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CE PAYS PART EN VRILLE
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Coronavirus : Il n’y a aucune reprise nulle part dans le monde là où l’épidémie a frappé violemment. Aucune.
En mars, les masques ne servaient à rien. En juillet, les masques sont nécessaires. En mars, il ne servait à rien de faire des tests dans les aéroports. En juillet, c’est nécessaire. Comment fait-on pour croire ce que nous dit ce gouvernement ?
Le Dr. Yonathan Freund est médecin urgentiste à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, et professeur à l’université de la Sorbonne. Il s’est exprimé le 17 juillet sur Twitter sur l’évolution actuelle de l’épidémie de Coronavirus et sur l’obligation de porter un masque dans les « lieux clos recevant du public ». Voici l’intégralité de son fil Twitter :
« C’est difficile effectivement de rester silencieux. Quand je vois le délire alarmiste qui envahit les médias et les RS [réseaux sociaux], et qui fait fi de toute mesure. Des journalistes qui infantilisent, ceux qui veulent « punir » les français mal disciplinés… Alors on va debunker un peu.
1) Allez, je fais du #moije comme on me le reproche. Ma position n’est pas imprudente. Je livre une analyse que j’espère circonstanciée et critique des données. Je rappelle que si mon hypothèse est contredite par les chiffres, alors on pourra agir et ce ne sera pas trop tard.
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La Pologne envisage de dénoncer la Convention féministe d’Istanbul
Marlena Maląg, ministre polonaise de la Famille, du Travail et de la Politique sociale, a déclaré dans une interview télévisée que la Pologne pourrait se retirer de la Convention d’Istanbul du Conseil de l’Europe.
La Convention d’Istanbul, également connue sous le nom de Convention du Conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et contre la violence domestique, tente en réalité de faire de l’idéologie du genre et du féminisme radical des normes contraignantes du droit international.
La Convention a été ratifiée par la Pologne en 2015 avec un certain nombre de réserves et de déclarations. En particulier, la Pologne a déclaré que la convention ne serait appliquée que conformément à la Constitution polonaise. Cette position de la Pologne semble évidente et justifiée – en fin de compte, aucun gouvernement n’a le droit de ratifier un traité international contraire à la constitution de son pays. Mais la réaction a été très vive: l’Autriche, la Finlande, les Pays-Bas, la Norvège, la Suède et la Suisse ont déclaré (en utilisant toujours les mêmes mots) qu’ils s’opposaient à cette position de la Pologne.
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COMMENT LA FINANCE INTERNATIONALE FINANCE L’EXTRÊME GAUCHE (L’Imprécateur)
Ils sont nombreux dans les sommets de l’oligarchie internationale à exploiter les classes pauvres des pays africains. Comme ces enfants de la République Démocratique du Congo qui extraient à mains nues le cobalt.
D’autres extraient de la même manière le coltan avec lequel est produit le niobium, tous produits indispensables à l’électronique moderne, notamment les smartphones. Les enfants gagnent environ 1 € par mois, les adultes de 10 à 30 €. Des bandes armées volent le bétail des fermiers africains pour les contraindre à aller travailler dans les mines et toutes sortes de formes d’oppression leur sont infligées.
C’est le nouvel esclavage africain, organisé par des africains avec la complicité de l’état congolais au profit des multinationales comme on le voit ICIDEPUIS DEUX MILLE ANS, LES AFRICAINS METTENT LEURS FRÈRES EN ESCLAVAGE
Ils n’ont jamais cessé de mettre leurs « frères et sœurs » en esclavage depuis des siècles avec autrefois plus encore de brutalité et de violence, comme lorsqu’en 1890 le roi Buhanzin, pour fêter le premier anniversaire de son accession au trône du Dahomey, fit égorger mille esclaves pris dans les pays voisins, dont les douze premiers de sa propre main.
Mais aujourd’hui, au bout de la chaîne, ce sont Microsoft, Apple, Huawei, Tesla, etc. qui paient pour l’exploitation des esclaves.
Aux Etats-Unis et en France, on voit des Noirs manifester pour se plaindre de ce que leurs ancêtres furent esclaves et de ce que la police les brutalise parfois quand ils commettent un délit, qui n’est que le nième d’une longue série.
Ils s’appellent Black Lives Matter, et sont financés par dizaines de millions de dollars par les mêmes qui s’enrichissent à milliards en Afrique : Microsoft, Apple, Huawei… auxquels se joignent Facebook, Amazon, Open society, Fondation Clinton, etc.
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« Il faut condamner les Africains » pour la traite négrière
Le professeur Abiola Félix Iroko, Professeur au département d’histoire et d’archéologie de l’université d’Abomey-Calavi (Bénin), déclare sur Bénin Web TV :
[…] Lorsqu’on parle de la traite négrière, les gens n’accusent que les Blancs. Mais ils sont venus (en Afrique) en acheteur et nous (Africains) avons été des vendeurs. La plupart des esclaves ont été achetés en bonne et due forme à Ouidah (Ex-port négrier du Bénin). C’est le « yovogan » [ le représentant des Blancs, ndlr], le représentant du roi qui fait gongonner la veille pour demander aux citoyens de venir vendre ce qu’ils ont (les esclaves). Cela signifie que la vente des esclaves n’était pas seulement un phénomène régalien. Le roi même en vendait. Le roi Adandozan (neuvième roi d’Abomey entre 1797 et 1818. Son nom, son règne et ses symboles ont été effacés de la tradition historique d’Abomey) a vendu la mère de son frère consanguin (prince Gakpe) devenu Guézo, par la suite.
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Contrôleur général des prisons : le cancer droit-de-l’hommiste
Par Maxime Jacob, diplômé de science politique, Gilet jaune et coauteur avec Fiorina Lignier du livre Tir à vue ♦ Ce mois-ci a pris fin le mandat d’Adeline Hazan, Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL). Elle fut présidente du Syndicat de la magistrature (très à gauche) et membre du parti socialiste. Si nous devions résumer son combat en trois mots : « Libérez les prisonniers ! » Mais, d’abord, qu’est-ce que ce poste ? Il s’agit d’une autorité administrative indépendante (mais nommée par le président de la République…), chargée de « s’assurer du respect des droits fondamentaux des personnes privées de liberté », dotée d’un budget de cinq millions d’euros. Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté fait des propositions et documente les atteintes aux « droits de l’homme ». Son équipe est composée d’« une cinquantaine de contrôleurs [qui] réalisent 150 visites d’établissement par an ». Ce qui fait une moyenne de trois lieux visités par an par contrôleur. On a vu plus productif… Découvrons le bilan d’Hazan et ses opinions sur la prison.
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Crise sanitaire : le gouvernement instrumentalise la peur des gens
« Il est difficile de ramener nos compatriotes à la raison. Notamment sur la réalité de cette épidémie, chiffre à l’appui qu’ils n’entendent pas ; pire, qu’ils semblent parfois incapables d’entendre, tant ils sont tétanisés par la propagande gouvernementale »
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.
(Propos recueillis par Guirec Sèvres)
En juin, on pensait la crise du Covid-19 derrière nous ; ce n’est pas le cas…
Et ça ne pouvait pas l’être du moment où le confinement a empêché les populations d’être immunisées contre le Covid-19 comme cela a été le cas lors de toutes les épidémies par le passé. Certes, il y aurait eu probablement quelques milliers de morts supplémentaires, mais on en serait débarrassé… et ces quelques milliers de victimes, on risque bien de les compter quand même l’hiver prochain – puisque, a priori, il n’y aura pas encore de vaccin, le délai étant trop court – qui s’additionneront (avec juste quelques mois de retard) aux nouvelles victimes qui auraient pû, ainsi, y échapper…
Cela aurait été le prix à payer ?
Oui, malheureusement… Et on peut désormais légitimement se poser la question de savoir jusqu’à quel point l’installation durable de cette pandémie n’arrange pas nos gouvernants pour retarder le moment d’avoir à rendre des comptes, si tant est qu’ils en rendent un jour…
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Meurtre d’Axelle Dorier : ces « féminicides » qui n’intéressent pas les féministes !
Elle était ravissante, Axelle, 23 ans et le sourire sur un avenir qu’on lui imaginait radieux. Elle appartenait à cette catégorie de « soignants » qu’on a applaudis tous les soirs à 20 heures pendant le grand show du confinement, ceux qu’on a fait défiler à la Concorde, le 14 juillet dernier. « Nos héros », comme on dit à l’Élysée.
Mais l’héroïne est morte. Assassinée de la pire façon : traînée sur 800 mètres par un chauffard jusqu’à en être démembrée. Un chauffard dont on peut imaginer, vu les circonstances, qu’il l’a percutée volontairement. Les enquêteurs s’interrogent : quel était « le niveau de conscience » du conducteur (21 ans) et de son passager (19 ans) ? Ont-ils senti qu’il y avait quelque chose sous les roues ?
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Etats-Unis : médias menteurs lourdement condamnés
Tels sont pris qui croyaient prendre…
Nos lecteurs studieux se souviennent peut-être de l’affaire de Covington en Amérique. Le 18 Janvier 2019, à la fin de la Marche pour la Vie, un groupe d’étudiants pro-vie venus de l’école supérieure de Covington (Kentucky) était en train de se disperser. Un indien « natif » clochardisé du nom de Nathan Phillips s’enfonça parmi eux en battant du tambourin sous le nez d’un jeune catholique du nom de Nicholas Sandmann. Le garçon sourit aimablement.
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Retour des djihadistes, Traoré : Dupond Moretti commence fort, par Régis de Castelnau.
Éric Dupond-Moretti, le bravache de la société du spectacle dont Macron dans un souci de diversion avec son lugubre remaniement nous a fait un Garde des Sceaux, n’ira probablement nulle part. Car quelles que soient ses intentions, et il y en a peut-être de souhaitables, nous savons bien qu’il ne pourra rien faire d’utile. Ne pouvant échapper à ce qu’il est, une caution sans pouvoir. Juste un exemple, la justice française une des plus pauvres d’Europe, est complètement en faillite, l’avons-nous entendu s’exprimer sur la nécessité absolue et urgente d’augmenter considérablement son budget ? Eh non, parce que là il s’agit d’affronter Bercy, où résident les vrais patrons du système Macron et où effets de manches et aboiements n’impressionnent personne.
On l’entend en revanche plus facilement sur des sujets secondaires jetés en pâture à la polémique, comme par exemple le rapatriement des djihadistes de nationalité française partis rejoindre le terrorisme islamiste au Moyen-Orient, ou son ingérence dans la procédure judiciaire concernant la mort d’Adama Traoré.
Djihadistes criminels : tout le monde à la maison !
Soucieux de complaire au mainstream et de s’attirer les bonnes grâces des belles âmes des beaux quartiers nous rebattant les oreilles avec ce sujet, il demande le rapatriement des djihadistes français partis apporter la mort au Moyen-Orient, et avec comme seul argument, le fait qu’ils soient français. Au-delà du caractère indécent et provocateur de la posture, cette demande est complètement irrecevable, et pour plusieurs raisons :
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