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lobby - Page 641

  • Merkel en maillon faible (2018)

    On nous vend, à longueur de media, une réussite de l’Union européenne que tous, tant nos concitoyens que nos voisins, peinent à voir. Car, avant tout, Bruxelles est une succession de compromis sur une addition d’échecs. Angela Merkel en est, aujourd’hui, le signe le plus visible.

    Fin juin, un nouveau sommet européen s'est ainsi soldé par une nouvelle réussite. Donald Tusk, le président du Conseil européen, affirmait en effet sur Twitter, élevé semble-t-il au rang de communication officielle de Bruxelles : « Les dirigeants de l’UE28 se sont accordés sur les conclusions du sommet, y compris la migration. »

    Plus enthousiaste que jamais, le VRP européen Macron renchérissait : « Beaucoup prédisaient ce soir l'impossibilité d'un accord, beaucoup prédisaient le triomphe de solutions nationales, nous avons réussi ce soir à obtenir une solution européenne et un travail en collaboration. C'est la coopération européenne qui l'a emporté. »

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  • L’apologie de la GPA (enfin) sur le banc des accusés

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    Le CORP, c’est le Collectif pour le Respect de la Personne. Des féministes de gauche opposées à la GPA…

    Le , c’est le Collectif pour le Respect de la Personne. Des féministes de gauche (est-ce un pléonasme ?) qui sont opposées à la gestation pour autrui () mais qui n’ont, jusqu’à présent, pas franchi le Rubicon de s’allier à la Manif pour Tous, Alliance VITA, les AFC (associations familiales catholiques) et autres dangereux extrémistes de Marchons Enfants ! dont certains auraient des motivations dictées par une anthropologie chrétienne. Parmi ses membres fondatrices, il y a Éliette Abécassis, Sylviane Agacinski, Marie Balmary, Alice Ferney et pas mal d’autres pointures intellectuelles. Mais c’est un collectif assez invisible. Ceux qui suivent l’actualité de l’expansion du grand marché de la procréation pourraient – sans la moindre charité, j’avoue – se souvenir de cette réplique tirée d’Un taxi pour Tobrouk : « Deux intellectuels assis vont moins loin qu’une brute qui marche. »

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  • Olivier Véran : le Chantal Goya de la lutte anti-Covid-19

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    Heureusement qu’ils pensent à tout et qu’ils font de la pé-da-go-gie. Vous ne savez plus, vous êtes perdus, avec cette affaire de port du  : où, quand, comment, pourquoi moi ? Le docteur Véran vous dit tout. Patientez, il va vous recevoir dans son cabinet. En attendant, mettez-vous en slip et gardez votre , s’il vous plaît.

    Donc, c’est pas compliqué : A, B, C, D. « A, c’est quand on est A risque. Quand on est ÂGÉ […] B, c’est quand on est dans un lieu BONDÉ. […] C, c’est pour les endroits qui sont CLOS, quand vous êtes en intérieur avec d’autres personnes. […] D, c’est quand la DISTANCE est impossible à gérer. »

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  • COVID-19 Bill Gates Gavi & l'OMS ensemble pour le vaccin ou pour l'identité numérique ?

  • Allemagne soumise à l’islam et aux Lgbtqi : mosquée sur le maillot de foot rose fushia

    Le nouveau maillot de foot de l’équipe FC Cologne, en Allemagne, célèbre le « vivre-ensemble » inclusif et pluriel, du monde arc-en-ciel à l’univers du croissant vert : grand écart garanti.

    Le nouveau logo du FC Cologne a été présenté par le club comme un hommage aux multiples valeurs de l’inclusion, religieuse et gay : en fait, la silhouette d’une mosquée apparaît sur le nouveau maillot extérieur de l’équipe, stylisée dans le symbole historique du club de football. Pour le reste, le maillot extérieur du club qui vient d’être lancé se caractérise par sa couleur rose fuchsia unique.

    Ce nouveau maillot officiel de l’équipe de football de Cologne a vite créé la polémique en Allemagne, certains supporters ne se retrouvant pas du tout dans ces symboles idéologiques.

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  • «L’UE risque de ne pas survivre» : George Soros s'en prend aux «nombreux ennemis» de l'union.

    George Soros au Forum de Davos, le 23 janvier 2020, en Suisse.

    Source : https://francais.rt.com/

    Le financier philanthrope a fustigé les leaders eurosceptiques, mais aussi la Russie et la Chine, les accusant de mettre en danger le modèle de l'UE. Il considère une mort de l'union non plus comme «une possibilité théorique» mais comme «probable».

    George Soros n'en démord pas, l'Europe possède de nombreux ennemis, aussi bien à l'intérieur de ses frontières qu'à l'extérieur. Dans un entretien accordé à l'Obsmis en ligne le 12 août, le milliardaire americano-hongrois s'inquiète de la vulnérabilité du mode de gouvernance de l'Union européenne (UE) qui pourrait, selon lui, mener à sa perte.

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  • L'Europe fédérale est une Europe allemande

    Charles Saint-Prot est aujourd'hui directeur de l'Observatoire d'études géopolitiques de Paris. Il vient de publier L'État-nation contre l'Europe des tribus aux éditions du Cerf, un essai contre le démantèlement des nations et des États européens.

    Entrtien avec l'abbé G. de Tanoüarn

    Pourriez-vous définir le modèle politique auquel se réfère aujourd'hui Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne ?

    Comme la plupart des dirigeants de la machine eurocratique, Jean-Claude Juncker a pour modèle la construction d'une Europe fédérale. Il est clair que le projet d'Europe supranationale, porté par l'Union européenne s'inscrit nettement dans l'idée d'anéantir la souveraineté des États nations, à commencer par la France. Certains ont cru pouvoir faire le pari de transformer l'Europe communautaire en un multiplicateur de puissance, mais c'était faire peu de cas du fait que les initiateurs de la construction eurocratique - à commencer par Jean Monnet, qualifié par le général de Gaulle d'« ennemi du peuple français et de ses libertés » et qui ne servit jamais que les intérêts américains et ceux de l'idéologie libre-échangiste - n'ont jamais voulu autre chose que suivre les seules considérations économiques ultra-libérales et les solutions technocratiques qui constituent désormais toute la philosophie de la Commission de Bruxelles. L'affaire Barroso, cet ancien président de la Commission européenne, devenu immédiatement après la fin de son mandat, conseiller à la banque américaine Goldman Sachs, a été prestement enterrée par l’oligarchie européenne, mais elle a démontré la collusion entre les dirigeants européistes et la haute finance cosmopolite.

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  • La vérité sur la dictature juridique de l’Union européenne

    La vérité sur la dictature juridique de l’Union européenne

    Thilo Sarrazin, dans la Weltwoche, revient sur les difficultés qu’il a eues, comme jeune fonctionnaire responsable des finances des services publics de la République fédérale d’Allemagne, pour effectuer des réformes en faveur de la poste, des chemins de fer et des moyens de transport en général, tant les directives européennes rendaient impossibles toute modification de la juridiction allemande.

    https://www.weltwoche.ch/ausgaben/2020-29/ausland/die-europaische-methode-die-weltwoche-ausgabe-29-2020.html

    Traduction (C.H.) : Une fois introduites dans le droit national, on ne peut pratiquement plus modifier les directives de l’Union européenne. Je proposai de les ignorer ou de les appliquer différemment. Mes collaborateurs m’expliquèrent que cela n’était pas non plus possible, car la Commission porterait alors plainte auprès de la Cour de justice européenne. Là, la Commission obtenait de toute façon raison. Il ne servait à rien de porter plainte, car la Cour de justice européenne se tenait par principe toujours du côté de la Commission et confirmait toujours en cas de doute une extension du droit européen. C’est ainsi qu’il y a un peu moins de quarante ans eut lieu mon introduction dans le droit européen.

    C.H. 19.07.2020

    https://lesobservateurs.ch/2020/07/19/la-verite-sur-la-dictature-juridique-de-lunion-europeenne/

  • Brégançon : « Voici » se met au service de la communication de Macron – par Olivier Piacentini

    Le vélo et les transports en commun par écologie, c’est pour les manants !

    par Olivier Piacentini, essayiste (ses livres ici) :

    « Quand j’ai vu la une de Voici de cette semaine, j’ai cru à un nouveau gag du Gorafi. Voilà notre Président en photo sur le célèbre tabloïd, torse nu, moulé dans un gilet de sauvetage réglementaire, lunettes noires vissées sur le nez : à quelques abdos et une bonne dose de classe près, on aurait dit un succédané de Steve Mac Queen… Les clichés ressemblent à des paparazzades, mais pourtant, si le magazine est publié en l’état, on imagine que c’est parce que le photo-reportage a reçu un bon de sortie en bonne et due forme des services de l’Élysée…

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  • Une ex-« SJW » qui votera Trump : « J’ai été endoctrinée il y a 20 ans à l’université, mais aujourd’hui c’est dès la maternelle dans les écoles publiques »

    [* Le terme « liberal » a été laissé dans sa forme anglophone originale. Il peut être traduit par « libertaire », « libéral » ou « de gauche » selon les contextes]

    […]
    Un peu de contexte, j’étais un « guerrier de la justice sociale » [Social Justice Warrior]. Pendant 20 ans, j’étais une vraie croyante, qui prêchait cette idéologie malsaine, pleinement convaincue que c’était le moyen de mettre fin au racisme et au sexisme. Il m’a fallu deux décennies pour réaliser que c’EST du racisme. C’EST du sexisme.

    Avant l’élection de 2016, j’ai visionné des vidéos de supporters de Trump qui se faisaient agresser par des gens qui étaient censés être de mon côté, qui étaient censés être liberals* et progressistes. Ça m’a laissée en larmes, complètement choquée et dégoûtée parce que les médias de l’époque ne m’avaient pas dit que cela se produisait. En fait, ils m’avaient vendu un narratif inversé, et j’avais acheté sans preuves suffisantes.

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