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lobby - Page 597

  • Taguieff: «Le décolonialisme est la maladie sénile de la gauche intellectuelle contemporaine», par Pierre Valentin.

    Manifestation d’un collectif de soutien à Adama Traoré. BERTRAND GUAY/AFP

    Le philosophe dénonce l’influence croissante du décolonialisme au sein de la gauche dans un essai tout juste paru, intitulé «L’imposture décoloniale».

    FIGAROVOX. - Dans votre dernier ouvrage L’imposture décoloniale vous dites: «Le postcolonialisme (…) risque d’entraîner toutes les familles de la gauche dans l’adhésion à une vision identitaire». Quelle est cette vision identitaire qui vous inquiète?

    Pierre-André TAGUIEFF. - Le postcolonialisme est, pour aller vite, la version soft du décolonialisme, lequel séduit non pas en raison de sa consistance théorique mais par sa «radicalité» idéologico-politique. Les idéologues décoloniaux appellent en effet à rompre totalement avec le passé maudit de la France et plus largement de l’Europe et de l’Occident, dont il réduisent l’histoire à celle du racisme, de la traite négrière, du colonialisme et de l’impérialisme.

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  • Pauvreté et destruction de la famille

    Le Secours Catholique-Caritas France publie jeudi 12 novembre son rapport statistique annuel État de la pauvreté en France 2020. Constats et analyses sur la précarité issus de l’observation sur l’ensemble du territoire national de plus de 55 400 situations (sur les 1 393 000 personnes accueillies en 2019).

    Pour son rapport 2020 qui alerte sur la dégradation du niveau de vie des plus pauvres, l’association a complété son étude d’une enquête approfondie sur leur budget, pointant les privations quotidiennes et les arbitrages impossibles auxquels ils sont confrontés : chauffer le logement ou se nourrir, acheter un habit pour la rentrée ou payer la facture d’électricité.

    La part des mères isolées reste trois fois plus importante dans les accueils du Secours Catholique que dans la population générale. Elles sont souvent jeunes, avec des enfants en bas âge, et ont des ressources insuffisantes pour faire face aux dépenses de la vie courante : 42 % sont au chômage, non indemnisé dans six cas sur dix et de longue durée dans les trois quarts des situations.

    https://www.lesalonbeige.fr/pauvrete-et-destruction-de-la-famille/

  • Lutte contre le terrorisme : la nouvelle trouvaille de l’UE, une école pour imams

    Pour contrer le terrorisme islamique en Europe, né dans les mosquées implantées sur le Vieux Continent, les nations feraient mieux de ne pas s’en remettre à l’Union Européenne. Cette dernière ne sait opposer à cette barbarie que des pleurnichements sentimentaux, des bougies à la flamme tremblotante, l’incantation répétitive « plus jamais ça » et des projets doucereux.  

    Pour preuve, le président du Conseil de l’UE, Charles Michel, a eu une idée bien dans la ligne de la bien-pensance dégoulinante d’altruisme tueur : 

    « Pour lutter contre l’idéologie de la haine, nous devons créer un Institut européen pour former les imams en Europe. »

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  • Etat-providence et despotisme sanitaire

    Etat-providence et despotisme sanitaire

    Dans l’Incorrect, Thibaud Collin dénonce le caractère disproportionné et injuste de l’interdiction des cultes publics :

    L’État moderne trouve grâce à Thomas Hobbes (1588-1679) sa justification dans l’impérieux désir des individus de se soustraire à la peur de la mort violente, inhérente à l’état de nature pré-social (« la guerre de tous contre tous »). Ils sacrifient leur liberté naturelle à l’État souverain afin qu’en retour celui-ci garantisse leur sécurité. Hobbes fonde ainsi la science politique moderne sur une condition nécessaire et égale pour tous : la fuite du mal absolu qu’est la mort. Tel est, considère-t-il, le seul moyen de sortir des divisions sociales engendrées par la poursuite du bien ultime. L’unité de la société politique ne tient plus à une quête illusoire du bien commun mais à la peur, bien réelle, d’un mal commun mettant ainsi  « tout le monde d’accord ». La mort devient la nouvelle figure de l’absolu disqualifiant la question surnaturelle du salut et de la damnation. L’État est cet artifice par lequel les hommes s’assurent une société paisible, jouissant dans leur vie privée des libertés individuelles que celui-ci, ce « dieu mortel », leur garantit.

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  • Alain de Benoist : « Sur les tombes de soldats, il est écrit qu’ils sont morts pour la France, pas pour la République ! »

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    Nos hommes politiques n’ont plus à la bouche que le mot de «  », allégorie politique et morale invoquée à tout bout de champ : « la République est menacée », « la République ne cédera pas », etc. C’est du psittacisme ou quoi ? Les « valeurs républicaines », ça vous parle ?

    Ce n’est pas nouveau, mais en effet, ça s’accélère. Si l’on récite ce mantra, c’est qu’on ne veut pas utiliser un autre mot : la , tout simplement. Et l’on ne veut pas l’utiliser parce que l’on veut suggérer que la France a commencé avec la République, de telle façon qu’il suffirait de parler de la seconde pour s’abstenir de faire allusion à la première. C’est évidemment ridicule : si la France a commencé avec la proclamation des Droits de l’homme, quelle était donc la nationalité de Corneille et de Pascal ? Sur les tombes de soldats, il est écrit qu’ils sont morts pour la France, pas pour la République. Pour m’exprimer, comme l’a dit Charlotte d’Ornellas, je n’utilise pas la langue républicaine mais la langue française !

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  • Sur Sud Radio, Covid19 : Faut-il rendre la vaccination obligatoire ?

    Philippe Rossi avec Philippe Bilger, Caroline Pilastre, Michel Pourzol et Dr. Philippe Vermesch, président du Syndicat des Médecins Libéraux.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/11/11/sur-sud-radio-covid19-faut-il-rendre-la-vaccination-obligato-6276186.html

  • Dans le mariage, la mère est une femme et le père est un homme

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    Voilà une réalité naturelle qui mérite d’être défendue face au lobby LGBT. Le gouvernement hongrois, voyant la dérive de quelques Etats comme la France, a déposé au Parlement un projet d’amendement constitutionnel indiquant que « la base des relations de la famille est le mariage », où « la mère est une femme, le père est un homme ». Le texte stipule que la Hongrie « protège le droit des enfants à l’identité sexuelle qui est celle de leur naissance », et à une éducation « basée sur les valeurs découlant de l’identité constitutionnelle de la Hongrie et de la culture chrétienne ».

    Un amendement précédent spécifiait déjà que le mariage est entre un homme et une femme.

    J’ai évoqué il y a quelques jours cette agence de Philadelphie, persécutée par le lobby LGBT pour oser refuser le placement d’enfants chez des personnes de même sexe. L’agence fait actuellement un recours auprès de la Cour Suprême, qui examine la question de savoir si Philadelphie pouvait imposer une exigence de non-discrimination à une organisation religieuse qui s’oppose au mariage homosexuel.

    J’apprends aujourd’hui que cette agence catholique est la cible, outre des invertis, du père James Martin, jésuite américain membre du Dicastère pour la communication du Saint-Siège. Voilà à quoi mènent les déclarations ubuesques du pape François sur les unions homosexuelles.

    https://www.lesalonbeige.fr/dans-le-mariage-la-mere-est-une-femme-et-le-pere-est-un-homme/

  • Imposition du camp de migrants du Louvre : les habits neufs du communisme

     

    L’annonce ne surprendra que les plus naïfs d’entre nous. 

    Ça y est, la décision est prise : un tout nouveau centre d’accueil pour migrants va être installé en plein cœur de Paris, en face du musée du Louvre, dans le très élégant 1er arrondissement. , adjoint communiste d’Anne Hidalgo, en charge notamment de l’accueil de ces Parisiens de fraîche date, a tranché.

    Ah, ces communistes ! On avait oublié jusqu’à leur existence. L’obscène présence, en 2020, d’un héritage aussi sanglant, dans le paysage politique de la « patrie des Lumières et des droits de l’homme », ne dérangeait même plus, tant ils étaient microscopiques. Or, voilà que reviennent, sous nos yeux, les bons vieux modes d’action des amis du genre humain.

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  • « Nos ennemis nous ont déclaré une guerre à mort » (entretien avec Monsieur K)

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    Il est la voix de plusieurs émissions, anciennement sur Méridien Zéro (MZ) et aujourd’hui sur ERFM. Ils sont des milliers en effet à connaître Monsieur K, ses émissions, particulièrement fouillées, et ses invités, variés.

    Vieux militant et briscard de la dissidence, avec donc un regard intéressant sur ses composantes, mais aussi sur l’évolution du système qu’elle combat, nous l’avons interrogé, dans un entretien particulièrement libre.

    Breizh-info.com : Tout d’abord, qui est Monsieur K ? D’où vient ce pseudonyme ?

    Monsieur K : Je suis le père de quatre enfants. Je suis un militant nationaliste d’Action française et de la Révolution Conservatrice depuis plus de vingt ans.

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  • L’inquiétude grandit chez les partisans de Joe Biden

    Laurence Haïm est une journaliste (il faut le dire vite) franco-américano-israélienne. Ancienne correspondante du groupe Canal+ et de l’agence CAPA (agence qui avait réalisé le montage grossier “Les Infiltrés” à Bordeaux) à Washington de 1992 à 2017, elle fait partie des quelques journalistes français à avoir été accrédités aux conférences de presse de la Maison-Blanche.

    En janvier 2017, elle a rejoint l’équipe d’Emmanuel Macron, en tant que porte-parole. Elle quitte ses fonctions au sein de LREM le 12 juillet 2017 pour retourner aux Etats-Unis. Fanatique de Joe Biden, elle se fait remarquer par ses tweets d’une grande recherche journalistique :

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