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  • Pourquoi le strabisme islamophile des chrétiens ? (texte de 2012)

    Comment les Occidentaux voient-ils l'islam ? Un récent ouvrage du père Gallez aborde cette importante question.

    Il y a plusieurs livres dans le dernier ouvrage du Père Edouard Marie Gallez sur Le Malentendu islamochrétien. Il y a une vision de l'histoire : il faut cela pour comprendre l'islam du point de vue de l'Evangile. Il y a une longue mise au point sur l'islamologie et les islamologues. Il y a enfin quelques pistes à l'attention des théologiens catholiques d'aujourd'hui.

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  • Jean-Loup Bonnamy : «Vouloir arrêter une épidémie avec le confinement, c’est comme vouloir arrêter la mer avec ses bras»

    Le confinement est une piètre stratégie pour lutter contre ce virus, analyse Jean-Loup Bonnamy, coauteur d’un «Tract» intitulé Quand la psychose fait dérailler le monde (Gallimard). Il faudrait s’inspirer selon lui des pays asiatiques qui prônent le dépistage massif et l’isolement des seuls malades.
    Un entretien paru sur Figarovox.

    Ce nouveau confinement permettra-t-il d’endiguer la seconde vague, alors que vous dénonciez l’archaïsme et l’inefficacité sanitaire du confinement du printemps dernier dans un court essai paru dans la collection «Tracts» de Gallimard?

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  • France: plutôt la dhimmitude que la guerre? La gauche et le djihad, plutôt l'esclavage que la guerre, par Nicolas Lévine.

    Après les attaques d'un islamiste à Vienne, le président Macron se rend à l'ambassade d'Autriche le 3 novembre 2020 © Christophe Petit Tesson/AP/SIPA Numéro de reportage : AP22509746_000001

    Les attentats islamistes se multiplient sur le sol européen. D’aucuns continuent de se demander en France: “mais pourquoi sont-ils aussi méchants?” À force de ne pas choisir entre vivre sous le joug d’un califat ou sous celui de « l’extrême droite », on nous signale à gauche une migraine terrible!

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  • Ce racisme ordinaire dont on parle rarement…

    Depuis quelques jours, des message de haine accompagnés d’appels à la violence circulent sur Internet contre les Asiatiques de France. Il s’agit, carrément, d’injonction directes à agresser les Chinois, proférées depuis de nombreux comptes Facebook, Twitter, etc. L’affaire a été révélée par l’Association des jeunes Chinois de France, sur sa page Facebook, puis relayée par la LICRA sur son site Internet : on y voit des tweets d’un certain Imad appelant à tabasser les Chinois au collège, puis d’un certain JNK suppliant les « renois et rebeus du 91, 92, 93, 94 95 à tabasser chaque Chinois croisé dans la rue ».

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  • Les fausses nouvelles volent en escadrille

    Les fausses nouvelles volent en escadrille

    Toute la presse relaie une “fake news” de CNN, selon qui Mélania Trump tenterait en privé de convaincre Donald de reconnaître sa défaite à l’élection présidentielle.

    Celle-ci a publié un tweet de démenti, mais la presse continue de répandre l’intox.

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  • « Service après-vente, bonjour ! » : contre l’islamisme, Omar Sy aux abonnés… évasifs !

    Revenons sur le « séisme » de l’affaire Paty. Une vague de sidération a secoué le microcosme politico-médiatique à l’annonce de ce terrible assassinat. Pourtant, ce n’était pas la première fois qu’on tuait, en France, dans une école, au nom de l’islam. Rappelez-vous ! Le 19 mars 2012, le djihadiste Merah abattait froidement Arié et Gabriel, 5 et 3 ans, leur père, et Myriam, 8 ans, dans une école juive de Toulouse. Et ce 16 octobre 2020, le saint des saints de la République, l’école « laïque, gratuite et obligatoire », était atteint par le martyre de l’un de ses serviteurs. Pas de sanctuaire contre le terrorisme islamiste !

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  • La mondialisation, stade suprême de l'expansion du capitalisme (texte de 2014) 4/4

    Des gouvernements privés de leur souveraineté

    Les partisans de la mondialisation affirment que le commerce stimule la croissance, alors qu'historiquement c'est bien plutôt la croissance qui a stimulé le commerce. Loin que la libéralisation des échanges commerciaux profite à tous les pays, et qu'il existe un fort lien entre ce commerce et la croissance mondiale, c'est le contraire qui est vrai la croissance est en relation inverse avec le degré d'ouverture au commerce international. De même, ce n'est pas l'austérité, mais au contraire un haut niveau de protection sociale qui favorise l'expansion économique. On rappellera en outre que le PIB, qui ne mesure que ce qui est vendu, comptabilise positivement toute activité économique même lorsqu'elle a été provoquée par une catastrophe. Incapable de prendre en compte l'épuisement des ressources naturelles et les destructions induites par la mondialisation, il ne mesure pas tant la richesse que le degré de marchandisation d'une économie qui possédait auparavant un secteur non marchand. Quant aux vertus du libre-échange, on en connaît les limites(13).

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  • Obsolescence, mythe... programmé ? (texte de 2012)

    Au cœur des critiques de la société de consommation de masse, l’obsolescence programmée tient une place de choix. Les industriels s'évertueraient à nous proposer des produits dont la durée de vie est volontairement limitée, pour nous pousser à les renouveler régulièrement. Mythe ou réalité ?

    Expérience vécue une imprimante, servant régulièrement mais modestement, tombe en panne brusquement. Une recherche sur le Web montre rapidement qu'une puce, présente dans la machine, la désactive après un nombre donné d'impressions. C'est ce que l'on appelle l'obsolescence programmée, et elle serait presque aussi vieille que la société industrielle.

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  • La mondialisation, stade suprême de l'expansion du capitalisme (texte de 2014) 3/4

    L'attitude des marchés financiers vis-à-vis des États a néanmoins évolué. Alors que dans le passé, les libéraux cherchaient à réduire le rôle de l'État au minimum, leurs héritiers ont très bien compris qu'ils sont maintenant en position de mettre les structures étatiques à leur service. Ils ne demandent donc plus la disparition de l'État, mais attendent que lui qu'il crée les conditions les plus favorables au déploiement de la Forme-Capital. En adoptant une politique de la dette pour financer la demande sociale et renflouer les banques, les États, de leur côté, se sont placés entre les mains des marchés financiers et des agences de notation, puisqu'ils ne peuvent plus emprunter auprès de leurs banques centrales. Ils n'ont dès lors d'autre ressource que de se soumettre aux diktats de la finance en cherchant à rendre leurs structures les plus attractives possibles pour le Capital.

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