DÉCIDÉMENT, LIBÉRATION N’EN FINIT PAS AVEC LES CAUSES VICTIMAIRES QUE LE FUTUR JUGERA COMME DES TRAHISONS HONTEUSES, COMME AU SUJET DE LA PÉDOPHILIE DONT LE JOURNAL SE FIT L’ARDENT DÉFENSEUR AUTREFOIS. AUJOURD’HUI, CE QUE LIBÉRATION AIME CE SONT LES RACISTES NOIRS ET CE QU’IL DÉTESTE CE SONT LES EUROPÉENS BLANCS. PREMIÈRE PARTIE : CLIQUEZ ICI.
Laurent Joffrin insiste dans son éditorial : la République française proclame l’égalité mais ne l’applique pas dans les faits, évoquant les discriminations concernant les logements ou les embauches, les contrôles au faciès ou la misogynie. Cependant, l’éditorial omet un pan très important de ces discriminations et beaucoup de réalités : si les contrôles se font au faciès c’est parce que la majorité des délinquants appartient à des ethnies clairement déterminées ; la discrimination au logement se fait dans tous les sens, de même en ce qui concerne les emplois : qui a déjà vu un Français de souche embauché dans un kebab ? Quant aux idées opposées de celles de Joffrin, elles ont été quarante ans durant interdites d’expression en France, pas toujours par la loi mais dans les faits par la censure des médias de grand chemin.
De manière objective, il est même, tout au contraire de Joffrin, possible d’affirmer que la France est une terre d’égalité : aucun pays dans le monde n’accueille autant d’individus dans de telles conditions d’aides sur tous les plans, de l’éducation à la santé en passant par l’apprentissage de la langue, l’aide à trouver, justement, emplois et logements.
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