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lobby - Page 1766

  • Sarkozy : "Honte à ceux qui abandonnent la langue française"

    Sarkozy a dit lors de son meeting vendredi soir à Paris "Honte à ceux qui abandonnent la langue française". Donc honte à Sarkozy :

    En janvier 2008, les parlementaires français votent le renoncement à l’exigence de traduction comme il est clairement énoncé à l’article premier du Protocole de Londres et ce, contre l’avis de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie.

    En janvier 2009 la France renonce au français comme langue de travail au sein de l’ agence internationale des énergies renouvelables (IRENA), elle pousse les 27 autres pays de la Francophonie à faire de l’anglais la seule et unique langue de travail et renforce l’hégémonie linguistique à l’encontre des intérêts de tous les francophones. L’Organisation Internationale de la Francophonie tente maintenant de faire modifier le régime linguistique vers le multilinguisme.

    En juin 2009, le Conseil Economique, Social et environnemental (le tristement connu CESE) écrit dans un rapport »que « le recours à l’anglais comme code commun se généralise, sans que cela soit nécessairement une menace pour la diversité des langues. C'est une facilité dont certains Français hésitent encore à se servir, alors que, pour d’autres, c’est la solution miracle ».

    En juin 2010, l’arrêté ministériel instituant l’anglais comme seule et unique langue obligatoire pour l’épreuve orale du concours d’entrée à l’Ecole nationale de la magistrature est confirmé par le Conseil d’Etat.

    En janvier 2012, l’Agence française de développement (AFD), établissement public agissant pour le compte de l’Etat, émet un appel à projets pour une conférence le 14 juin à Paris. Elle exige de la part des soumissionnaires français des réponses exclusivement en anglais.

    Michel Janva

  • L'art c'est plutôt fait pour élever l'âme

    Béatrice Bourges, porte-parole du Printemps français :


    "L'art c'est plutôt fait pour élever l'âme... par BFMTV

    Michel Janva

  • A Roubaix, le PS coincé entre la loi Taubira et le vote musulman

    A la section PS de Roubaix, les langues se délient :

    "Officiellement, on ne parle pas du vote musulman au PS de Roubaix. Juste du rapport entre « appartenance religieuse et engagement politique ». (...) Mais le sujet n’a pas été choisi de manière innocente. D’ailleurs, il rencontre un écho au sein de la section. Les questions fusent. «  Est-ce que, si on est musulman, on peut s’opposer au mariage pour tous sans être mis au ban du parti ?  », interroge l’un d’eux. «  Il y a une différence entre être opposé au mariage gay et être homophobe !  », enchaîne un autre militant. Marjolaine Pierrat-Feraille, conseillère municipale d’opposition, acquiesce : «  On ne peut pas être homophobe et être socialiste. En revanche, j’estime qu’on peut être contre le mariage pour tous en étant pleinement membre du PS. Il peut y avoir des débats  », scande-t-elle.

    Lors du vote du texte sur le mariage gay, tout opposant était vite assimilé à un homophobe. Mais au PS de Roubaix, on veut donner des gages aux militants de confession musulmane, et à travers eux, à l’électorat musulman. Mehdi Massrour, le secrétaire de section, annonce même la création d’un groupe de travail sur la question. «  Est-ce qu’un croyant devrait forcément voter à droite ? », s’interroge-t-il. Le conseiller général de Roubaix-Est a encore en mémoire la dernière élection municipale. «  C’est vrai que ça a joué, analyse-t-il. Le mariage pour tous, la théorie du genre, on n’a pas arrêté d’en entendre parler, et pas seulement chez les musulmans. On ne l’a pas vu venir, mais c’est sans aucun doute une des causes de la défaite.  » Et le PS ne veut pas revivre ça en 2020."

    Louise Tudy

  • Une Cour d’appel américaine casse une décision jugeant « anticonstitutionnelle » la définition du mariage entre un homme et une femme

    La 6ème cour d’appel des Etats-Unis (Michigan, Ohio, Tennessee et Kentucky) a rejeté la décision d’un juge fédéral qui avait décidé que « l’interdiction du mariage homosexuel » dans le Michigan était anticonstitutionnelle, après avoir été saisi par une paire homosexuelle qui se plaignait de ne pouvoir adopter « leurs enfants ».

    Le juge parlait d’interdiction du mariage homosexuel, c’est en réalité une seule inscription dans la Constitution de l’Etat d’une définition du mariage comme étant l’union d’un homme et d’une femme.

    La cour d’appel (à une majorité de deux contre un) a considéré que c’était aux citoyens de se prononcer, et que ces derniers n’avaient pas à demander aux juges de trancher ce genre de question.

    Une première qui ira sans doute devant la Cour suprême. Mais la cour d’appel a rappelé que les règles de la Cour Suprême conféraient aux états le droit de mettre en place une politique sur le mariage : « Depuis la création de la république jusqu’en 2003, tous les états définissaient le mariage comme l’union d’un homme et d’une femme, ce qui veut dire que le 14ème amendement (qui garantit «  légale protection des personnes ») permet, même s’il ne l’oblige pas, aux états de définir ainsi le mariage »

    Elle a par ailleurs ajouté un paragraphe que nos « élites » devraient lire avec attention : « une dose d’humilité nous fait hésiter avant de juger anticonstitutionnellement irrationnelle une vision du mariage partagée jusque récemment par toutes les sociétés du monde, partagée par la plupart, si ce n’est tous, de nos ancêtres, et partagée jusqu’à aujourd’hui par un nombre significatif de pays ».

    http://www.contre-info.com/

  • Les élus sont les serviteurs des banques qui les ont fait élire… Le tour de la question en 2 minutes 30 (Vidéo)

    Étienne Chouard, né le 21 décembre 1956 à Paris, est un enseignant français dans un lycée à Marseille. Principalement connu comme blogueur, il bénéficie d’une notoriété grandissante depuis 2005, en argumentant alors pour le « non » à l’occasion de la campagne du référendum français sur le traité établissant une constitution pour l’Europe. Source

    Intéressant constat par Etienne Chouard, du système ploutocrate d’où sont issus les dirigeants qui sont à la tête de la France depuis deux cents ans.

    Petit rappel historique:

    La Révolution de 1789 a été fondamentalement une révolte de la haute bourgeoisie contre la Royauté et la Religion. Louis XVI s’est vu imposer comme Ministre des Finances le banquier suisse, protestant et franc-maçon, Jacques Necker, qui, prêtant de l’argent pour combler le déficit de la France, tenait la politique du Roi. La France était alors déficitaire bien qu’elle fut le pays le plus riche du monde. Mais les grands bourgeois immensément riches, ne contribuaient qu’infiniment peu au Trésor public. (Comme les grandes entreprises qui se réfugient dans les paradis fiscaux, ou qui bénéficient des largesses de l’Etat…) Ils voulaient imposer un système économique libéral inspiré de celui d’Angleterre.

    C’est cette situation, mais aujourd’hui en France, que décrit Etienne Chouard. En deux minutes trente, il dresse un constat très juste de l’aveuglement des électeurs face à la prétendue démocratie, même si dans cette courte intervention on ne comprend pas très bien les solutions qu’il préconise. Il était l’invité, en septembre dernier, de Frédéric Taddeï dans l’émission de France 2, « Ce soir ou jamais ».

    E.D.

     

    http://www.medias-presse.info/les-elus-sont-les-serviteurs-des-banques-qui-les-ont-fait-elir-le-tour-de-la-question-en-2-minutes-30-video/17812

  • Jacob Cohen – Qu’est-ce qu’être antisioniste en France en 2014 ?

    L’écrivain Jacob Cohen était à Dijon le 26 septembre 2014 pour une conférence sur le thème : « Qu’est-ce qu’être antisioniste aujourd’hui en France ? »

    L’intervention de Jacob Cohen :


    Jacob Cohen – Qu’est-ce qu’être antisioniste en… par ERBourgogne

    Les questions du public :

    Jacob Cohen – Qu’est-ce qu’être antisioniste en… par ERBourgogne

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • « Des » lycéens manifestent, pas « les » lycéens !

    1.000 au mieux sur près de 100.000, soit 1 % ! Cela a suffi pourtant jeudi aux chaînes télé pour ouvrir sur cet « événement »…   

    « LES lycéens manifestent à Paris à la mémoire de Rémi Fraisse… »

    Sauf qu’il aurait fallu annoncer : « DES lycéens… » tant ils étaient peu nombreux. 1.000 au mieux sur près de 100.000, soit 1 % ! Cela a suffi pourtant jeudi aux chaînes télé pour ouvrir sur cet « événement »… 

    Lorsque Élise Lucet s’en prend — avec courage — directement aux dirigeants des grandes firmes de la mode ou de la téléphonie mobile comme elle le fit mardi dans « Cash investigation », elle mérite, selon moi, toute notre reconnaissance : elle apporte sa pierre à la lutte contre l’esclavage d’êtres humains, surtout des enfants, en poussant les responsables de ces marques internationales à ne plus jouer aux singes de la sagesse, celui qui ne voit pas, celui qui n’entend pas et celui qui ne parle pas…

    Mais lorsqu’elle choisit, jeudi, d’ouvrir son 13 heures sur « LES lycéens » manifestant dans Paris, elle savait qu’elle poussait le bouchon un peu loin. 

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  • Les cinq plaies de l’abattage halal

    Christophe Pichery, secrétaire général du CARED

    ♦ « Le halal est un combat identitaire fort qui témoigne de façon très explicite de l’avancée de l’islamisation dans notre pays. »

    Souffrance animale, insécurité et régression sanitaire, financement du culte musulman à l’insu du consommateur, tromperie sur la marchandise lors de sa vente, instrument de réislamisation et de radicalisation des immigrés de culture musulmane : telles sont les cinq plaies du halal. Le docteur Alain de Peretti fait le point.
    Polémia

    Vétérinaire de profession, président de l’association Vigilance Halal qui fédère plus de 5000 membres, le Dr Alain de Peretti a exposé les cinq plaies de la filière Halal, le 1er octobre 2014, au CARED à Troyes.

    Alain de Peretti commence son exposé en resituant son intervention : « Le halal est un combat identitaire fort qui témoigne de façon très explicite de l’avancée de l’islamisation dans notre pays. Or le halal pose toute une série de problèmes, à commencer par les problèmes sanitaires… ».

    Alain de Peretti définit préalablement ce terme : halal signifie ce qui est licite pour l’islam, donc autorisé par la charia (loi islamique). Cela recouvre tous les aspects de la vie musulmane ; ce terme n’est donc pas propre aux questions d’abattage (par exemple on parle également de mariage halal, c’est-à-dire effectué conformément à la loi coranique).

    Le principe de l’abattage halal est le suivant : l’animal n’est pas du tout étourdi préalablement à la saignée, alors que la pratique de l’étourdissement existe chez nous depuis toujours. On pratique directement un égorgement large jusqu’aux vertèbres sectionnant toutes les structures anatomiques, et notamment l’œsophage et la trachée. L’animal est tourné vers la Mecque et sont prononcés les mots « Bismilla wa allaou akbar ». Enfin, le sacrificateur musulman doit être en « état de pureté rituelle ».

    Alain de Peretti cite l’ensemble des problèmes qui découlent de l’abattage halal et sur lesquels il va revenir plus en détails :

    - la souffrance et le stress des animaux, dénoncés par les associations de protection de la dignité animale ;

    - la négation de tous les principes de sécurité sanitaire ;

    - le financement du culte musulman à l’insu du consommateur ;

    - la tromperie sur la marchandise ;

    - l’instrument de l’islamisation et re-islamisation des immigrés de culture musulmane en les enfermant dans un ghetto alimentaire (cf. concept de Malika Sorel).

    1/ – Souffrance animale

    Fondation Brigitte Bardot

    Fondation Brigitte Bardot

    La Fondation Brigitte Bardot et l’OABA (Œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs, association de vétérinaires) travaillent depuis longtemps à de meilleures conditions d’abattage en France. Depuis les années 1960, le matador est systématiquement utilisé pour l’étourdissement en France. Il est clair pour le conférencier que l’augmentation de la demande halal entraîne une régression évidente sur la question de la souffrance animale.

    2/ – Insécurité et régression sanitaire

    Alain de Peretti explique que ce point a tendance à être occulté devant les questions d’émotion provoquée par la souffrance animale. Or, le vétérinaire assène : « La question de la régression sanitaire est pourtant la preuve de la lâcheté des autorités devant la pression de l’argent et d’une population que l’on caresse dans le sens du poil. »

    Il explique alors, photos à l’appui, les modalités techniques de chacun des types d’abattage :

    – En abattage traditionnel, l’animal étourdi est décontracté, et la saignée peut se faire de façon très précise et se limite aux vaisseaux. L’œsophage est ligaturé. Après l’étourdissement, il est immédiatement suspendu pour être saigné. L’opération est extrêmement propre : le sang s’écoule sur le caillebotis et est parfaitement récupéré.

    – En abattage halal, on égorge jusqu’à la vertèbre : l’artère carotide, la veine jugulaire, la trachée et l’œsophage sont totalement sectionnés. A partir de l’œsophage, des souillures de régurgitation de l’estomac vont venir salir toute la zone, aller dans la trachée jusqu’au poumon puisque l’animal respire toujours, et possiblement aller contaminer le reste de la carcasse. L’animal est immobilisé dans un piège rotatif, qui génère un stress énorme sur l’animal puisqu’il se retrouve en position inversée. Les photos projetées sont sidérantes : la saignée se fait dans un bain de sang terrible, et ce sang est répandu sur tout le piège. Or, le piège ne peut être nettoyé à chaque animal, donc les animaux se succèdent et baignent dans un « bouillon de culture de sang, de déjections liées à la peur, de régurgitation, et tout ça reste joyeusement mélangé à température durant toute une journée… ». De plus, l’animal met au minimum un quart d’heure avant de mourir… Le vétérinaire alerte : « Tout cela est absolument contraire au principe de précaution, principe qu’on a pourtant érigé à tout crin, parfoisd’ailleurs de façon excessive ».

    Alain de Peretti souligne d’ailleurs que l’Académie vétérinaire de France a rendu un rapport au ministre de l’Agriculture en décembre 2006 pour alerter sur les dangers de l’abattage sans étourdissement. Les risques bactériens sont multiples : souches mutées d’Escherichia Coli, salmonelles, staphylocoques dorés, et même les prions à l’origine de la tremblante du mouton, encore non totalement sous contrôle du fait des trafics internationaux liés au déficit de viande de mouton, et qui peuvent notamment être épandus dans le milieu extérieur lors des Aïd (abattoirs provisoires à l’instar de celui de Belfort). En effet, l’abattage halal est aujourd’hui montré du doigt comme une cause possible, par exemple, des augmentations d’épidémies de gastro-entérites. L’absence des règles les plus élémentaires d’hygiène augmente considérablement le risque de transfert de virulence par transduction génétique, ces transductions étant une des causes de résistance des bactéries aux antibiotiques.

    Les pouvoirs publics sont donc parfaitement au courant : la circulaire ministérielle du 23 avril 2007 impose que la viande des cantines soit fortement cuite. Cela est évidemment noyé dans une liste de causes multiples, mais parmi lesquelles les conditions d’abattage sont citées. Et le conférencier d’expliquer que nos populations et nos coutumes occidentales nous amènent à manger la viande peu cuite, d’où un risque beaucoup plus grand lorsqu’on mange halal dans nos pays que dans les pays musulmans.

     Fonctionnement des abattoirs :

    En France, depuis le 28 décembre 2011, un abattoir souhaitant abattre halal doit disposer d’une autorisation préfectorale, induisant un cahier des charges à suivre. Notamment, ne doit être abattu halal que ce qui est commandé halal. Or, le président de Vigilance Halal explique que l’association doit aujourd’hui mener des actions judiciaires pour obtenir de certains abattoirs le registre des commandes. En effet, des sources à l’intérieur des abattoirs attestent qu’il ne peut y avoir deux chaînes distinctes d’abattage. Et l’abattoir de Meaux est cité en exemple, reportage de l’émission Envoyé Spécial à l’appui…

    3/ – Le financement du culte musulman à l’insu du consommateur

    Le financement des mosquées est un problème vaste et complexe. Beaucoup d’argent circule, souvent « exonéré » de toutes taxes… C’est d’ailleurs quelque chose de choquant dans un pays dit laïc : certaines mosquées ont un monopole de délivrance de cartes de sacrificateurs, ce qui leur confère une autorité religieuse en matière de charia… Par exemple, Kamel Kabtane, recteur de la mosquée de Lyon, parle, dansLe Parisien du 12 août 2010, de 10 à 15 centimes d’euros par kg (900.000 euros sur un an) de recettes financières grâce à la taxe religieuse prélevée à l’abattage. C’est le financement du culte musulman à l’insu du consommateur.

    Il n’existe en France aucune enquête sérieuse sur les flux financiers de l’industrie halal. Ces canaux financiers sont très opaques, mais il est démontré aujourd’hui dans d’autres pays que le circuit du halal alimente directement les organisations terroristes, en transitant via les mosquées et leurs organismes de certification halal. Par exemple au Canada, Alain Wagner, président de l’ICLA (International Civil Liberties Alliance), démontre comment ces circuits s’organisent par le biais des banques et des sociétés de charité islamique. En France, il y a une réelle omerta sur les circuits financiers du halal.

    4/ – La tromperie sur la marchandise lors de sa vente

    Compte tenu du risque sanitaire évoqué, il devrait y avoir un étiquetage très clair sur le mode d’abattage de l’animal dont est issu le lot. Or, d’une part, il est difficile de connaître l’abattoir d’origine d’une viande, et, d’autre part, même si cet abattoir est agréé pour faire du halal il semble impossible que de la viande non halal puisse en sortir. Alain de Peretti présente alors le fruit du travail de son association : Vigilance Halal diffuse une plaquette avec les numéros d’abattoirs qui ne sont pas agréés halal. Il faut donc acheter de la viande en provenance de ceux-ci si l’on veut être réellement certain qu’il ne s’agit pas d’un abattage halal.

    5/ – L’instrument de l’islamisation et re-islamisation des immigrés de culture musulmane qui les enferme dans un ghetto alimentaire

    Le conférencier cite certains auteurs pour expliquer cela :

    – Malika Sorel : « Il s’agit d’une philosophie de vie qui consiste, au travers des concepts de “pur” et d’“impur”, de “licite” et d’“illicite”, à bâtir une muraille identitaire autour d’une communauté d’appartenance » ;

    – Gilles Kepel : « L’enjeu du halal, au travers de ce rigorisme, est le “contrôle cultuel et politique” des musulmans par les salafistes et les Frères musulmans » ;

    – Djamilla Ben Habib : « Le halal est une espèce de cordon sanitaire qui préserve la “pureté” des musulmans du reste de la société d’accueil » ;

    – En 2010, à Islamabad, un leader de la confrérie islamiste, le mufti de Bosnie, Mustafa Ceric, a incité les musulmans à « conquérir le monde par le mouvement halal ».

    Le halal est donc un des axes du processus global de conquête. En effet, il faut savoir que l’Arabie Saoudite, le Qatar, etc., achètent leurs moutons en Nouvelle-Zélande, où l’abattage halal est… interdit ! Au Sri Lanka, les 30% de bouddhistes composant la population ont réussi à faire arrêter le 100% halal qui était en vigueur de par l’influence des 70% de musulmans.

    Tout cela atteste que ces abattages n’ont aucune base religieuse, comme l’explique parfaitement l’un des anciens conférenciers du Cared, le Pr Sami Aldeeb.

    En conclusion, Alain de Peretti souligne qu’on ne doit pas se laisser paralyser par le terme de stigmatisation, très à la mode pour éviter de débattre des problèmes qui dérangent, d’autant plus qu’il s’agit de questions sanitaires majeures. Pour le vétérinaire, ces pratiques ne sont pas insérables dans une société moderne et complexe. Il faut faire du lobbying, des campagnes d’information, des actions judiciaires.

    Et de conclure sur ce sondage IFOP : 72% des Français se déclarent opposés à l’abattage rituel.

     Christophe Pichery, 3/11/2014

    Voir Vidéo : Enquête de l’association belge GAIA dans un abattoir halal.

    Vigilance Halal a organisé, le 25 mai 2013, les états généraux du halal, où se sont retrouvés pour débattre et témoigner Robert Ménard, Sami Aldeeb, le Pr Mouthon, vétérinaire de l’école de Maison-Alfort, Alain Dubos, pédiatre, Nicolas Dhuicq, député de l’Aube, Alain Wagner…

    Le CARED, Comité d’action pour le respect de l’état de droit, est présidée par Jean-Louis Chaton. Le compte rendu de la conférence du Dr Alain de Peretti tenue à la Maison des associations de Troyes, le 1er octobre 2014 devant plus de 120 participants, a été établi par Christophe Pichery, secrétaire général du CARED.

    Les illustrations sont de la rédaction.

    http://www.polemia.com/les-cinq-plaies-de-labattage-halal/

  • Blâmée, Farida Belghoul ne compte pas se laisser faire

    Farida Belghoul, a été interrogée dans Présent de ce jour, suite à son blâme par le ministère de la Education nationale. Extraits :

    "[...] Pour commencer, je vais saisir le Tribunal administratif. Je vais déposer plainte auprès de la Cour de justice de la République, contre le ministre de l’Education nationale. Il y a en effet toutes les raisons de penser que le ministre s’est rendu coupable d’abus d’autorité. Car qui est le recteur d’une académie ? Uniquement le représentant du ministre. Ce n’est donc pas le recteur de Versailles qui m’a donné ce blâme, c’est le ministre lui-même.

    Et puis je m’interroge sur la valeur de cette décision. La procédure disciplinaire qui a été entamée contre moi ne présente aucun élément sérieux. Son seul et unique but est de nuire à la militante engagée que je suis en essayant de m’atteindre dans mon métier. [...]"

    Michel Janva