Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1714

  • Islam, immigration, intégration : Marine et Valls, même utopie – Par Guillaume Faye

    Manuel Valls a accusé l’”apartheid” la ”ghettoïsation” et l’”exclusion” des immigrés d’être indirectement responsables des récents attentats djihadistes. Il en a appelé à une politique de force pour imposer aux Français un ”peuplement” par les immigrés, par répartition territoriale. De son côté, Marine Le Pen a censuré Aymeric Chauprade pour ses propos sur une ”guerre de civilisation”, jugés extrémistes. Ces deux positions relèvent d’une même idéologie utopique et du déni de réalité.

    Le FN, le cul entre deux chaises

    L’Eurodéputé  Aymeric Chauprade a évoqué dans une vidéo la théorie du « choc des civilisations », ce qui a déplu à Marine Le Pen qui a annoncé qu’il ne serait plus conseiller spécial aux affaires internationales, lui signifiant en quelque sorte : ”couvrez ce sein que je ne saurai voir”, comme le Tartuffe de Molière. Dans cette vidéo du 15 janvier (« La France est en guerre »), le géopoliticien pointe le développement d’une « 5e colonne » qui menacerait la France : « la France est en guerre avec des musulmans. Elle n’est pas en guerre contre les musulmans […]  L’argument du fait minoritaire ne tient pas. L’idéologie ressassée du ”pas d’amalgame” est non seulement fausse mais elle est dangereuse. […] Une 5ecolonne puissante vit chez nous et peut se retourner à tout moment contre nous en cas de confrontation générale. […] On nous dit qu’une majorité de musulmans est pacifique, certes. Mais une majorité d’Allemands l’étaient avant 1933 et le national-socialisme »

    Cette position, qui est une observation de simple bon sens, a été rejetée par la présidente du FN qui a déclaré, exactement comme l’auraient fait Cambadélis, Sarkozy ou Bayrou : « la responsabilité d’un mouvement politique, c’est d’éviter précisément l’engrenage d’un choc de civilisation. Il faut l’éviter, il est très facile de se soumettre à cette logique et je la trouve terrible » Le problème est que si l’autruche met sa tête dans le sable pour ne pas voir le réel, le réel, lui, subsiste. Suivant l’idéologie dominante, Marine Le Pen occulte la réalité, elle l’exorcise. Preuve qu’une tension commence à fissurer le FN, sa nièce, la députée Marion Maréchal Le Pen, lui a désobéi et a diffusé la vidéo de Chauprade. Marine Le Pen semble suivre une voie électoraliste et, exactement comme l’”UMPS”,  commettre un déni de réalité et s’aligner plus ou moins sur la vulgate. C’est un mauvais calcul politicien. Elle prend le risque, pour acquérir une bienséance, de décourager une partie de son électorat. Le recentrage du FN le sort d’une logique d’opposition révolutionnaire au système et le remet dans l’ordre d’un parti politicien comme les autres.

    Lire la suite →

  • Le Qatar ne finance pas le terrorisme, selon Fabius (Màj : le ministre a menti)

    Màj : Laurent Fabius assure que le Qatar ne finance pas le terrorisme : le ministre a menti

    Le 21 janvier, Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères, a déclaré sur RTL qu’il « n’était pas exact » que le Qatar finance le terrorisme islamiste. Plus précisément :

    « Nous avons fait faire par nos services des enquêtes précises qui ont montré que cela n’était pas exact. »

    Et d’ajouter :

    « S’il était avéré que les choses changent, nous changerions nos modes de relations. Mais il n’est pas question, n’y d’accuser injustement, ni si peu que ce soit d’être complaisant avec le terrorisme qui est notre adversaire. »

    Il faut être clair : Laurent Fabius a menti.

    Fabius ne peut pas ignorer…

    Laurent Fabius ne peut pas ignorer que, le 8 octobre 2012 sur « C dans l’air », Louis Caprioli, ancien sous-directeur de la lutte contre le terrorisme à la DST, a déclaré publiquement ceci :

    « Des Français vont en Tunisie s’entraîner dans des camps djihadistes tunisiens financés par le Qatar, ou en Libye, notamment dans la région de Derna, où des gens s’entraînent avant d’aller faire le djihad en Syrie. »

    Laurent Fabius ne peut pas ignorer que, le 8 octobre 2012 dans un entretien à « La Dépêche du Midi », Yves Bonnet, ancien directeur de la DST, a déclaré publiquement ceci :

    « Il y a aussi le problème de l’argent qui est alloué par des pays salafistes. »

    Puis, plus précis :

    « On n’ose pas parler de l’Arabie saoudite et du Qatar, mais il faudrait peut-être aussi que ces braves gens cessent d’alimenter de leurs fonds un certain nombre d’actions préoccupantes. »

    Il ment sur les responsabilités qataries

    Laurent Fabius ne peut pas ignorer que le 4 mars 2014, David Cohen, sous-ministre des Finances pour le terrorisme et le renseignement financier, a publiquement constaté ceci : le Qatar et le Koweït laissent opérer sur leur territoire les collecteurs de fonds du terrorisme.

    Laurent Fabius ne peut pas ignorer que le 30 septembre 2014, dans la revue de référence « Foreign Policy », un article d’investigation d’Elizabeth Dickinson expose ceci : en Syrie, le Qatar a directement financé les combattants islamistes parmi les plus radicaux jusqu’en 2013 ; et depuis 2013, il sous-traite ce financement.

    Laurent Fabius ne peut pas non plus ignorer que le Qatar est sponsor notoire du Hamas. Pour mémoire, à son article 9, la charte de ce mouvement armé palestinien islamiste prévoit la mise en place d’une théocratie. Or, dans une interview accordée à CNN le 25 septembre 2014, il a été demandé à l’actuel émir du Qatar si son pays continuerait à soutenir le Hamas. (…)

    Source

    lire la suite

  • Débâcle des troupes de Kiev qui reculent sur tous les fronts tandis que le régime ukrainien poursuit ses attaques sur la population

    L’armée ukrainienne sous l’autorité de la junte de Kiev est une fois encore en débandade sur de nombreux fronts autour de Donetsk et de Lougansk, les deux républiques indépendantes de l’Est de l’Ukraine. Sur la photo ci-dessus, Alexandre Zarkhachenko, le chef de la République de Donetsk, au centre.

    Pertes ukrainiennes

    Kiev a volontairement boudé le dernier rendez-vous des pourparlers de paix de Minsk, et a en plus rompu la fragile trêve en lançant une offensive contre les civils de Donetsk après une tentative avortée de reprise de l’aéroport. Aéroport très disputé depuis le début du conflit, mais passé entièrement sous contrôle des Novorusses, depuis plus d’une semaine.

    En réponse à la mauvaise volonté évidente des autorités de Kiev, le 23  janvier le chef de la RPD, Alexandre Zakhartchenko a fait une déclaration par laquelle il montre que cette fois-ci, les Novorusses n’entendent plus se faire voler leurs victoires :

    Lire la suite

  • Le Congrès américain, une autre Knesset ?

    L’Etat d’Israël, Etat particulièrement agressif comme en attestent aussi bien les bombardements des civils palestiniens l’été dernier qui ont fait plusieurs milliers de morts, que plus récemment le bombardement en territoire libanais (et donc à l’encontre total du droit international) de membres du Hezbollah, semble bénéficier d’une impunité totale. Ce n’est pas nouveau puisque certaines résolutions de l’ONU ne sont toujours pas appliquées dans l’indifférence générale concernant ce pays (telle par exemple, la résolution 497 qui remonte à 1981…) et il faudrait alors se poser la question de savoir pourquoi cet Etat est au-dessus des autres. Nous vous livrons le point de vue de Michel Colomès paru dans Le point et qui permet de comprendre :

    « C’était lors d’un des nombreux bras de fer du président Carter avec le Premier ministre israélien Menahem Begin, avant que le président des États-Unis ne réussisse à le forcer à signer la paix des braves avec l’égyptien Anouar el-Sadate. Déjà, le lobby juif du Congrès américain avait mis tous les bâtons possibles dans les roues du projet en essayant de faire capoter le rapprochement, arrachant à un ambassadeur de France qui avait servi aux États-Unis, cette exclamation : « Mais ce Congrès, c’est une autre Knesset ! »

    La remarque pourrait resservir telle quelle aujourd’hui avec l’invitation surprise à Benyamin Netanyahou, lancée par John Boehner, le leader de la majorité républicaine de la Chambre des représentants, à venir s’exprimer devant les deux chambres réunies. Une invite rendue officielle au lendemain du discours sur l’état de l’Union du président des États-Unis et qui constitue évidemment un camouflet à un Obama manifestement pris de court et publiquement contré sur l’un des points les plus délicats de son allocution : son souhait que les parlementaires américains n’entravent pas, en votant de nouvelles sanctions contre l’Iran, les délicates négociations qui déboucheront peut-être sur des garanties suffisantes de Téhéran d’abandonner ses ambitions de se doter de l’arme nucléaire et sur le retour de ce pays dans le camp des nations fréquentables. (…)

    « Si (Obama) espère que nous resterons apathiques et sans rien faire alors qu’il concocte un mauvais accord avec l’Iran, par l’enfer il se trompe » s’est exclamé John Boehner. Et avec le nouveau chef de la majorité du Sénat, le républicain Mitch Mc Connell, il a annoncé que les deux chambres allaient mettre en place de nouvelles sanctions. « Qu’Obama le veuille ou non. » C’est là la confirmation que le Congrès, issu des élections de novembre, s’aligne sur les thèses belliqueuses de Netanyahou – qui viendra sans doute répéter devant les parlementaires américains qu’il faut lui donner les moyens de détruire les centres de recherche iraniens qui travaillent sur le nucléaire.

    La date de cette visite à Washington, prévue le 3 mars, a toutefois donné à Obama le prétexte idéal pour ne pas recevoir ce chef d’un gouvernement étranger, qui, au mépris de toutes les règles diplomatiques, accepte l’invitation du Parlement, sans que ni la Maison-Blanche ni le Département d’État aient été avertis. « Comme le veut notre pratique, a dit le porte-parole du Conseil national de sécurité, Bernadette Mechan, nous ne recevons jamais les chefs d’État à proximité d’une élection pour ne pas interférer dans le processus démocratique d’un pays étranger. » Or, les élections israéliennes auront lieu quinze jours plus tard. »

    Lire la suite sur Le point.

    On notera qu’en France aussi ce lobby juif sioniste est particulièrement puissant puisque le premier ministre se déclare lui-même éternellement lié à Israël (par sa femme), et, autre exemple, ce post que nous avions publié en son temps.

    http://www.contre-info.com/

  • La Marche pour la Vie 2015 en direct! (Actualisez votre page) suite

    La marche commence dans un silence de mort : pas de musique, pas de slogan, le cortège est figé... La scénographie se veut très symbolique : 

    "Une marée de 10.000 ballons noirs tenus assez serrés par les marcheurs symbolise la tristesse des 9 millions d’avortements en France depuis 40 ans et cette inquiétude qui monte, cette crainte réelle de voir de façon imminente l’euthanasie légalisée en France. Nombre de visages sont recouverts de masques hygiéniques. La vie est fragile, il faut se protéger de toutes les formes d’agressions parmi lesquelles celles d’une médecine qui abandonne le serment d’Hippocrate. En 2015, la légalisation de l’euthanasie représente une menace pour tous. Les plus vulnérable d’entre nous, les personnes agées, les malade, les personnes handicapées sont en première ligne. Avec la gravité d’une marche funèbre, nous voulons affirmer notre opposition à la légalisation de tout geste euthanasique. Aucune affiche, aucune revendication ne se voit. Les affiches sont tenues par un bras ballant le long des jambes. Ne dominent au dessus des têtes que les ballons".

    Le cortège repart... 10 000 personnes sont déjà présentes.

     

    B8MwVJyIAAADglq

    B8MvvmGCEAE28qs

     A suivre

  • La Marche pour la Vie 2015 en direct! (Actualisez votre page) suite

    C'est au tour de Gregor Puppinck, Directeur du Centre européen pour le droit et la justice, de s'exprimer. Il est l'auteur de cet article "Le drame des enfants nés vivants durant leur avortement" publié cette semaine : 

    B8MtY5vIQAEmeT0

    "Une grossesse sur 5 finit par un avortement en France, et une sur 3 en Europe!".

    Ca y est, la place Denfert-Rochereau est pleine! Et du monde arrive encore de partout..

    B8MoijBIEAAPK73

    L'orateur remercie les rares députés qui ont voté dernièrement contre la résolution sur l'avortement. C'est désormais Jacques Bompard qui est au micro.

    B8MqA5tIUAAEu70

    Le cortège est désormais près, la place comble :

    B8MoZk5IYAAg_a1

    B8MpKQBIMAAXgX3

    14h10: Dans une marée de ballons noirs, les premiers slogans fusent  "je suis Vincent Lambert!".

    «Je marche pour la vie de mon fils» déclare madame Lambert mère de Vincentici.

    A suivre

  • La Marche pour la Vie 2015 en direct! (Actualisez votre page)

    Voici 10 ans que les défenseurs de la vie martèlent le pavé parisien. C'est la jeunesse de France qui demande la fin du massacre des enfants dans le sein de leur mère, la'abrogation de la loi Weil et par conséquent l'instauration de toutes les mesures nécessaires à l'accueil de la vie et à l'accompagnement en fin de vie.

    B8MlGdTIgAAy8oB

    La Marche se déroulera en toute sécurité : merci à l'ordre de  Malte !

    B8Ml_Z8IQAAUz25

    Cette année, un rappel élémentaire concernant l'avortement et l'euthanasie : 

    B8Mlb-QIcAAElaq

    La tête du cortège se met en place : 

    B8Mca07CcAAkPqQ

     13h55 : première intervention. Jean-Pierre Maugendre prend la parole.

    B8Mm14gIQAIxLKC

    Jacques Bompard et Marie-Claude Bompard sont fidèlement présents.

    B8MmRXMIcAAyg0Q

    Ballons noirs et boucliers verts : une nouveauté de cette année

    B8MnsmZIEAAD6v_

    A suivre

  • Laurent Obertone : “Le système retourne les faits à l’avantage de son utopie”

    Avec “la France Big Brother”, Laurent Obertone nous livre un réquisitoire contre le conditionnement imposé aux Français. Dans cet entretien accordé au journal Valeur actuelles, l’auteur explique notamment que “le système retourne les faits à l’avantage de son utopie”.

    Voici quelques extraits :

    La France subit trois attentats terroristes et nos élites lancent une campagne contre l’islamophobie. Comment l’expliquez-vous ?

    C’est une démonstration de la capacité de manipulation de Big Brother, une démonstration de réécriture du présent, de double pensée, de retournement des faits à l’avantage d’une utopie. Les médias, en particulier, contrefont le réel, le filtrent, l’expurgent de tout ce qui nuit à leur morale progressiste et nous projettent une image du pays totalement falsifiée. À les entendre, des extrémistes indistincts n’ont attaqué que le “vivre-ensemble”, à peu près comme le fait, selon eux, Marine Le Pen. Cette dernière a d’ailleurs été accusée, sinon de monter les Français les uns contre les autres, du moins de « récupérer » l’affaire et d’en« profiter », quand Cazeneuve, Valls et Hollande ont connu un rebond de popularité spectaculaire… Tout est fait pour dissocier les effets des causes, il faut croire que ça fonctionne.

    Les attaques des 7, 8 et 9 janvier marquaient la défaite d’un système complaisant envers le communautarisme, l’immigration et l’islamisation de la France. Comment ce système et ses acteurs ont-ils réussi à retourner leur échec en ce que vous qualifiez de “kermesse antiraciste” ?

    Il faut une grande expérience en la matière. Aussi vite que possible, on évacue les faits, pour seriner les messages slogans : “pas d’amalgame”,“l’islam est la première victime”, “cela n’a rien à voir avec l’islam”. Ce sont les “valeurs” progressistes qu’on vise. À partir de là, tous ceux qui voulaient se révolter contre les terroristes islamistes, tous ceux qui voulaient s’interroger sur leur suivi, sur les soutiens dont ils bénéficient dans les banlieues, sur la balkanisation de la société française, étaient présentés comme des intolérants et des fascistes, complices des terroristes (pourquoi se gêner ? ).

    Les gens perçoivent confusément le lien entre immigration massive, communautarisme et islamisation du pays. Pourtant, ce système ne doit pas être remis en cause. Pourquoi ?

    L’immigration, le multiculturalisme, l’islam sont extrêmement valorisés par Big Brother. On prétend qu’ils amènent prospérité, enrichissement, qu’ils n’ont rien à voir avec l’insécurité et le terrorisme. La “légitimité” des promoteurs est donc suspendue aux faits : si les faits sont défavorables, les promoteurs seront montrés du doigt.

    http://fr.novopress.info/181518/laurent-obertone-systeme-retourne-les-faits-lavantage-utopie/

  • Avec la réforme de Taubira un détenu en sursis a le droit de se rendre à l'étranger

    Lu ici :

    "Jusqu'en septembre 2014, avant l'entrée en vigueur de la réforme pénale de Christiane Taubira, les personnes assujetties à un SME devaient obligatoirement obtenir "l'autorisation du juge de l'application des peines" avant d'envisager "tout déplacement à l'étranger". Ce n'est plus le cas depuis le 1er octobre 2014. La loi de la garde des Sceaux a fait en sorte que cette obligation ne soit plus "automatique". Désormais, le condamné placé sous SME n'a plus besoin que d'"informer préalablement" son juge de "tout déplacement à l'étranger"."

    Les voyageurs pour la Syrie n'ont plus besoin de prévenir le juge avant de prendre leur billet. Toujours pas de démission du côté de la place Vendôme ?

    Michel Janva

  • L’échec de l’intégration des musulmans démontrée dans une émission en Belgique

     

    « L’intégration est un échec ! ». Voilà le thème du premier numéro de l’émission « Dossiers tabous » diffusé mardi soir sur RTL TVI. Annoncé en grande pompe car marquant le retour à la télé du célèbre journaliste belge Jean-Claude Defossé, les Belges étaient impatients de découvrir ce programme. Mais outre les appréciations de certains Belgo-belges, l’émission a provoqué un tollé.

    Et pour cause, Jean-Claude Defossé présente l’intégration des immigrés musulmans en Belgique comme un «échec». Politiques, militants associatifs, citoyens lambda, les critiques ont émané de tout bord.

    Jean-Claude Defossé assume totalement son reportage :

    Accusé par les uns de “surfer sur les clichés” ou de faire un “mélange d’amalgames”, M. Defossé ne change pas sa ligne de conduite. “Mon but était de secouer le cocotier pour voir ce qui tombait, de faire réfléchir en somme. Et j’ai réussi. Un reportage sans critiques, c’est pour moi un reportage à l’eau tiède. Si c’était à refaire, je ne changerais rien”.

    http://fr.novopress.info/