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lobby - Page 640

  • Police mentale et ministère de la vérité, par Michel Onfray.

    Source : https://frontpopulaire.fr/

    (Michel Onfray réagit aux attaques contre Front populaires parues cette semaine dans Le Monde et Libération)

    Des amis bien intentionnés me signalent avec gourmandise un papier ordurier du Monde concernant la sortie de notre revue Front Populaire. J’avais signalé autour de moi que ce genre de follicule paraitrait et dit ce qu’on y lirait: pas la peine de relire ce qu’on sait devoir déjà s’y trouver – Vichy, Pétain, Doriot, Déat, Hitler, Mein Kampf, Valois, les Rouge-Bruns, l’antisémitisme, la rhétorique est éculée, elle ne fait plus illusion que chez ceux qui ont renoncé à penser par eux-mêmes. Vous me direz, ça commence à faire du monde, et vous n’aurez pas tort…

    Il n’est même pas surprenant que ce journal confirme ce que je dis depuis des années: dès qu’on ne pense pas comme eux, ils sortent les panzers et le camp d’extermination, la Shoah et la chambre à gaz, le zyklon B et la Luftwaffe!

    Quel talent pour faire avancer la cause des négationnistes, car, si ce que propose Front populaire, c’est, en douce, la Solution finale, alors la Solution finale c’était bien peu de chose! Mais si la Solution finale était l’un des sommets dans le Mal, alors que faut-il penser d’une revue d’amis libres, nullement soutenue par un groupe, une banque, un réseau, un parti, une combine, qui se propose tout simplement de penser le souverainisme et de penser en souverainiste? Qu’elle doit figurer à coté de Mein Kampf dans les bibliothèques? Quel être sain d’esprit peut-il penser une pareille chose?

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  • Scandale en Italie : une fuite révèle le double discours de magistrats à propos de la politique de Matteo Salvini au sujet des migrants

    Une conversation entre des magistrats italiens a révélé que, tout en admettant penser en privé que la politique de Salvini , l’ancien Ministre de l’intérieur italien concernant les migrants était à la fois correcte et légale, les mêmes juges ont quand même décidé de l’attaquer en justice publiquement.

    Les messages divulgués ont été émis sur la messagerie WhatsApp en 2018 alors même que les juges attaquaient intensivement et continuellement le leader de la Ligue pour sa politique d’alors qui fermait les ports italiens aux navires des ONG de transport de migrants opérant en Méditerranée.

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  • Quand Pascal Brice, ex-directeur de l’Ofpra, favorisait l’invasion migratoire

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    Pascal Brice, énarque et diplomate, se vit proposer en 2012 la direction générale de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra), alors en pleine crise.
    Il a rejoint le siège de l’Office avec, sous le bras, la photo de ses grands-parents maternels qui, avant-guerre, fuirent l’Allemagne pour échapper aux persécutions. Il installa cette photo dans son bureau pour que ses grands-parents ne cessent de l’accompagner et de le surveiller.
    Après six ans à la tête de l’Office, P. Brice a publié un livre sur ses deux mandats comme directeur : Sur le fil de l’asile. A-t-il résolu la crise du droit d’asile qu’a connue et que connaît toujours notre pays ? Et, surtout, a-t-il observé les objectifs et les règles de fonctionnement de cet établissement public ?
    C’est ce à quoi tente de répondre cette note de lecture.

    Droit d’asile et politique migratoire : la duperie

    « Le droit d’asile, rien que le droit d’asile, tout le droit d’asile », telle fut la déclaration de Pascal Brice devant le Parlement en 2012 lorsqu’il fut nommé à la tête de l’Ofpra, établissement public né en 1952 avec la convention de Genève, qui a pour mission de statuer sur les demandes d’asile en France.

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  • Splendeurs et misères de la gouvernance

    Splendeur et misères de la gouvernance.jpeg

    La crise du coronavirus marquera, à plus d'un titre, l'histoire du monde. Peut-être moins en raison du nombre de morts que la pandémie aura provoqué qu'en raison de ce qu'elle aura révélé sur l'aveuglement des gouvernants et la docilité des gouvernés. Que sait-on au juste de ce virus ? Malgré des médias mainstream abreuvant d'informations, le péquin moyen ne dispose de quasiment rien de précis et de fiable. Il est, par exemple, impossible de calculer le taux de létalité du virus puisque, faute de tests, on ignore le nombre de personnes infectées. Et pourtant, les tenants de la gouvernance ne cessent de justifier leurs décisions en brandissant l'argument d'autorité scientifique (la consultation d'un comité d'experts). Si cela a permis, un temps, d'étouffer le débat et d'essayer de Étire passer les esprits critiques pour des irresponsables, la cohérence du discours s'est assez rapidement fissurée quand sont apparues au grand jour les concurrences entre équipes de chercheurs laissant entrevoir des intérêts plus financiers que médicaux. S'il existe un traitement (qui n'est certes pas une panacée) à base de chloroquine associée à d'autres médicaments pour soigner les seuls malades, pourquoi certains veulent-ils (à tout prix...) un vaccin susceptible d'être imposé à toute l'humanité ?

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  • Technocratie et risque d’expertocratie, par Germain Philippe.

    La technocrature, maladie sénile de la démocratie : (11/14)

    Stratégie de substitution

    Notre analyse de physique sociale du XXI° siècle nous à amené à un tournant clé de la république française. Devant l’énorme niveau de discrédit atteint par de l’élite politique sous Sarkozy et Hollande, l’Etablissement n’a pas d’autre choix que de la «  dégager  ». Décision majeure qui rompt la vieille harmonie oligarchique du Pays légal.

    Pour réussir ce «  dégagisme  », l’Etablissement a élaboré une stratégie de substitution au profit de l’élite technocratique. Une fois le pouvoir politique entre ses mains, celle-ci pourra préserver l’Etat providence républicain permettant de juteux profits pour l’élite financière, ces «  très riches  », ces «  dynasties républicaines  » de la nouvelle classe mise en place par Bonaparte. Le scénario stratégique repose sur un clivage idéologique novateur opposant progressistes et conservateurs. Le terme conservateurs étant un mot valise englobant, en fonction des circonstances, les populistes et les réactionnaires. Le véritable but est de positionner Marine Le Pen comme ennemi unique, vu son incapacité à fédérer les extrêmes, malgré sa rhétorique de la «  démocratie directe  » face à la «  démocratie apaisée  » regroupant centre-gauche et centre-droit.

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  • Hérault. Une rallonge de 2,7 millions d’euros pour l’accueil de clandestins dans le département ?

    Montpellier –  lundi 25 mai, les élus du Conseil Départemental de l’Hérault sont appelés à voter une nouvelle subvention d’un montant de 2,7 millions d’euros à l’association Coallia en charge de l’accueil des mineurs clandestins dans le département.

    Des millions d’euros pour l’accueil de clandestins dans l’Hérault

    Les finances du Département de l’Hérault sont dans un état catastrophique en raison du confinement. Une situation particulièrement alarmante, au point que son président, Kleber Mesquida (PS), a annoncé fin avril que sans un plan d’urgence de l’Etat, la collectivité serait dans l’incapacité de verser les salaires de ses agents et les allocations du RSA à partir du mois de novembre.

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  • Ce que les statistiques occultent : l'avortement multiplie les risques de cancer du sein

    À seulement regarder autour de nous, dans notre entourage le plus proche, une véritable hécatombe a depuis une décennie éclairci nos rangs. Barrant en filigrane l'horizon des 55 à 65 ans. Tout ce que ce pays porte d'organismes spécialisés dans la lutte contre le cancer, la puissante corporation pharmaco-médico-chirurgicale, les observatoires, les instituts de veille, les offices de comparaisons statistiques, les laboratoires, les départements ultra-pointus des hôpitaux ultra-modernes, depuis des années clament que le pire est derrière nous et que grâce aux nouvelles techniques, aux nouveaux matériels, aux nouvelles molécules, aux nouvelles recherches, aux nouveaux protocoles, la victoire sur le cancer est à portée de main.

    Pourtant voici une information qui jette quelques doutes. Le 13 décembre 2007, Time révélait les conclusions auxquelles était parvenue une équipe de chercheurs du réputé centre anticancéreux M.D. Anderson de Houston, menée par le Dr Donald Berry, responsable du département des Biostatistiques et des Mathématiques Appliquées. Alors que depuis plus de vingt-cinq ans la chimiothérapie à haute dose suivie, après chirurgie mammaire, par une transplantation de cellules souches destinées â reconstruire le système immunitaire détruit, représentait le nec plus ultra de la cancérologie du sein, ce protocole, erroné, n'aurait offert de rémission à personne. Un symposium international sur le cancer du sein qui se tenait à San Antonio, toujours au Texas, l'aura catégoriquement démontré. Pour le Dr Larry Norton, du Centre anti-cancer Sloan-KetteIing de New York, « ce rapport devrait définitivement refermer la porte sur de tels traitements ». Et tant pis pour les plus de 20 000 femmes ainsi "soignées" qui, rien qu'aux États-Unis, sont finalement mortes empoisonnées par leur chimiothérapie.

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  • Rendez-nous Georges Marchais !

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    Par Christophe Lafosse

    « Taisez-vous Elkabbach ! »  Meilleure punchline, meilleur coupage de sifflet de l’histoire de la télé. Et même si Georges Marchais est moins l’auteur de la sommation que Thierry Le Luron, la figure de proue du national-conservatisme communiste français, sa gouaille bourrue, sa connerie têtue, nous enchante avec nostalgie. Comme une revanche posthume contre les sempiternelles tête-à-claques du PAF 70’s, toujours présentes, tel Alain Duhamel, au moins 100 ans, sa coupe de cheveux de mongolien, son regard de veau, ses costumes de trisomique et ses opinions bien convenables en deçà du robinet d’eau tiède et de la connerie vasouilleuse d’idiot utile parvenu.

    « Liliane, fais tes valises »

    Taisez-vous, chefs de service d’immunologie, consultants éco-développés, coachs sportifs, cuisiniers du dimanche, psychothérapeutes de pacotille, chanteurs solidaires et acteurs moralistes. Le confinement aura beaucoup beurré ses tartines de l’ennui et de la vacuité des enfants bien nourris, ces prisonniers du banal, tortionnaires du désœuvrement. Le nombre de morts actuel demeure toujours inférieur à une journée de guerre de 14-18.

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  • Cette crise a montré la nécessité d’apporter de la flexibilité à un système éducatif qui n’en a pas

    Cette crise a montré la nécessité d’apporter de la flexibilité à un système éducatif qui n’en a pas

    Alain Bouvier, ancien recteur et rédacteur en chef de la « Revue internationale d’éducation de Sèvres », a été interrogé dans Le Monde sur le déconfinement de notre système scolaire. Extraits :

    […] Pendant cette crise, l’enseignement formel pour tous, par un professeur suivant le programme officiel en présentiel dans sa classe, a de fait disparu au profit de propositions pédagogiques diverses, parfois innovantes, parfois moins, à distance, plus individualisées et moins encadrées. Les familles s’en sont saisies différemment selon les milieux…

    Cette fragmentation sans précédent du système éducatif s’incarne aujourd’hui dans les modalités de « retour » à l’école. Les réouvertures d’établissement s’étalent sur plusieurs semaines. Les familles ont le choix de renvoyer ou non leur enfant à l’école. Et selon quatre modalités différentes de scolarisation : tout présentiel, distanciel et présentiel, tout distanciel, et enfin un temps partagé entre les cours et les nouvelles activités périscolaires « 2S2C » (sport, santé, culture, civisme)…

    Mais l’individualisation dont vous parlez est exceptionnelle, dans un contexte qui l’est tout autant. Quels peuvent en être les effets à long terme sur l’école ?

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  • Ascension : les « fake news » du Monde

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    Pour l’édification de ses lecteurs, le grand quotidien de référence du soir, premier arbitre de la presse, Le Monde lui-même, a commis, sous la plume d’un certain Ilham Mraizika, un article expliquant la fête de l’Ascension. Ou, plutôt, a très mal synthétisé la fiche Wikipédia consacrée à cette fête chrétienne en commettant de nombreuses erreurs. Sans oser prétendre les avoir toutes identifiées, voici les bourdes les plus énormes infligées au lectorat de ce respectable journal.

    D’après Le Monde, l’Ascension aurait eu lieu, selon la Bible, 40 jours après la résurrection de Jésus. Pas de chance : dans aucun des quatre Évangiles, ni dans aucun écrit néotestamentaire, ne figure l’indication d’une durée. Quant aux livres de l’Ancien Testament, ils sont antérieurs à ces événements. Que l’Église fête l’Ascension à cette date est sans rapport avec la chronologie exacte de cet événement dont nous ne savons rien, sinon qu’il est situé entre la résurrection (après le sabbat de la fête juive de Pâques) et la Pentecôte, une autre fête juive.

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