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  • La morale est un gros mot, sauf quand il s'agit de censurer des idées

    Alors que plusieurs candidats inquiétés par la justice ont été réélus dès le premier tour des municipales, Philippe Bilger relève que notre société a paradoxalement une exigence éthique à l'égard des idées et non des comportements :

    "Le délitement de la liberté d'expression en France, voire son saccage délibéré par des instances et des autorités qui devraient se faire un honneur d'au moins la sauvegarder ont constitué le royaume des idées non plus comme la possibilité infinie et contradictoire d'échanges pluriels mais pour un ghetto où tout propos devra être labellisé éthiquement, toute phrase, tout écrit moralement validés. Le paradoxe, donc, est que ce qui aurait dû échapper à la vertu de l'âme, parce que l'intelligence est critique, multiforme et n'a de comptes à rendre qu'à elle-même ou à la loi quand celle-ci n'est pas équivoque, y est soumis au contraire. L'idée aurait le devoir d'être bonne avant d'être juste ou lucide.

    Les comportements, à rebours, dont l'éthique devrait être le sang qui les irrigue et la force qui les anime, ont toute latitude pour se conduire comme ils le souhaitent et on se garderait bien de leur appliquer une grille rigoureuse qui porterait atteinte à leur déplorable impunité. On n'a pas le droit, en politique ou en culture, de penser comme on veut mais se comporter comme un malappris, pour rester poli, est autorisé et même, en certains cas, recommandé.

    Au fond, on a moralisé la pensée et banalisé l'action.

    (...) On constate qu'au nom de la présomption [d'innocence] pourtant souvent mise à l'épreuve, Nicolas Sarkozy continue à être le préféré de l'UMP, que Stéphane Richard est choisi par le Conseil d'administration d'Orange et que d'autres s'avancent sans trop d'angoisse car ils n'ignorent pas que la justice est lente et que même condamnés, le peuple qui a des raisons que la morale ne connaît pas les tirera de la nasse.

    C'est déprimant. La morale est un gros mot en France.

    Pourtant, malgré mon pessimisme, je continue à espérer qu'un jour, les élections seront d'abord un moyen de "faire la morale" à ceux qui réclameront nos suffrages. Pourquoi pas dimanche prochain ?"

    Louise Tudy

  • La situation en Ukraine et les sanctions contre la Russie attisent les tensions internationales

    La situation en Crimée (photo de sa capitale, Simferopol) est désormais stabilisée. La péninsule russe rattachée à l’Ukraine en 1954 est retournée à la Russie. La marine et les troupes ukrainiennes présentes en Crimée ont été désarmées sans incidents.

    L’intérêt se porte désormais sur le traitement réservé aux populations russes et russophones en Ukraine

    Alors que des journalistes russes sont régulièrement agressés en Ukraine, le tribunal régional de Kiev a ordonné la suspension du droit de diffusion de quatre chaînes de télévision russe en Ukraine. Les opérateurs des réseaux par câble ont déjà coupé les lignes de ces médias. Moscou a annoncé en début de semaine détenir les preuves de persécutions contre les populations russes en Ukraine par des « Ultranationalistes ». Le 20 mars, l’Organisation des Nations unies avaient déjà établi de nombreux cas de persécutions de ce genre. L’Ukraine, de son côté, proteste contre la concentration de troupes russes à ses frontières.

    Les Etats‑Unis et l’Union européenne privilégient les sanctions économiques et politiques. Des sanctions qui ne font pas l’unanimité

    Notamment en Allemagne. Selon l’ancien chancelier allemand social‑démocrate Helmut Schmidt, les sanctions et l’annulation de la réunion du G8 en Russie, désormais exclue de ce groupe, sont des « foutaises ». Par ailleurs, Helmut Schmidt a déclaré que la politique de Vladimir Poutine en Crimée était « compréhensible » et que si la situation en Ukraine était dangereuse, la réaction des pays occidentaux n’a pas été la bonne.

    Enfin, les sanctions contre la Russie ne semblent pas avoir préoccupé le groupe allemand Siemens. Son président‑directeur général était hier à Moscou et a rappelé vouloir renforcer la coopération de son groupe avec la Russie, notamment Gazprom.

    http://fr.novopress.info/161028/situation-en-ukraine-les-sanctions-contre-russie-attisent-les-tensions-internationales/#more-161028

  • Bordeaux : La propagande du genre enseignée aux enfants de maternelle !

    28/03/2014 – BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux)
    Le tract ci-dessous annonçant l’exposition est très clair : « À l’occasion de l’ouverture de sa nouvelle exposition du Carré des 3 – 6 ans destinée aux petits, Cap Sciences vous propose une journée spéciale enseignants de présentation de l’exposition et de son atelier (…) cette exposition invite les enfants à faire des choix d’activités, de comportements, de postures et d’attitudes selon leurs envies et leurs intérêts en dépassant les stéréotypes liés au sexe ».

    Comme le précise le document, « cette exposition s’adresse aux PS, MS et GS » [petite, moyenne et grande sections de maternelle]. Dans l’activité « Le méli-mélo des rencontres », les enfants sont amenés à « trouver des « paires d’amis » en fonction de leurs affinités » et à s’exprimer « au-delà des codes du genre. »

    Les partenaires de cette exposition sont la région Aquitaine, le Conseil Général, la CUB (Communauté Urbaine de Bordeaux), l’académie et la mairie de Bordeaux.

    En janvier dernier, le ministre de l’éducation nationale, niant la réalité de l’application de cette théorie dans l’Éducation nationale déclarait : «  Il y a un certain nombre d’extrémistes qui ont décidé de mentir, de faire peur aux parents. Ce que nous faisons à l’école, c’est uniquement enseigner les valeurs de la République ». Le 29 janvier dernier, Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes, rajoutait : « il n’y a aucune théorie du genre qui est développée dans les écoles primaires de France ». Vraiment ?

    Bordeaux : La propagande du genre enseignée aux enfants de maternelle !

    http://fr.novopress.info/160997/bordeaux-propagande-du-genre-enseignee-aux-enfants-maternelle/#more-160997

  • Le statut du faux-parent bientôt à l'Assemblée ?

    D'après l'Express, le gouvernement prévoit l'examen d'un texte sur "l'homoparentalité et le statut du beau-parent" à l'Assemblée entre fin mai et fin juin. Ce qui confirmerait que le gouvernement n'a pas cédé mais seulement reporté sa "loi famille", expurgée de l'article ouvrant la PMA aux lesbiennes.

    un texte à l'Assemblée sur l'homoparentalité et le statut du beau-parent,
    En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/politique/pacte-de-responsabilite-justice-famille-le-calendrier-de-hollande_1503011.html#MrcFD3VvLs04h77A.99

    Louise Tudy

  • La journée de retrait des écoles prévue ce 31 mars reçoit le soutien des infirmières et médecins catholiques

    acim-MPI

     

    Nous recevons le communiqué de l’Association Catholique des Infirmières et Médecins en soutien à la Journée de Retrait des Ecoles prévue pour ce lundi 31 mars.

     

    Communiqué de l’Association Catholique des Infirmières et Médecins, le 28 mars 2014

    Le gouvernement du président Hollande veut nous faire croire que la théorie du genre n’existe pas et qu’elle n’est pas imposée à nos enfants. Il s’agit d’un gigantesque mensonge identique à celui qui prétend que la courbe du chômage est sur une pente descendante. Or que cela soit les « études » ou la «  théorie »,  le gender est expérimenté et propagé aux écoliers en bas âge et jusque dans les universités au nom de la lutte contre « l’homophobie ». Nos enfants sont donc devenus des cobayes.

    Rappelons que la théorie du gender prétend que le sexe qui nous est donné par la nature est optionnel. Il appartient à chacun de le déterminer en fonction  de ses désirs dès le plus jeune âge. Or biologiquement le sexe est déterminé par les chromosomes XX pour la femme et XY pour l’homme. Vouloir manipuler les chromosomes est létal c’est-à-dire entraîne la mort.

    La logique est que celui qui veut changer de sexe doit se soumettre à des mutilations effroyables. Imagine-t-on ce que c’est chirurgicalement que de transformer une femme en homme et inversement. Le tout suivi de prise d’hormones durant toute la vie avec les complications que cela entraîne sur le plan médical ;  sans compter la diffusion dans la nature de produits hormonaux qui modifie tout l’équilibre écologique de la planète.

    Pour cette folie biologique, dans tous les cas, le médecin sera sollicité : pour le bricolage chirurgical, pour les troubles psychologiques ou psychiatriques entraînés par ces modifications, pour les désordres médicaux  causés par l’hormonothérapie..

    Notre devoir de médecins, de soignants et de parents est de mettre en garde contre l’application du gender dans notre société par un gouvernement qui n’écoute personne, mené par une idéologie de mort. Nos enfants en bas âge seront  alors les premières victimes.

    Face à cela nous sommes désormais en état de légitime défense. Il est plus que temps de réagir contre cet attentat à la nature avec les moyens que nous avons.

    L’Association Catholique des Infirmières et Médecins demande à tous les parents craignant pour leurs enfants de se joindre à la Journée de Retrait des Ecoles organisée ce 31 mars et de ne pas envoyer leurs enfants à l’école publique ce lundi.

    Dr Jean-Pierre Dickès, président de l’ACIM

    http://medias-presse.info/la-journee-de-retrait-des-ecoles-prevue-ce-31-mars-recoit-le-soutien-des-infirmieres-et-medecins-catholiques/8067

  • Garde à vue supprimée par Taubira : l’espèce d’icône veut finir en beauté !

    Le garde des Sceaux, zombie politique d'un mois de mars où son image de perroquet moraliste a pris un sale coup, finit de faire le « boulot » ces jours-ci.
    Après des mois d’orgie laxiste, passés à faire en sorte que le maximum de taulards puissent de nouveau humer le bon air du dehors, le festival Christiane Taubira se termine littéralement en feu d’artifice. Le garde des Sceaux, zombie politique d’un mois de mars où son image de perroquet moraliste a pris un sale coup, finit de faire le « boulot » ces jours-ci. Du moins, c’est à espérer, car on n’imagine pas qu’elle conserve son poste au lendemain du désastre électoral qui s’annonce !
    Alors tant qu’à faire, le ministre pousse le bouchon le plus loin possible, quitte à écœurer encore un peu plus le monde judiciaire : au nom du gouvernement Ayrault, à l’aide d’une « procédure accélérée » (amendement adopté au Sénat le 24 février dernier), elle projette en effet de supprimer la garde à vue de 96 heures pour escroquerie en bande organisée !
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  • La charge de Sarko contre le système dont il est issu, par Raoul Fougax

    Une république totalitaire traquant les nouveaux suspects

     

    Heureusement qu’il a parlé de Stasi et pas de Gestapo. Dans le cas contraire, en plus d’être lapidé, Nicolas Sarkozy aurait été brûlé sur la place publique. Sur le fond, pourquoi aller chercher une référence si loin de la France, en Allemagne de l’est.

     

    Notre république qui s’assimile abusivement à une démocratie a des antécédents totalitaires plus français. Il suffit de se référer aux grands ancêtres de cette révolution dont la gauche s’estime l’héritière et Sarkozy aussi, tant pis pour lui. Héritière, elle l’est au niveau du totalitarisme idéologique. Le système (presse- justice – politique) a remis au goût du jour médiatique la loi des suspects. Les suspects, ce sont ceux qui ne seraient pas de bons républicains. Certes le monde a changé, c’est moins violent physiquement, mais l’approche est la même.

     

     

     

    La Loi des suspects est votée le 17 septembre 1793 pendant la Terreur de la Révolution française. Elle marque un net affaiblissement du respect des libertés individuelles, voire une « paranoïa révolutionnaire». Avec cette loi, sont réputés suspects ceux qui «soit par leur conduite, soit par leurs relations, soit par leurs propos ou leurs écrits, se sont montrés partisans de la tyrannie ou du fédéralisme, et ennemis de la liberté, ceux qui ne pourront  justifier, de la manière prescrite par le décret du 21 mars dernier, de leurs moyens d’exister et de l’acquit de leurs devoirs civiques ; ceux à qui il a été refusé des certificats de civisme, les fonctionnaires publics suspendus ou destitués de leurs fonctions par la Convention nationale ou par ses commissaires et non réintégrés, ceux des ci-devant nobles, ensemble les maris, femmes, pères, mères, fils ou filles, frères ou sœurs, et agents d’émigrés, qui n’ont pas constamment manifesté leur attachement à la Révolution, ceux qui ont émigré dans l’intervalle du 1er juillet 1789 à la publication du 30 mars – 8 mars 1792, quoiqu’ils soient rentrés en France dans le délai prescrit par ce décret ou précédemment ».

     

    Cette loi ordonnait l’arrestation de tous les ennemis, avoués ou susceptibles de l’être, de la Révolution. Son contenu fut encore durci en 1794 et les arrestations furent confiées aux comités de surveillance et non aux autorités légales. Selon Jean Tulard, il y eut 500.000 prisonniers et 300.000 personnes assignées en résidence surveillée.

     

    Bien sûr, les temps ont changé et la guillotine a été remplacée par la lapidation médiatique. Mais on est condamné à une mort civique. Il y a bien un système qui considère  à abattre ceux qui n’adhèrent pas totalement à  ses valeurs. Tous sont qualifiés d’anti-républicains d’une manière ou d’une autre. On n’est pas si loin de 1793 finalement. C’est bien la même mentalité… une mentalité de traque et d’épuration  permanente. Sarkozy a été un dénonciateur avant d’en être une victime. Car on est toujours le suspect de quelqu’un.

     

    Cette vigilance républicaine est exercée notamment par les journalistes de gauche qui traquent les «  mauvais citoyens «  et les livrent à une justice militante. Qui peut penser le contraire? On a traqué les candidats du FN pendant toute la campagne pour diaboliser le parti et entraver son ascension annoncée. Cela a été jusqu’à samedi où, la campagne étant terminée, on a rendu public pour le disqualifier un Sms du candidat FN à Perpignan, Louis Alliot, ayant traité un journaliste de pute.

     

    Si on traite les magistrats de bâtards et les journalistes de putes dans des conversations privées, ces deux professions devraient s’interroger et ne pas seulement s’indigner. C’est que le vocabulaire traduit une colère face a des comportements partiaux et  bénéficiant de l’impunité.  Quand à la gauche elle traite Sarkozy de Berlusconi, ce qui n’est certes pas dans son esprit un compliment.

     

    A chacun ses références.

     

    Raoul Fougax

     

    Source: Metamag.

    http://fr.novopress.info/160841/charge-sarko-contre-systeme-dont-il-issu-raoul-fougax/#more-160841

  • La France condamnée 28 fois par la Cour européenne des droits de l’homme

    Publié le 28 mars 2014

    http://fr.novopress.info/

  • Laurent LOUIS dénonce la colonisation de l'Ukraine par les USA et l'Europe !