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  • Le Père Goriot et la Mère Vauquer par Jean-François Mattéi

    Copie de mattei detouré 1 copie.jpgLa littérature est décidément prémonitoire. Dans Le Père Goriot, Balzac décrit une pension parisienne, rue Neuve-Sainte-Geneviève, avec son allée bordée de lauriers roses. On y pénètre par une porte surmontée d’un écriteau sur lequel on lit : MAISON-VAUQUER, et dessous : Pension bourgeoise des deux sexes et autres.

    L’auteur de La Comédie humaine est enfin exaucé. Sous la pression des associations Homosexuels, Bisexuels, Queer et Transgenres, les alternatives à la sexualité traditionnelle, qui avait pourtant fait ses preuves, permettent à la maison de Madame Vauquer de recevoir de nouveaux pensionnaires. On les traitera comme les habitués des deux sexes, plus même, on imposera à ces derniers de se mettre à l’école des nouveaux venus. Le terme d’« école » est justifié puisque cette institution a trop longtemps reconnu le primat des sexes masculin et féminin au détriment des sexes « autres ».  

    Ne voit-on pas encore parfois, sur de vieux linteaux, les inscriptions outrageantes « École de garçons » ou « École de filles » ? Comment concilier cela, même dans les écoles mixtes, avec l’obligation d’égalité entre les êtres ? On lit ainsi, sur le portail du Ministère de l’Éducation nationale (education.gouv.fr) : « Si les écoles et les établissements sont devenus mixtes dans les années 70, trop de disparités subsistent dans les parcours scolaires des filles et des garçons. L’éducation à l’égalité est nécessaire à l’évolution des mentalités ».

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    Les poupées pédagogiques de la garderie éducative Égalia, en Suède.

    À l’évidence, elles évoluent très vite. On apprend ainsi que certaines crèches scandinaves ont supprimé les termes « fille » et « garçon » pour les remplacer par « enfant », un mot qui neutralise selon le vœu des gender studies, les distinctions héritées de la grammaire plus que de la biologie. Mais ce n’est qu’un début. Un établissement secondaire sélectif de Stockholm, le Södra Latins Gymnasium, a proposé de réaliser un vestiaire spécifique, ni masculin ni féminin, pour les élèves qui ne s’identifieraient ni comme hommes ni comme femmes. Il doit être inauguré le 6 mai à la demande de l’association HBQT du lycée. Les leçons de morale commenceront donc moins dans les salles de classe que dans les trois vestiaires destinées aux « deux sexes et autres ».

    On a également appris, ces derniers temps et en divers lieux, que telle école ou telle famille n’habillait plus les enfants en fille ou en garçon, mais alternativement, tantôt en fille, tantôt en garçon, pour les dissuader d’avoir une identité sexuée. Mais le vêtement ne fait pas tout. Certains parents ont décidé de donner des prénoms qui n’auraient pas de coloration féminine ou masculine pour ne pas inciter leurs enfants à supporter une sexualité imposée par la langue. Ou alors ils ont donné des pronoms masculins, comme Jack ou Joe, à des filles, et des prénoms féminins, comme Élisa ou Joanne, à des garçons. L’État civil suédois reconnaît en outre officiellement 170 prénoms neutres.

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    Du prénom, on passe allègrement au pronom. Toujours en Suède, les adeptes de la neutralité sexuelle, non contents d’égaliser les comportements des filles et des garçons, en attendant d’en finir avec ces termes infâmants, ont demandé de supprimer les pronoms masculins et féminins. L’Encyclopédie nationale suédoise a donc remplacé récemment il (han en suédois) et elle (hon) par hen, intraduisible en français sinon par çà. Ni lui ni elle : on reconnaît la double dénégation des déconstructeurs des années 60, le ni ... ni, qui, pour Jacques Derrida, définissait la dissémination de la langue. Car, au fond, ce n’est pas au sexe que l’on en veut, bien qu’il soit, horreur, naturel, alors que nous savons que tout est culturel. C’est à la langue, ni la meilleure ni la pire des choses, mais la matrice du phallocentrisme qui fonde toute notre tradition.

    Pourquoi s’arrêter aux vestiaires de l’école et de la langue quand on peut aller aux toilettes ? La région du Södermanland, toujours en Suède, va débattre au Parlement d’une loi obligeant les hommes à uriner assis, comme les femmes, et non debout, ce qui souligne trop leur hauteur de vue. On ne demandera pas, notons-le, aux femmes de se lever et d’uriner debout ; on contraindra les hommes à s’asseoir et à faire pipi assis. La défécation ne fait pas encore objet d’une loi, comme la miction, car les deux sexes, et autres, semblent assis à la même enseigne. Il reste que la future loi conserve comme un relent de sexisme puisqu’elle laisse entendre que si les hommes peuvent uriner assis, les femmes ne peuvent uriner debout, ce qui, on en conviendra, est non seulement fâcheux, mais discriminatoire.

    Les mauvais esprits se demanderont jusqu’où peut aller la folie de l’égalité quand elle se niche, non plus dans l’engagement républicain, mais dans la neutralité sexuelle. Elle revient à confondre, dans une même exigence d’indifférence, la Père Vauquer et la mère Goriot. Balzac en avait conscience : « La bêtise a deux manières d'être : elle se tait ou elle parle. » Doit-on alors lui laisser la parole ?

    http://lafautearousseau.hautetfort.com

  • Manuel Gaz interpellé par Bernard Debré à l'assemblée

    Lors des questions au gouvernement :

     

    "Monsieur le Premier ministre, une semaine après la mise à sac du Trocadéro par des bandes de casseurs, c’est toujours l’heure des comptes et des rappels historiques. Souvenez-vous : le 24 mars dernier, votre ministre de l’intérieur avait donné l’ordre de charger et de gazer des familles en poussettes, sans doute parce qu’elles envoyaient de dangereux nounours ou des biberons aux CRS ! Ces gens étaient alors traités de « dangereux casseurs » par Manuel Valls.

    La semaine dernière, au Trocadéro, Monsieur Valls a cette fois donné l’ordre, irresponsable, aux CRS de reculer. Ils ont, sous les yeux des habitants et des commerçants, abandonné la place aux casseurs, aux barres de fer et aux tessons de bouteille. Ceux-là étaient de véritables casseurs, il ne s’agissait pas de simples mouvements de foules. Les témoignages des habitants sont accablants. Vous le sauriez, monsieur le Premier ministre, si votre ministre s’était rendu sur place constater lui-même les dégâts.

    L’ordre public, cela ne peut être deux poids, deux mesures ! Le manque d’anticipation et la naïveté de M. Valls ont coûté cher : les commerces ont été saccagés, le mobilier urbain dévasté ; l’image de la France a souffert ! Paris a souffert ! Les Parisiens ont été meurtris et les commerçants traumatisés.

    Depuis une semaine, ils doivent réparer vos dégâts. Les démarches auprès des assureurs seront longues. Il faut remplacer les vitrines, racheter les biens détruits, se faire indemniser des pillages et surtout reprendre une vie normale. Certains commerçants ont mêmes dû fermer plusieurs jours.

    Qu’avez-vous prévu pour faciliter les démarches de ces hommes et de ces femmes qui ont investi parfois toute une vie dans leur commerce ?

    Monsieur le Premier ministre, un an de fuite et de défaussement, cela suffit ! Prenez vos responsabilités maintenant."

    Michel Janva   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La Manif pour tous : dimanche 26 mai, Paris...

     

     

    la manif pour tous.jpg

    http://www.lamanifpourtous.fr/fr/

    La Manif sera divisée en 3 cortèges, qui convergeront vers le centre de Paris depuis les points de départs suivants :

    - Porte Maillot
    - Porte de Saint Cloud
    - Place Valhubert

     

  • De l’antiracisme à Égalité & Réconciliation : rencontre avec Farida Belghoul

    À la fin de l’année 1983, suite aux incidents de l’été entre des jeunes de la banlieue lyonnaise et la police, se déroulait la « Marche pour l’égalité et contre le racisme », plus connue sous l’appellation « Marche des Beurs ». L’année suivante, une jeune femme du nom de Farida Belghoul organisait une seconde marche : « Convergence 84 ». Vingt-neuf ans plus tard, en exclusivité pour Égalité & Réconciliation, elle livre sa version de l’histoire, qui diffère radicalement du roman antiraciste officiel...

    Partie 1 :


    Farida Belghoul rencontre E&R (1/2) par ERTV

    Partie 2 :


    Farida Belghoul rencontre E&R (2/2) par ERTV

    http://www.egaliteetreconciliation.fr

  • Eric Zemmour : Bachar al-Assad, le revenant

    « C’est la défaite de Sarkozy, la défaite de BHL… »

  • Résistance et reconstruction

    Lu sur Liberté politique.com

    Le Conseil constitutionnel a tranché : la loi Taubira est conforme à la Constitution. Sans tarder, François Hollande a promulgué le texte, dans la nuit, comme si le « changement de civilisation » ne pouvait attendre.

    Cette décision n’affaiblit en rien notre détermination. Elle appelle une résistance ajustée, pour durer et reconstruire.

    La loi Hollande-Taubira est une loi illégitime. On ne peut pas retirer aux enfants le droit d’avoir un père et une mère sans trahir la vérité et la justice. « Un mensonge d’État » a dénoncé le cardinal Barbarin.

    À dire vrai, la décision du Conseil n’était guère inattendue. Roland Hureaux avait pointé l’embarras des juges de la rue Montpensier : dans une société post-moderne, relativiste, comment reconnaître la primauté d’une loi universelle non écrite ?

    Depuis que la justice ne dit plus le juste mais la règle, la démocratie n’est plus que fonctionnelle. Tout est permis, pourvu que la procédure soit respectée. Les « Sages » ne sont plus des magistrats, mais des experts, chargés de vérifier la concordance des textes. Ils décident même souverainement de ne pas répondre aux arguments qui ne leur conviennent pas, comme l’a souligné le professeur Nicolas Mathey dans son analyse de l’avis du Conseil pour Liberté politique.

    Philippe de Saint-Germain - La suite sur Liberté politique.com

    http://www.actionfrancaise.net

  • Paris : Meeting de soutien aux 4 de Poitiers, Samedi 25 Mai à 18h

    http://www.fdesouche.com/

  • « Mariage homo » : rétrospective de la violence gratuite des flics contre les manifestants

    À garder dans un coin de la tête pour le 26 mai…

  • Un collectif appelle à la manif pour tous du 26 mai

     

    Nous participerons, très déterminés, à la Marche pour tous du 26 mai contre le « mariage homo », pour y défendre l’exigence morale et politique et non politicienne, l’exigence trans-partisane d’abroger purement et simplement la loi nihiliste Hollande-Taubira de désintégration familiale et sociale.
    Nous marcherons poussés par notre fidélité aux valeurs chrétiennes et humaines du respect de la vie et de la famille.
    Nous marcherons contre le racisme véritablement anti-humain qui prétend substituer à l’humanité constituée par le couple de l’homme et de la femme une dialectique d’appartenance homosexuelle ou hétérosexuelle.¢
     

    Nous marcherons parce qu’enfin, à l’évidence, la majorité des marcheurs réprouve désormais expressément le traquenard d’une dialectique d’instrumentalisation des concepts psychiatriques de « phobie » et de « philie » qui aurait pu aboutir à un véritable détournement de la Marche. On a trop connu cela avec l’abomination des rééducations psychiatriques dans le monde soviétique.
     
    Nous marcherons dans le calme, l’amitié et la liberté, en effet pour tous, de manifester selon sa foi et sa sensibilité et non selon un carcan dictatorialement imposé.
     
    Nos amis pourront bien sûr à leur gré défiler avec leurs délégations provinciales, d’autres avec des mouvements selon leur sensibilité.
     
    Nous, avec les militants et adhérents et amis de nos organisations qui le souhaitent, vous donnerons rendez-vous [sur un point d'un des parcours dès que les tracés seront définitifs – J.S.].¢
    Le blog de Jeanne Smits

    PREMIERS APPELANTS :
     
    Bernard Antony
     
    Richard Haddad, éditeur, ancien président du Cercle National des étudiants de Paris
     
    Daniel Hamiche, rédacteur en chef de L’Observatoire de la Christianophobie
     
    Vivien Hoch, chercheur en philosophie
     
    Jacques Le Morvan, Chrétienté-Solidarité, vice-président du Centre Henri et André Charlier
     
    Cécile Montmirail, vice-présidente de l’AGRIF
     
    Abbé Vincent Ribeton
     
    Pasteur Saïd, communautés chrétiennes d’Afrique du nord
     
    Michel Seamb, Convergences Africaines
     
    Jeanne Smits, directrice de Présent
     
    Yvonne Soleil, Chrétienté-Solidarité-Persécutions
     
    Abbé Guillaume de Tanouärn, Centre Saint Paul
     
    Guillaume de Thieulloy, directeur de Riposte catholique
     
    Jérôme Triomphe, avocat de l’AGRIF
     
    François Wagner, avocat de l’AGRIF
  • 21 mai : manifestation à Bordeaux

    21 mai : manifestation à Bordeaux

     

    La Manif Pour Tous 33 (LMPT 33), appelle tous les girondins à se rendre à Paris le 26 Mai.

     

    En attendant, LMPT33 propose un tour de chauffe et donne rendez-vous à TOUS, Mardi 21 mai à 18h30, PLACE DE LA BOURSE A BORDEAUX pour une marche bruyante jusqu’à la Place Pey Berland.

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/