonhomie[1]. Ecoutons-le donner la parole à Platon.

    « Il faut avouer que dans l’ordre des choses sensibles, tout se meut. La matière reçoit perpétuellement des modifications nouvelles… MAIS qui sont comme un reflet des Idées intelligibles… Car nous devons admettre l’idée de Bien, la partie la plus brillante, la plus belle de l’Être, puis la Vérité, prise en soi, la Sagesse, la Justice… Et pourquoi pas aussi les essences[2]éternelles des choses ? S’il y a une science de l’homme, elle doit avoir un objet intelligible et immuable du sensible individuel et contingent[3], toujours variable. Pourquoi n’y aurait-il pas une idée éternelle de l’homme et du lion ? Les lions individuels naissent et meurent, mais l’essence du lion reste toujours la même comme celle du cerf, et celle de la rose ou du lis… »

    On voit le ton…

    Il est indéniable qu’une grande élévation d’âme peut l’inspirer, un vif amour des choses de l’esprit. Et l’on comprend la séduction exercée par Platon pendant tant de siècles sur les penseurs chrétiens.

    Quelle valeur accorder à ce qui passe ? L’important n’est-il pas de s’attacher à ce qui demeure, à l’essentiel, aux idées ?... Qu’importe au fond le grain de cette réalité sensible, instable par nature ? La suprême réalité n’est-elle pas commandée pratiquement par l’intelligence ?

    Soit, par exemple, cette table où j’écris… et que mille autres, aussi solides, aussi belles pourraient remplacer. Le pratique autant que l’essentiel n’exigent-ils pas que je m’attache à avoir surtout une table, une table qui me convienne, comme celle-ci, mais comme aussi bien les mille autres possibles, sans plus m’arrêter à ces riens (authentique néant) qui permettraient à peine de distinguer ces tables entre elles.

    Ce qui compte, c’est l’idée de table, puisque c’est elle qui préside, si l’on peut dire, à la création, à la fabrication de toutes les tables qui se construisent chaque jour dans le monde.

    Aussi devine-t-on ce qu’est, au moins dans ses très grandes lignes, l’idéalisme[4].

    Comme son nom l’indique, il sert à désigner l’ensemble des systèmes (fort divers) qui professent (peu ou prou) la réalité des universaux qu’expriment nos idées. Autrement dit, à la question (déjà posée au nominalisme) quelle valeur devrons-nous accorder au caractère universel et perdurable des idées (surtout des idées dites générales) ? L’idéalisme répond en affirmant que ce qu’elles désignent est non seulement réel, mais plus réel même que cette forme (sensible) d’un réel singulier, contingent, mouvant, toujours en train de se faire et de se défaire, aussi fugace et insaisissable qu’un courant d’eau entre les doigts. Idéalisme au point que certains systèmes iront jusqu’à prétendre qu’il n’est de réel que l’idée. Cas de l’idéalisme dit absolu de Hegel.

    L’idéalisme philosophique bourreau de tout ce qui est personnel

     

    Lire la suite "Il n’est de réel que l’idée : conséquences de l’IDEALISME bourreau du particulier, de la personne et des peuples !"

    Michel Janva

  • “Jean-Luc Mélenchon, est-ce que les intégristes catholiques tuent les humoristes ?”

    Samedi dernier dans l’émission Les grandes questions sur France5, Jean-Luc Mélenchon emploie de nombreuses circonlocutions pour ne pas prononcer le mot d’islamistes ou encore moins de musulmans, à propos des tueries des frères Chérif et Saïd Kouachi et d’Amedy Coulibaly du 7 au 9 janvier.

    Eliette Abecassis lui pose alors la question “Est-ce que les intégristes catholiques tuent les humoristes aujourd’hui ?” et ajoute “Il s’agit bien de l’intégrisme musulman”.

    http://fr.novopress.info/181647/jean-luc-melenchon-ce-les-integristes-catholiques-tuent-les-humoristes/

  • L’esprit du 11 janvier vs l’état d’esprit des Français

    Grande première pour l’opposition nationale : en présence de Marion Maréchal Le Pen et Stéphane Ravier, le maire FN d’Hénin-Beaumont, Steeve Briois, s’est vu remettre hier par la chaine Public Sénat, à l’occasion des traditionnels  prix politiques du Trombinoscope, celui de «l’élu local de l’année». La cérémonie se déroulait à l’Hôtel de Lassay, résidence officielle du président de l’Assemblée nationale. En signe de protestation républicaine, celui-ci, le socialiste Claude Bartolone, avait boycotté la cérémonie ; boycott citoyen soutenu par dix députés socialistes du Pas-de-Calais, qui ont publié un communiqué pour condamner le «choix sensationnaliste» du Trombinoscope susceptibles de «blesser» (sic) les élus locaux. Outre le maire FN, le jury a désigné Manuel Valls comme «personnalité politique de l’année», Ségolène Royal «ministre de l’année», Emmanuel Macron «révélation politique de l’année». En meeting anti FN dans le Doubs, M. Valls était absent, tout comme Mme Royal et M. Macron qui ont  choisi eux aussi, mais avec plus d’hypocrisie que M. Bartolone, sans l’affirmer clairement, de ne pas se  commettre  en présence des médias dans la même pièce que l’édile frontiste. Dans un tweet, Steeve a eu beau jeu d’écrire qu’ «on sait désormais qui remportera le prix du sectarisme en 2015 ». Il est grand et magnifique l’esprit du 11 janvier…

    « Arlette Chabot, présidente du jury du Trombinoscope », rapporte Le Figaro, « visiblement embarrassée,  a jugé nécessaire de faire une mise au point sur la polémique. Le jury est influencé par l’actualité politique. Nous avons fait nos choix en décembre. Les habituelles badineries qui ponctuent les discours ont cédé face au malaise, les applaudissements sont timides ».

    « Gilles Leclerc, président de la chaîne de télévision Public Sénat (…) est chargé de remettre le prix à Steeve Briois (…). Le journaliste, gêné, prend soin de préciser qu’il n’était pas forcément volontaire pour cet exercice particulier. Comme le notera Stéphane Ravier dont les propos sont rapportés dans ce même article du Figaro, «Gilles Leclerc aurait pu recevoir le prix de l’aplaventrisme! Le prix de la carpette! Il est minable!».

    Minable et peut être encore plus pathétique, le site mediapart a même osé s’indigner de ce prix décerné à Steeve, par l’intermédiaire d’une dénommée Anoushka, au motif que « l’on fête les 70 ans de la libération Auschwitz, que l’état enfin met au programme la lutte contre le racisme et souhaite être ferme à ce sujet. Je croyais avoir tout vu et tout entendu…. ».

    Nous aussi, notamment lorsque l’on voit, avec toute de même un brin d’ébahissement, Jean-Luc Mélenchon faire le tour des plateaux pour décrire  la victoire de Syriza en Grèce comme la sienne propre! Une euphorie qui l’autorise à espérer, « envisager une candidature commune » «en 2017», «  réunissant le Front de Gauche, des socialistes affligés, des frondeurs, et les écologistes, qui ont quitté le gouvernement ».  Au vu des égos respectifs de Mme Duflot et de M. Mélenchon, la désignation de la tête de gondole-tête d’affiche de cette éventuelle coalition là s’avère déjà bien ardue. Pour le reste, et selon l’adage bien connu, une coalition de faiblesses  n’a jamais fait une force …

    L’absence d’ancrage populaire, l’hémiplégie, les excès, les impasses, les lacunes, les erreurs,  les archaïsmes programmatiques de la gauche de la gauche sont autant de handicaps qui ne profitent pas pour autant aux libéraux-libertaires, aux euromondialistes  qui ont colonisé le parti socialiste.

    Comment pourrait-il en être autrement au vu des résultats catastrophiques de la politique menée depuis deux ans et demi ? Signe parmi d’autres de cette faillite, les chiffres du nombre des demandeurs d’emplois en 2014 frôle officiellement les 3,5 millions en France métropolitaine, plus de 5,2 millions en comptabilisant ceux ayant eu une activité réduite pendant cette période. Le quotidien Les Echos le rapporte, « avec onze mois de hausse sur douze et un total de 189.100 chômeurs de plus, la progression du chômage aura été encore plus forte en 2014 qu’en 2013 (+ 174.800). On compte 572.500 chômeurs de plus depuis le début du quinquennat (après +790.000 sous Nicolas Sarkozy).  Pôle emploi dénombre ainsi 50.000 inscrits de plus en décembre, un record depuis l’été 2012 ».

    Pourtant, nous l’évoquions plus haut, Manuel Valls était mardi soir à Audincourt (Doubs) pour une réunion publique anti FN, contre  Sophie Montel (perturbée par une coupure d’électricité de la CGT et une protestation des notaires contre la Loi Macron), et de soutien à la candidature de Frédéric Barbier dans la quatrième circonscription de ce département. L’Afp le précise, il s’agit de «la quatorzième élection législative de ce type depuis 2012, qui ont jusqu’ici toutes été perdues par les socialistes ».

    Pour enrayer cette spirale de l’échec, le Premier ministre a voulu surfer sur la vague du 11 janvier lors de son discours: «Mobilisez-vous! Soyez fiers de cette France du 11 janvier, qui s’est retrouvée et que nous chérissons. Soyez fiers de cette gauche que nous incarnons, de cette gauche qui affronte le réel (sic)  avec la force de son idéal. »

    «Il faut aller voter pour défendre les valeurs de la République, la République telle que nous la défendons, la République avec sa fermeté, la République avec la laïcité, la République luttant contre les injustices», a lancé le Premier ministre. «Quand dans une classe on ne peut pas enseigner la Shoah (…) c’est un échec pour toute la communauté nationale. Et quand un enfant désigne le juif comme l’ennemi, c’est aussi un échec pour nous tous»,

    «La différence fondamentale entre ce qui relève de la liberté d’expression (…) et le délit que constitue l’apologie du terrorisme ou la provocation à la haine raciale, c’est un débat fondamental et nous devons le reprendre, nous ne devons rien laisser passer. Dans une société fracturée, on la répare avec des valeurs».

    Certes mais pas avec les fausses valeurs des pompiers-pyromanes du parti de l’étranger, du PS, de ce Système qui a failli, qui a trahi, qui a trompé, qui a  tiers-mondisé la France et les Français. C’est a contrario affirme Bruno Gollnisch, sur la remise à l’honneur des valeurs nationales, souverainistes, patriotiques, de solidarité et de justice sociale, de libertés, et notamment de  liberté d’entreprendre ; sur la réhabilitation de l’effort, de la méritocratie, de nos racines, de notre identité, que nous sortirons la France et  notre peuple du déclin. Soit l’exacte antithèse des politiques menées par l’UMPS.

    Le bla-bla du duo Hollande-Valls, leurs  formules creuses et pompeuses, leur récupération-instrumentalisation des attentats, ne sauraient masquer leurs échecs aux yeux des Français. Si l’on en croit le dernier sondage Odoxa pour L’Express,  post 11 janvier,  l’effet d’aubaine est d’ailleurs  terminé pour l’exécutif  malgré son omniprésence médiatique.

     Dans le cadre des prochaines élections départementales, et selon cette enquête,  le FN reste ainsi le premier mouvement politique de France avec 26 % (- 2 points) des sondés le plébiscitant,  devant l’UMP (23 %, – 2 points) , le PS (20 %, + 3 points), le Front de Gauche (10%, + 1 point), EELV (7%, =), l’UDI (7%,=), le MoDem (6%, + 1 point)…

     Concrètement cela veut dire que si cette hiérarchie est respectée, et en tenant compte de la règle des 12,5 % des suffrages exprimés pour se qualifier au second tour, le PS serait éliminé dans de très nombreux cantons au premier et assisterait dans les vestiaires aux duels  FN-UMP au second.  Ce n’est peut être pas l’esprit du 11 janvier mais c’est en tout cas  l’état d’esprit des  Français…

    http://gollnisch.com/2015/01/28/lesprit-du-11-janvier-vs-letat-desprit-des-francais/

  • Pour Manuel Valls « le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens »

    L’écrivain israélien Avraham B. Yehoshua a publié dans Libérationdu 22 janvier une tribune sans intérêt, aussi délirante que déplacée, affirmant avec un culot extrême que « L’antisémitisme chrétien de droite nourrit indirectement l’antisémitisme islamiste ».

    Une assertion nullement étayée dans cette haineuse tribune publié par le quotidien rothschildien.
    Mais celle-ci recèle une autre pépite.
    L’auteur écrit en effet que « le Premier ministre français, Manuel Valls, avec une grande générosité d’esprit, a proclamé que le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens ».

    Dans ce cas-là, il faut savoir que ce ne sont pas des propos discriminatoires, non.
    En revanche, l’inverse relèverait d’un racisme et d’un antisémitisme effroyables, passibles des tribunaux : c’est cela, la logique républicaine.
    Idem lorsque ce même homme disait que « les juifs sont à l’avant-garde de la République ».

    http://www.contre-info.com/