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  • [VIDÉO] « Je lutte contre l’état profond Et j’ai dit que je le faisais. » – Donald Trump

    « Je suis donc très déçu de certaines personnes. Et certaines personnes ont fait un travail phénoménal, mais que fais-je ? Je lutte contre l’état profond. Je combats le marais. Et j’ai dit que je le faisais. Et j’expose le marais. Je pense que si ça continue comme je le fais, et Ratcliffe est fantastique. Si ça continue comme ça, j’ai une chance de briser l’état profond. C’est un groupe vicieux de personnes. C’est très mauvais pour notre pays. Et cela ne s’est jamais produit auparavant. Il se trouve que vous êtes victime de l’état profond. Je déteste vous dire, que vous le sachiez ou non, mais ils vous ont horriblement traité au fil des ans. Et ils ont également traité de nombreuses autres personnes. Ils n’ont jamais pensé que j’allais gagner, puis j’ai gagné. Et puis ils ont essayé de me faire sortir. C’était la police d’assurance. Elle va gagner, mais juste au cas où elle ne gagnerait pas, nous avons une police d’assurance. Et maintenant, je les ai battus sur la police d’assurance, et maintenant ils sont exposés. Comey est un flic sale, McCabe, un méchant. Ce sont tous des méchants.

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  • Eric Zemmour : « En France, l’hôpital est victime de l’invasion des étrangers qui viennent s’y faire soigner »

    26/05/2020 – EUROPE (NOVOpress)
    Eric Zemmour : « En France, l’hôpital est victime de l’invasion des étrangers qui viennent s’y faire soigner »

    Extrait de l’émission Face à l’info du 25 mai 2020.

  • "La question" : pitoyable cécité ou criminelle lâcheté ?

    Nous y revoilà ! Près de quarante-sept ans après la guerre d'Algérie, la "torture" réapparaît sur le devant de la scène par le truchement d'une émission de télévision présentée le 3 décembre sur France 3 : « Droit d'inventaire ».

    Nous devrions pourtant être habitués, voire blasés d'être soumis à intervalles réguliers à ce genre de propagande mensongère et diffamatoire où les « pauvres petits fellagha » n'en finissent plus d'être les cibles et les souffre-douleur des cruels soldats français, notamment ceux de métier assoiffés de revanche après leur défaite (sic) en Indochine.

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  • Eugénisme des enfants trisomiques : une mère porte plainte contre le gouvernement britannique

    Eugénisme des enfants trisomiques : une mère porte plainte contre le gouvernement britannique

    Máire Lea-Wilson, mère d’un garçon trisomique, Aidan, âgé de 11 mois, a décidé de saisir la Haute Cour contre le gouvernement du Royaume-Uni parce qu’il permet l’avortement des fœtus « porteurs d’une anomalie fœtale sévère ». Alors qu’elle était à 34 semaines de grossesse, les médecins ont tout fait pour la persuader d’avorter.

    Comme en France où 96% des enfants détectés trisomiques sont éliminés avant leur naissance.

    Máire Lea-Wilson « n’imagine pas de vivre sans » Aidan, ni qu’on puisse penser que la vie d’Aidan ait moins de valeur que celle de son grand frère. Elle demande donc que la loi soit la même pour les uns et les autres.

    Une jeune femme trisomique, Heidi Crowter, s’est jointe à elle, parce qu’il s’agit d’une « véritable discrimination ».

    https://www.lesalonbeige.fr/eugenisme-des-enfants-trisomiques-une-mere-porte-plainte-contre-le-gouvernement-britannique/

  • Le grand effacement – Cyril Raul

    La nature ayant horreur du vide, c’est parce que la France et les Français sont de moins en moins visibles que des minorités revendiquent toujours plus de visibilité. Car le grand remplacement se nourrit du grand effacement. Pour être supplanté, il faut être éclipsé.

    L’effacement des mots

    Un effacement d’abord sémantique. Le Français de souche n’existe pas. Pas plus que le racisme anti-blanc. La France, elle, n’est que trop rarement mentionnée : on lui préfère la République. Signe de ce renversement des mots : le terme « indigènes », qui devrait normalement désigner les Français en France, a été dévoyé. Il désigne aujourd’hui une mouvance antifrançaise : les indigénistes. En somme, des allogènes s’autoproclamant indigènes.

    L’effacement de l’esprit

    Au quotidien, le traditionnel « esprit français », cette manière séculaire de penser et d’agir, n’a plus voix au chapitre. Trop populaire, le « bon sens paysan » est raillé, rabaissé au niveau du « propos de comptoir ». Trop patriarcale, la notion de « bon père de famille » a été supprimée du droit français. Dans le grand vide laissé par ces absences, Marlène Schiappa s’estime autorisée à nous dicter comment vivre en couple ou élever nos enfants. Nos rapports au sexe opposé, à la famille, mais aussi aux autres peuples, à la nature, aux animaux… tout nous est désormais dicté par la parole du haut parce que celle du bas est écrasée. Le bon sens s’incline devant le dogme de la tolérance. L’idéologie de l’égalité élimine tous les préjugés, même les plus fondés.

    L’effacement de l’être

    Signe le plus révélateur : notre identité charnelle est éclipsée de la lutte contre l’islamisme. Nos traditions chrétiennes et nos siècles de combats européens contre la conquête islamique, thèmes les mieux à même de guider nos pensées et nos bras face à la menace, végètent dans l’abîme médiatique. On leur substitue artificiellement un débat entre la gauche arabe laïque – incarnée notamment par Zineb El Rhazoui – et les islamistes. Une opposition politique classique et séculaire dans les pays musulmans. En vérité : un énième conflit importé qui, sans l’immigration, nous serait totalement étranger.

    De l’ombre à la lumière

    Pourtant, et l’épidémie de Coronavirus le montre encore, ce ne sont pas les militantes féministes, les universitaires idéologues et les indignés de Twitter qui font tourner le monde. Mais les invisibles : ceux qui, dignement, travaillent et fondent des familles, ceux qui servent le bien commun en se sacrifiant, en bâtissant, en innovant. Ceux qui incarnent la France du temps long, les opiniâtres, les modestes, les immuables. Ceux à qui il faut toute la force de l’inertie et les puissants liens de l’habitude pour tolérer depuis si longtemps le dédain, la condescendance et les insultes dont ils font l’objet.

    À travers un hommage aux Invalides, une pandémie, une cathédrale en flammes ou un gilet jaune réfléchissant, il arrive pourtant que cette France sorte de l’ombre. Elle en surgit de façon foudroyante, traverse l’espace médiatique par éclairs, puis disparaît. La ramener durablement à la lumière est aussi tout le sens du combat identitaire.

    Cyril Raul

    Texte repris du site de : Les Identitaires

    https://fr.novopress.info/

  • Elliot Spitzer ou la chute programmée de l'un des hommes les plus puissants des USA

    Par Jim Reeves

    Dans son éditorial du 13 mars sur France Inter, Bernard Guetta volait au secours du gouverneur Démocrate de New York, Elliot Spitzer, forcé à la démission après avoir été convaincu de fréquenter assidûment un réseau de prostitution mondaine. Gardons-nous de prendre à la légère ce « fait divers » égrillard qui cache en fait une liquidation politique. Le journaliste incrimine en effet le puritanisme borné d'une Amérique bushienne, dont, bien que sioniste convaincu, il s'accommode mal de l'usage qu'elle fait de la torture. Il salue le combat que Spitzer mena comme Attorney General (procureur général) contre la corruption en col blanc et le gangstérisme de Wall Street. Et il aurait pu ajouter que selon la presse d'Outre-Atlantique il se serait agi, pour le Pouvoir Républicain, d'éliminer la nouvelle étoile montante Démocrate avant qu'elle ne brille trop.

    Pourtant, on n'est pas dans ce registre. Guetta, supporter de Hillary Clinton, sympathise avec Spitzer qui appartient à sa garde rapprochée. Né en 1951 à Paris dans une famille de commerçants sépharades prospères, Bernard G. est un proche parent du richissime Charles Guetta, distributeur BMW en Afrique du Nord et pétrolier au Texas, lequel, allié à la famille des milliardaires judéo-marocains Bénazéraf, s'empara en 1970 de 94 % des actions du Nouvel Observateur six mois avant que le tout jeune Bernard n'y entre comme pigiste. Sa trajectoire sera fracassante et pas seulement parce que l'amitié partagée par Charles et le tout-puissant Jean Daniel remontait aux bancs de la faculté d'Alger.

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  • « Si un projet échoue, il faut oser y mettre fin » : un ancien ministre néerlandais prône la fin de l’euro

    Dans un entretien au journal « Trouw », le chrétien-démocrate Bert de Vries dresse un bilan très négatif de la monnaie unique européenne et préconise un retour du florin aux Pays-Bas. Ministre des Affaires sociales de 1989 à 1994, il affirme regretter la mise en place de l’euro.

    Marianne

    https://www.tvlibertes.com/actus/%e2%80%8bsi-un-projet-echoue-il-faut-oser-y-mettre-fin-un-ancien-ministre-neerlandais-prone-la-fin-de-leuro

  • Face à la menace d'extrême gauche notre camp doit se renforcer.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Faut-il l'écrire une nouvelle fois ? Sans doute !
    Les conséquences économiques de la gestion gouvernementale du Coronavirus seront sans commune mesure avec les malheurs sanitaires qu'a engendrés l'épidémie.
    La crise sociale qui vient, elle, sera dévastatrice.
    L'extrême gauche et les syndicats révolutionnaires soufflent déjà sur les braises. Les actions de la CGT et de Sud contre Amazone et Renault en préfigurent d'autres bien plus lourdes de menaces pour l'ensemble des Français. La cible ? Les services publics et les entreprises stratégiques pour l'Etat qu'ils entendent paralyser.

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  • La République contre la France et les Français : à l’école l’arabe oui, le breton et le corse non

    Faute d’argent, l’Education nationale change les règles concernant l’étude du breton et du corse dans les écoles primaires.

    Un dispositif avait été mis en place en 2000 prévoyant « une initiation » à la langue régionale « dans les trois cycles de l’école primaire à l’exception des élèves de petite section. Cette initiation se fait sur la demande de l’école et est intégrée à son projet. Les cours, d’une durée d’une heure, se déroulent une fois par semaine sur le temps scolaire. »

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