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ON A TOUCHÉ LE FOND... (CONSÉQUENCES ÉCONOMIQUES DU COVID-19)
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Marine Le Pen contre l’allongement du délai pour avoir recours à l’avortement
Des pro-avortements, emmenés par la sénatrice PS Laurence Rossignol, ont réclamé le 13 mai d’allonger de deux semaines le délai légal pour avoir recours à un avortement.
Marine Le Pen a été interrogée aujourd’hui dans Le Grand Jury RTL, Le Figaro, LCI :
“Êtes-vous prêtes en tant que députée à voter l’allongement de 12 à 14 semaines ?”
“Vous êtes l’exemple type de ce ce que je dénonce, c’est-à-dire des gens qui se servent de la crise sanitaire pour faire avancer leur agenda politique”.
“La réalité de l’accès à l’IVG pendant le confinement est que les femmes qui voulaient avorter, ont pu le faire. Je crois que l’on organise cela pour pouvoir obtenir ce que le PS réclame depuis longtemps. Donc évidemment, je m’y opposerai”.
Le nombre d’avortements effectués pendant la période n’est pas encore connu, mais des gynécologues ont témoigné d’une baisse d’activité ces dernières semaines. Ce qui serait un drame selon les partisans du dépeçage d’enfants à naître.
Le Conseil d’État devrait se prononcer, lundi 18 ou mardi 19 mai, sur l’assouplissement des conditions de l’avortement médicamenteux, contesté par plusieurs associations, dont Alliance Vita, suite à allongement, depuis le 14 avril, du recours à l’IVG médicamenteuse à domicile jusqu’à sept semaines de grossesse, au lieu de cinq semaines.
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Loi Avia, nouvelle tache indélébile
On peut difficilement mettre, je crois, Mme Ruth Elkrief, et BFM-TV auquel elle consacre ses talents, au premier rang des adversaires de la Macronie. C'est pourtant elle, si mon souvenir est exact, que j'ai entendue pour la première fois au début de ce printemps, qui parlait de la gestion lamentable des masques, comme d'une tache indélébile marquant au fer rouge ce gouvernement que le monde ne nous envie guère.
Hélas d'un point de vue objectif, cette faute difficilement effaçable ne peut être considérée ni pour la première depuis 2017, ni pour la dernière.
Les déclarations commises à Alger sur la colonisation, qualifiée pendant la campagne électorale, de crime contre l'humanité[1], ont semblé, par exemple, encore plus impardonnables, et de nature à empêcher que l'on ne puisse jamais se rallier à leur auteur.
En effet, elles constituaient le prélude à d'autres atteintes irrémédiable à la dignité française et à l'identité européenne.
L'une des plus graves a été scellée par le parti LREM avec la loi Avia dont le propos théorique prétend lutter contre la haine sur internet. Ce 13 mai, le texte a été adopté en deuxième lecture à l'assemblée, par la majorité macronienne et elle seule.
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Le poids des mots, le choc des propos
Dans le procès des trois jeunes nationalistes, le vocabulaire utilisé n'était pas innocent, et il est remarquable de constater avec quelle absence d'esprit critique les commentateurs de tous bords l'ont accepté.
Il y a d'abord eu l'utilisation du mot « agression » pour caractériser les actes de violence commis. S’il s'agit d'une « agression », cela signifie qu’il y avait des agresseurs et des agressés. Or, dans la mesure où le mort s’est trouvé du côté des extrémistes de gauche, c'est tout naturellement que le mort et ses amis auront été classés dans le camp des victimes, donc des agressés, et aux trois jeunes gens il ne restait que la position d'agresseurs.
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Le Coronavirus, crise existentielle pour Georges Soros
Le milliardaire mondialo-progressiste George Soros a proclamé le 11 mai dernier que la pandémie du coronavirus était la crise de son existence entière, celle qu’il attendait et qui rendait possible une révolution sociétale, inimaginable en d’autres circonstances.Une seule chose était certaine à ses yeux dans l’après-pandémie : il n’y aurait pas de retour possible au monde d’avant. Quant au reste, la forme que prendraient les nations et les alliances, c’était un mystère qui restait à découvrir.“Même avant que la pandémie ne s’abatte sur le monde, j’avais déjà compris que nous vivions des temps révolutionnaires, où ce qui paraissait impossible ou même inconcevable en temps normal devenait non seulement possible, mais d’une nécessité absolue “, a-t-il déclaré sans autre forme d’explication dans une interview accordée au magazine “Project Syndicate”, auquel il est lui-même un contributeur régulier.Emmanuel Macron avait eu des mots identiques le jour de l’annonce du confinement national et l’on ne peut qu’être frappé de la ressemblance entre les deux discours, qui paraissent tirés d’un même scénario.Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, géopolitique, lobby, magouille et compagnie 0 commentaire -
Des manifestations de « Gilets jaunes » interdites ce samedi à Nantes, Angers, Saint-Nazaire, Toulouse, Montpellier et Lyon
Alors que des appels à manifester ce samedi ont été lancés dans plusieurs villes où les Gilets jaunes espéraient de nouveau battre le pavé, ils ont reçu l’interdiction de manifester à Angers, Nantes, Saint-Nazaire, Toulouse, Montpellier et Lyon.
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La loi Avia, une loi néosoviétique
Mathieu Bock-Côté
Ainsi, la loi Avia a bien été votée. Officiellement, elle prétend civiliser les réseaux sociaux en luttant contre la « haine » qui s’y déverse. Elle favorisera, plusieurs l’ont noté, une culture de la délation, chacun surveillant son prochain et étant invité à le dénoncer grâce à un bouton dédié, le citoyen éclairé prenant désormais les traits du délateur zélé. Les bandes militantes feront la loi à coups de signalements pour transformer lerus aversions idéologiques en interdictions. Les réseaux sociaux devront pratiquer la censure préventive des contenus potentiellement problématiques, sans quoi ils seront condamnés à des amendes très lourdes.
Cette loi s’inscrit dans le plus vaste projet d’un resserrement des conditions d’entrée dans l’espace public par le régime diversitaire, qui entend dominer la mise en récit de la vie collective. On se rappellera qu’il y a peu de temps le gouvernement flirtait avec l’idée de construire une représentation officiellement certifiée du réel au nom de la lutte contre les « fake news », ces dernières désignant souvent une lecture des événements ne versant pas dans la célébration emphatique du vivre-ensemble. La parole publique doit être disciplinarisée et la liberté d’expression, formatée.
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L’immigration coûte bien plus que 6,57 milliards d’euros à la France, par Paul Tremblais.
Didier Migaud, premier président de la Cour des Comptes. Meigneux/ Sipa.
Source : https://www.causeur.fr/
La Cour des comptes sous-évalue le coût de l'immigration.
Dans un rapport publié le 5 mai 2020, la Cour des comptes analyse le coût « de l’entrée, du séjour et du premier accueil des personnes étrangères en France » pour l’année 2019. Un montant de 6,57 milliards d’euros y est notamment avancé. Depuis lors, cette estimation est abondamment relayée par la presse et de nombreux élus – notamment à droite – comme représentant le poids total de l’immigration pour les finances publiques. En réalité, cette somme ne constitue qu’une petite partie de l’ensemble, et son utilisation irréfléchie témoigne d’une large méconnaissance du sujet. Un certain nombre d’éclaircissements semblent donc s’imposer.
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Un déconfinement à géométrie variable
De Jean-Pierre Maugendre, président de Renaissance catholique :
Le couperet est tombé. Raide comme l’injustice ! L’article 8 § III du décret 2020-45 du 11 mai prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de Covid 19 est parfaitement clair : « Les établissements de culte sont autorisés à rester ouverts. Tout rassemblement ou réunion en leur sein est interdit ». Cet article est repris, in extenso, dans le décret 2020-548 art 10 § III du même jour avec cependant un article 27 qui prévoit que : « Le préfet peut interdire tout rassemblement ou réunion au sein des établissements de culte à l’exception des cérémonies funéraires ». S’il « peut interdire » c’est que l’interdiction n’est pas systématique. L’intention de réprimer perdure, avec cependant deux décrets différents le même jour sur le même sujet et en prime une contradiction entre deux articles du même décret. Tout cela n’est pas très sérieux.
Le dispositif antérieur interdisait les rassemblements de plus de 5 personnes. Le dispositif nouveau interdit les rassemblements de plus de 10 personnes dans les lieux publics ou ouverts au public, y compris par conséquent dans les lieux de culte : on passe de 5 à 10 personnes ! Dans bien des diocèses le culte public avait été tout simplement suspendu. Assez paradoxalement, le dispositif législatif reste confus et une forme de discrimination se poursuit vis-à-vis des cultes alors que l’heure est au déconfinement avec la réouverture des commerces, transports, etc. L’épiscopat français est sous le choc. Depuis des lustres il pensait que sa culture du compromis sur les questions morales lui permettrait au moins de préserver la liberté du culte. Il n’en est rien. Immédiatement l’AGRIF de Bernard Antony et quatre instituts religieux de droit pontifical (Fraternité Saint Pierre, Institut du Bon Pasteur, Institut du Christ-Roi et Fraternité saint Vincent ferrier) ont déposé un référé-liberté devant le Conseil d’État pour atteinte à la liberté de culte. Avant eux Civitas et le PCD de Jean-Frédéric Poisson avaient également déposé un référé-liberté. A ce jour la Conférence des Evêques de France ne semble pas avoir entamé de démarche juridique. Et surtout, elle s’est bien gardée de faire valoir, tant auprès des pouvoirs publics qu’auprès des fidèles, le principe sacré de la liberté de l’Église.
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Le gouvernement choisit une élève qui lit le Coran pour illustrer ses aides aux étudiants
Le site etudiant.gouv a publié la photo d’une jeune femme lisant le Coran pour illustrer un article sur l’“aide exceptionnelle” aux étudiants dans la crise du coronavirus. Elle a, depuis, été remplacée par une photo plus consensuelle.
(…) Sur le site du gouvernement, la photo est coupée. On ne voit donc que le livre sacré des musulmans. Mais l’enseignante laïciste Fatiha Boudjahlat fait remarquer que la photo entière met en scène une femme voilée. « Un imbécile du service infographie du ministère de l’Enseignement supérieur a donc pris une image sur Internet, pour illustrer les aides aux étudiants. On y voit deux étudiantes. Une sans voile et l’autre voilée. Une qui étudie une matière universitaire, l’autre qui étudie… le Coran. Des amis ont vérifié, il s’agit même du verset 111 de la sourate 11 », s’insurge-t-elle sur Facebook.