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lobby - Page 623

  • Le vote écolo de gauche (EELV), c’est aussi l’immigrationnisme de masse

    Le vote écolo de gauche (EELV), c’est aussi l’immigrationnisme de masse

    Le vote écologiste de gauche qui a remporté plusieurs municipalités hier soir (EELV renforcé du PCF, de LFI et parfois du PS) ne doit pas seulement être considéré seulement comme un vote de citadins aisés  adeptes de l’écologie punitive. C’est vrai mais pas suffisant.

    Yannick Jadot, pour s’en défendre, citait ce matin l’exemple de Colombes en région parisienne comme étant une grande ville de banlieue où ce sont les “quartiers populaires” (lire les quartiers d’origine immigrée) qui ont soutenu et voté EELV. Voici la vidéo de jeunes écologistes tant préoccupés par la défense de la biodiversité et la fin du nucléaire :

    .......

    Que personne ne soit dupe. Le vote écolo de gauche (EELV/PCF/LFI), ce sont les bobos écolo de gauche des grandes villes mais aussi les indigénistes, les anticolonialistes, les anti esclavagistes, les islamo-gauchistes, les partisans d’une régularisation massive des clandestins. Et comme EELV promeut également les “droits” LGBT, il y aura un jour ou l’autre des tensions internes.

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  • L’Oréal supprime les mots « blanc », « blanchissant » et « clair » de ses produits. Vers un vaste boycott ?

    Le délire gauchiste antiblanc se poursuit en France même ; on ne sait pas où il s’arrêtera. La mise en esclavage des Gaulois ?

    « « Le groupe L’Oréal a décidé de retirer les mots blanc/blanchissantclair de tous ses produits destinés à uniformiser la peau », indique le géant français des cosmétiques dans un communiqué publié en anglais samedi 27 juin, sans plus de détails, notamment sur un retrait immédiat ou non des rayons.

    Cette décision vient après celle de la filiale indienne d’Unilever, qui a choisi de rebaptiser sa crème éclaircissante pour la peau commercialisée sous le nom de «Fair & Lovely». L’entreprise anglo-néerlandaise a promis de ne plus recourir au mot «Fair» («clair») car la marque se dit «engagée à célébrer tous les tons de peau». » (source Le Figaro)

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  • Trump contre l'État Profond

    47638277-37626718.jpg?v=1593307689Nous voilà exactement au milieu de l'année 2020. De Noël à la mi-été, les jours rallongent; de la mi-été à Noël, les nuits rallongent. Le jour de la Saint-Jean-Baptiste ajoute un sens religieux à la signification cosmique des événements, amplifiée cette année par l'éclipse solaire.
    Aux États-Unis, l'événement central c'est le rebondissement de Trump. À Tulsa, Oklahoma, Trump a commencé à regagner le terrain perdu. La conjoncture ne lui était pas favorable. Twitter a encore une fois trollé Trump, avec sa blague sur les média mensonges. La Cour suprême a rejeté deux de ses initiatives, offrant une protection supplémentaire aux personnes qui se déclarent LGBT et aux jeunes immigrants illégaux désormais intouchables. L'armée a manifesté son hostilité envers Trump, en s'excusant pour une séance de photos avec son commandant en chef. Les services secrets ont divulgué le lieu où se trouvait le président. De plus en plus de fonctionnaires ont déclaré leur allégeance au Nouvel Ordre Mondial en s'agenouillant devant lui plutôt que devant Dieu.

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  • Sommes-nous à la veille d’une révolution ?

    Selon les gauchistes, la révolution doit faire tomber le régime, la société même,  comme des fruits mûrs. Rares sont cependant les fruits de cette espèce qui tombent sans qu’on les pousse un peu tant l’inertie du conformisme l’emporte sur l’ardeur du changement. Cette résistance à la chute est due à ce que Richard Nixon avait appelé la « Majorité silencieuse ». Cette formule est très significative. Elle implique que dans une société donnée, ce sont les minorités qui parlent et qui agissent. Une démocratie n’est donc qu’une apparence dans la plupart des cas puisque la majorité du peuple ne s’exprime que périodiquement. Dans l’intervalle, ce sont des minorités qui gouvernent, ou s’opposent au gouvernement avec l’espoir de le remplacer à l’occasion d’une élection, ou de manière plus radicale, en désirant renverser le régime, voire bouleverser la société. Certains pays, comme la Suisse, s’approchent de l’idéal démocratique, qui permettent à la majorité de s’exprimer très souvent à travers des référendums, d’autres s’en éloignent par l’organisation de scrutins, plus ou moins espacés, destinés à élire des responsables politiques, plus ou moins « représentatifs », cette notion elle-même étant discutable. Dans tous les cas, l’opinion publique est conditionnée par des moyens de formation et d’information détenus par des minorités. Lorsqu’il y a adéquation entre la minorité qui tient le gouvernement ou plus largement domine le système et celle qui détient les leviers de la pensée par la censure ou par la propriété, il faut des circonstances exceptionnelles, comme une guerre calamiteuse ou une crise économique considérable, pour faire tomber le régime et transformer la société. Ainsi en a-t-il été de la Russie tsariste en 1917, passée en quelques mois entre les mains des bolcheviques qui n’étaient nullement majoritaires dans le pays, ni même parmi les révolutionnaires malgré leur dénomination trompeuse.

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  • Black Lives Matter : chronique d’une surenchère permanente

    29/06/2020 – INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    Les séquences médiatiques s’enchaînent, avec leur lot d’indignations transfrontières issues des réseaux sociaux. Hier, la Covid-19, avant-hier, Greta, aujourd’hui le mouvement « Black Lives Matter ».

    Outre-Manche, par exemple, où l’Université de Cambridge s’est adonnée à un étrange spectacle de démagogie anti-raciste

    L’université a récompensé le Dr Priyamvada Gopal, âgée de 51 ans et enseignante au sein du département d’anglais de la faculté Churchill College, pour avoir affirmé sur son compte Twitter : « Je le répète. La vie blanche n’a pas d’importance. En tant que vies blanches. » Ces mots, écrits en réaction à la banderole « White Lives Matter » déployée au-dessus du stade de Manchester City la semaine dernière, ont suscité une vague de critiques à l’encontre de son auteur pointant un discours antiraciste s’apparentant en réalité à du racisme inversé.

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  • La mise en cause des fondements de la civilisation occidentale par l’escroquerie appelée « fraude au nom légal »

    Une certaine faction, en provenance du Canada, voudrait nous faire avaler la farce appelée « fraude au nom légal » afin de justifier la disparition de l’Etat et, un pas plus loin, celle de l’identité même des individus. Car nous allons voir que cette escroquerie aurait ainsi pour effet ultime que les individus, pour se libérer de l’état civil et de l’Etat, devraient abandonner leur filiation afin d’échapper à une prétendue fraude consistant à les considérer comme du « capital » dès leur naissance.

    Les tenants et les aboutissants civilisationnels de l’escroquerie appelée « fraude au nom légal »

    Il y a, derrière cette escroquerie, tout un fatras d’idées toutes aussi saugrenues les unes que les autres et mélangeant, selon la méthodologie habituelle des globalistes, les vraies et les fausses informations.

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  • Déboulonner l’histoire ?, par Gérard Leclerc.

    Capture d’écran d’une vidéo montrant le déboulonnage de la statue de Junipero Serra à San Francisco.

    © Twitter / @shane_bauer

    Dans la grande vague actuelle de vandalisation des statues jugées insupportables en raison de leur rapport symbolique avec les pages sombres de l’histoire de nos nations, voici que la mémoire chrétienne se trouve aussi atteinte. En Californie, plusieurs statues de saint Junipero Serra, missionnaire ayant présidé à l’évangélisation de l’Ouest américain, ont été détruites. On s’en est même pris aux tombes du cimetière où il est inhumé. Pourquoi s’en prendre à une telle figure ? Est-ce tout simplement le fait d’avoir évangélisé les Indiens ?

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  • La révolution culturelle raciale

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    Par Eric Delcroix, juriste, essayiste et écrivain ♦ Le mouvement racialiste, dont la spontanéité est des plus douteuses, venu des États-Unis à l’occasion de la mort de George Floyd, a trouvé en France un écho particulier grâce à la préexistence du mouvement Justice pour Adama Traoré. Il est remarquable de constater que, dans un cas comme dans l’autre, des activistes ont réussi à faire des icônes politiques, morale et sociales, de délinquants et de ce type de délinquants asociaux qui empoisonnent la vie quotidienne des honnêtes gens. Est-il raciste de constater qu’on a les héros, ou plutôt les martyrs, que l’on mérite ? Peu importe, la réalité est là.
    En arrière-fond des manifestations agressivement victimaires qui se déroulent à cette occasion dans tout l’Occident décadent, il y a un détestable aspect de soutien à une sorte de syndicat du crime allogène. Le sens commun n’est plus le bon sens, seule l’émotion a cours forcé, liquéfiant les capacités de la raison chez les âmes faibles, réparties du bas jusqu’au haut de la société. Cf. les propos de consternants de Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur par défaut, pour qui l’émotion peut prendre le pas sur les règles juridiques !

    Conditionnement du public

    Le public est, depuis des décennies, crétinisé par un antiracisme subversif qui sait exploiter les vertus chrétiennes devenues folles, pour emprunter l’expression de Chesterton, conduisant à un ethnomasochisme qui abaisse certains pauvres Blancs à faire la génuflexion devant ces nouvelles icônes. La situation est d’autant plus grave que le mal frappe aussi les autorités politiques, même si nos policiers et gendarmes sont moins touchés que leurs homologues de Minneapolis qui, lorsqu’ils ne se mettaient pas à genoux, faisaient le salut militaire solennellement devant le cercueil d’un braqueur récidiviste et drogué !

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  • La « Convention citoyenne pour le climat », par Aristide Renou.

    La « Convention citoyenne pour le climat » qui vient de s’achever a offert une démonstration presque parfaite des raisons pour lesquelles la « démocratie participative » est une très mauvaise idée, qui devrait être rejetée par tous les véritables amis de la liberté politique.

    Le cas de cette « Convention » mériterait désormais de figurer dans tout bon manuel de science politique, à titre de contre-exemple et d’avertissement.

    En premier lieu, il convient de rappeler que la « démocratie participative » n’est pas et ne peut pas être spontanée. Etant donné que nous avons déjà des institutions et des gouvernants, la « participation citoyenne » est nécessairement organisée par les institutions préexistantes, qui délimiteront son cadre, ses participants, ses pouvoirs, les questions qui seront examinées et les suites qui seront données à la « délibération ».

    Mais n’importe qui ayant participé à une réunion sait que les questions de procédure sont fondamentales et notamment que « le commencement est la moitié du tout », c’est-à-dire que le simple fait de décider quelle sera la ou les questions examinées lors de la réunion revient à orienter très fortement la discussion et à prédéterminer la conclusion.

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  • Face aux calomnies gauchistes, le Portugal se réveille...

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    Plusieurs milliers de personnes ont manifesté samedi 27 juin dans les rues de Lisbonne, à l’appel du jeune parti nationaliste portuguais Chega (« Assez ») afin de dénoncer les accusations de racisme propagées à l'encontre du Portugal par la presse mondialiste locale.

    « Portugal, Portugal, Portugal… », ont scandé les manifestants sur la principale artère de la capitale derrière de nombreuses banderoles et drapeaux nationaux.

    Entourée d'un solide service d'ordre, cette manifestation a été une réponse populaire aux troublions gauchistes qui sèment le désordre en accusant de racisme et de violences la police portugaise dans la foulée du mouvement déclenché par la mort du repris de justice George Floyd aux Etats-Unis.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/06/28/face-aux-calomnies-gauchistes-le-portugal-se-reveille.html