Pour plusieurs raisons. La première est idéologique, lorsque le « propriétaire terrien » ou « l’exploitant agricole » est considéré comme étant un rentier, voire un employeur de main d’œuvre « bon marché » par des élus qui voient des capitalistes et des esclavagistes un peu partout.
Le constat peut choquer, mais il est souvent prégnant dans nos campagnes où l’agriculteur à fini par perdre la main au sein des conseils municipaux avec, pour lui succéder, ceux qui veulent remplacer le périmètre agricole dédié au travail par des terrains de loisir, des parcours emménagés « politiquement corrects » ou des espaces constructibles définitivement artificialisés.