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lobby - Page 2003

  • Louis Dumont de Jour de Colère: « Nous attendons que les parlementaires arrêtent de se faire les complices du gouvernement »

    26janvier23Après la manifestation du 26 janvier, nous avons de nouveau interrogé Louis Dumont, l’un des organisateurs de Jour de Colère, pour tirer le bilan de cette mobilisation.

    1)  Après la manifestation, l’heure est au bilan. En tant qu’organisateur, pour vous est-elle un succès ?

    Nous avons atteint nos objectifs au-delà de toute attente. Plus de 100 000 personnes d’origines très diverses, tant sociales que géographiques, ont répondu à notre appel. Malgré la gravité et les différences de revendications, les manifestants ont défilé dans le calme, en se respectant mutuellement. Et les gens sont restés jusqu’au bout, attendant la fin des discours avant de se disperser, et ce malgré une pluie battante.

    Donc malgré les pronostics et une faible couverture médiatique en amont, le Jour de Colère a été un beau succès.

    2)  Malgré ce qu’on a pu lire ou entendre, le cortège était assez hétéroclite. N’est-ce pas le signe que la colère gagne différents milieux de la société française ?

    Nous revendiquons la présence de toute la France dans sa diversité.

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  • Le CRIF veut interdire Rivarol !

    Editorial de Jérôme Bourbon dans le dernier numéro de Rivarol :

    « Jeudi dernier l’on pouvait lire sur le site officiel du Conseil représentatif des institutions juives de France une tribune d’un certain Marc Knobel intitulée «  Rivarol, ce journal obscène », pas moins, et appelant non seulement à un procès contre nous pour injure publique et provocation publique à la haine envers les juifs mais exigeant des pouvoirs publics l’interdiction du journal, en tout cas au moins son interdiction à la distribution et à la vente dans les kiosques, ce qui revient de toute façon à tuer le journal. Nous publions en page 2 de ce numéro l’intégralité de cet appel à la répression contre le doyen des hebdomadaires de l’opposition nationale car il est révélateur de l’hystérie d’une coterie qui ne souffre plus que puisse s’exprimer la moindre voix discordante, aussi modeste soit-elle.

    Il est faux de prétendre que nous avons injurié qui que ce soit ni appelé à la haine. L’expression qui a tant fait bondir certains représentants autoproclamés de la communauté juive, « l’insupportable police juive de la pensée », ainsi que nous l’avions explicitement indiqué, n’est pas de nous mais de l’historienne et éditorialiste juive Annie Kriegel (1926-1995) qui, le 3 avril 1990, dans Le Figaro, s’était fermement opposée au vote d’une loi créant un délit de révisionnisme : « En confiant au pouvoir judiciaire la tâche détestable de paraître traquer le délit d’opinion et d’expression, en espérant de la concurrence entre organisations “antiracistes” une obsessionnelle chasse aux sorcières qui présente les mêmes excès que n’importe quelle chasse de cette nature, en s’abritant derrière des institutions juives inquiètes pour légitimer une insupportable police juive de la pensée, Michel Rocard (NDLR : qui était alors Premier ministre de François Mitterrand) devrait s’interroger en conscience s’il ne se prête pas à une assez répugnante instrumentalisation des concepts de racisme et d’antisémitisme en vue d’objectifs peu avouables. » Or Annie Kriegel peut difficilement être taxée d’antisémitisme, non plus qu’Eric Zemmour, que nous avions également cité, et qui avait de manière intellectuellement honnête et courageuse, dénoncé, à propos de l’affaire Dieudonné, « le partenariat communautariste » entre le CRIF et le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls.

    Il est trop facile de crier à l’antisémitisme dès que l’on se permet de critiquer, avec des arguments étayés, le comportement d’un certain nombre de dirigeants de la communauté juive ou que l’on se moque dans des sketches d’attitudes en effet révoltantes. Cette accusation universelle d’antisémitisme est très commode car cela permet de disqualifier sur le plan politique, social et, espèrent-ils, administratif et judiciaire tous ceux qui refusent de s’en laisser conter et de passer sous les fourches caudines d’un certain lobby. Critique-t-on Israël pour son inhumanité à l’égard des Palestiniens, l’on est antisémite. S’interroge-t-on sur la légitimité historique et politique d’un Etat qui s’est imposé par la force et qui met à feu et à sang le Proche-Orient depuis des décennies, l’on est antisémite. S’oppose-t-on à une législation d’exception qui interdit aux historiens d’étudier sans tabou et en toute liberté tous les événements de la Seconde Guerre mondiale, l’on est antisémite. S’étonne-t-on d’une décision de circonstance prise de toute urgence par le Conseil d’Etat à la demande du gouvernement et qui tourne soudainement et brutalement le dos à une jurisprudence antérieure et à toute la tradition du droit public français et se scandalise-t-on que cette décision soit prise par un seul magistrat qui se trouve être de surcroît l’arrière-petit-neveu du capitaine Dreyfus, et qu’il est donc en quelque sorte juge et partie, l’on est antisémite.

    En criant ainsi au loup sans raison, le CRIF sera responsable d’une éventuelle montée de l’antisémitisme dans la population car s’en prendre ainsi à un humoriste, perquisitionner tous ses domiciles et son théâtre au moment même où Hollande répudie officiellement sa maîtresse (Trierweiler, pas Gayet !) par un communiqué laconique (le droit de répudiation fait-il son grand retour ?), le placer en garde à vue ainsi que sa compagne, vouloir sa mort sociale, le traquer sur le plan fiscal, administratif et judiciaire, interdire de manière préventive ses spectacles — comme il y a eu une guerre préventive en Irak contre les prétendues armes de destruction massive de Saddam Hussein, alors que les seules armes de destruction massive qui ont détruit et ravagé complètement la Mésopotamie étaient dans les faits celles des Américains et de leurs alliés —, vouloir interdire un hebdomadaire qui vient de souffler ses soixante-trois bougies ne peut qu’exacerber les antagonismes. Il devient en effet insupportable que la parole soit ainsi étouffée, la pensée contrôlée, le moindre geste épié. Au rythme où vont les choses, il deviendra désormais suspect de manger une banane, un ananas ou une quenelle et il faut faire très attention à la façon dont on agite le bras. Vers le haut, c’est un salut nazi, vers le bas, c’est un salut nazi inversé tout aussi répréhensible. L’on vit vraiment dans un monde d’aliénés.

    Un nombre grandissant de Français semble commencer à s’en rendre compte. En témoigne notamment le succès dimanche dernier du jour de la colère où, selon la police du régime, 17 000 personnes ont bravé de fortes pluies pour dire leur mécontentement contre la pression fiscale, la destruction de la famille et de la morale naturelle, la persécution des automobilistes et des contribuables, la mise en cause des libertés fondamentales. Béatrice Bourges, l’une des organisatrices de cette manifestation qui avait répondu à nos questions la semaine dernière, a d’ailleurs commencé une grève de la faim, durcissant ainsi son opposition à un gouvernement qui sape les fondements de la civilisation, viole impunément le Décalogue et détruit nos libertés. A la fin de la manifestation, la police a encore procédé à de multiples interpellations musclées et à des gardes à vue, ce qui n’est pas une nouveauté, des CRS ayant gazé des enfants et des vieillards lors des manifestations contre le “mariage” homosexuel. Si Valls, ce sinistre Fouquier-Tinville, pouvait nous faire passer sous les roues de ses chars comme les communistes chinois à Tien An Men, le 4 juin 1989, il n’hésiterait pas !

    Face à un pouvoir tyrannique qui ne souffre plus la moindre opposition, qui a matraqué les manifestants l’hiver dernier, qui a dissous cinq groupements de droite nationale, qui interdit des spectacles, il faut plus que jamais serrer les rangs car l’on peut s’attendre à tout. Nous prolongeons exceptionnellement les abonnements de Noël jusqu’à la fin du mois de février. Ceux qui ne peuvent payer en une fois peuvent nous envoyer plusieurs chèques que nous encaisserons aux dates que vous nous indiquerez. Profitez aussi du prélèvement automatique de 11 euros mensuels (voir le bulletin sur notre site ou le demander à nos bureaux), de l’abonnement numérique annuel à 80 euros, des abonnements de trois mois (36 euros), de six mois (64 euros) voire pour ceux qui le peuvent de deux ans (194 euros). Vous pouvez aussi renouveler par anticipation votre abonnement ou (vous) offrir des abonnements de soutien. Même si le pire n’est heureusement jamais sûr et que nous avons bien l’intention de nous battre, l’année s’annonce chaude voire brûlante. Comme à Verdun il nous faut tenir. Etre et durer, telle est la belle devise des parachutistes. Aidez-nous à durer car manifestement certains ont décidé de nous éliminer, au moins des kiosques. Et même si bien sûr nous aimons mieux mourir libre que vivre esclave, nous préférons quand même rester debout. »

    Source Rivarol

    http://www.contre-info.com/le-crif-veut-interdire-rivarol#more-31205

  • Référendum sur la Turquie : et pourquoi pas tout de suite ?

    Lu dans Minute :

    "Car le coup du référendum sur la Turquie, c’est le fameux double effet « kiss cool ». D’une part, on connaît la soif de démocratie (directe) des Français et le fait que le président socialiste y ait recours ne peut que lui apporter quelques sympathies, dont lui comme son parti ont bien besoin. D’autre part, ancrer la question turque au coeur du débat des élections européennes de mai prochain, c’est paradoxalement jouer un vilain tour à l’UMP en favorisant sans doute le Front national dont on peut imaginer qu’il parlera plus fort et plus clair sur le sujet. D’autant qu’on sait bien que, pour les électeurs, la Turquie fait aussi office de symbole. Refuser la Turquie, c’est refuser l’Europe telle qu’elle se construit et surtout signifier son refus de l’entrée d’un pays musulman. [...]

    Enfin, François Hollande vient aussi d’offrir un joli gilet pare-balles à sa majorité sur ce sujet épineux. Car la question divise au sein des cadres du parti, mais encore plus au sein de son électorat. Du coup, la ritournelle « les Français auront le dernier mot » pourrait bien arranger tout le monde. La synthèse, toujours la synthèse…

    Car si comme nous l’avons déjà évoqué les Français s’opposent à 83 % à l’adhésion de la Turquie d’après l’Ifop, c’est le cas de 73 % des électeurs de gauche et même de 81 % des électeurs socialistes! Il y a peu de chances de voir la situation s’inverser d‘ici un éventuel vote. Eventuel, car François Hollande ne s’est pas risqué à donner une quelconque date, ni même une indication. Il espère sans doute qu’il ne sera plus là quand le moment (« le jour venu » s’est-il contenté de dire lors de sa conférence de presse) arrivera. [...]

    On regrettera toutefois qu’il ne lance pas, tout de suite, la procédure référendaire, afin que les Français sachent ce que leur coûte la procédure de pré-adhésion. En 2011, un rapport d’experts allemands indépendant estimait que la Turquie avait déjà perçu de l’Union européenne trois milliards d’euros rien que pour la période 2007-2010, somme qui doit atteindre aujourd’hui cinq milliard d’euros. Le Commissaire européen à l’élargissement avait alors botté en touche en déclarant que « les coûts de l’adhésion de la Turquie ne pourront être estimés que dans la phase terminale des négociations ». [...]"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/01/r%C3%A9f%C3%A9rendum-sur-la-turquie-et-pourquoi-pas-tout-de-suite-.html

  • Lettre à Manuel Valls d’un « intégriste de l’ultra-droite catholique »

    Vous venez de me donner l’ultime argument qui manquait à ma décision de défiler dimanche prochain.

    Je suis ce que vous appelez un « intégriste de l’ultra-droite catholique » qui s’est levé pour défendre une opinion différente « lors des débats sur l’avortement ou sur le mariage homosexuel ». Permettez que je me sente visé par votre intervention du mercredi 22 janvier (1) auprès de votre groupe à l’Assemblée nationale et acceptez le droit de réponse qui suit.

    Pour être à même de nous comprendre, il me semble important de partager un sens commun aux mots que nous utilisons.

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  • [Témoignage] Nous avons testé pour vous... les geôles de la République

    par Ludovic Greiling, de Politique Magazine

    Paris, 26 janvier : 250 personnes en garde à vue. Comment la police en est-elle venue à opérer des arrestations massives après une manifestation autorisée ? Enquête d’un journaliste qui a eu le tort d’oublier sa carte de presse...

    « C’est une rafle ». L’officier de police qui marche dans le couloir du commissariat ne mâche pas ses mots. Il fait écho à plusieurs agents croisés avant lui, qui ne trouvaient d’autres termes pour désigner l’arrestation massive survenue hier, dans le 7ème arrondissement de Paris. Dimanche soir, près de deux-cents cinquante personnes ont été interpellées, fouillées puis placées en garde à vue pour une nuit ou plus, suite à la manifestation organisée par le collectif "Jour de colère". Pour combien de condamnations ? On ne le sait encore.

    Dimanche, 17 h 30, à l’arrivée de la manifestation.

    Les organisateurs n’ont pas fini de crier leurs revendications au micro que, au loin, des dizaines de cars de CRS sont prêts à intervenir. Toutes les issues menant à la place Vauban, où se trouvent l’estrade et la sono, sont bouclées. Pour y parvenir, on est obligé de palabrer devant un barrage de CRS. Sur scène, les intervenants égrènent leurs reproches et demandent la démission du gouvernement. Béatrice Bourges, du "Printemps français", annonce un « jeûne ». Une partie de la foule présente - quelques dizaines de milliers de personnes - commence à se disperser. La journée explosive qu’attendaient certains observateurs n’a pas eu lieu. [...]

    La suite ici

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Temoignage-Nous-avons-teste-pour

  • Le mensonge de Vincent Peillon sur l'enseignement de la théorie du genre

    Inquiet de l'écho reçu par l'initiative de Farida Belghoul invitant les parents à retirer leurs enfants de l'école un jour par mois pour protester contre l'enseignement de la théorie du genre, Vincent Peillon a lancé aujourd'hui une contre-offensive médiatique, pour stopper ce qu'il appelle une "rumeur mensongère".

    L'Observatoire de la théorie du genre réplique :

    "On ne peut que constater que Najat Vallaud Belkacem, ministre déléguée aux droits des femmes, Christiane Taubira, ministre de la justice et Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale, ont commandé des études et des rapports à des « militants » qui s’inspirent des théoriciens les plus radicaux de la théorie du genre.

    Dans la diffusion de cette « théorie », l’Education nationale joue un rôle moteur avec plusieurs dispositifs, comme :

    • Le dispositif « ABCD égalité » qui de façon insidieuse s’inspire des théories de « l’éducation neutre » telle qu’elle se pratique en Suède.

    • L’expérimentation, soutenue par Najat Vallaud Belkacem, de crèches neutres s’inspirant de la crèche Egalia à Stockolhm.
    • La généralisation de l’éducation sexuelle à l’école pour tous les élèves à partir de 6 ans. Le ministère allant jusqu’à recommander la participation en classe d’intervenants issus d’associations clairement militantes.
    • La promotion faite par Vincent Peillon, dans une circulaire adressée à l’ensemble des recteurs le 4 janvier dernier, de l’association « Ligne Azur » qui intervient auprès des enfants notamment sur la question de l’identité sexuelle et l’identité de genre en affirmant sur ses supports pédagogiques : «  que l’identité de genre c’est le sentiment d’être un homme ou une femme. Pour certains, le sexe biologique coïncide avec ce ressenti ». Sic !
    • La diffusion dans le cadre du programme « Ecole et cinéma » du film militant « TOMBOY », où l’on invite des enfants de CE2, CM1, CM2 à s’identifier à une petite fille qui se fait passer pour un petit garçons.
    • Les recommandations du principal syndicat d’enseignants du primaire d’utiliser en classe des livres "non-genrés" comme "Papa porte une robe".

    Voilà quelques uns des motifs pour lesquels, les parents ont des raisons de s’inquiéter.

    Le ministère semble d’ailleurs loin d’être à l’aise sur cette question puisqu’il entretient le plus grand secret sur ces dispositifs. Il refuse, par exemple, de communiquer la liste des établissements expérimentant le programme « ABCD égalité » ; il exclut les parents des évaluations de ce dispositif et dans certaines académies, il interdit aux enseignants et aux directeurs d’établissement de répondre aux légitimes questions des parents, les renvoyant vers les inspecteurs académiques."

    Deux moyens d'action :

    • Continuer de signer la pétition de l'Observatoire de la théorie du genre demandant la fin du programme ABCD de l'égalité.

    • Vous joindre à l'initiative de Farida Belghoul en retirant votre enfant de l'école un jour par mois Tous les renseignements sur ce site ou sur Facebook. En Ile de France, dans le département de l'Oise, à Vernon, ainsi qu'à Metz, à Nancy et à Nantes la journée de retrait est prévue le lundi 27 janvier.

    Louise Tudy   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Grotesque : les administrations ne pourront plus s’adresser aux femmes sous leur nom marital

    L’acharnement idéologique du gouvernement s’immisce dans les moindres détails. Chaque semaine, on découvre une nouvelle atteinte au bon sens, aux traditions, à la famille, etc.

    Cette fois, on apprend que les députés ont voté dans le cadre de la « loi sur l’égalité homme-femme » un amendement imposant au fisc et à la Sécurité sociale de ne plus utiliser le nom de mariage des femmes, sauf demande expresse !

    Pour porter le nom de leur mari dans les échanges administratifs, ou le voir figurer accolé à leur nom «de jeune fille», les épouses devront en faire la demande.

    Bonjour le bazar à venir dans la perception du courrier…

    Il s’agit bien sûr d’un nouveau coup de griffe contre la famille, la filiation et le mariage, alors que celui-ci a été officiellement bradé aux pseudo-couples contre-nature.

    Cette nouvelle estocade portée aux restes de notre civilisation fait suite, par exemple, à la suppression des textes législatifs de la gestion « en bon père de famille », à la suppression des termes « mademoiselle » et « nom de jeune fille » des formulaires administratifs, ou encore au libre choix de la transmission du nom du père, de la mère, ou des deux à l’enfant, etc.

    Ces deux dernières mesures (dont la dernière, particulièrement grave pour la filiation), provenant de l’UMP : il faut le rappeler et il faudra le rappeler les prochaines années.

    http://www.contre-info.com/

  • La loi banalisant l'avortement adoptée à l'Assemblée, 24 résistants [addendum]

    Le projet de loi sur l'égalité homme-femme a été adopté à l'Assemblée en première lecture, par 359 voix pour, 24 voix contre et 174 abstentions. Rappelons qu'il prévoit entre autres, la banalisation de l'avortement, l'extension du délit d'entrave à l'avortement et la réduction du congé parental pour les femmes si elles ne peuvent ou veulent le partager avec leur conjoint.

    Les députés qui ont voté pour :

    • Les socialistes
    • Les écologistes
    • Les radicaux de gauche
    • Le Front de gauche et apparentés
    • 14 UDI sur 30
    • Le Modem Jean Lasalle
    • 11 UMP sur 199 : Damien Abad, Nicole Ameline, Guy Geoffroy, Daniel Gibbes, Françoise Guégot, Nathalie Kosciusko-Morizet, Philippe Le Ray, Valérie Pécresse, Bérengère Poletti, Philippe Vitel, Marie-Jo Zimmermann

    Les députés qui se sont abstenus :

    • 161 UMP sur 199
    • 12 UDI sur 30
    • Le non inscrit Gilles Bourdouleix

    Les 24 députés que l'on peut remercier d'avoir voté contre :

    • 21 UMP : Nicolas Dhuicq, Marianne Dubois, Georges Ginesta, Jean-Pierre Giran, Philippe Gosselin, Henri Guaino, Christophe Guilloteau, Marc Laffineur, Jacques Lamblin, Guillaume Larrivé, Geneviève Levy, Alain Marleix, Olivier Marleix, Franck Marlin, François de Mazières, Philippe Meunier, Yannick Moreau, Jean-Frédéric Poisson, Josette Pons, Dominique Tian, Patrice Verchère
    • Les FN Marion Maréchal Le Pen et Gilbert Collard
    • La villiériste Véronique Besse

    Addendum 20h20 :

    Dans les corrections de vote, Véronique Besse a fait savoir qu'elle n'avait pas voulu voter contre mais s'abstenir. La demande de Jacques Bompard, dont le vote n'a pas été pris en compte, n'apparaît pas encore à l'heure qu'il est sur le site de l'Assemblée nationale mais il aurait voté contre.

    Louise Tudy

  • Le pouvoir cherche à déstabiliser les Bonnets Rouges Frontaliers

    Notre brève d’hier révélait qu’Eric Brenghart était convoqué par la gendarmerie. Nous en savons plus grâce à sa page Facebook de soutien. Les gendarmes lui ont mis la pression pour qu’il dénonce les auteurs des agressions sur les radars en Alsace malgré qu’ils ne soient en possession d’aucune preuve. Notons que l’audition s’est déroulée à Colmar au lieu de Masevaux, suite à l’appel de rassemblement de soutien. La gendarmerie continue de garder les deux ordinateurs emportés, jouant plus ou moins sur le chantage en sous-entendant qu’il ne les récupèrera que s’il dénonce. Après sa femme, il subit à son tour la pression des forces de l’ordre. Le pouvoir cherche donc bien à déstabiliser ce mouvement qui commence à prendre de l’ampleur sur le terrain en jetant la suspicion au sein de ses membres par la dénonciation forcée et en mettant la pression aussi sur la famille. Les Bonnets Rouges Frontaliers n’entendent pas se laisser faire et vont serrer les coudes. Ils appellent toutefois à la prudence lors des prochaines actions. Rien ne dit qu’Eric Brenghart ne sera le seul visé par la police !

    http://medias-presse.info/le-pouvoir-cherche-a-destabiliser-les-bonnets-rouges-frontaliers/5765

  • CIVITAS soutient Farida Belghoul et dénonce les mensonges de Vincent Peillon concernant la théorie du genre

    Vincent Peillon est un fameux menteur !

    Ce mardi 28 janvier, les médias s’empressent de relayer les déclarations de Vincent Peillon selon lesquelles la théorie du genre ne serait pas enseignée à l’école. Il s’agirait simplement d’une « éducation à l’égalité fille-garçon » prétend le ministre de l’Education nationale.

    Pourquoi cette agitation ? Parce que, grâce notamment à Farida Belghoul, de nombreux parents ont été alarmés à propos de l’idéologie contre-nature et perverse qui s’enseigne dès l’école maternelle sous couvert d’égalité et de « lutte contre l’homophobie ».

    Ce n’est pas la première fois que Vincent Peillon cherche à tromper les parents à ce sujet.

    Le 29 mai 2013, sous le feu des critiques au cours d’un Talk Orange – Le Figaro, Vincent Peillon finit par lâcher : « Nous sommes pour l’égalité fille – garçon, pas pour la théorie du genre ». Ensuite, le 3 septembre 2013, sur France Inter, le même Peillon déclare tout simplement « la théorie du genre n’existe pas ». Même son de cloche de la part de Najat Vallaud-Belkacem, porte-parole du gouvernement et ministre de l’Egalité : « La théorie du genre n’existe pas ! » ose-t-elle marteler devant les caméras. Moment de déni filmé et assumé le 9 juin 2013 sur le site www.najat-vallaud-belkacem.com .

    Or, ce sont précisément ces deux ministres qui sont en charge de mettre en place la théorie du genre dès l’école maternelle.

    Depuis la rentrée scolaire de septembre 2013, dans le cadre des « ABCD de l’égalité », 500 écoles de dix académies servent déjà de lieux « d’expérimentation » d’une idéologie du genre qui s’adresse à plusieurs milliers d’élèves de la grande section  de maternelle au CM2, ainsi qu’à leurs professeurs. Selon les mots du ministre Najat Vallaud-Belkacem, l’objectif est de déconstruire les « stéréotypes de genre » et de forcer la nouvelle génération à s’interroger sur son « orientation sexuelle » ainsi que sur son « identité sexuelle ».

    De son côté, le SNUipp-FSU, principal syndicat enseignant, a publié un dossier intitulé « Eduquer contre l’homophobie dès l’école primaire » préfacé par Michel Teychenné, chargé de mission de Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale. Ce dossier préconise aux enseignants en CE1 de consacrer chaque semaine un temps à un programme intitulé « Se construire comme fille ou garçon » tandis qu’en CM1 CM2 les enseignants organiseront une réflexion autour de : « tu te décides entre fille et garçon ».

    Dans ce cadre, les lectures pédagogiques proposées s’intitulent notamment « J’ai deux papas qui s’aiment », « Papa porte une robe » ou encore « L’histoire du petit garçon qui était une petite fille ».

    CIVITAS soutient Mme Farida Belghoul dans sa démarche courageuse de résistance.

    CIVITAS a lancé hier, 27 janvier, une pétition http://ecole-libre.com  au sujet du totalitarisme qui se met en place en matière d’éducation et d’instruction.

    CIVITAS organise également des conférences à travers toute la France pour dénoncer la théorie du genre.

    Parents, grands-parents, futurs parents, refusons que nos enfants soient pervertis par des idéologues voulant imposer la théorie du genre.

     

    Alain Escada,

     

    président de Civitas et auteur du livre Théorie du genre – L’idéologie qui voulait détruire la Création et libérer toutes les perversions humaines (publié aux éditions Civitas)

     

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