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lobby - Page 2325

  • Croatie: les pédophiles de Soros imposent leurs manuels d’éducation sexuelle !

    [Article de Laurent Glauzy en exclusivité pour Contre-info]

    En Croatie, l’introduction dans les programmes scolaires d’un module sur la sexualité a été imposée en janvier 2013 par le gouvernement de Centre-gauche, en exercice depuis le 23 décembre 2011. La république dalmate qui, de manière superficielle, évoque la méthode Kinsey, cache à sa population que ces manuels sont rédigés par des pédophiles.
    Judith Reisman, scientifique de 78 ans d’origine juive, ancienne conseillère du FBI, du parlement et de plusieurs ministères américains, qui s’est rendue en Croatie le 29 janvier sur l’invitation de parlementaires de droite, a dénoncé les liens de cette initiative avec la richissime Soros Foundation, arguant que l’« éducation sexuelle et les droits des homosexuels cachent un programme de destruction de la famille et de défense de la pédophilie ».

    Elle a enquêté sur les travaux du Kinsey Institute fondé en 1947 et a démontré les effets néfastes des théories d’Alfred Kinsey (1894-1956), auteur de deux importantes études sur le comportement sexuel de l’homme et de la femme. Il était aussi rédacteur dans l’éminent journal médical britannique The Lancet. Le Dr Reisman prend le cas d’une fillette de dix ans qui a été abusée par un violeur récidiviste âgé de trente ans et de plus est lecteur obsessionnel de Playboy. Alfred Kinsey justifie qu’elle est certainement consentante puisque les enfants sont des êtres sexuels, et seraient à ce titre demandeurs de relations sexuelles depuis leur naissance. Reisman ajoute qu’après la Seconde Guerre mondiale, ces théories nauséabondes ont encouragé la diffusion exponentielle de la pornographie et de la pédophilie.

    Après ce compte-rendu, Judith Reisman a fait l’objet d’une vague d’insultes. Elle a été fustigée par les médias croates de gauche qui défendent les intérêts maçonniques du gouvernement. Elle fut traitée de négationniste, alors qu’une partie de sa famille disparut dans les camps de travail.

    Dans le plus grand cinéma moderne de Zagreb, un « problème technique » a interrompu la projection du documentaire réalisé par le journaliste britannique Timothy Tate, collaborateur du Dr Reisman, qui traitait alors de la face cachée de Kinsey. Face aux 800 spectateurs, Timothy Tate n’a donc pas pu soumettre ses critiques contre ce programme d’éducation sexuelle initié par des pédophiles. Le même scénario s’est reproduit lors d’un exposé improvisé dans le cinéma. Ces boycotts successifs ont d’ailleurs suscité la colère de la section croate du Comité Helsinki, chargé de la surveillance du respect des Droits de l’homme.

    À la fin d’une conférence tenue près de la faculté de Sciences politiques de la capitale croate, le Dr Reisman a été attaquée verbalement par Nenad Zakošek, président de la même école. Des mouvements politiques de gauche liés au gouvernement ont même tenté d’empêcher la conférence du Dr Reisman au parlement de Zagreb. Le Dr Reisman a étonné son auditoire en déclarant qu’Alfred Kinsey était « le pédophile qui a changé le monde » et un « psychotique sexuel qui a contaminé nos familles, notre culture et nos lois ». Cette scientifique démontrait ainsi l’influence de ce criminel derrière les programmes d’éducation sexuelle imposés à la Croatie, pays où, aujourd’hui, sur 2 000 grossesses d’adolescentes, 400 avortements sont recensés (AFP).

    En outre, le débat prévu à la faculté de philosophie entre le Dr Reisman et le professeur Aleksandar Štulhofer, un disciple de Kinsey et l’initiateur du programme d’éducation sexuelle pour les enfants croates, a été suspendu sous prétexte de désordre public : des groupes homosexuels avaient fait irruption dans la salle. Le Pr Štulhofer ne voulait pas que le Dr Reisman s’exprime. Et pour cause. Au parlement, la scientifique américaine avait révélé la participation du Pr Štulhofer à l’écriture d’un livre avec le pédophile déclaré et néerlandais Theo Sandford, professeur à la Columbia University et également attaché au Département des Études gay et lesbiennes de l’Université d’Utrecht, aux Pays-Bas.

    Sandford est cofondateur et rédacteur de la revue mensuelle néerlandaise en langue anglaise des pédophiles Paidika (sous-titrée Journal of Paedophilia) parue de 1987 à 1995, ainsi que l’auteur de l’étude Boys on their contacts with men : a study of sexually expressed friendships (Les garçons au contact des hommes adultes : une étude sur les amitiés exprimées sexuellement). Ce perverti ne se limite pas, dans son torchon pseudo-scientifique, à une enquête sur la pédophilie, mais exprime une évaluation positive de cette décadence sexuelle et criminelle. Un autre collaborateur de Štulhofer, le sexologue « allemand » Gunther Schmidt, a rédigé la préface du livre de Sandford, Male Intergenerational Intimacy (Intimité intergénérationnelle entre hommes), en ces termes : « Le fait que tous les actes de pédophilie soient plus difficilement punis par la loi serait une action digne d’une société civile ».

    Dans une conférence de presse, Timothy Tate a ensuite repris une citation de Paidika du même degré de sadisme : « Le point de départ de Paidika est nécessairement la conscience de notre être pédophile. Nous considérons la pédophilie comme un rapport sexuel consentant entre personnes de générations différentes ». Lors d’un entretien accordé en 1978 à la revue pornographique américaine Hustler, le sexologue « allemand » Erwin J. Haeberle, qui avait contribué à la fondation de Paidika, avait souligné qu’« il est tout à fait normal d’avoir des rapports sexuels avec des enfants, lesquels devraient avoir libre accès aux revues [pornographiques] pour adultes et être libres de choisir leurs propres partenaires sexuels, y compris des adultes ». Ce pédophile a été membre, de 1977 à 1988, de l’Institute for Advanced Study of Human Sexuality de San Francisco qui, dans le monde entier, a rédigé la majeure partie des programmes d’éducation sexuelle pour les enfants. Timothy Tate a aussi montré des photographies d’enfants offerts aux pages de Paidika.

    En 2001, Štulhofer et plusieurs de ses collègues pédophiles liés à la sphère de Paidika, ont participé au congrès international des sexologues, dans le port croate de Dubrovnik, subventionné par… le financier juif Soros, toujours par le biais de sa fondation.

    Judith Reisman a maintes fois rappelé que le programme d’éducation sexuelle imposé à la Croatie était une tentative de perversion des enfants, pour livrer de la chair fraiche à la volonté malsaine d’obsédés et pour dédouaner l’homosexualité. Elle a ajouté que ce procédé avait pour objectif de rendre les jeunes générations dépendantes du sexe et de l’industrie de la pornographie. Commentant dans ce sens l’initiative du Ministère de l’Éducation croate, Anna Maria Grünfelder, « théologienne féministe », a affirmé : « La sexualité est un énorme pouvoir, celui qui la contrôle, contrôle la société ».

    La présence du Dr Reisman en Croatie a engendré un fort séisme, qui a fait vaciller les palais de la démocratie et a obligé le gouvernement, à la solde de la haute finance apatride, à trouver une issue diplomatique. D’après les sources de la curie romaine [reprise par le site d’information italien Dietro il sipario], l’ambassadeur croate auprès du saint Siège, Filip Vučak, aurait rencontré Mgr Dominique Mamberti, secrétaire pour les relations avec les États, dans le but d’assouplir la position de l’Église sur la question de l’éducation sexuelle. L’évêque, ordonné prêtre dans le diocèse d’Ajaccio en 1981, n’a donné aucune suite favorable à cette requête de détraqué digne d’une exécution en place publique.

    Dans un pays démocratique, la présentation des preuves irréfutables des liens étroits entre l’initiateur d’un programme aussi honteux et des circulaires pédophiles soutenues par le grand capital, en dehors des conséquences pénales pour l’intéressé, aurait dû provoquer la démission immédiate du salaud Štulhofer et de tous les fonctionnaires criminels du Ministère de l’Instruction ayant collaboré à l’élaboration de ce programme, dont le ministre de l’Éducation en personne, Željko Jovanović, grand défenseur d’origine « serbe » de la Shoah. Mais cela ne se passe pas ainsi dans l’actuelle Croatie de l’après Franjo Tudman (1er président de la république croate décédé en 1999 et ennemi de Soros), qui s’apprête à entrer dans l’Union européenne. Il est vrai que la classe politique de ce pays offre des arguments pour convaincre les euro-technocrates maçons.

    Après le départ du Dr Reisman, les médias du régime social-démocrate croate ont repris leur travail de désinformation. Pour cela, l’ignoble Štulhofer, le chien des capitalistes criminels et détraqués, est venu en personne à la télévision appeler à pontifier sur les questions de sexualité, spécialement infantiles, pendant que dans les écoles élémentaires, sont proposés à des enfants de dix ans des thèmes de langue croate présentant des situations explicitement sexuelles.

    Le cas de la Croatie, qui n’a pas du tout été médiatisé, lève le voile sur les perspectives qui se dessinent en filigrane, dans notre pays, derrière le « mariage pour tous » et la place de l’enfant, ultime victime impuissante de la culture de mort sacrifiée à Baal.

    Laurent Glauzy http://www.contre-info.com

  • Manif Pour Tous : dimanche, il devrait y avoir beaucoup de monde à Rennes

    RENNES (NOVOpress Breizh) – A l’appel de l’association La Manif Pour Tous, Bretons, Normands, Vendéens, Angevins, Manceaux et Mayennais sont invités à se rendre massivement au rassemblement interrégional qui aura lieu à Rennes dimanche 5 mai, à partir de 15 heures, place du Champ de Mars. Si la loi instituant le mariage homosexuel a été adoptée par le Parlement, un recours a été formé devant le Conseil constitutionnel. Alors les opposants à cette « réforme de civilisation » (C. Taubira) ne désarment pas. Bien au contraire.

    Il devrait y avoir beaucoup de monde dans le centre de Rennes dimanche prochain. Covoiturage, bus, hébergement, babysitting…  de toute part, on s’active pour préparer et faciliter le déplacement à ce rassemblement, l’un des sept organisés ce jour-là en France métropolitaine. 

    L’imagination des militants est débordante. Pour preuve, comme le signale Europe 1, la nouvelle affiche publiée le 30 avril par la “manif pour tous” sur son compte twitter, « la finance dehors, l’humain d’abord » (photo). Un  pastiche d’une précédente affiche du Front de gauche et du Parti communiste. Dans l’entourage de Mélenchon – ce dernier a soutenu à fonds le projet de loi – on n’a pas trop apprécié…

    Comme tiennent à le rappeler les responsables du mouvement, « La Manif Pour Tous est un mouvement spontané, populaire et pacifique qui, au-delà des sensibilités religieuses, partisanes et sexuelles, dépasse toutes les diversités pour préserver l’unité paritaire de la filiation humaine garantie par le droit français dans le mariage civil. »

    Dans une tribune publiée dans Le Figaro (27-28/04/2013), Claude Bartolone s’est réjouit bruyamment de l’adoption de cette loi. Pour le président de l’Assemblée nationale, «c’est d’abord une victoire pour la République, qui voit ses fondements consolidés.» (sic).

    L’élu socialiste s’empresse d’affirmer  «que cette loi ne retire de droits à personne », un avis  vivement contesté par un collectif de juristes qui, sous le nom de Portalis, écrit qu’ «on impose ainsi à l’enfant, contre toute vraisemblance et par la ‘force injuste de la loi’, selon les mots de François Mitterrand, des ‘parents de même sexe’, c’est-à-dire une filiation physiquement impossible, une identité boiteuse et une généalogie mutilée (…) Cette loi, ajoute ce collectif, va créer des inégalités réelles et profondes entre les enfants.(…) En privant les enfants adoptés par deux personnes du même sexe d’une filiation bilinéaire et bisexuée pour les enfermer définitivement dans une filiation unisexuée, la loi viole le principe d’égalité entre les enfants en attente d’adoption, entre ceux qui auront droit à une vraie famille fondée sur un père et une mère, et ceux qui n’auront pas ce même droit » (Le Figaro, 27-28/04/2013).

    Rappelant que la garde des Sceaux a qualifié cette loi de « réforme de civilisation », ces juristes affirment qu’en la matière un référendum s’imposait donc : « Une telle réforme aurait nécessité le consentement du peuple souverain (…) dont on ne peut heurter la morale républicaine et déchirer le contrat social sans le consentement exprès. (…) On ne change pas de civilisation par la seule volonté d’une majorité parlementaire simple et passagère ».

    Dimanche prochain, à Rennes, comme à Paris, Lille, Lyon, Montpellier, Toulouse ou Dijon, les défenseurs des droits des enfants auront une nouvelle fois l’occasion de faire entendre leur voix. « On ne lâche rien, jamais ! » : un cri du cœur plus que jamais d’actualité.

     http://fr.novopress.info

  • Le combat commun contre la loi Taubira nécessitera des alliances politiques

    Catherine Rouvier est interrogée sur Le Rouge et le Noir. Extraits :

    "J’avais dit dans ma précédente inquisitoriale que pour un résultat politique, il vous fallait une action politique, et je le maintiens. Il fallait, pour faire bouger les lignes, qu’une action résolue, une vraie mobilisation voie le jour - et non une simple « cathopride » festive tenant plus du spectacle que du phénomène de foule - se fasse jour, et c’est ce qui s’est produit. Mais quand Frigide Barjot ou Beatrice Bourges emploient le terme « politisation », elles évoquent clairement le rattachement à des partis. Et de fait, c’est alors que les divergences apparaissent. Mais il ne faut pas se leurrer : les divergences, de fond et de forme sont déjà là, entre ceux qui sont prêts à se rallier a un compromis et cherchent une porte de sortie qui pourrait être l’union civile et l’éducation à l’homoparentalité (Barjot) et ceux qui ont d’ores et déjà annoncé qu’elles refuseront de transiger sur ces deux points (Boutin, Bourges, Marion Maréchal-Le Pen).

    Le positionnement politique restera latent cependant jusqu’à l’automne. C’est là que se lancera vraiment la campagne pour les municipales, et c’est là que les rivalités possibles peuvent détruire l’unité. C’est à ce moment-là qu’il faudra être vigilants pour tenter d’éviter la manœuvre classique de la Gauche, qui a si bien réussi en 1984 et les années suivantes : diaboliser une partie du mouvement - qualifié d’extrême - afin d’éviter cette belle unité qui la chasserait du pouvoir pour longtemps. [...]

    Hors élection, il faut déjà que chacun accepte en son for intérieur qu’il y ait « différentes demeures dans la maison du Père », ce que votre génération semble faire plus facilement que la nôtre parce qu’elle n’a pas connu les combats passés qui nous ont séparés. Il faut donc que face à votre unité, réelle, les leaders résistent à la tentation de s’anathèmiser. Aux élections, il vous faudra supporter, au premier tour, d’avoir des « compagnons de combat » à toutes les fenêtres : RPF, DLR, MPF, SIEL, FN, RBM, PCD, UMP, etc., voire dans un parti d’une gauche non libertaire qui pourrait bien renaître de ses cendres.

    Cette diversité de l’offre partisane n’est pas un atout pour la cause, car elle rend plus difficile d’atteindre la majorité et de gagner. Mais elle sera surement ressentie comme un « plus » pour des jeunes qui rêvent d’aller pour la première fois sur le terrain électoral et sont habitués a la multiplicité des programmes et au « zapping ». Encore faudrait-il les former un peu à cette forme de combat très différente de l’action directe et les rendre sensibles au danger de l’émiettement.

    En effet, au deuxième tour, il faudra arriver à passer des accords de désistement réciproque si on veut que le but qu’évoquent déjà certains manifestants soit atteint : que ne soient pas élus ou réélus des gens de gauche - mais aussi de droite - qui ont voté ce projet de loi, et ceux qui seront déposés dans les mois à venir contre la famille, la dignité humaine, ou la civilisation chrétienne de notre pays. A moins même qu’une union de la Gauche découlant des primaires qu’elle veut organiser en septembre n’oblige à s’entendre avant le premier tour !

    Il faudra alors que ne se rejoue pas entre Barjot et Bourges, entre Boutin et Marechal le Pen, entre l’UMP et le FN, et entre les diverses « petites » formations l’éternelle scène du mépris qui a coûté à la Droite la perte de toutes les élections depuis 1998 : « Je me rapproche de toi mais pour te prendre tes voix, pas pour te parler ». Il faudra de vrais accords, clairs, ouverts. C’est ce qu’il vous faut préparer dès maintenant, en fraternisant dans ce combat commun. Cela seul construira un avenir politique au service de cette cause qui en constitue le socle."

    Le Salon Beige

  • Manifestations contre la loi Taubira !

    Dimanche 5 mai 2013 : Grandes manifestations régionales !

    Paris : Rassemblement festif, amical et familial, avec les mères veilleuses, avenue de Breteuil. RDV à 15h, place Vauban.

    Rennes : Rassemblement pour tout l’Ouest de la France (Bretagne / Pays de Loire / Normandie). RDV 15h, esplanade du Champs de Mars (Métro Charles de Gaulle). Fin de manifestation à 18h.

    Lyon : Rassemblement pour les départements Rhône-Alpes (Ain, Drôme, Ardeche, Isere, Savoie, Haute-Savoie, Rhône, Loire) et l’Auvergne. RDV à 14h Place Bellecour, Lyon 2ème (marche au travers de la ville : rue de la république, place de la comédie, retour par les quais du Rhône à la place Bellecour). Fin de manifestation à 18h15.

    Montpellier : Rassemblement Languedoc-Roussillon. RDV 14h30 aux jardins du Peyrou. Fin de manifestation à 16h30. Tract ici.

    Toulouse : RDV à 15h30 sur les Allées Charles de Fitte (M° St Cyprien, ligne A). Ce rassemblement concerne le Midi-Pyrénées, le Limousin, le Cantal (Auvergne), l’Aude (Languedoc-Roussillon) et les départements d’Aquitaine qui le souhaitent. Événement Facebook : http://www.facebook.com/events/4885...

    Dijon : Rassemblement pour la Bourgogne et la Franche-Comté. 12h30 : Pique-nique pour tous au Parc de la Colombière à Dijon ; 14h30 : Marche sur les allées du Parc ; 15h30 : Rassemblement Place Wilson et interventions en tribune ; 17h00 : fin de la manifestation.

    Lille : RDV à 15h30, place de la préfecture.

    Amiens : RDV place GAMBETTA à 16h30 armés de biscuits, de jus de fruits, de pancartes, de drapeaux et de bonne humeur ! http://www.lamanifpourtous80.com/

    Saint-Raphaël (83) : Rendez-vous à 15h plage du Veillat avec vos drapeaux, vos sweats, votre goûter et votre détermination.

    Pour organiser votre week-end, n’oubliez pas le site Week-end facile : covoiturage, hébergement, babysitting...

  • La désobéissance civile

    Lu sur Metablog :

    "[Q]u'est-ce que la désobéissance civile selon Hannah Arendt : ni l'objection de conscience ni non plus une résistance à l'autorité qui serait purement subjective. La désobéissance civile a trois caractéristiques selon la philosophe : la publicité (on résiste pour les autres), la non-violence (on résiste sans rébellion ni révolution), le fait de provenir non pas d'individus isolés mais de groupes, parce que c'est essentiellement un geste politique et pas simplement un geste moral. La désobéissance civile est un geste qui n'est ni réactionnaire ni révolutionnaire, c'est un geste conservateur : il s'agit d'invoquer l'esprit de la loi contre la loi...

    Je me suis demandé si les Veilleurs étaient en train d'instaurer un espace de résistance ou de désobéissance civile. Et pourquoi non ? Toute démocratie, si elle ne souhaite pas être dominée par la dictature la plus pernicieuse et la plus cachée, la tyrannie de la majorité, doit avoir recours à des espaces de désobéissance civile pour équilibrer le jeu politique de la majorité et de la minorité.

    De ce point de vue, l'espace de la désobéissance civile est indispensable en toute vraie démocratie. Elle nous vaccine contre le Contrat social à la mode de Rousseau (où la majorité est prise comme l'unanimité citoyenne en un redoutable tour de passe passe). Comme l'écrit Hannah Arendt : "Le consensus de fait ne peut représenter le consensus de droit. Si tel était le cas, alors une humanité hautement organisée pourrait en arriver à conclure le plus démocratiquement du monde, c'est-à-dire à la majorité, que l'humanité en tant que tout aurait avantage à liquider certaines de ses parties" (cit. in A.M. ROVIELLO, Sens commun et modernité chez HA").

    Je reviens demain sur Hannah et sur le film extraordinaire que vient de lui consacrer Margarethe von Trotta (allez le voir !). Mais je crois que Les Veilleurs pourraient bien réussir à dé-rousseauiser notre République, en inscrivant invisiblement sur le sol de Paris, cet espace de liberté spirituelle, où un vivant esprit de la loi peut juger des lois perverses, même de celles qui se recommandent d'un vote républicain pour s'imposer violemment à tous les citoyens. Loin d'être un coup de canif dans la démocratie, la désobéissance civile apparaît comme le seul moyen d'être vraiment démocrate. Il s'agit d'empêcher que se mette en place cette tyrannie de la majorité, où, disait déjà Aristote, "tout le peuple est comme un seul tyran". Hannah Arendt, convaincue de l'importance de ces considérations (voir son article dans Du mensonge à la violence) appelait à constitutionnaliser la désobéissance civile.

    En attendant il faut encourager les Veilleurs, les aider à faire vivre en France, pour la première fois depuis longtemps, une vraie démocratie. Le temps des Veilleurs est bien un temps politique, comme le disait Axel : le temps de la désobéissance civile."

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • "La nouvelle élite catholique sera plus radicale, moins effacée : les gens ne peuvent plus être des schizophrènes"

    Une pause-lecture captivante pour mieux repartir vers un week-end qui promet d'être agité : 

    "Le début de cet entretien est paru dans Monde et Vie, dont le dernier numéro comporte un magnifique dossier sur le printemps chrétien que notre France est en train de vivre. Faute de place, la revue n'a pas pu publier intégralement le témoignage de Guillaume et de Carl. Mon amie Claire Thomas me l'a proposé. Le voici donc sur metablog. Ni Guillaume ni Carl ne sont des activistes. Ils voient les choses du point de vue de l'Eglise et de ce que ce printemps change dans l'Eglise de France

    Le Mouvement initié par la Manifestation pour tous et qui la déborde largement est difficile à décrypter. Pas de leaders affirmés, sinon des gens que l’on désigne par leurs prénoms. Pas de mots d’ordre officiels, des consignes qui passent par les réseaux sociaux. Cela veut-ils dire que ces manifestants sont des manifestants de hasard, des militants de rencontre ? Nous avons souhaité donner la parole à deux jeunes qui participent aux manifestations. Ils ne se connaissaient pas avant que nous n’organisions cette rencontre. Ils ne se sont pas entendus pour délivrer un discours semblable.

    Leur point de vue et leur formation sont assez différents mais leur enthousiasme est tout à fait convergent. Ils indiquent, sans s’être concertés, que naît dans la rue, en ce moment, un véritable printemps du christianisme en France.

    CT : Guillaume, Carl, j’aurais d’abord envie de vous demander qui vous êtes… D’où parlez-vous ? 
    GL : Nous sommes tous deux de simples militants de base, ni Printemps français, ni Veilleurs, ni Camping pour tous, ni Hommens, ni « Salopards », ni « Comité d’accueils » pour ministres en déplacements professionnels, mais n’hésitant pas à aider les uns et les autres. Depuis le début de cette affaire de mariage homosexuel, à Paris, nous essayons d’être présents sur tous les fronts dans une opération qui compte déjà quelques réussites… Vous nous demandez : « Qui êtes-vous ». Disons que nous représentons l’un et l’autre, incognito, deux parmi des milliers, un mouvement fondateur qui implique toute une génération de catholiques : les manifestants viennent de partout mais ils se sont regroupés autour de viviers de gens formés : je pense à l’Institut Albert le Grand (Angers) à l’ICES (La Roche sur Yon), à l’IPC (Paris), qui fournissent des cadres à notre révolte.
    Pour la plupart, on pourrait dire que nous relevons de « la jeunesse JMJ ». Au départ, nous sommes des catholiques bisounours, soit de formation diocésaine classique, soit des groupes chacha (charismatiques NDLR) qui découvrent l’hostilité des médias et du monde.
    Ces jeunes gardent encore une sorte de répulsion pour le milieu tradi, mais ils se sont radicalisés par rapport aux médias et au gouvernement. François Hollande a réussi à transformer des bisounours en militants politiques engagés… contre lui. C’est un véritable tour de force ! "(suite).
  • Laissez la parole aux citoyens ! par Manuel Gomez

    J’apprécie quelquefois les analyses et les commentaires du politologue Pascal Perrineau, très souvent intervenant dans l’émission « C dans l’Air », cependant je pense qu’il commet des erreurs de jugement fondamentales lorsqu’il se permet d’interpréter les choix que ferait la majorité des Français devant certaines questions d’intérêt national.
    Ainsi quand il affirme que les Français sont pour rester dans l’Europe et l’Euro.
    Ainsi quand il affirme que les Français sont contre la peine de mort.
    Je ne suis pas certain qu’il ne se trompe pas.¢
    Il aurait pu d’ailleurs poursuivre en interprétant également ce choix des Français pour ou contre le vote des étrangers.
    Mais également pour la nationalité par le droit du sang contre le droit du sol.
    Ou encore pour une immigration contrôlée, ou la présence de dizaines de milliers d’étrangers en situation irrégulière et bénéficiant de « notre » assistance sociale.
    Toutes ces questions ne seront jamais soumises à référendum par peur des résultats, tout comme n’a pas été soumis à référendum le « mariage pour tous ».
    En revanche le sénateur socialiste David Assouline a prouvé son inculture politique en comparant le FN au parti fasciste et national-socialiste (nazi) d’avant-guerre. Il considère que le FN est un poison pour la république mais prend bien garde de ne pas comparer le Front de Gauche Mélenchoniste au stalinisme et communisme d’avant 1989 auxquels il s’apparente pourtant étrangement de par son idéologie et ses slogans et qui furent responsables de soixante-dix millions de morts.

  • 3 janvier 1973 : Début d’une guerre économique pour la France ?

    Au nom de la loi je vous endette ! Pierre Yves Rougeyron est l’auteur d’ “Enquête sur la loi du 3 janvier 1973″, il a répondu à diverses questions autour de son ouvrage le vendredi 26 Avril 2013 :

    - Pourquoi consacrer un livre à une loi qui a 40 ans ?

    - Quelle est l’essence de cette loi, que cache-t-elle ?

    - Vous présentez la loi de 1973 comme une porte d’entrée, pourquoi ?

    - Qui est à l’origine de cette loi, qui en sont les acteurs ?

    - Quid de la Banque de France ?

    - Qui avez-vous rencontré ? Quel acteur décédé auriez-vous voulu rencontré ? Pour lui poser quelle question ? Questions virtuelles à Jean Monnet, Valéry Giscard d’Estaing, Raymond Barre et Jacques Delors qui ont selon l’auteur portent une lourde responsabilité.

    - Les banques privées gouvernent la France ?

    - Ceux qui ont imaginé le texte et ceux qui l’ont voté en 73 pouvaient-ils prévoir l’état actuel de la France ?

    http://fortune.fdesouche.com

  • Oser briser le vrai grand tabou : pas l'économique (à briser, certes) mais le véritable : le POLITIQUE !

    (lu le lundi 22 avril, sur le Blog de Patrice de Plunkett)

    "Écouter ce matin France Info et France Inter était instructif. À France Info, Tugdual Derville rappelait le seul objectif de la mobilisation de masse : défendre la famille et la filiation contre le saccage de l'état-civil. Cela dit, par où continuer ? Le pari des manifestations à répétion ne peut durer indéfiniment, ne serait-ce qu'en raison des vacances : celles de printemps et celles d'été. Présenter des candidats aux municipales est une idée, mais lointaine. Dans l'entre-deux, il est urgent de lancer le mouvement d'écologie humaine auquel Tugdual Derville a fait de nouveau allusion ce matin à France Info. Mais, là, Tugdual, il va falloir en débattre avec tous – et aller réellement au fond des choses, c'est-à-dire jusqu'à la mise en cause du modèle économique dominant."

    C'est juste, mais c'est aussi oublier que ce qui a produit ce "modèle économique dominant", c'est le "modèle politique dominant"...

    Alors, "aller réellement au fond des choses" ? Oui, tout à fait d'accord... mais "le fond des choses" n'est pas économique !

    Qui a dit Politique d'abord ?....

    http://lafautearousseau.hautetfort.com

  • Grèce : le gouvernement empêche les nationalistes de nourrir le peuple

    À Athènes, les nationalistes du parti « Aube dorée » organisaient une distribution gratuite de nourriture aux Grecs.

    Insupportable pour les autorités, qui reprochent à cette solidarité nationale un caractère discriminatoire pourtant logique. Le maire a donc fait envoyer la police anti-émeute pour empêcher les nationalistes de nourrir le peuple, préférant affamer celui-ci !

    http://www.contre-info.com/