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lobby - Page 1762

  • François Bayrou honore un partisan de la décapitation

    L'écrivain-paysan Alexis Arette vice-président de l’Académie de Béarn a écrit le 28 octobre à François Bayrou, suite à l'inauguration d'une allée en l'honneur d'Abd-el-Kader :

    "Je ne pense pas que l’inauguration de l’allée Abd-el-Kader améliorera les problèmes de circulation que la précédente municipalité t’a laissés en cadeau, et je doute que le geste soit assez fort pour convaincre les coraniques palois de voter en faveur du Pays de Béarn. Si tu y avais ajouté le geste audacieux d’une circoncision publique, peut-être…

    À cette occasion, il m’est revenu à l’esprit qu’Abd-el-Kader était un humaniste tout à fait particulier. Dans la guerre qu’il menait contre les Français, pour les droits de l’homme musulman de conserver un harem et de pratiquer l’esclavage, il y eut quelques trêves, et au cours de l’une d’elle, les Français acceptèrent de rendre à l’émir une centaine de ses esclaves noirs, qui avaient cru trouver la liberté en se réfugiant sous notre drapeau. Abd-el-Kader les fit tous décapiter. Il n’était, ce faisant, qu’un très modeste émule de Mahomed qui, lui, avait fait couper le cou des 900 juifs de la tribu des Banou-Caraïza, pour mettre leurs jolies femmes dans le lit de ses guerriers. Tamerlan devait faire mieux encore en édifiant des pyramides avec les têtes des infidèles tombées sous le cimeterre.

    Mais ce ne sont là que des broutilles de l’histoire, et même le Pape François, en accord avec les Imams qui prolifèrent en France comme des champignons, nous affirme que l’Islam est, contrairement à quelques apparences, tolérant et miséricordieux. Bien sûr, les historiens Occidentaux affirment qu’il y eut entre le seizième et le dix huitième siècle, 4 millions de chrétiens razziés sur nos côtes, et plus de 18 millions de noirs réduits en esclavage, et châtrés afin qu’ils ne se reproduisent pas, mais je me demande si ces historiens n’avaient pas été contaminés par le virus Lepéniste ! La bête immonde est partout ! la preuve ? C’est que même quelques mahométans sont gagnés par le virus, tel l’anthropologue Malek Chebel qui écrit : « Parce que je suis un intellectuel musulman (…) je me sens missionné pour dénoncer ce drame de l’esclavage qui a contaminé tous les pays où l’Islam à prospéré ! »

    Fort heureusement, des gestes comme l’inauguration de l’allée Abd-el-Kader prouvent que l’on peut être esclavagiste et coupeur de têtes, et tout de même tenu pour un grand homme par la République. Madame Taubira même, a tenu à aller plus loin dans l’humanisme. Dans l’express du 4 Mai 2006 elle affirmait : « Il ne faut pas trop évoquer la traite négrière Arabo-Musulmane pour que les jeunes Arabes ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfais de leurs Pères ! » A remarquer que la justice Taubirienne a déjà porté ses fruits : je lis aujourd’hui sur internet qu’un certain Karim vient d’être interpellé par la police pour la 197ième fois ! En voila un au moins qui n’est pas traumatisé par l’héritage de ses pères, et qui pourra revoter Hollande la prochaine fois. Nous n’en avons pas fini de découvrir les beautés du Système !

    De leur coté, les humanistes de Boko Haram et quelques autres ne relâchent pas leurs efforts pour arracher la jeunesse Africaine à la déchéance Occidentale. Il y a quelques semaines, c’était 200 lycéennes qui étaient enlevées à Chibok. Avant-hier c’étaient 60 femmes enlevées à Wagga. Hier c’étaient 30 Jeunes razziés à Mafa. La religion d’Abd-el Kader manifeste partout une semblable ferveur, et à mon sens ce n’est pas une simple allée qui devrait garder la mémoire du premier vaincu du Djihad, mais une autoroute !

    Avec bien sûr, dès l’entrée, l’emblème du croissant et de l’étoile, pour éclairer les destinées de la république."

    Michel Janva

  • Allemagne : des élus de gauche veulent 50% de « feux tricolores féminins » dans leur ville…

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    La prétendue « égalité » de gauche fait prendre bon nombre de décisions ridicules et plus ou moins grave, mais les élus socialistes et écologistes de la petite ville de Dortmund, dans l’est de l’Allemagne, font fort : ils veulent désormais que 50% des feux tricolores de leur ville représentent des femmes…

    Une petite dizaine de villes ont déjà installé des « feux féminins », mais aucun élu n’avait été jusqu’à demander la parité !

    Comble du grotesque, des féministes ont déjà protesté contre ces feux, non parce que l’idée est idiote, mais parce que le pictogramme féminin… porte une robe !

    http://www.contre-info.com/

  • Familles plumées : une cinquantaine de manifs dimanche

    Le collectif des «Familles plumées», créé pour protester contre la modulation des allocations familiales, entend coaguler l'opposition de droite avec les syndicats, le Front de gauche et les frondeurs du PS qui ont tous voté contre cette mesure. Julie Graziani écrit dans le Figaro :

    "[...] Contrairement à ce que le gouvernement essaye de faire croire, toutes les familles sont concernées et non uniquement les plus aisées. A partir du moment où le principe de l'universalité des allocations est supprimé et leur versement conditionné à un niveau de revenus il suffira au gouvernement d'un simple décret pour abaisser les seuils au gré de ses besoins. Désormais les familles seront suspendues à l'annonce d'un nouveau décret susceptible d'abaisser le seuil et de réduire ainsi comme peau de chagrin les allocations familiales souvent indispensables pour boucler un budget familial. Comment prévoir son budget dans ces conditions? [...]

    Il est temps de réagir face à ce matraquage fiscal qui cible une nouvelle fois les familles. Pourquoi? Parce qu'elles ne constituent pas une corporation avec ses syndicats chargés de les défendre.Mais la familles étant à la base de la société, il est de la responsabilité de chaque citoyen de la préserver et donc de défendre une politique qui ne dot pas avoir de «familiale» que le nom. C'est pourquoi Les Familles Plumées invitent chaque Français à écrire à son député pour l'alerter sur les conséquences du projet du gouvernement et l'inciter à faire preuve de responsabilité et de bon sens lors de la suite de l'examen du PLFSS.

    Ce week-end, des opérations de tractage et de collages ont démarré dans toute la France pour informer et sensibiliser tous les Français.

    Les familles refusent d'être mises à contribution pour la troisième année consécutive alors le gouvernement rechigne à mettre en œuvre les grandes réformes structurelles dont notre pays a besoin. Elles ne signeront donc pas de chèque en blanc au gouvernement car la note est d'ores et déjà bien trop salée.

    Contre un gouvernement qui chercher à dresser les familles les unes contre les autres nous appelons à la solidarité de toutes les familles et les invitons à venir faire entendre leur ras-le-bol fiscal devant les préfectures dimanche 23 novembre 2014 de 14h30 à 16h30. Ce sera une journée de mobilisation de proximité. Une cinquantaine de manifestations sont déjà programmées partout en France. Alors, dimanche prochain, tous dans la rue pour faire entendre la voix des familles."

    Michel Janva

  • Pas d’amalgames… quoique

    Il y a des amalgames qui, visiblement, dérangent moins que d'autres.   

    Il est de bon ton, lorsqu’on veut montrer sa pleine dévotion à la bienséance moderne, de s’émouvoir ostensiblement devant un cas (plus ou moins flagrant) de l’odieux « amalgame ». Dans ce théâtre des émotions filmées et relayées sur Internet, on déploie mieux son énergie à s’indigner avec la meute – qu’importe si tel « amalgame » est avéré ou non – qu’à s’enquérir des éléments du récit pour décider si, finalement, notre émoi est justifié. On dit que les amalgames sont contraires aux « valeurs républicaines », insultent l’égalité, foulent aux pieds les droits de l’homme et, pour toutes ces raisons, méritent d’être âprement combattus. On ne trouve pas une seule personnalité de l’appareil politique français en place qui ne soit adepte du « padamalgamisme ».

    On s’émeut que la dénonciation de l’islamisme puisse nuire à la réputation des musulmans ; on craint que les forfaits éventuels d’un homosexuel puisse porter préjudice à la communauté gay et lesbienne ; on rappelle inévitablement que « les casseurs sont une toute petite minorité » et « qu’il ne faut pas faire d’amalgames » entre eux et les populations des banlieues. 

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  • Élisabeth Lévy : Eric Zemmour, mai 68 et moi

    Ni Zemmourolâtre, ni Zemmourophobe, la patronne de Causeur s’interroge sur le succès du Suicide français. Elle dénonce le procès médiatique dont l’auteur est victime, y voyant une enième preuve du sectarisme de la gauche française.

    GAROVOX : « Eric Zemmour ne mérite pas qu’on le lise » : cette phrase de Manuel Valls vous a mise hors de vous. Pourquoi ?

    Elisabeth Lévy : La France a toujours été un grand pays de controverse et il m’est insupportable de la voir devenir le royaume du prêchi-prêcha. Voilà pourquoi cette invitation à la censure, parée en prime des atours du combat contre le Mal, me paraît être de fort mauvais aloi. C’est le droit du Premier ministre - et de tout un chacun - d’être en désaccord avec Zemmour. Mais proclamer qu’on doit le dénoncer sans le lire, c’est stalinien ou orwellien - ce qui revient au même. De plus, ce manquement à l’art de la polémique argument contre argument, se double d’un mépris affiché pour le lecteur/électeur qui a voté, non pas avec ses pieds mais avec ses idées (et son porte-monnaie), en achetant massivement ce livre qui « ne mérite pas qu’on le lise ». Et que lui dit Manuel Valls, à ce plouc attardé, réac et j’en passe ? Précisément qu’il est plouc, attardé et réac. L’ennui, pour le Premier ministre, c’est que ses injonctions n’ont guère de succès…

    Selon vous, pourquoi ce livre cristallise-t-il tant d’opposition contre lui, jusqu’au sommet de l’Etat ?

    Précisément parce que son succès constitue un désaveu cinglant pour tous les propagandistes du « Parti de demain » (nom que Jean-Claude Michéa donne à la gauche de notre temps), qui considèrent la nostalgie comme un crime et le passé, en tout cas celui de la France, comme un monde ténébreux et haïssable. Et la raison de ce succès, c’est que Zemmour donne un cadre intellectuel, une visibilité, une voix, bref une légitimité, à l’inquiétude que beaucoup de Français éprouvent pour leur pays. Les mêmes qui manifestent la plus grande compassion pour ceux qui redoutent de perdre leur emploi ou leur revenu évacuent par le mépris les peurs dites culturelles ou identitaires, dénigrées comme des « paniques » irrationnelles et détestables : quand une partie de nos concitoyens disent qu’ils ne se sentent plus chez eux, on se lamente sur la progression des « idées lepénistes » en évitant soigneusement de se demander pourquoi elles progressent. Or, avec son livre, Zemmour oblige tout le monde à regarder les choses en face. Il contribue à interdire le déni. Et bien sûr, face au déni, il pousse souvent le bouchon très loin, ce qui le place en phase avec une exaspération grandissante.

    Et que voit-on quand on regarde les choses en face ?

    On voit un pays en proie à un désarroi identitaire qui ne se nourrit pas seulement, et sans doute pas prioritairement, du chômage et de la crise, mais aussi de l’immigration massive des dernières décennies et de ses conséquences. La France a connu une révolution démographique et culturelle et elle est à la fois sommée de ne pas la voir et de l’applaudir. En clair, Zemmour remet sur le tapis le débat qu’on élude depuis trente ans sur l’immigration et l’intégration - il faut parler des deux car ce n’est pas la diversité des origines qui pose problème à un nombre croissant de Français, mais celle des cultures. Plus précisément, ce sont les modalités de la greffe entre « cultures d’origine » des immigrés récents et de leurs descendants et ce que les Allemands appellent la « culture de référence », qui sont en cause. Ou pour le dire autrement, le fonctionnement de la machine à fabriquer des Français : Qui s’adapte à qui ? L’inaliénable égalité des individus suppose-t-elle l’égalité des cultures ? En creux, Zemmour raconte l’adoption subreptice, en lieu et place du modèle républicain, d’un modèle multi culturaliste qui sied mal au teint d’un vieux pays jacobin et colbertiste. Sur cette question du dosage entre l’héritage et le nouveau, désolée, mais je vais faire le robinet d’eau tiède, entre ceux qui ne croient qu’à l’héritage, un peu comme Zemmour, et les partisans de la table rase comme les Indigènes de la République : je veux de l’héritage et du nouveau - seulement, aujourd’hui, c’est l’héritage qui est menacé. [....]

    La suite sur Le Figarovox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Elisabeth-Levy-Eric-Zemmour-mai-68

  • L’Unicef nie l’existence de traces de stérilisants dans les vaccins contre le tétanos

    Le "Friday fax" de C-Fam :

    "Dans une interview exclusive avec C-Fam, l’UNICEF a nié catégoriquement les allégations des évêques kenyans, selon lesquels des traces de traitement stérilisant auraient été trouvées dans des vaccins contre le tétanos. Le vaccin sponsorisé par l’UNICEF et l’OMS est camoufle un programme de contrôle démographique.

    Les agences de l’Onu ont publié cette semaine un communiqué de presse commun, dans lequel ils accusent les évêques kenyans de « désinformation », et d’avoir formulé des accusations « sans preuve ».

    Les évêques kenyans font campagne contre un vaccin néonatal contre le tétanos destiné à des femmes en âge de procréer. Il est financé par des agences, qui en ont fait, selon les évêques, un « programme de contrôle démographique camouflé ». Ces derniers appellent les kenyans à n’utiliser que les vaccins contre le tétanos les plus courants.

    Selon les évêques, quatre différents laboratoires ont testé le vaccin mis en cause et y ont trouvé l’hormone de la grossesse, la Beta-hCG. Combinée à un vaccin, celle-ci aurait pour effet de produire des anticorps si la femme vaccinée venait à produire cette hormone naturellement en début de grossesse. Le vaccin préviendrait donc l’implantation de l’embryon, pourrait causer des fausses couches, et également des problèmes de stérilité.Les évêques affirment qu’ils se devaient de mettre le public en garde, puisque le gouvernement ne l’avait pas fait.

    James Elder, représentant de UNICEF en Afrique, a déclaré au Friday Fax dans une interview exclusive que seules les femmes en âge de procréer avaient été ciblées car le programme protégeant les nouveau-nés et leurs mères vivant dans des régions reculées, où les enfant naissent dans des conditions « non hygiéniques ». La protection des nouveau-nés, a-t-il expliqué, est assurée pendant plusieurs semaines après la naissance.

    James Elder explique par ailleurs que le statut juridique du vaccin dans le pays a pour objectif de protéger les nouveau-nés, concernés par la plupart des nouveaux cas de tétanos au Kenya. Il est destiné aux femmes vivant dans des régions rurales, et qui n’ont pas un accès adéquat aux établissements médicaux. Le traitement consiste dans 3 doses de vaccins anti-tétanos, et les protège contre le virus pendant cinq ans. Il a également expliqué que le Kenya recommande la prise de trois doses de vaccin pour les hommes comme pour les femmes, pour assurer une immunité à vie, au lieu de prendre une seule dose valable pour une période de cinq à dix ans.

    L’UNICEF et l’OMS ont assuré avoir « pris note » des tests commandés par la Kenya Catholic Doctors Association. Ils suggèrent que ces derniers n’ont pas été accomplis par des laboratoires « appropriés », puisque ces derniers n’ont pas testé le vaccin mais des prélèvements sanguins. Les agences de l’Onu se sont montrées inflexibles sur le fait que la Kenyan National Regulatory Authority avait été mandatée pour étudier la qualité, la sécurité et l’efficacité du vaccin.

    Lire la suite "L’Unicef nie l’existence de traces de stérilisants dans les vaccins contre le tétanos"

    Marie Bethanie

  • Wahhabite connection : comment l’Arabie saoudite a déstabilisé le monde en exportant son islam radical depuis 40 ans. (2/2)

    Propos de David Rigoulet-Roze, enseignant et chercheur, consultant en relations internationales, spécialisé sur la région du Moyen-Orient (*), recueillis par Atlantico.

    Cette étude, en deux parties, nous a été communiquée par un contributeur régulier et fidèle lecteur que nous remercions.

    ♦ Rôle de l’Arabie Saoudite dans la diffusion de l’islamisme salafiste et évolution de sa relation avec les Etats-Unis.

    L’Arabie saoudite a beau être l’allié traditionnel des puissances occidentales au Moyen-Orient, et notamment dans la lutte actuelle contre l’Etat islamique, le royaume est le principal soutien des mouvements fondamentalistes qui s’étendent dans le monde entier

    David Rigoulet-Roze (suite) :

    C’est ce qui aurait poussé Riyad à passer un deal avec Oussama Ben Laden, à la faveur d’une rencontre organisée en 1991 entre le chef d’Al-Qaïda et le prince Turki Al-Fayçal[17] lorsque ce dernier était encore l’omnipotent chef du GID (services secrets saoudiens) : en contrepartie d’une somme de quelque 200 millions de dollars destinée à financer le djihad, il aurait été demandé et obtenu de Ben Laden, alors autorisé à quitter l’Arabie saoudite, de ne pas importer ce même djihad au sein du royaume saoudien, laissant en revanche une entière liberté d’action au fils prodigue pour aller semer la tempête aux quatre coins du monde[18]. Ce deal a toujours fait l’objet des plus vifs démentis de la part du principal intéressé saoudien mais il poursuit encore la réputation sulfureuse du Prince Turki al-Fayçal. Si pacte il y eut il devint bel et bien caduque avec la vague d’attentats des années 2003-2004 imputés à Al-Qaïda.

    La menace sur le royaume n’a pas disparu depuis et elle connaît un regain de vigueur inédit avec l’apparition de l’« Etat islamique » officiellement établi le 29 juin 2014[19], lequel a largement pris le relais d’une Al-Qaïda pour partie supplantée par sa redoutable concurrente djihadiste. On retrouve la même schizophrénie que précédemment si l’on considère que, dans un premier temps, l’EILL (« Etat islamique en Irak et au Levant ») devenu depuis l’« Etat islamique », a probablement bénéficié d’une certaine complaisance de la part des pétro-monarchies en général, voire de l’Arabie saoudite en particulier via la politique planifiée par le prince Bandar devenu chef d’Al Mukhabarat Al A’amah ou General Intelligence Directorate (GID) selon l’acronyme anglo-saxon, c’est-à-dire les services de renseignements du royaume, le 19 juillet 2012 jusqu’à son retrait sur décision royale le 15 avril 2014. L’EIIL, en effet, représentait un potentiel de déstabilisation avéré contre le régime alaouite – une secte dérivée du chiisme – du président Bachar al-Assad en Syrie et du gouvernement chiite pro-iranien de l’ancien Premier ministre Nouri al-Maliki en Irak. C’est certainement ce qui fait que cette organisation djihado-terroriste ait pu faire l’objet de financements de la part de certains « généreux donateurs privés » du Golfe ainsi que l’on qualifie souvent les initiateurs de ces fonds, afin éviter d’avoir à mettre éventuellement en cause les Etats en tant que tels. Mais cette indulgence coupable risque d’avoir un prix, car aujourd’hui l’« Etat islamique » est devenu une sorte de créature de Frankenstein qui proclame ouvertement son ambition d’expansion territoriale sur une large échelle du Proche et du Moyen-Orient arabo-musulman et de renverser les régimes stigmatisés comme « corrompus » de ces pétro-monarchies. La pression se fait d’ores et déjà sentir sur les frontières régionales. La menace n’épargne plus le royaume d’Arabie saoudite, pourtant siège des « deux lieux saints » que sont La Mecque et Médine, puisque l’« Etat islamique » par la voix d’un responsable de l’organisation, un certain Abou Tourab Al Mugaddasi, est allé rien moins que jusqu’à prôner la destruction de la Kaaba (« la Pierre noire »)[20] de la Mecque et de « tuer ceux qui adorent la pierre ». Et ce au motif que la vénération de cette « Pierre noire » qui faisait l’objet d’un culte pré-islamique renverrait au péché du Shirk (« associationnisme »), c’est-à-dire à une séquelle du polythéisme : « Si Allah le veut, nous allons tuer ceux qui adorent des pierres à la Mecque et détruire la Kaaba. Les gens vont à la Mecque pour toucher les pierres, pas pour Allah »[21].

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  • GPA, Grossesse pour achat

    Sur France inter :

    "[C'est] l'histoire d'un petit garçon de 3 ans qui n'est, littéralement, le fils de personne. Une colonne signée Philippe Ridet, le correspondant du Monde en Italie. Tout commence en Lombardie. Un couple hétérosexuel ne peut pas avoir d'enfant mais en veut absolument. Ils n'obtiennent pas l'adoption. Alors ils optent pour la GPA, une mère porteuse. Et ils se rendent pour le faire, en Ukraine, où la gestation pour autrui est autorisée. 30.000 Euros. Ni l'homme ni la femme venus d'Italie ne fournissent de gamètes. Mais elle fait semblant d'être enceinte pour son entourage - un coussin sur le ventre. A la naissance, la mère porteuse refuse de reconnaitre le bébé, un faux certificat de naissance est rédigé.

    Mais l'affaire se complique lorsqu'il faut déclarer le bébé (que la presse transalpine a baptisé Tommaso) à l'état civil en Italie. Pourquoi la mère est-elle allée accoucher à Kiev ? Comment a-t-elle pu prendre l'avion enceinte de neuf mois ? Expertise ADN, pot aux roses découvert, procès jusqu'à la cour de cassation. La décision tombe.

    Le couple a enfreint la loi italienne qui interdit formellement la GPA quel que soit le pays où elle est pratiquée. Et le dossier s'alourdit d'une fausse déclaration à l'Etat civil.

    Alors que devient le petit Tommaso ? La mère biologique n'a pas reconnu l'enfant, le père biologique est inconnu et le coupe de Lombardie est en infraction avec la loi, on ne l’autorise donc pas à adopter Tommaso. Il doit être adopté par une autre famille. En attendant, il n’est aujourd'hui le fils de personne."

    Si, il est l'enfant de ses parents biologiques, qui l'ont mis en vente.

    Marie Bethanie

  • Genre : en route vers la dictature ?

    Un énième rapport « relatif à la lutte contre les stéréotypes » a été remis au gouvernement.

    S’exprimant au nom du Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (HCEFH), ses auteurs promeuvent « la budgétisation sensible à l’égalité femmes-hommes, et en particulier le mécanisme d’"éga-conditionnalité" des financements publics », en vertu duquel ceux-ci seraient subordonnés « au respect de l’égalité femmes-hommes et à la lutte contre les stéréotypes de sexe ».

    « Les biens et services publics financés doivent bénéficier de manière égale aux femmes et aux hommes », soutiennent les rapporteurs, qui donnent en exemple la ville de Toulouse, dont la municipalité « s’est donné pour objectif d’opérer un rééquilibrage de l’attribution des subventions en faveur des associations sportives de femmes ». Selon eux, une telle démarche devrait inspirer l’ensemble des politiques publiques. Naturellement, la priorité est donnée à l’École : « à court terme », les collectivités locales finançant l’achat de manuels scolaires devraient veiller à ce que ceux-ci assurent, entre autres, « la valorisation des femmes dans l’histoire des savoirs ». L’enjeu serait « de faire coexister un moyen terme entre le respect du principe constitutionnel de la liberté d’expression [...] et le principe constitutionnel du respect de la dignité de la personne humaine ». Vraisemblablement aux dépens du premier de ces principes. « Hormis le début de caractérisation du sexisme ordinaire en droit du travail », déplorent les rapporteurs, « les propos, "blagues", ou comportements sexistes, ne sont pas visés en tant que tels par le droit ».

    La suite sur le Journal d’un eurosceptique désabusé

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Genre-en-route-vers-la-dictature

  • UMP et mariage : ne soyons pas dupes

    Suite au meeting de Sens Commun, Ludovine de La Rochère, présidente de La Manif Pour Tous, déclare :

     « Les propos tenus cet après-midi lors du meeting du mouvement Sens Commun par Nicolas Sarkozy, favori dans la course à la présidence de l’UMP, montrent la plupart des ténors de l’opposition souhaitent son abrogation : de Jean-Christophe Fromentin à Marine Le Pen, en passant par Xavier Bertrand, Laurent Wauquiez, Hervé Mariton ou Nicolas Sarkozy.

    Mais ne soyons pas dupes. Il ne s’agit encore que de déclarations d’intention. Il est donc aujourd’hui de notre responsabilité, comme de celle de l’ensemble des citoyens mobilisés pour la famille, le mariage et la filiation Père-Mère-Enfant de poursuivre notre action jusqu’à l’obtention de l’abrogation de la loi Taubira. Nous sommes actifs et vigilants depuis 2 ans. Nous le restons. Encore un peu de patience pour rétablir les droits de l’enfant ! »

    Michel Janva