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Conférence de presse ACU (Commission d' enquête extra-parlementaire) :
- Dr. Heiko Schöning, "Médecins pour éclairsissenment", Allemagne/Hambourg,
- Dr. Bodo Schiffmann : médecin ORL, reconnu internationalement et récompensé professionnellement dans les magazines spécialisé, expert en vertige médical,
- Prof. Martin Haditsch (Autriche) : spécialiste en microbiologie, virologie et épidémiologie des infections, médecin généraliste sur l'éclaircissement et nécessité du "lockdown" et ses conséquences.
L’annonce de l’interpellation d’Alain Soral et de sa mise en garde à vue devrait scandaliser tout le camp national.
Qu’importe, en ces circonstances, les reproches qui peuvent lui être faits concernant certains de ses propos, ses méthodes ou son mode de vie. C’est l’acte de persécution politique mené par la république maçonnique qui doit retenir notre attention.
Alain Soral est persécuté pour des idées et pour des mots. Il faut le souligner au moment où, par ailleurs, la république se paye le luxe de se désigner comme ministre de l’Intérieur un homme accusé de viol.
« Dans un article du Monde, paru le 21 juillet 2020, Samuel Laurent se vante d’avoir épinglé un groupe de parole, Team Patriote, qui utilise la messagerie Telegram pour échanger plus librement que sur Twitter. Il écrit : « Le Monde a pu, durant plusieurs semaines, suivre en temps réel les discussions de ce petit groupe emblématique des procédés de « radicalisation » permis par les réseaux sociaux ». Quel beau coup de filet ! Emmanuel Macron et Jean Castex doivent se réjouir de voir le quotidien subventionné apporter de l’eau à leur moulin, au moment même où ils veulent sanctionner « la haine sur internet » et interdire le pseudonymat. Samuel Laurent se livre à une sociologie à la noix de coco de ce petit monde : des Français de la périphérie pour lesquels l’immigration, l’islam, le survivalisme, les armes à feu seraient une obsession et qui appelleraient à la « guerre raciale ». Autant dire, des Gilets jaunes de la première heure que Samuel Laurent se félicite d’avoir traqués.
Il est diplômé de l’École de journalisme de Grenoble, une école sous la houlette de Science Po Grenoble, qui prône « l’engagement social et citoyen ». On peut lire sur le site de cette école, très ancrée à gauche : « l’EjdG bénéficie de son implantation dans une métropole innovante socialement, politiquement et économiquement ». À mourir de rire lorsque l’on voit le destin tragique de cette ville, devenue l’une des plus meurtrières de France !
Alors que le futur Calife Erdogan menace de rouvrir les digues à un nouveau déferlement migratoire vers l'Europe, les arrivées massives ont repris en Italie et s'accroissent de jour en jour. Profitant d'une moindre vigilance italienne, due à la crise sanitaire et à l'éviction de Matteo Salvini du ministère de l'Intérieur l'automne dernier, 11 000 clandestins essentiellement venus de Libye et de Tunisie ont ainsi traversé la Méditerranée et débarqué à Lampedusa la semaine dernière. Le flux se poursuit et s'amplifie au rythme minimum de 300 illégaux par jour.
Il n'est pas encore trop tard pour endiguer, puis inverser cet envahissement.
Chacun de nous est face a ses responsabilités. Personne de notre camp n'a le droit de céder au découragement et de baisser les bras. Les solutions sont politiques. Politiques toujours. Politiques seulement. Le reste relève du rêve et de l'illusion. Nous n'avons plus le temps pour la métapolitique, les réflexions stratosphériques, les stratégies sur 10 ans... Plus le temps non plus des querelles ni des polémiques. Il y a urgence !
Deux Afghans ont été condamnés à de la prison avec sursis après avoir été reconnus coupables d’agression sexuelle en réunion et de séquestration sur une jeune femme à Pontivy en mai dernier. Un laxisme judiciaire déroutant alors que des faits similaires se multiplient en Bretagne.
Agression sexuelle en réunion et séquestration à Pontivy
Une nouvelle affaire sordide de violences sexuelles sur fond d’immigration extra-européenne secoue de nouveau la Bretagne. Revenons-en tout d’abord aux faits qui se sont déroulés le 30 mai dernier. Ce soir-là, une femme « un peu alcoolisée » se rend dans un bureau de tabac de Pontivy pour y acheter des cigarettes. Sur le retour, tandis que son chemin la fait passer devant un groupe de cinq personnes, elle se fait alpaguer. Bien que ne prêtant pas attention aux invectives, l’un des hommes en question la suit avant qu’elle ne se mette à courir, puis finisse par tomber dans un buisson, projetée par l’agresseur. C’est alors que le cauchemar va commencer…
La famille d’Axelle a demandé l’annulation d’une marche de soutien. Motif : «On craint une récupération politique». Enième déclinaison de l’invraisemblable «vous n’aurez pas ma haine».
En face, le moindre contrôle d’identité sur un Noir ou un Arabe est interprété comme une agression raciste qui justifie que l’on mobilise toute la communauté, qui d’ailleurs se mobilise en effet dans un mouvement spontané d’inspiration tribale et communautaire, et les médias au grand complet relaient au point d’obliger le législateur à durcir les lois antiracistes.
Pendant ce temps, les familles françaises sont obligées, même lorsqu’elles enterrent leurs enfants massacrés gratuitement dans les rues françaises, de faire allégeance à l’antiracisme triomphant et absurde et de donner des gages de conformité républicaine. Je ne serais pas surpris d’apprendre que c’est l’avocat de la famille qui lui a conseillé de prendre cette position publique. Cela répond aux déclarations de Céline Cooper, l’avocate des assassins, qui a d’ores et déjà positionné le débat sur la question de la récupération politique de la vilaine extrême-droite. Autant dire que le camp d’en face a déjà presque gagné, symboliquement. L’antiracisme obligatoire est sans doute l’un des leviers de contrôle psychologique les plus aboutis et les plus intimidants de toute l’histoire humaine. C’est devenu un totem mystique, une religion, une divinité même. Il faut être antiraciste jusque sur la pierre tombale de son enfant donné en sacrifice.
Emmanuel Macron a confié à l’historien Benjamin Stora une mission sur «la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie». Mais pour Jean Sévillia, l’approche de Benjamin Stora est trop complaisante à l’égard de la lecture indépendantiste des événements, propagée par le pouvoir algérien.
FIGAROVOX.- L’historien Benjamin Stora s’est vu confier par Emmanuel Macron une mission sur «la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie», ce choix vous semble-t-il judicieux ?
Jean SÉVILLIA.- Ce n’est pas, me semble-t-il, le meilleur choix, même s’il n’est pas surprenant si l’on se souvient des différentes prises de position du chef de l’État à ce sujet: Emmanuel Macron avait en effet qualifié la colonisation de «crime contre l’humanité» lorsqu’il était candidat ; puis, comme président, il a ouvert la voie à une démarche pratiquement expiatoire. Il partage donc la même vision que Benjamin Stora de la présence française en Algérie: cet historien est en effet une figure officielle dans les cercles bien-pensants.
À la police républicaine, qui est d'abord censée protéger la population, on a décidé de confier comme mission prioritaire la préservation d'un pouvoir minoritaire et impopulaire.
Néolibéralisme autoritaire : la triple alliance
Facisme et nazisme , fruits de la combinaison de plusieurs phénomènes dans un contexte de l’entre-deux-guerres ont été très largement étudiés. Formes particulières de dictatures, il est cependant essentiel de rappeler que leurs avènements n’ont été possibles que par la décision de la bourgeoisie et des intérêts dominants de les soutenir, de les financer et de les instaurer.
Et par la suite, chaque expérience autoritaire, des colonels grecs aux dictatures latino-américaines en passant par l’Espagne et le Portugal, a présenté la triple caractéristique d’une alliance entre une oligarchie, une petite bourgeoisie dépravée et une partie importante de la pègre.