Diffusé dimanche soir sur M6, le numéro du magazine « Zone interdite » intitulé « Face au danger de l’islam radical, les réponses de l’Etat » n’en finit plus de susciter la polémique non seulement dans les milieux bien-pensants mais aussi dans le monde des élus locaux. Et pour cause : non content de montrer à quel point des quartiers entiers de la ville de Roubaix sont devenus de véritables enclaves islamistes sur notre sol, ce reportage édifiant ose également pointer du doigt les nombreuses compromissions dont se rendent coupables certains élus avec les salafistes pour conserver leur mairie.
lobby - Page 380
-
« Zone interdite » irrite certains élus – Clientélisme musulman, financement de l’islamisme…
-
Censure : les « vérificateurs des faits » demandent à YouTube de prendre des mesures « contre la désinformation »
Selon Jean Yves Le Gallou, le fact-checking a un « un double objectif : permettre aux journalistes de reprendre le pouvoir et le contrôle de l’information aux dépens de leurs invités, en particulier les politiques ; sauver le point de vue politiquement correct des attaques qu’il subit et le protéger des assauts du réel. » Les assauts des fact checkers pour prendre le contrôle de YouTube vont dans ce sens.
Demande d’une censure renforcée
-
Candidature de Macron : la France multiculturelle en marche
C’est une pièce en trois actes. Le thème ? Comment faire réélire Emmanuel Macron. Une partie a déjà été rédigée, mais le plus important reste à écrire.
Le premier acte s’est déroulé à Vichy, le 8 décembre dernier. Un Emmanuel Macron solennel, accompagné de Serge et Beate Klarsfeld, se recueille devant la stèle érigée en mémoire des déportés juifs. Personne ne l’évoque directement à ce moment-là, mais c’est bien Éric Zemmour et ses propos sur Pétain qui sont dans toutes les têtes, et surtout dans celles des « stratèges de la majorité ».
Le journaliste Olivier Faye rapporte, le lendemain, leurs confidences dans le journal Le Monde : Zemmour offre à Emmanuel Macron « l’occasion d’opposer deux récits antagonistes » et « de réactiver le clivage entre progressistes et nationalistes qui a fait le succès du chef de l’État ». -
Michèle Tribalat – Immigration : ces idéologies qui masquent le réel
Cela fait plusieurs mois que l’immigration s’est invitée au cœur de la campagne électorale pour l’élection présidentielle. Notamment avec la candidature d’Éric Zemmour, qui en a fait son cheval de bataille. Pour en parler, la démographe Michèle Tribalat était l’invitée de “Bercoff dans tous ses états », pour son livre Immigration, idéologies et souci de la vérité (éd. de l’Artilleur).
-
Le grand désastre des villes vertes : à Bordeaux, rien de vraiment nouveau
La « révolution verte » est partie du Mexique en 1943, avant de se répandre en Inde et dans tout le Sud-Est asiatique.
Même si la couleur est identique, la « coloration verte », ayant frappé la ville de Bordeaux lors des élections municipales de 2020, paraît bien dérisoire au regard de la célèbre mutation agricole du XXe siècle.
Rien d’autre qu’un épiphénomène ayant conduit un candidat, réputé écologiste, à l’hôtel de ville de la capitale gironde. Un simple maire vert, comme dans plusieurs autres communes de France ! Presque deux années se sont écoulées. Et alors ? Alors, pas grand-chose.
-
Comment les journalistes de BFM sont au service du régime
Aveu de Céline Pigalle, directrice de la rédaction de BFMTV, dans le cadre d’une journée organisée par l’Association des Journalistes Scientifiques de la Presse d’Information :
Le 19 décembre 2014, alors directrice de la rédaction d’i-Télé, elle prend la décision de mettre fin à la collaboration d’Éric Zemmour à l’émission Ça se dispute. En novembre 2016, i-Télé est condamnée à verser 50 000 euros à Éric Zemmour pour « rupture brutale et abusive du contrat, sans préavis et sans invoquer aucun manquement contractuel ».
-
Emeutes à Brest. Un modèle à reproduire partout selon Pécresse ?
Depuis plus d’une semaine, le quartier de Pontanézen, à Brest fait l’objet de nombreux incidents, suite à une opération de police. Pour certains habitants, la situation est devenue invivable dans un quartier gangréné par le trafic de stupéfiants. Beaucoup de locataires sont contraints de subir les rodéos urbains et les tirs de mortiers.
«Je suis prisonnier sans avoir commis de délit, ou peut être celui d’être pauvre».
Ces émeutes sont un petit avant-goût de ce qui se déroulera dans toutes les villes de plus de 3000 habitants si Valérie Pécresse met en place son funeste projet de disperser les habitants des cités les plus problématiques sur l’ensemble du territoire.
-
Marine Le Pen interrogée sur France Inter ? La gauche morale s’indigne…
Les polémiques se suivent et se ressemblent ; enfin, presque. La dernière en date ? L’invitation de Marine Le Pen sur France Inter à « #InterviewPremièreFois », entretien filmé de deux minutes, une « pastille », comme on dit à la Maison de la radio ; ce qui change agréablement d’autres émissions aussi pénibles que des suppositoires, aussi sympathiques que des lavements.
-
Pantin (93) : démantèlement d’un campement de 180 migrants, majoritairement afghans, qui seront tous relogés et bénéficieront d’un « diagnostic social »
Un campement de migrants a été démantelé mercredi 26 janvier à Pantin (Seine-Saint-Denis), en lisière de Paris, et 180 personnes, pour l’essentiel des Afghans, ont été transférées vers des hébergements temporaires à l’issue de cette opération, ont annoncé autorités et associations. La préfecture d’Ile-de-France, assure prendre en charge chaque nuit «155.000 personnes en situation de précarité».
-
1984, d’Orwell, désormais dans le viseur du wokisme
À l’instar du réel, pour les zélateurs du progressisme, en 2022, 1984, le roman dystopique de George Orwell, est devenu offensant.
1984, l’une des plus grandes œuvres de la littérature britannique, à la fois visionnaire sur l’évolution de nos sociétés en cours d’annulation et prophétique sur celle de nos démocraties égalitaristes, entré depuis dans le panthéon des monuments littéraires universels, est aujourd’hui, parmi tant d’autres œuvres de la littérature classique anglo-saxonne – Brontë, Dickens, Beckett, etc. – sous le feu du delirium progressiste. « Les deux minutes de haine », rituel dont elles sont issues, le sont maintenant à l’encontre du livre. Publié en 1949, le roman d’Orwell se déroule dans un État totalitaire qui persécute la pensée individuelle et est notamment à l’origine d’expressions entrées dans la lexicologie courante: « Big Brother », « novlangue » et « police de la pensée », et j’en passe.