
Donald Trump ne met bien évidemment pas fin aux formations contre les discriminations raciales dans l’administration. Il demande à ce que ces formations ne s’appuient pas sur la “critical race theory”. Il met fin aux formations racistes.
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Donald Trump ne met bien évidemment pas fin aux formations contre les discriminations raciales dans l’administration. Il demande à ce que ces formations ne s’appuient pas sur la “critical race theory”. Il met fin aux formations racistes.
Emmanuel Macron évoquait, le 20 août, l’arrivée d’un vaccin anti-Covid-19 dans les prochains mois. Délai extrêmement court comparé à celui, habituel, de la mise sur le marché d’un nouveau médicament. Les laboratoires pharmaceutiques mis ainsi sous pression ont exigé dans leurs contrats une condition. Sidérant !
Plus d’un milliard de doses de vaccin déjà réservées ou sous contrat d’achat anticipé par Bruxelles à différents laboratoires : 300 millions à Sanofi (français), 400 millions à Johnson & Johnson (américain), 300 millions à AstraZeneca (suédois-britannique) avec une option de 100 millions supplémentaires. L’Europe met le paquet au moment où, même si le nombre de cas augmente, le nombre de malades hospitalisés ou en réanimation a considérablement diminué et où l’on déplorait 4 décès le 30 août !
Les positions militantes noires et anti-françaises, obsédées par la division « raciale » entre les populations, sont en retard : celles de LFI, Obono par exemple, du minuscule groupuscule Ligue de défense noire africaine, faisant un peu de bruit sur les réseaux sociaux grâce aux médias bienveillants, ou des associations d’« afro-descendants » persuadés d’avoir des esclaves comme ancêtres. Pourtant, aucun Noir vivant en France ne peut affirmer avec certitude descendre d’esclaves, sauf à avoir mené un travail généalogique probant. La lecture de livres historiques sérieux, tels ceux, mondialement reconnus, d’Olivier Pétré-Grenouilleau, Les Traites négrières (Gallimard, 2004), devrait suffire à le comprendre. Il est donc étonnant que les militants noirs de France, nombreux à penser que l’Afrique est un « pays », ne soient pas mieux informés des avancées remarquables de leurs « compatriotes » noirs africains, en matière de remigration.
Donald Trump ordonne la suppression des formations contre le racisme dispensées dans l’administration fédérale des États-Unis, dénonçant une “propagande clivante et anti-américaine”.
“Des employés de l’administration ont été priés de suivre des formations où il leur est dit que +pratiquement toutes les personnes blanches contribuent au racisme, où il leur est demandé de dire qu’ils ‘bénéficient du racisme‘”, indique notamment la Maison Blanche dans un communiqué.
(…) L’administration présidentielle a reçu l’ordre de « s’assurer que les agences fédérales cessent d’utiliser les dollars des contribuables pour financer ces séances de propagande clivantes et anti-américaines », ajoute le communiqué.
Le 3 octobre 2018, quittant ses fonctions de ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb faisait cet aveu inquiétant à bien des égards « Aujourd'hui, on vit côte à côte. Mais je le dis toujours, je crains que demain on vive face à face. »
En 2020, les ingrédients sont désormais en place pour que le pire intervienne. Qui en porte la responsabilité ?
Le patronat ouvre la porte
Dans les années 1960, au cœur des «trente glorieuses» au lieu de faire le choix stratégique d'investir massivement dans la robotisation (secteur automobile et pour faire pression à la baisse sur les salaires des ouvriers français qui veulent goûter eux aussi aux fruits de la croissance une partie du patronat (notamment dans le bâtiment, les travaux publics, la métallurgie) souhaite pouvoir avoir recours à l'immigration. Elle trouve un écho favorable auprès du Premier ministre de De Gaulle, Georges Pompidou. Les portes s'ouvrent à une immigration de travail. Les recruteurs de chez Renault, Citroën, Bouygues arpentent les douars, notamment au Maroc afin de sélectionner la main d'œuvre (y compris analphabète). Mal rémunérés, plus dociles (non syndiqués), ces dizaines de milliers de volontaires qui ne sont pas destinés à rester en métropole viennent seuls, envoient une partie de leur salaire à leur famille restée au bled qu'ils ne voient qu'une fois par an pendant leurs congés d'été) et souhaitent réunir assez d'argent ou assez de droits pour revenir au pays et y vivre dignement. À la fin de la décennie, ils sont 200 000 et déjà, on observe un véritable transfert de charges des entreprises vers la collectivité publique chargée d'accueillir de loger et de soigner ces travailleurs. En 1973, le gouvernement de Pierre Messmer annonce officiellement le gel de l'immigration. Cette dernière se ralentit mais ne s'arrête pas pour autant...
Aux États-Unis, d'épisodiques crises de folie sociétale 1
Puritanisme et néo-inquisition : l'hystérie politiquement-correcte plonge la superstructure des États-Unis, notamment son infosphère 2, dans d'épisodiques crises d'une épilepsie sociétale mal comprise, vu d'Europe.
L’aveuglement sur l’état de la France est une lâcheté largement partagée. Rien n’est plus commode que de nier, par exemple, la montée de l’insécurité ou de l’islamisation, pour se contenter de brasser de l’air autour de l’ordre sanitaire et de ses principes de précaution. Les hommes politiques qui se prêtent à cette mascarade auront à répondre de leur démission devant l’histoire. Ainsi, mardi, le garde des Sceaux, Eric Dupont-Moretti, s’en est pris aux populistes coupables à ses yeux d’alerter sur l’expansion et la banalisation de la violence.
Pour lui, l’ “ensauvagement” (un mot employé par le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin) est un leurre qui n’exprime qu’un “sentiment d’insécurité” “de l’ordre du fantasme”. Ce dénégationnisme balourd va de pair avec celui qui prétend que “l’islam est compatible avec la République” : une formule creuse reprise notamment par Emmanuel Macron. Ce slogan permet de ne pas s’interroger plus avant sur les causes du séparatisme islamique qui s’installe. Reste qu’un sondage Ifop, publié ce mercredi par Charlie Hebdo, vient rappeler l’attrait de la charia (loi islamique) sur la jeune génération de musulmans français.
Addendum : un lecteur me signale que Michel Onfray accuse par erreur Laurent Joffrin d’avoir promu la coprophagie et la zoophilie par une tribune. En effet, il fait référence à un article dont Laurent Joffrin n’est pas l’auteur, publié par Libération le 17 janvier 2014, date à laquelle il n’était pas encore revenu en tant que directeur de la rédaction. (Source pour le lien à cette tribune : https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/joffrin-penseur-du-sexe ).
Carole Delga, présidente socialiste de la région Occitanie, a été condamnée, mardi, par la Cour de cassation.
Carole Delga, présidente socialiste de la région Occitanie, a été condamnée, mardi 1er septembre 2020, par la Cour de cassation pour discrimination politique envers la commune de Beaucaire (Gard), au terme de quatre ans de procédure, confirmant ainsi l’arrêt de la cour d’appel.
Au micro de Boulevard Voltaire, réaction du maire RN de Beaucaire, Julien Sanchez, qui revient sur cette affaire des contrats de ville.
Ce premier septembre, Carole Delga la présidente de la région Occitanie a été définitivement condamnée pour discrimination envers votre commune. La Cour de cassation a rejeté le pourvoi de la présidente de la région Occitanie, confirmant ainsi la condamnation et les peines prononcées en appel le 26 avril 2019. On imagine que vous vous réjouissez de cette décision.