
Il faut lire la presse algérienne francophone pour apprendre que la France facilite la naturalisation :
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Il faut lire la presse algérienne francophone pour apprendre que la France facilite la naturalisation :

Une « Maison des livreurs », dénommée AMAL (espoir en arabe), vient de voir le jour dans la cité girondine. Ce local offre à ces travailleurs précaires un espace de repos et d’échanges ainsi que l’accès à une assistance juridique et médicale. Beaucoup sont des demandeurs d’asile, ou n’ont pas de titre de séjour ou de papiers d’identité.


19/02/23
Le projet de centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) à Beyssenac fait débat. Ce samedi 18 février, opposants et défenseurs se sont fait face, sur la place du château de Pompadour.

Depuis 2016, le flux de migrants qui traverse illégalement la frontière entre l’Italie et la France, s’il a parfois faibli, ne s’est jamais tari. Chaque jour, une poignée de personnes exilées rejoignent Briançon après plusieurs heures de marche sur les sommets enneigés. Ils sont originaires du Maghreb, de l’Afrique de l’Ouest ou encore des Balkans.
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
L'acharnement hystérique de la part de quelques journalistes en mal de sensations contre nos amis Bernard Germain et Pierre Cassen commence à friser le ridicule, voire l'indécent...
Depuis sa cinglante défaite à Callac, le clan d'extrémistes remplacistes, qui entendait imposer à cette petite commune (2 200 habitants) des Côtes d'Armor l'arrivée de plusieurs centaines de migrants, ne sait plus quoi inventer pour se venger. Ayant été massivement rejetés par les Callacois conscients des difficultés qu'un tel projet allait engendrer, les immigrationnistes veulent aujourd'hui faire payer leurs turpitudes à ceux qui se sont courageusement battus pour sauver leur identité et leur liberté.
Leur dernière trouvaille : déposer des plaintes pour des "menaces" qu'ils prétendent avoir reçues...

François Bernault, ancien président de chambre aux cours administratives d’appel de Marseille et de Lyon, estime dans une tribune publiée par Valeurs Actuelles, que la France doit se poser la question de la peine de mort :

Je ne me faisais aucune illusion : je connais trop bien les dysfonctionnements français pour être surpris par les faillites qui nous accablent.
À propos du fiasco du Stade de France, un rapport cinglant dénonce une gestion calamiteuse tenant à la fois à un amateurisme ministériel et à une hiérarchie policière de ce fait dépassée. Nous avions raison de nous révolter. Notre pays a été sali nationalement et internationalement, cette honte n’a pourtant pas entraîné la moindre sanction.