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lobby - Page 1765

  • L’Unicef nie l’existence de traces de stérilisants dans les vaccins contre le tétanos

    Le "Friday fax" de C-Fam :

    "Dans une interview exclusive avec C-Fam, l’UNICEF a nié catégoriquement les allégations des évêques kenyans, selon lesquels des traces de traitement stérilisant auraient été trouvées dans des vaccins contre le tétanos. Le vaccin sponsorisé par l’UNICEF et l’OMS est camoufle un programme de contrôle démographique.

    Les agences de l’Onu ont publié cette semaine un communiqué de presse commun, dans lequel ils accusent les évêques kenyans de « désinformation », et d’avoir formulé des accusations « sans preuve ».

    Les évêques kenyans font campagne contre un vaccin néonatal contre le tétanos destiné à des femmes en âge de procréer. Il est financé par des agences, qui en ont fait, selon les évêques, un « programme de contrôle démographique camouflé ». Ces derniers appellent les kenyans à n’utiliser que les vaccins contre le tétanos les plus courants.

    Selon les évêques, quatre différents laboratoires ont testé le vaccin mis en cause et y ont trouvé l’hormone de la grossesse, la Beta-hCG. Combinée à un vaccin, celle-ci aurait pour effet de produire des anticorps si la femme vaccinée venait à produire cette hormone naturellement en début de grossesse. Le vaccin préviendrait donc l’implantation de l’embryon, pourrait causer des fausses couches, et également des problèmes de stérilité.Les évêques affirment qu’ils se devaient de mettre le public en garde, puisque le gouvernement ne l’avait pas fait.

    James Elder, représentant de UNICEF en Afrique, a déclaré au Friday Fax dans une interview exclusive que seules les femmes en âge de procréer avaient été ciblées car le programme protégeant les nouveau-nés et leurs mères vivant dans des régions reculées, où les enfant naissent dans des conditions « non hygiéniques ». La protection des nouveau-nés, a-t-il expliqué, est assurée pendant plusieurs semaines après la naissance.

    James Elder explique par ailleurs que le statut juridique du vaccin dans le pays a pour objectif de protéger les nouveau-nés, concernés par la plupart des nouveaux cas de tétanos au Kenya. Il est destiné aux femmes vivant dans des régions rurales, et qui n’ont pas un accès adéquat aux établissements médicaux. Le traitement consiste dans 3 doses de vaccins anti-tétanos, et les protège contre le virus pendant cinq ans. Il a également expliqué que le Kenya recommande la prise de trois doses de vaccin pour les hommes comme pour les femmes, pour assurer une immunité à vie, au lieu de prendre une seule dose valable pour une période de cinq à dix ans.

    L’UNICEF et l’OMS ont assuré avoir « pris note » des tests commandés par la Kenya Catholic Doctors Association. Ils suggèrent que ces derniers n’ont pas été accomplis par des laboratoires « appropriés », puisque ces derniers n’ont pas testé le vaccin mais des prélèvements sanguins. Les agences de l’Onu se sont montrées inflexibles sur le fait que la Kenyan National Regulatory Authority avait été mandatée pour étudier la qualité, la sécurité et l’efficacité du vaccin.

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    Marie Bethanie

  • Wahhabite connection : comment l’Arabie saoudite a déstabilisé le monde en exportant son islam radical depuis 40 ans. (2/2)

    Propos de David Rigoulet-Roze, enseignant et chercheur, consultant en relations internationales, spécialisé sur la région du Moyen-Orient (*), recueillis par Atlantico.

    Cette étude, en deux parties, nous a été communiquée par un contributeur régulier et fidèle lecteur que nous remercions.

    ♦ Rôle de l’Arabie Saoudite dans la diffusion de l’islamisme salafiste et évolution de sa relation avec les Etats-Unis.

    L’Arabie saoudite a beau être l’allié traditionnel des puissances occidentales au Moyen-Orient, et notamment dans la lutte actuelle contre l’Etat islamique, le royaume est le principal soutien des mouvements fondamentalistes qui s’étendent dans le monde entier

    David Rigoulet-Roze (suite) :

    C’est ce qui aurait poussé Riyad à passer un deal avec Oussama Ben Laden, à la faveur d’une rencontre organisée en 1991 entre le chef d’Al-Qaïda et le prince Turki Al-Fayçal[17] lorsque ce dernier était encore l’omnipotent chef du GID (services secrets saoudiens) : en contrepartie d’une somme de quelque 200 millions de dollars destinée à financer le djihad, il aurait été demandé et obtenu de Ben Laden, alors autorisé à quitter l’Arabie saoudite, de ne pas importer ce même djihad au sein du royaume saoudien, laissant en revanche une entière liberté d’action au fils prodigue pour aller semer la tempête aux quatre coins du monde[18]. Ce deal a toujours fait l’objet des plus vifs démentis de la part du principal intéressé saoudien mais il poursuit encore la réputation sulfureuse du Prince Turki al-Fayçal. Si pacte il y eut il devint bel et bien caduque avec la vague d’attentats des années 2003-2004 imputés à Al-Qaïda.

    La menace sur le royaume n’a pas disparu depuis et elle connaît un regain de vigueur inédit avec l’apparition de l’« Etat islamique » officiellement établi le 29 juin 2014[19], lequel a largement pris le relais d’une Al-Qaïda pour partie supplantée par sa redoutable concurrente djihadiste. On retrouve la même schizophrénie que précédemment si l’on considère que, dans un premier temps, l’EILL (« Etat islamique en Irak et au Levant ») devenu depuis l’« Etat islamique », a probablement bénéficié d’une certaine complaisance de la part des pétro-monarchies en général, voire de l’Arabie saoudite en particulier via la politique planifiée par le prince Bandar devenu chef d’Al Mukhabarat Al A’amah ou General Intelligence Directorate (GID) selon l’acronyme anglo-saxon, c’est-à-dire les services de renseignements du royaume, le 19 juillet 2012 jusqu’à son retrait sur décision royale le 15 avril 2014. L’EIIL, en effet, représentait un potentiel de déstabilisation avéré contre le régime alaouite – une secte dérivée du chiisme – du président Bachar al-Assad en Syrie et du gouvernement chiite pro-iranien de l’ancien Premier ministre Nouri al-Maliki en Irak. C’est certainement ce qui fait que cette organisation djihado-terroriste ait pu faire l’objet de financements de la part de certains « généreux donateurs privés » du Golfe ainsi que l’on qualifie souvent les initiateurs de ces fonds, afin éviter d’avoir à mettre éventuellement en cause les Etats en tant que tels. Mais cette indulgence coupable risque d’avoir un prix, car aujourd’hui l’« Etat islamique » est devenu une sorte de créature de Frankenstein qui proclame ouvertement son ambition d’expansion territoriale sur une large échelle du Proche et du Moyen-Orient arabo-musulman et de renverser les régimes stigmatisés comme « corrompus » de ces pétro-monarchies. La pression se fait d’ores et déjà sentir sur les frontières régionales. La menace n’épargne plus le royaume d’Arabie saoudite, pourtant siège des « deux lieux saints » que sont La Mecque et Médine, puisque l’« Etat islamique » par la voix d’un responsable de l’organisation, un certain Abou Tourab Al Mugaddasi, est allé rien moins que jusqu’à prôner la destruction de la Kaaba (« la Pierre noire »)[20] de la Mecque et de « tuer ceux qui adorent la pierre ». Et ce au motif que la vénération de cette « Pierre noire » qui faisait l’objet d’un culte pré-islamique renverrait au péché du Shirk (« associationnisme »), c’est-à-dire à une séquelle du polythéisme : « Si Allah le veut, nous allons tuer ceux qui adorent des pierres à la Mecque et détruire la Kaaba. Les gens vont à la Mecque pour toucher les pierres, pas pour Allah »[21].

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  • GPA, Grossesse pour achat

    Sur France inter :

    "[C'est] l'histoire d'un petit garçon de 3 ans qui n'est, littéralement, le fils de personne. Une colonne signée Philippe Ridet, le correspondant du Monde en Italie. Tout commence en Lombardie. Un couple hétérosexuel ne peut pas avoir d'enfant mais en veut absolument. Ils n'obtiennent pas l'adoption. Alors ils optent pour la GPA, une mère porteuse. Et ils se rendent pour le faire, en Ukraine, où la gestation pour autrui est autorisée. 30.000 Euros. Ni l'homme ni la femme venus d'Italie ne fournissent de gamètes. Mais elle fait semblant d'être enceinte pour son entourage - un coussin sur le ventre. A la naissance, la mère porteuse refuse de reconnaitre le bébé, un faux certificat de naissance est rédigé.

    Mais l'affaire se complique lorsqu'il faut déclarer le bébé (que la presse transalpine a baptisé Tommaso) à l'état civil en Italie. Pourquoi la mère est-elle allée accoucher à Kiev ? Comment a-t-elle pu prendre l'avion enceinte de neuf mois ? Expertise ADN, pot aux roses découvert, procès jusqu'à la cour de cassation. La décision tombe.

    Le couple a enfreint la loi italienne qui interdit formellement la GPA quel que soit le pays où elle est pratiquée. Et le dossier s'alourdit d'une fausse déclaration à l'Etat civil.

    Alors que devient le petit Tommaso ? La mère biologique n'a pas reconnu l'enfant, le père biologique est inconnu et le coupe de Lombardie est en infraction avec la loi, on ne l’autorise donc pas à adopter Tommaso. Il doit être adopté par une autre famille. En attendant, il n’est aujourd'hui le fils de personne."

    Si, il est l'enfant de ses parents biologiques, qui l'ont mis en vente.

    Marie Bethanie

  • Genre : en route vers la dictature ?

    Un énième rapport « relatif à la lutte contre les stéréotypes » a été remis au gouvernement.

    S’exprimant au nom du Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (HCEFH), ses auteurs promeuvent « la budgétisation sensible à l’égalité femmes-hommes, et en particulier le mécanisme d’"éga-conditionnalité" des financements publics », en vertu duquel ceux-ci seraient subordonnés « au respect de l’égalité femmes-hommes et à la lutte contre les stéréotypes de sexe ».

    « Les biens et services publics financés doivent bénéficier de manière égale aux femmes et aux hommes », soutiennent les rapporteurs, qui donnent en exemple la ville de Toulouse, dont la municipalité « s’est donné pour objectif d’opérer un rééquilibrage de l’attribution des subventions en faveur des associations sportives de femmes ». Selon eux, une telle démarche devrait inspirer l’ensemble des politiques publiques. Naturellement, la priorité est donnée à l’École : « à court terme », les collectivités locales finançant l’achat de manuels scolaires devraient veiller à ce que ceux-ci assurent, entre autres, « la valorisation des femmes dans l’histoire des savoirs ». L’enjeu serait « de faire coexister un moyen terme entre le respect du principe constitutionnel de la liberté d’expression [...] et le principe constitutionnel du respect de la dignité de la personne humaine ». Vraisemblablement aux dépens du premier de ces principes. « Hormis le début de caractérisation du sexisme ordinaire en droit du travail », déplorent les rapporteurs, « les propos, "blagues", ou comportements sexistes, ne sont pas visés en tant que tels par le droit ».

    La suite sur le Journal d’un eurosceptique désabusé

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Genre-en-route-vers-la-dictature

  • UMP et mariage : ne soyons pas dupes

    Suite au meeting de Sens Commun, Ludovine de La Rochère, présidente de La Manif Pour Tous, déclare :

     « Les propos tenus cet après-midi lors du meeting du mouvement Sens Commun par Nicolas Sarkozy, favori dans la course à la présidence de l’UMP, montrent la plupart des ténors de l’opposition souhaitent son abrogation : de Jean-Christophe Fromentin à Marine Le Pen, en passant par Xavier Bertrand, Laurent Wauquiez, Hervé Mariton ou Nicolas Sarkozy.

    Mais ne soyons pas dupes. Il ne s’agit encore que de déclarations d’intention. Il est donc aujourd’hui de notre responsabilité, comme de celle de l’ensemble des citoyens mobilisés pour la famille, le mariage et la filiation Père-Mère-Enfant de poursuivre notre action jusqu’à l’obtention de l’abrogation de la loi Taubira. Nous sommes actifs et vigilants depuis 2 ans. Nous le restons. Encore un peu de patience pour rétablir les droits de l’enfant ! »

    Michel Janva

  • Loi Taubira ? Sarkozy la girouette dit tout et son contraire…

    Samedi 15 novembre, Nicolas Sarkozy était le grand intervenant du meeting organisé par le collectif « Sens Commun », antenne de la Manif pour Tous au sein de l’UMP.

    Abordant la question de la loi Taubira, Nicolas Sarkozy assure qu’il faut « la réécrire de fond en comble ». Dans le public, la réplique fuse. « Abrogation ! Abrogation ! », scandent les militants. Et Sarkozy de s’adapter à son public du jour avec un aplomb d’arracheur de dents. « L’abrogation, si vous voulez… Cela ne coûte pas cher… », déclare l’ancien président. Comment faut-il comprendre cette petite phrase ? Faut-il en déduire qu’une promesse politique ne coûte pas cher ?

    Car le même Sarkozy a ensuite encore déclaré : « Je veux un mariage pour les homosexuels et un mariage pour les hétérosexuels qui tiennent compte de la différence, parce que ce n’est pas la même chose ».

    On pourrait résumer la pensée de Sarkozy plus simplement : « Je veux être Président et pour y arriver, je veux bien vous dire tout ce que vous voulez entendre… »

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  • GayLib se réjouit de l’élection de JC Lagarde à la présidence de l'UDI

    Et pour cause, selon ce lobby LGBT :

    "M Lagarde avec qui nous travaillons depuis plusieurs années, avait voté l'ouverture du mariage et de l'adoption pour les couples homosexuels en 2013."

    Michel Janva

  • Quand des parents doivent se battre pour que leurs enfants puissent aller en cours

    Au lycée Montaigne (Paris VI), des élèves venant du lycée ou de lycées avoisinants, ont bloqué l’accès aux cours afin de manifester contre les violences policières dans le cadre de la mort de Rémi Fraisse. Des parents, exaspérés que leurs enfants ne puissent pas aller en classe en pleine année scolaire, s'en sont pris aux manifestants qui les aspergeaient de neige carbonique. Un père attrape l'extincteur et le lance sur un manifestant (0'14") :


    Un parent délève frappe un lycéen au lycée... par Stphane_Aknin 

    La présidente de la fédération des parents d’élèves de l’enseignement public (PEEP) de Montaigne :

    "«L’établissement fait tout son possible pour maintenir l’ordre. Mais il ne peut rien faire de plus que d’appeler la police, et celle-ci ne veut pas intervenir parce qu’elle a reçu un ordre en ce sens. Elle ne veut pas d’une bavure qui relancerait la machine.» Pourtant, «l’accès à l’école publique est un droit fondamental, il doit être respecté» conclut-elle."

    Donc, pour éviter des bavures, la police laisse volontairement les parents se faire justice eux-même, quitte à les sanctionner par la suite. La justice, la vraie, veut que les lycéens soient en cours et non dans la rue, à empêcher leurs camarades de travailler, et le rôle de la police est de veiller à ce que ceci se fasse comme le prévoit la loi. Etat démissionnaire : tout cela va mal finir.

    Marie Bethanie

  • Immigration : Besancenot-Laurence Parisot, même combat !

    Entretien avec Alain de Benoist

    Autrefois, il y avait l’infernal tandem libéral-libertaire incarné par Daniel Cohn-Bendit et Alain Madelin. Il y a aujourd’hui celui formé par Najat Vallaud-Belkacem et Emmanuel Macron, avec cette particularité qu’ils appartiennent l’un et l’autre au même gouvernement. Alliance contre-nature ?

    Alliance parfaitement naturelle, au contraire, puisque le libéralisme économique et le libéralisme sociétal dérivent tous deux de la même conception d’un « homme économique » fondamentalement égoïste ayant pour seul but de maximiser rationnellement son utilité, c’est-à-dire son meilleur intérêt. Ce qu’on appelle l’axiomatique de l’intérêt n’est rien d’autre que la traduction en termes philosophiques de cette disposition naturelle de l’être humain à l’égoïsme. Le libéralisme pose l’individu et sa liberté supposée « naturelle » comme les seules instances normatives de la vie en société, ce qui revient à dire qu’il fait de l’individu la seule et unique source des valeurs et des finalités qu’il se choisit. La liberté libérale suppose ainsi que les individus puissent faire abstraction de leurs origines, de leur environnement, du contexte dans lequel ils vivent et où s’exercent leurs choix, c’est-à-dire de tout ce qui fait qu’ils sont tels qu’ils sont, et non pas autrement. La vie sociale, dès lors, n’est plus affaire que de décisions individuelles, de négociations procédurales et de choix intéressés.

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