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lobby - Page 2291

  • Insultes, déni du réel, duplicité : le Système dans le texte…

    Le calamiteux Léon Blum déclarait qu’il était du devoir des «races supérieures   d’imposer la civilisation aux autres races » ; le très sectaire  Jules Ferry clamait pareillement que « le devoir des peuples civilisés (est) de mettre dans leurs rapports avec les peuples barbares plus grande longanimité, celle d’une race supérieure  qui ne conquiert pas pour son plaisir ». Ces deux modèles de la gauche droit-de-l’hommiste et colonialiste, sûre d’elle-même et dominatrice, célébrés par  François Hollande, seront-ils chassés des bibliothèques du parti? L’Assemblée nationale a adopté jeudi 16 mai une proposition de loi du Front de Gauche supprimant le mot race de la législation française. Le groupe PS a souligné qu’il s‘agissait d’une première étape puisque François Hollande s’était en effet engagé pendant la campagne présidentielle à supprimer le terme  race de la Constitution.

     Le rapporteur de la proposition, Alfred Marie-Jeanne, a fait valoir que le mot race, « ce concept aberrant, ayant servi de fondement aux pires idéologies, n’a pas sa place dans notre ordre juridique ». Les députés socialistes ont fait aussi adopter un amendement affirmant explicitement, dans l’article premier, que « la République combat le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie. Elle ne reconnaît l’existence d’aucune prétendue race ».

     Alors, nous le notions en mars 2012 si ce n’est pas en cassant le thermomètre que l’on fait baisser la fièvre, ce n’est pas en supprimant un mot que disparaît la réalité qu’il recouvre. A moins de se complaire dans la pensée magique propre aux sociétés primitives, d’instruire des procès en sorcellerie, d’emprunter le chemin de la démonologie, il est vrai souvent parcouru par la gauche.

     S’il s’agit de dénoncer le racisme, il n’en reste pas moins que les races existent bien évidemment, qu’elles ont une réalité qui vient démentir le discours officiel, le négationnisme  gaucho-mondialiste. 

     L’éminent docteur es génétique et docteur es Sciences, professeur à l’Ecole d’Anthropologie de Paris, spécialiste des marqueurs génétique – il est à l’origine de la découverte des variants ADN du chromosome Y et de leur utilisation en anthropologie moléculaire- le professeur Gérard Lucotte  le rappelait sans langue de bois:  « La biologie tout entière est contre cette notion que les races n’existent pas.  Au contraire, et de nombreux travaux vont dans ce sens, on étudie les particularismes ethniques (…). »

    Mais  constate Bruno Gollnich, l’affirmation par un Français, un Européen  de son identité non  seulement physique, mais aussi culturelle, civilisationelle , semble toujours insupportable, suspecte, une épouvantable provocation  aux yeux des gardiens du dogme égalitariste et « antiraciste. »

     En 1959,  le Général De Gaulle constatait  en parlant des Français que « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne »

     Que de chemin parcouru, dans son programme présidentiel de juillet 2006, Nicolas Sarkozy, écrivait l’inverse affirmant qu’il « (pensait) que les Français attendent une France d’après (…), une France où l’expression Français de souche aura disparu » et donnait comme cap politique, à l’instar de  la candidate socialiste Ségolène Royal, la réalisation d’une société intégralement métissée.

     Restons dans le registre sémantique, puisque le choix des mots utilisés par les adversaires du FN pour le qualifier, lui ou ses dirigeants,  éclaire  aussi particulièrement  leur nature profonde.

    Réagissant à la fracture (très douloureuse, mais fort heureusement sans conséquence grave)  subie par Marine la semaine  dernière, l’ex notable   socialiste et toujours partisan  de l’immigration et de l’euro,  Jean-Luc Mélenchon,  a commis ce tweet d’une kolossale  délicatesse : « En attendant, je me casse le cul pour les ouvriers pendant qu’elle se casse le cul dans sa piscine. »

    Encore plus immonde et comme l’a rapporté le site Infos-Bordeaux, le mélenchoniste Alain Bousquet, un des responsables du Parti de gauche  en Gironde, conseiller municipal de Villeneuve d’Ornon, s’est fendu sur son blog d’un article  d’une violence ahurissante  contre Marine Le Pen. Le  sans-culotte Bousquet s’est  réjoui de  sa chute, a appelé « à lui briser les os », la comparant à une « truie » dont le  « squelette (…)  charpente une masse informe, qui répand la haine et la confusion ».

     Il est vrai que M. Mélenchon  traitait déjà  la présidente du FN –arrivée en tête des votes chez les ouvriers…-  de « semi démente » pendant la campagne présidentielle, faisant écho au député UMP Jean-Claude Goasguen  affirmant que « le FN est un parti de primates. »

    Qu’il s’agisse de renouer avec les vieux tics  communistes  consistant à  dénier toute raison à ses adversaires, comme  les opposants au régime de Brejnev internés en hôpital psychiatrique, ou de ravaler l’adversaire au rang de l’animal,  de  lui  refuser toute réelle humanité –Bruno Gollnisch a subi aussi ce type de traitement!-, nous sommes là en plein dans  la logorrhée propre aux systèmes totalitaires.

     Un FN frappé d’indignité républicaine » par la caste comme a tenu à le rappeler dernièrement le porte-parole du PS, David Assouline, mais aussi symboliquement Jean-François Copé et Nathalie Kosciusko-Morizet  qui ont refusé de serrer la main de  Marion Maréchal-Le Pen lors de la séance inaugurale de la nouvelle session parlementaire l’année dernière….

    A cette aune,  c’est bien  la même mentalité, les mêmes  intérêts, peu ou prou la même vision du monde que partagent  la  plupart des dirigeants des partis du Système.

    Certes, ici ou là, on s’essaye mollement de nous faire croire le contraire.  Ce fut encore le cas dimanche avec la déclaration conjointe  du vice-président copéiste de l’UMP  et ex catastrophique ministre de l’Education,  Luc Chatel, et  de la bobo NKM candidate à Paris (dans l’indifférence générale).

    Ils ont  fustigé de concert  un François Hollande coupable de « faire monter le Front National » avec  l’annonce du retour du débat sur le  droit de vote des étrangers non communautaires,  après les municipales de 2014, alors qu’une nette majorité de Français y est opposée.

    Tout aussi désopilant,  le très antifrontiste Geoffroy Didier, cofondateur du courant de l’UMP   la Droite forte (sic) , avec Guillaume Peltier, a   fustigé de son côté le «  cynisme électoral (de la gauche) pour faire monter le FN ».

     M. Didier n’en était pas moins  un des piliers de La Diagonale, club de  sarkozystes de gauche  qui défend le mariage homosexuel et le droit de vote des immigrés. Mais bon, au diable les convictions, il  faut savoir prendre la vague porteuse coco !

    Parlons clair: pendant une décennie  l’UMP au pouvoir  disposait de la majorité à l’Assemblée comme au Sénat.  Jamais il n’est venu à l’esprit de nos indignés d’abroger le droit du sol, le regroupement  familial, d’en finir avec l’immigration et  les régularisations massives qui fabriquent des Français de papier et partant,  des électeurs…

    http://www.gollnisch.com/

  • Concert à la Bastille pour fêter la loi Taubira : bide complet !

    [ALERTE ENLEVEMENT] On recherche les partisans du « mariage » gay, prétendument « majoritaires » en France !

     

    http://www.contre-info.com

  • L'Eglise catholique est persécutée

    et les évêques dénoncent des actes « inhumains et honteux » et accusent les autorités d’inertie. Cela se passe en Tanzanie : 

    "L'Eglise catholique tanzanienne, dans une déclaration lue aux fidèles durant la messe du dimanche 19 mai, se dit persécutée par un groupe de musulmans et accuse le gouvernement d'inertie à l’égard de ceux qui la menacent ou l'attaquent.
     
    Ce texte de la conférence épiscopale fait suite à l'attentat qui a fait trois morts et une soixantaine de blessés le 5 mai dernier parmi les fidèles à l'église Saint-Joseph-Le-Travailleur d'Olasiti, à Arusha (nord). Moins de cinq mois auparavant, le jour de Noël, un prêtre catholique avait été abattu devant son église dans l'archipel de Zanzibar.
     
    « Divers signes précurseurs avaient annoncé ces actes inhumains, sauvages, honteux et indignes de notre pays », affirment les évêques en citant dépliants, tracts, articles de journaux ou émissions de radio  « menaçant l'église et ses responsables ».

    « Ces attaques s'inscrivent sans doute dans le cadre de ces maux planifiés par ceux-là qui ne veulent pas du bien à l'église », déclare la conférence épiscopale.

    Selon le texte, des musulmans ont déclaré lors d'une réunion le 15 janvier 2011à Dar-es-Salaam, la capitale économique, que le pays était « dirigé de façon chrétienne ». Le groupe a même demandé, selon le texte, « la fermeture de la représentation du Vatican », en Tanzanie.

    « Ce qui est très pénible pour nous, c'est que notre gouvernement n'a jamais condamné les revendications et les accusations de ces gens-là, pas plus qu'il ne les a arrêtés », poursuit les évêques dans leur déclaration écrite en swahili" (suite).

    Lahire  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le droit de vote des étrangers, le retour !

    PARIS (NOVOPress) – Lors de sa conférence de presse de jeudi dernier, tout le monde se demandait ce que François Hollande allait bien pouvoir dire aux Français. Et voilà que celui-ci nous ressort cette vieille histoire de la gauche : le droit de vote des étrangers. Vous me direz, ce n’est pas nouveau ! C’était un sujet abordé dès 1981 avec François Mitterrand, et ensuite c’était l’une des promesses de la campagne de François Hollande. Oui, mais, pourquoi maintenant ?

    Tous les journaux de gauche comme de droite s’interrogent. La France commence à peine – du moins le gouvernement l’espère – à sortir d’une réforme qui déchire la société : celle du mariage homosexuel. La majorité au pouvoir – maintenant que cette loi bâclée a été votée – espère pouvoir souffler un peu, et voici que François Hollande ne trouve rien de mieux que de se lancer aussitôt sur un autre sujet qui va diviser les Français. On se demande également l’intérêt de lancer ce nouveau débat, puisque François Hollande, comme s’il était encore en période électorale, en fait une promesse vague pour après les municipales de 2014, plutôt que d’en faire un projet concret.

    Alors pourquoi maintenant ? Beaucoup en viennent à penser que le but est d’occuper le terrain : mettre en avant une nouvelle réforme sociétale, afin de distraire des sujets préoccupants, comme le chômage, auxquels Hollande n’apporte aucune solution. Au moins une réforme sociétale, ça occupe, ça agite, ça divise, et ça donne l’impression que le président est encore président, qu’il a un peu de pouvoir et les moyens de mener les réformes qu’il souhaite. Bien sûr, cette loi ne sera pas aussi évidente à faire adopter que celle du mariage homosexuel, étant donné que le président est loin d’avoir une majorité sur ce sujet au Parlement (c’est une réforme constitutionnelle qui nécessite les 3/5 des députés et sénateurs). Mais ceci est un problème qu’il ne faudra affronter qu’après les municipales : chaque chose en son temps !

    Occuper le terrain : est-ce réellement la seule raison ? La popularité de Hollande dans les sondages est totalement catastrophique, si bien que ses partisans eux-mêmes sont déçus. Or le droit de vote des étrangers est une réforme qui tient cœur à la gauche depuis des années. Remettre le sujet sur le tapis pourrait donc être une façon de tenter, dans un dernier sursaut de désespoir, de regagner la confiance de ses électeurs.

    Peut-être pas uniquement : les électeurs du PS ne cessent de changer et la gauche traditionnelle a cédé peu à peu la place à la gauche immigrée. On ne peut que tenir compte du vote immigré qui a permis de faire pencher la balance du côté de Hollande lors des dernières élections. Remettre sur la table ce sujet du droit de vote des étrangers, juste au moment où des milliers d’immigrés envahissent les Champs-Elysées et le Trocadéro, et saccagent tout, ne serait-ce pas une façon de tendre la main à ceux qui l’ont élu ou qui l’éliront demain ? Une supplication, comme si Hollande leur adressait un petit message : « S’il vous plaît, calmez-vous, tenez-vous tranquilles, vous ne voyez donc pas ce que je suis prêt à faire pour vous ? »

    Marie Vermande http://fr.novopress.info

  • Silence d’État ! par Manuel Gomez

    Le rapport commandé à Thierry TUOT (conseiller d’État) sous le titre : « La grande nation pour une société inclusive » a été remis au premier ministre le 11 février 2013 et a été diffusé par Matignon le plus discrètement possible.
    Un conseiller d’état se doit de respecter le devoir de neutralité et de réserve incombant à tout fonctionnaire et Thierry Tuot reconnait que son rapport est loin d’être conforme à ce devoir, qu’il est même manifestement engagé mais qu’il le justifie par le droit de rêver… sans doute à une France multiraciale exclusivement.
    L’on en comprend parfaitement la pudeur, ou plutôt la précaution, dont le gouvernement a fait preuve quand on le lit avec attention.
    Thierry Tuot propose de retirer à l’État tout contrôle sur l’immigration et l’intégration des étrangers, rien que ça, et il n’hésite pas dans son délire névrosé de conseiller tout bonnement de confier ce contrôle exclusivement aux associations communautaires.
    L’État se réservant uniquement le droit et le devoir de subventionner largement les dites associations avec l’argent public, c’est-à-dire le nôtre bien sûr.
    Quel esprit demeuré peut proposer de confier à des associations telles que MRAP, LICRA, SOS Racisme ou France Terre d’Asile, le soin d’organiser, et surtout de réguler, le flux migratoire vers la France ? Une aberration.
    Examinons d’abord les généralités de ce rapport Tuot qui donnent le ton à tout le reste. Des extraits évidemment puisqu’il se lit sur 97 pages et autant de « perles » qui dénotent une méconnaissance totale du danger communautaire qu’il ne peut qu’amplifier et aggraver dangereusement :
    1)La question musulmane est une invention de ceux qui la posent et non une réalité. Elle ne cesse d’enfler et de soucier (sic) jusqu’à polluer le débat public. La république les appelle (les émigrés bien entendu).
    2)Il existe des problèmes plus urgents que la délinquance des jeunes. « Les vieux sont devenus une urgence sociale. Il ne faut donc pas tout focaliser sur les jeunes délinquants !
    3) L’adhésion aux valeurs nationales est dépassée. Quel anachronisme que de vouloir absolument obtenir l’intégration des jeunes d’origine étrangère par l’apprentissage du patriotisme! « Droits et devoirs ! Citoyenneté ! Histoire ! Œuvre ! Civilisation française ! Patrie ! Identité ! France ! Etc... Dans quel monde faut-il vivre pour croire un instant opérante la frénétique invocation du drapeau ? »
    4)L’égalité homme-femme se réglera d’elle-même. « Aux pourfendeurs effarouchés du statut qu’il pense diminuer de la femme en islam, rappelons que les églises avaient, il y a cinquante ans, une idée de la femme assez peu égalitaire. »
    5)Concentrer tous les moyens financiers du ministère de la Culture sur les quartiers “défavorisés”. Au point d’aboutir à cette recommandation étonnante : «Interdire par la loi et pour une période donnée la création de toute nouvelle institution culturelle ailleurs que dans les quartiers de la politique de la ville, sauf pour les formes d’expression culturelles elles-mêmes issues de ces quartiers.» (Donc le hip-hop, les rappeurs, et les textes culturels et patriotiques de leurs chansons à l’Opéra de Paris, à la Comédie française, etc.)

     Et à présent les propositions de Thierry TUOT, actuellement à l’étude du gouvernement.

    Naturalisation immédiate de tous les étrangers afin de mieux les intégrer. Avec pour seule condition d’avoir suivi une scolarité en France. Mais également de tous les parents d’étrangers nés en France à la seule condition que ces dits parents y soient installés depuis plus de vingt ans.
    Régularisation automatique de tous les clandestins en mesure de prouver qu’ils vivent en France depuis plus de cinq ans (comme ils sont clandestins, et donc non enregistrés, il leur suffira probablement soit d’une déclaration sur l’honneur, soit le témoignage de deux personnes… qu’ils n’auront aucune difficulté à trouver). Effectivement et grâce à ces dispositions judicieuses, l’intégration se fera d’autant plus facilement qu’il n’y aura très bientôt plus aucun Français de souche dans notre pays qui a pourtant connu de grandes vagues migratoires sans pour autant perdre son identité.
    J’ose croire que notre Président de la République et son gouvernement, même s’ils ne brillent pas par leurs décisions s’éviteront des lendemains très désenchanteurs en négligeant de suivre ces recommandations délirantes.

    Car, dans le cas contraire, ce ne sont pas des manifestations pacifiques, comme celles occasionnées par le « mariage pour tous » qu’il aura à « réprimer » mais bien au contraire, quelques millions de « casseurs » qui, cette fois, ne viendront pas des « banlieues »

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Les CRS se comportent comme des sauvages - Manif et Camping pour Tous aux Invalides

  • Agression policière contre la Ligue du Midi

    COMMUNIQUÉ “Ils sont devenus fous” : agression sauvage des forces du désordre contre la Ligue du Midi

    Richard Roudier, président de la Ligue du Midi, était convoqué, jeudi 16 mai, au commissariat de police de Montpellier pour être entendu suite à une plainte de Hussein Gourgi, secrétaire départemental du Parti Socialiste. On notera au passage que les plaintes du Parti Socialiste contre un jet de crottin de cheval avancent plus rapidement que lorsque une mamie se fait arracher son sac ou quand un étudiant se fait agresser dans l’Écusson.
    Une vingtaine de sympathisants de la Ligue du Midi, dont la moitié de plus de 60 ans et de femmes, étaient venus soutenir leur président et s’étaient positionnés à l’extérieur du commissariat sur la rampe d’accès aux locaux, devisant calmement et sans gêner le passage. Richard Roudier avait pris soin de prévenir 48 h à l’avance les services de police de la présence de cette délégation indiquant qu’il y aurait un drapeau occitan et une banderole de la Ligue.
    Dès son arrivée, Richard Roudier était conduit dans les étages pour son “audition” et après avoir produit son identité, et comme la loi lui en confère le droit, refusait de donner des détails sur “l’affaire” des jets de crottin du P.S. et demandait à être autorisé à quitter les lieux. Nous estimons en effet que la disproportion est trop grande entre les exactions commises contre la France par le Parti Socialiste et les reproches faits au Président de la Ligue du Midi. Richard Roudier examine par ailleurs avec son conseil l’opportunité d’une plainte contre Hussein Bourgi. Tout le monde a en effet en mémoire les dérives maffieuses de ce gang : affaires Navarro, Pradilhes, Guerini, Fabius, Cahuzac, Teulade, Trierweiler, etc, etc, etc, etc, etc, etc…
    On peut s’interroger sur le lien qu’il pourrait exister entre le mutisme du président de la Ligue, attitude dont le parquet était informé en temps réel, et les évènements graves qui étaient en train de se dérouler à l’extérieur du commissariat. En effet au même moment un groupe de 20 policiers en tenue, commandés par un officier,  se jetaient sans avertissement ni sommation contre les adhérents de la Ligue du Midi : étranglements, clefs de bras, balayages qui ont entrainé des blessures avec ITT – on entend distinctement sur la vidéo les coups de rangers portés à un militant à terre-.... on a même vu un policier déchainé casser la hampe du drapeau et piétiner celui-ci. Évidemment la scène a été filmée par une équipe de la Ligue du Midi et une cinquantaine de clichés de très bonne qualité, sur lesquels on reconnait les agresseurs, étaient pris par le Colonel Hamilton (E.R), présent sur les lieux. Un petit voyou qui passait par là, écarquillait les yeux en s’exclamant : “Ils sont devenus fous”.
    Lors d’un briefing organisé dans la foulée sur les berges du Lez, une riposte a immédiatement été mise en place en plusieurs étapes:
    - Examens des blessés par un médecin
    - Lettre  au préfet de région demandant une audience ainsi qu’une enquête administrative sur ces évènements
    - Large diffusion des documents vidéos et photos à la presse
    - Plaintes au procureur de la République
    - Information du Conseil de l’Europe  et du parlement européen pour dérive autoritaire des méthodes policières en France
    - Demande d’une enquête de l’IGPN (Inspection Générale de la Police Nationale)
    À noter que, dès la nouvelle diffusée, trois adhésions de jeunes étudiants ont été enregistrées.
    Ligue du Midi
    Membre du Réseau-identités
    BP 1-7114
    30912 – Nîmes cedex 2
    Tel: 04 34 40 41 29 / 06 83 25 36 10
  • Exorcisme sémantique sur la race. Changer les mots pour nier les faits

    Nous sommes dans une société totalitariste d’apparence. Le pouvoir politico-médiatique tente d’imposer une société virtuelle pour ne pas affronter la réalité. Parfois d’ailleurs, cela marche. Cela passe cependant par une hypocrisie sémantique permanente. Ainsi en supprimant le mot race de la législation, on croit supprimer le racisme. On cède en fait partiellement au lobby anti raciste qui manipule cette notion pour imposer ses vues métissées à une société encore rétive.

    La proposition de loi du Front de gauche supprimant le mot «race» de la législation française a donc été définitivement adoptée, jeudi 16 mai, à l’Assemblée nationale.

    La majorité PS s’est ralliée à cette proposition, soulignant qu’il s’agissait d’“une première étape”. François Hollande s’était en effet engagé durant la campagne présidentielle à supprimer ce terme de la Constitution. Certains députés se sont, quant à eux, abstenus. «Evidemment, votre proposition a du sens (…), mais supprimer ce mot dans la législation sans l’éliminer dans le bloc constitutionnel pose un problème juridique», a commenté Jean-Frédéric Poisson (UMP).

    Le terme devrait ainsi disparaître prochainement de nombreux textes, parmi lesquels le Code pénal, le Code de procédure pénale ou encore la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse.

    Comme l’a rappelé le Front de gauche, cette disparition du mot «race» devra aller de pair avec la suppression du terme dans la Constitution de 1958 et dans le préambule de la Constitution de 1946. Une promesse qui n’est pas «enterrée», selon l’Élysée. «On n’a pas renoncé à le faire durant le quinquennat. C’est un engagement auquel le président tient, mais il faudra prendre le temps de la conviction», a-t-on précisé auprès du chef de l’État.

    La réforme divise aussi les juristes. Pour ses opposants, le texte entretient une confusion sur la nature même du droit : « la vocation du droit n’est pas de valider telle ou telle thèse scientifique mais de juger des comportements sociaux », explique le constitutionnaliste Bertrand Mathieu L’affirmation que les races n’existent pas est combattue par certains scientifiques mais également et surtout par un bon sens populaire. On reconnait les races dans la rue et certains traitements médicaux sont adaptés à des spécificités raciales, pour ne prendre que deux exemples. Mais combattre le racisme par les mots c’est bien dans le totalitarisme sémantique de nos sociétés. On croit que changer le mot, ne pas le nommer ou l’interdire peut résoudre le problème. Mortelle illusion. Elle est cependant bien française.

    Un pays où, par peur de l’islamisme, on a abandonné l’Afrique pour courir le “Paris Dakar”. Mais comme on n’ose pas le dire on continue depuis des années à courir le “Paris Dakar”… en Amérique du sud. Tout est dit non ?

    Jean Ansar http://fr.novopress.info

    Source : Metamag.

  • Ordre du jour n°1 du Printemps français

    Du 20 mai :

    "Le Printemps Français prend acte de l’ultime coup de force du gouvernement, qui a publié samedi 18 mai au Journal Officiel la loi établissant l’idéologie du genre dans le Code civil. Cette loi, qui dénie au mariage le caractère d’une institution pour en faire un simple contrat, permet à un couple unisexe de priver délibérément un enfant de sa filiation légitime, en reconnaissant le droit à l’adoption plénière. Contre les lois de la biologie et contre tout sens commun, la République affirme qu’un enfant peut avoir deux pères ou deux mères. Par ce mensonge d’Etat, le père ou la mère authentique de l’enfant adopté sera déchu de tout statut. Le droit de l’enfant à avoir un père et une mère est nié.

    Derrière cet artifice imposé - sans débat digne de ce nom - se révèle une idéologie, qui prétend que la nature sexuée des individus est indifférente et ne créée aucune obligation ni aucun droit. Quand la loi prétend s’imposer aux réalités de la nature et de la société, elle conduit aux pires excès. L’histoire récente nous a montré les conséquences d’une loi qui prétendait fonder la société sur la supériorité d’une race, ou sur celle d’une classe. De ces deux cas, les pires totalitarismes sont sortis, provoquant la ruine de la civilisation. Il n’existe pas d’idéologies anodines… elles conduisent à l’asservissement des peuples!

    Mais l’histoire a aussi montré que ces idéologies ont été défaites. La France, en particulier, sait dans quels bas-fonds elle est tombée sous le joug d’une idéologie, mais aussi à quelle libération elle est parvenue par sa résistance.

    Aujourd’hui, le Printemps Français proclame l’Ordre du Jour Numéro 1 d’une nouvelle résistance à l’idéologie. La France est actuellement soumise à des forces qui veulent l’asservir entièrement. La bataille ne fait que commencer. Elle se prolongera jusqu’à la victoire.

    A l’aube de ce combat, des partis politiques annoncent déjà leur collaboration avec le pouvoir idéologique, en affirmant faussement que la loi Taubira ne pourra pas être abrogée. En se plaçant dans le camp ennemi, ils se désignent eux-mêmes comme des adversaires. Le Printemps Français énonce donc que seront tenus pour cibles :

    • le gouvernement actuel et tous ses apendices,
    • les partis politiques de la collaboration,
    • les lobbies où s’élaborent les programmes de l’idéologie et les organes qui la diffusent.

    Cet ordre du jour est immédiatement exécutoire."

  • Le Père Goriot et la Mère Vauquer par Jean-François Mattéi

    Copie de mattei detouré 1 copie.jpgLa littérature est décidément prémonitoire. Dans Le Père Goriot, Balzac décrit une pension parisienne, rue Neuve-Sainte-Geneviève, avec son allée bordée de lauriers roses. On y pénètre par une porte surmontée d’un écriteau sur lequel on lit : MAISON-VAUQUER, et dessous : Pension bourgeoise des deux sexes et autres.

    L’auteur de La Comédie humaine est enfin exaucé. Sous la pression des associations Homosexuels, Bisexuels, Queer et Transgenres, les alternatives à la sexualité traditionnelle, qui avait pourtant fait ses preuves, permettent à la maison de Madame Vauquer de recevoir de nouveaux pensionnaires. On les traitera comme les habitués des deux sexes, plus même, on imposera à ces derniers de se mettre à l’école des nouveaux venus. Le terme d’« école » est justifié puisque cette institution a trop longtemps reconnu le primat des sexes masculin et féminin au détriment des sexes « autres ».  

    Ne voit-on pas encore parfois, sur de vieux linteaux, les inscriptions outrageantes « École de garçons » ou « École de filles » ? Comment concilier cela, même dans les écoles mixtes, avec l’obligation d’égalité entre les êtres ? On lit ainsi, sur le portail du Ministère de l’Éducation nationale (education.gouv.fr) : « Si les écoles et les établissements sont devenus mixtes dans les années 70, trop de disparités subsistent dans les parcours scolaires des filles et des garçons. L’éducation à l’égalité est nécessaire à l’évolution des mentalités ».

    suede neutralite sexuelle.jpg

    Les poupées pédagogiques de la garderie éducative Égalia, en Suède.

    À l’évidence, elles évoluent très vite. On apprend ainsi que certaines crèches scandinaves ont supprimé les termes « fille » et « garçon » pour les remplacer par « enfant », un mot qui neutralise selon le vœu des gender studies, les distinctions héritées de la grammaire plus que de la biologie. Mais ce n’est qu’un début. Un établissement secondaire sélectif de Stockholm, le Södra Latins Gymnasium, a proposé de réaliser un vestiaire spécifique, ni masculin ni féminin, pour les élèves qui ne s’identifieraient ni comme hommes ni comme femmes. Il doit être inauguré le 6 mai à la demande de l’association HBQT du lycée. Les leçons de morale commenceront donc moins dans les salles de classe que dans les trois vestiaires destinées aux « deux sexes et autres ».

    On a également appris, ces derniers temps et en divers lieux, que telle école ou telle famille n’habillait plus les enfants en fille ou en garçon, mais alternativement, tantôt en fille, tantôt en garçon, pour les dissuader d’avoir une identité sexuée. Mais le vêtement ne fait pas tout. Certains parents ont décidé de donner des prénoms qui n’auraient pas de coloration féminine ou masculine pour ne pas inciter leurs enfants à supporter une sexualité imposée par la langue. Ou alors ils ont donné des pronoms masculins, comme Jack ou Joe, à des filles, et des prénoms féminins, comme Élisa ou Joanne, à des garçons. L’État civil suédois reconnaît en outre officiellement 170 prénoms neutres.

    gender.jpg

    Du prénom, on passe allègrement au pronom. Toujours en Suède, les adeptes de la neutralité sexuelle, non contents d’égaliser les comportements des filles et des garçons, en attendant d’en finir avec ces termes infâmants, ont demandé de supprimer les pronoms masculins et féminins. L’Encyclopédie nationale suédoise a donc remplacé récemment il (han en suédois) et elle (hon) par hen, intraduisible en français sinon par çà. Ni lui ni elle : on reconnaît la double dénégation des déconstructeurs des années 60, le ni ... ni, qui, pour Jacques Derrida, définissait la dissémination de la langue. Car, au fond, ce n’est pas au sexe que l’on en veut, bien qu’il soit, horreur, naturel, alors que nous savons que tout est culturel. C’est à la langue, ni la meilleure ni la pire des choses, mais la matrice du phallocentrisme qui fonde toute notre tradition.

    Pourquoi s’arrêter aux vestiaires de l’école et de la langue quand on peut aller aux toilettes ? La région du Södermanland, toujours en Suède, va débattre au Parlement d’une loi obligeant les hommes à uriner assis, comme les femmes, et non debout, ce qui souligne trop leur hauteur de vue. On ne demandera pas, notons-le, aux femmes de se lever et d’uriner debout ; on contraindra les hommes à s’asseoir et à faire pipi assis. La défécation ne fait pas encore objet d’une loi, comme la miction, car les deux sexes, et autres, semblent assis à la même enseigne. Il reste que la future loi conserve comme un relent de sexisme puisqu’elle laisse entendre que si les hommes peuvent uriner assis, les femmes ne peuvent uriner debout, ce qui, on en conviendra, est non seulement fâcheux, mais discriminatoire.

    Les mauvais esprits se demanderont jusqu’où peut aller la folie de l’égalité quand elle se niche, non plus dans l’engagement républicain, mais dans la neutralité sexuelle. Elle revient à confondre, dans une même exigence d’indifférence, la Père Vauquer et la mère Goriot. Balzac en avait conscience : « La bêtise a deux manières d'être : elle se tait ou elle parle. » Doit-on alors lui laisser la parole ?

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