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lobby - Page 1942

  • Les Enseignants pour l’Enfance écrivent à Benoît Hamon

    La lettre est ici. Extrait :

    "Comme vous le savez sans doute, le passage à la rue de Grenelle de votre prédécesseur aura laissé la marque de blessures profondes. Animée du projet d’avoir voulu « changer les mentalités », comme ce dernier aura pu l’écrire le 4 janvier 2013 dans une lettre aux rectrices et recteurs d’Académie, son action aura été une succession de maladresses et de violences. Les mensonges, reniements et falsifications dont il a fait preuve s’expliquent par la volonté qu’il a manifestée de vouloir inculquer aux jeunes les rudiments de l’idéologie du genre. Légitime à titre d’hypothèse scientifique, cette doctrine n’a pas sa place à l’École de la République, dont la mission première réside dans la transmission des connaissances. 

    Mais il y a eu pire encore. Ayant voulu entrer jusque dans la conscience des enfants, l’entreprise de Monsieur Peillon aura eu pour effet d’éveiller, chez bien des parents, une vive suspicion à l’endroit de l’autorité scolaire. Pour la première fois en effet dans l’histoire de notre institution, des milliers de parents ont retiré leurs enfants de l’École. Spontané et signifiant, ce geste a montré le divorce qui s’est installé au cœur de notre République et qui sépare désormais l’État des familles.

    Pour toutes ces raisons et dans un souci d’apaisement, nous vous demandons, au nom de notre association et de tous les parents qui soutiennent celle-ci, de retirer l’ABCD de l’Égalité de la programmation scolaire. Portés par un même désir d’unité, nous souhaitons que soit suspendue la diffusion du film « Tomboy » aux élèves du Primaire."

    Michel Janva

  • La « société civile », tarte à la crème des temps modernes…

    Entretien avec Alain de Benoist réalisé par Nicolas Gauthier

    La « société civile » est en train de devenir un nouveau mantra, que l’on dit susceptible de régénérer la vie politique. Mais au fond, c’est quoi, la société civile ? La société tout court ?

    Le fait est qu’on entend souvent dire que la « classe politique est dépassée » et que c’est à la « société civile » d’en prendre le relais. Politologues et sociologues rivalisent avec les grands organismes internationaux pour annoncer la renaissance de la « société civile » et en célébrer les vertus (compétence, expérience du terrain, liberté, créativité, etc.). Le problème, c’est qu’il s’agit d’une notion fondamentalement ambiguë et qui, surtout, n’a cessé d’engendrer au cours de son histoire des significations totalement opposées. Et les choses se compliquent encore sous l’influence de la langue anglaise, où « civil » (comme dans « civil rights ») peut aussi bien se traduire par « civique », ce qui achève de nous égarer.

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  • Affaire Mozilla : le terrorisme exercé par la mafia LGBT

    La démission du PDG de la fondation américaine Mozilla a créé une vaste polémique aux Etats-Unis. Bill Maher, célèbre commentateur politique et humoriste, dénonce :

    "Je pense qu'il y a une mafia gay, et que si vous croisez leur chemin, vous êtes mort".

    Andrew Sullivan, célèbre commentateur politique gay et conservateur, a ajouté :

    "Quand la vie et la carrière de gens sont détruites parce qu'ils ne renoncent pas publiquement à leurs convictions, alors une ligne rouge est dépassée. J'appelle cela du MacCarthysme appliqué par des civils. C'est la définition même de l'intolérance".

    Newt Gingrich, républicain et ancien président de la Chambre des représentants, a dit lors d'un débat sur ABC News.

    "C'est un exemple flagrant du nouveau fascisme: si vous n'êtes pas d'accord avec nous à 100%, nous avons le droit de vous punir".

    Michel Janva

  • Les USA et Israël se sont mis d’accord sur le principe d’une frappe contre l’Iran

    Un false flag que l’on attribuera à l’Iran servira de prétexte au déclenchement des hostilités. 

    Le chef d’état-major américain a confirmé que Washington n’écartait pas l’option militaire contre l’Iran

    Le chef d’état-major des États-Unis, Martin Dempsey a affirmé mardi que Jérusalem était maintenant convaincu que Washington n’écartait pas l’option militaire « si l’Iran sortait des sentiers diplomatiques », selon le journal américain USA Today.

    « Israël et les Etats-Unis ont atteint des points de convergence sur la menace potentielle que représente le programme nucléaire pour la région et sur ce qu’il doit être fait à ce « sujet » a confié le chef d’état-major américain à des journalistes dans l’avion qui le ramenait aux Etats-Unis, après une visite de trois jours en Israël, selon le quotidien américain.

    Les tensions qui ont agité les relations entre Washington et Jérusalem après les déclarations du ministre israélien de la Défense Moshe Yaalon accusant les Etats-Unis de faiblesse, se sont atténuées après que le ministre a présenté ses excuses au chef d’état-major américain au cours d’une réunion entre les deux hommes.

    Dimanche après-midi Dempsey a rencontré le chef d’état-major israélien, Benny Gantz. Les deux généraux ont fait un point sur la coopération militaire entre les deux pays.

    Malgré les divergences passées, Martin Dempsey s’est dit convaincu que Jérusalem était maintenant rassuré sur l’éventualité que les Américains puissent recourir à l’action militaire, si nécessaire.

    Lors sa visite en Israël, Dempsey a rencontré plusieurs responsables militaires et politiques, et a évoqué avec eux la possibilité d’une coopération sécuritaire entre Israël et ses voisins arabes du golfe Persique.

    Des relations « plus solides que jamais »

    Interrogé sur les récentes critiques émises par le ministre israélien de la Défense, Moshe Ya’alon, à l’encontre des Etats-Unis afin de savoir si elles avaient affectées les relations militaires des deux pays, Gantz s’est empressé de répondre : « nos relations sont sans aucun doute plus solides que jamais ».

    Dempsey a pour sa part parlé de « moment de grande clarté et de franchise », avant de déclarer « pouvoir toujours compter sur la candeur du partenaire israélien ».

    Concernant l’Iran, Gantz a tenu à souligner que « la capacité nucléaire était bien là ». Ce à quoi Dempsey a ajouté : « le président américain Barack Obama a pris un engagement très clair vis-à-vis de l’Iran et mon rôle est de lui fournir les options militaires à la hauteur de cet engagement (…) et nous le ferons ».

    L’option d’une attaque contre l’Iran a par ailleurs trouvé un autre soutien de poids aux Etats-Unis. L’ancien vice-président américain Dick Cheney a ainsi exprimé son soutien à une frappe israélienne sur les installations nucléaires de l’Iran ce week-end, dans un discours prononcé lors de la réunion annuelle de la coalition juive républicaine.

    Dans son allocution, Cheney a également stigmatisé la politique étrangère du président américain Barack Obama et a dénoncé les négociations en cours entre les pays du 5 +1 et Téhéran sur le programme nucléaire de l’Iran.

    L’Iran était au centre des préoccupations aux Etats-Unis ces derniers jours

    Source : http://www.wikibusterz.com/les-usa-et-israel-se-sont-mis-daccord-sur-le-principe-dune-frappe-contre-liran/

     

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EFAylkkllZxmkOSLWr.shtml

  • L’AFE Bordeaux à Jour de colère

     Ils étaient plus de 200 à s’être rassemblés à l’appel de Jour de Colère pour rappeler l’exaspération et l’agacement des Français à l’égard de la politique menée par l’Etat socialiste depuis bientôt deux longues années. Un rassemblement jeune et déterminé, un rassemblement mêlant petits commerçants et petits patrons, rassemblant étudiants et patriotes. Les camelots bordelais étaient bien sûr de la partie, la vente du journal au début et à la fin de la manifestation fût un véritable succès.

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    Aux cris de "Dictature socialiste", "Hollande démission", "Valls démission", "Aujourd’hui l’anarchie, demain la monarchie", ou encore Jeunesse de France contre la finance", le rassemblement s’est achevé devant la statue de Jeanne d’Arc, celle qui n’a jamais baissé la tête devant la perfidie, la corruption, la lâcheté, le mensonge et surtout la soumission. Le camelot sait tout cela, et un jeune royaliste arborant un de nos autocollants en a payé le prix. Il a été placé en garde à vue au début de la manifestation. La ploutocratie ripoublicaine n’a donc que ça à nous répondre.

    L’AFE Bordeaux

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-AFE-Bordeaux-a-Jour-de-colere

  • Manuel Valls, ou l’échec programmé

    M. Valls devra souscrire sans barguigner aux oukases du FMI, notamment en faisant passer le pays sous les fourches caudines de ce que l’on appelait naguère un « plan d’ajustement structurel ». 

    M. Valls, chef du gouvernement, est-il un homme de gauche ou un libéral sarkozyste mâtiné facho ? Se poser ce type de questio, c’est se condamner à ne pas y répondre. Parce que bien fort serait celui qui dirait aujourd’hui comment précisément distinguer la gauche politique de la droite idéologique ?

    Qu’est-ce en effet à présent qu’être « de gauche », à part se déclarer en faveur d’un « mariage pour tous » compris comme un formidable progrès et un substantiel accroissement de « droits » ? Sans que d’ailleurs personne ne dise, ni à gauche ni à droite, ni où ni comment doit s’arrêter la surenchère dans l’accroissement et la diversification sans limites des droits… ni où commence l’excessif, l’anormal, l’illégal, le pathologique, voire la délinquance et le crime. Les lignes bougent et les cervelles s’en retrouvent cul par-dessus tête.

    Ne comptons donc pas sur M. Valls, dans le court laps de temps qui lui est imparti avant la nouvelle Bérézina programmée des élections européennes, pour remettre de l’ordre dans lesdites « valeurs » républicaines dont il se gargarise si abondamment… et encore moins pour relancer le marché du travail, assainir des banlieues travaillées par un djihadisme ayant fait ses classes en Syrie avec la bénédiction du Quai d’Orsay. Ou encore pour alléger la pression fiscale et remettre l’économie à flot, par exemple en sortant sans fracas de la monnaie unique, c’est-à-dire en revenant au franc, qu’il serait alors loisible de dévaluer afin de regagner un peu de la compétitivité perdue. En l’occurrence un point et demi de croissance, postulent les experts.

    M. Valls ne fera rien de tout cela. Il fera certainement beaucoup de bruit en faisan, le cas échéant, coffrer et microficher quelques trublions des droites réputées extrêmes, avec ou sans l’aide de Mme Taubira, la miraculée du n°13 de la place Vendôme… tout en clamant martialement devant les caméras « No pasarán » ! Par conséquent, dire de M. Valls qu’il est une lumineuse incarnation du social-libéralisme planétarien, c’est enfoncer une porte ouverte. Mieux vaudrait préciser que M. Valls a pour vocation première, non point d’entendre les votes de protestation de ses concitoyens, mais d’appliquer la dure loi – dura lex sed lex – du redressement comptable imposée par la Commission de Bruxelles devant laquelle il devra se présenter incessamment sous peu. Dès la mi-avril, il devra en effet soumettre l’état des lieux d’une France désormais placée « sous surveillance renforcée ». Or, lundi 31 mars, l’INSEE révélait que le déficit public avait atteint 4,3 % en 2013 et non 4,1 % comme annoncé par le gouvernement Ayrault. La dette hexagonale aura ainsi progressé de 13,4 milliards d’euros au cours du quatrième trimestre 2013 pour atteindre 1.925 milliards d’euros, soit 93,5 % du PIB contre 90,6 % en 2012.

    Autrement dit, nonobstant les desiderata de Mme Merkel, M. Valls devra souscrire sans barguigner aux oukases du Fonds monétaire international, notamment en faisant passer le pays sous les fourches caudines de ce que l’on appelait naguère, et avec brutalité, un « plan d’ajustement structurel ». Il s’agissait d’une thérapie de choc que la Banque mondiale appliquait à ceux des pays africains qui rechignaient à sortir de l’ornière du sous-développement ! Remède de cheval consistant à tuer le patient pour que l’État retrouve au plus vite un bilan financier présentable. Aujourd’hui, grâce à quelques décennies de croissance à crédit – sans songer un seul instant que Shylock viendrait un beau jour réclamer sa livre de chair –, certains Européens particulièrement exposés peuvent espérer brûler les étapes en matière de tiers-mondisation accélérée… regardons du côté de la Grèce.

    Jean-Michel Vernochet

    Source : http://www.bvoltaire.fr/jeanmichelvernochet/manuel-valls-ou-lechec-programme,55688?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=5208b1e2fe-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-5208b1e2fe-30425913&mc_cid=5208b1e2fe&mc_eid=45f36b52ce

     

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EFAylyEulkoZKhmDRr.shtml

  • Paris (France) 03-04-2014 Manifestation contre Christiane Taubira Place Vendôme

  • Rwanda : 20 ans après, ce que vous ne lirez (toujours) pas dans la presse

    A l'occasion des 20 ans du génocide rwandais et alors que le président Paul Kagame accuse de nouveau la France d'être impliquée, Bernard Lugan anticipe l'entreprise de désinformation que vont nous servir nos médias. L'auteur deRwanda, un génocide en questions, livre donc, en libre accès sur son blog, de nombreux éléments sur l'enquête judiciaire en cours et tout ce qui est fait pour l'enterrer. Un long article passionnant, qui s'intéresse de près à l'élément déclencheur - l'attentat contre l'avion du président rwandais Habyarimana - sur lequel la Cour pénale internationale n'a jamais voulu enquêter. Et pour cause :

    "Comme l’a dit Madame Carla Del Ponte qui succéda à Louise Arbour au poste de Procureur du TPIR : « S’il était avéré que c’est le FPR [ndlt : la rébellion tutsie menée par Paul Kagame] qui a abattu l’avion du président Habyarimana, c’est toute l’histoire du génocide du Rwanda qu’il faudrait re-écrire »."

    On retrouve tous les éléments habituels d'une intervention américaine : intérêt géostratégique (pour des matières premières), diabolisation du régime en place, soutien à une rébellion présentée comme résistante et démocratique...

    Louise Tudy

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/04/rwanda-20-ans-apr%C3%A8s-ce-que-vous-ne-lirez-toujours-pas-dans-la-presse.html

  • C’est les soldes chez Charlie Hebdo !

    Les administrés de Fréjus, Hénin-Beaumont, Hayange ou Mantes-la-Ville peuvent se réjouir. La résistance s’organise, et le totalitarisme municipal frontiste ne sera bientôt plus qu’un mauvais souvenir. En effet, l’hebdomadaire « satirique » Charlie Hebdo vient de leur offrir un cadeau, que tous attendaient avec fébrilité, l’opportunité d’une vie : une réduction du coût de l’abonnement !

    J’aimerais tant moi-même vivre dans une ville dirigée par le Front national, je pourrais ainsi économiser une dizaine d’euros sur mon abonnement à Charlie Hebdo, somme que je reverserais sans tarder à l’association SOS Racisme de mon département. Ils en ont, de la chance, tous ces gens qui habitent dans une commune dirigée par la « bête », et ils vont devenir l’objet de sollicitations continues de la part du camp du bien ! Réductions sur le prix des bonbons « têtes de nègre » Haribo pour apprendre à aimer l’« autre », show spécial de Yannick Noah, pièces de théâtre engagées avec Dany Boon et Omar Sy dans « Bienvenue chez les totalitaires », happening d’artistes contemporains avec la fameuse « machine à caca » de l’artiste belge Wim Delvoye…

     

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  • Montée du racisme ?

    Il m’a été rapporté, il y a quelques jours qu’une nouvelle préoccupante était tombée sur « France info » : Le racisme serait à nouveau en progression dans notre pays d’intolérance et de préjugés, Malgré la mobilisation de Yannick Noah, d’Emmanuel le Béart ou de l’inénarrable BHL.

    Un sondage auprès d’un échantillon représentatif montrerait que le nombre de Français estimant qu’il y avait trop d’étrangers dans notre pays serait en augmentation. Je ne puis m’empêcher d’être atteint par une certaine perplexité. Le fait de trouver qu’il y ait trop d’étrangers dans notre pays serait-il constitutif d’une pensée raciste ?

    J’avoue que cette notion m’avait échappé et de fait, je comprends mieux que sur cette base là, compte tenu du taux d’immigration officielle comme clandestine dans notre pays en hausse constante, le racisme soit en progression.

    Evidemment, tout lien entre cette actualité et la percée du Front National aux élections municipales serait totalement fortuit. La tendance est au tragique et les bonnes consciences du show-biz nous mettent en garde. Attendons-nous à voir se multiplier les pogroms dans nos agglomérations comme aux « heures les plus sombres de notre histoire… » On nous parle de lynchage d’intolérance et de violence. Un peu, sans doute, comme à la proclamation des résultats à Fréjus où le FN l’emportant démocratiquement, on put voir les racailles, appelées par la gauche, insulter, menacer et même frapper les supporters du maire élu ?

    Ajoutons que dans le terme générique de « racisme » il convient aujourd’hui d’inclure la xénophobie, l’antisémitisme, l’islamophobie, l’homophobie et autres phobies diverses et variées exceptées bien sûr, sans qu’on sache trop pour quoi, la « cathophobie » et la « francophobie ».

    Autrement dit, si vous avez le malheur d’être blanc, catholique et hétérosexuel et que vous vous en trouviez bien sans trop le cacher, vous êtes en France par les temps qui courent à la limite de la délinquance et inutile d’essayer de vous lancer dans le journalisme ou le cinéma. On est loin de la victoire en 1998 à la coupe du monde de foot qui vit la France « black, blanc, beur » exulter dans une liesse fraternelle. Toute la presse émue aux larmes se représentait ainsi la nouvelle France du melting pot, celle qui gagne, la France cosmopolite de l’avenir. Et puis les années ont passé, on a sifflé des Marseillaises, brûlé des drapeaux français, agressé des petits blancs dans les manifs lycéennes, les gares, les trains, les rames de métro. On peut comprendre que certains se soient lassés et sans doute, n’étant pas abonnés à Canal +, ou au Nouvel Obs, ils n’ont pas su apprécier à leur juste valeur ces « chances pour la France ». Le fait est que l’arrivée massive de peuples exogènes qu’on a entassés dans les banlieues a forcément développé parallèlement une délinquance très typée, en témoigne la population carcérale du pays, même s’il faut surtout éviter de mettre tout le monde dans le même panier et c’est bien notre cas à l’AF.

    On arrive au paradoxe suivant que, si l’on peut constater aussi une montée des propos antisémites, ils viennent pour leur grande majorité des populations qui sont censées être victimes du racisme. Avouons que ça se complique sérieusement !

    Un autre paradoxe spectaculaire est que la France « black blanc beur » est aujourd’hui incarnée par l’humoriste métis Dieudonné, lui-même taxé des pires extrémismes qui menaceraient notre pays.

    Nous avons tous pu voir sur les réseaux sociaux, les nervis de la LDJ , (Ligue de défense juive, interdite en Israël) au tribunal où comparaissait l’humoriste , repoussés par cette France « cosmopolite » entonnant la Marseillaise. Il y a de quoi y perdre son latin et sa langue celtique. Et comble du comble, nous voyons émerger dans nos banlieues des musulmans qui brandissent le drapeau français et qui accusent la gauche de les avoir manipulés depuis trente ans.

    Vous allez voir que la république laïque et obligatoire, sectaire et mondialiste va s’en prendre aux musulmans, comme elle s’en est prise aux catholiques et que les « islamophobes » que nous serions censés être vont se trouver obligés de prendre la défense des musulmans de France.

    Quoiqu’il en soit, à l’AF, en toute tranquillité, nous dénonçons la politique migratoire irresponsable du pouvoir qui vise à dépersonnaliser notre peuple et déraciner les migrants dans le cadre du grand plan de remplacement imaginé par les organisateurs de la mondialisation. Nous dénonçons aussi la confusion entretenue entre les Français d’origine étrangère et les étrangers authentiques (cf revendication du droit de vote pour les étrangers). Nous refusons par ailleurs de devenir les fédérateurs externes de l’Islam en faisant de tous les musulmans des ennemis de la France. Nous refusons de suivre les idiots inutiles, lesquels, bloquant toutes voies de concertation, favorisent ainsi la naissance de la « Oumma » dont rêvent les islamistes.

    Pour nous, les racines de la France sont certes catholiques mais un Français, quelle que soit sa religion et la couleur de sa peau, est considéré comme français dès lors qu’il reconnaît notre patrie comme la sienne et qu’il est prêt à verser son sang pour elle.

    Toute autre attitude, que l’on soit de souche ou d’origine étrangère, ne peut être considérée que comme une trahison.

    Et si on sanctionnait en France tous ceux qui crachent sur le pays ? S’ils sont étrangers, qu’ils retournent chez eux ; s’ils sont français, qu’ils risquent la prison... Je crois qu’on y verrait rapidement plus clair.

    Olivier Perceval, secrétaire général de l’Action française

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Montee-du-racisme