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  • L’islamisation des cités est un long processus de remplacement inauguré par l’immigration de travail puis par le regroupement familial

    L’islamisation des cités est un long processus de remplacement inauguré par l’immigration de travail puis par le regroupement familial

    Les territoires conquis de l’islamisme sous la direction de Bernard Rougier, nous plongent au cœur de la crise que connaît aujourd’hui l‘Occident. L’ouvrage est analysé sur Alliance pour la France :

    Les Territoires conquis de l’islamisme montrent la création de l’écosystème islamiste et qui résulte du croisement de plusieurs phénomènes.

    Le foyer est bien connu. C’est un changement sociologique et ethnique : désindustrialisation, construction de cités de type soviétique ou de cités « radieuses », immigration massive regroupée dans ces cités à loyer modéré, départ du peuple ouvrier, employé ou retraité vers la France périphérique, reconstruction d’une identité communautaire autour de mœurs allogènes, de la religion islamique. L’islamisation des cités est un long processus de remplacement inauguré par l’immigration de travail puis par le regroupement familial entré définitivement dans le droit français par l’arrêt GISTI du Conseil d’État le 8 décembre 1978.

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  • Le plus inquiétant dans l’affaire Messiha ? Le parti pris sidérant de Laetitia Avia…

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    Ainsi donc depuis quelques, mois l’humoriste militant – c’est un étrange oxymore, les esprits formatés étant généralement tout sauf drôles, sauf quand ils ne le font pas exprès, mais comment le qualifier autrement ? – Yassine Belattar « s’amuse » à comparer  à un chameau. L’idée sous-tendue par cette comparaison animalière exotique peu flatteuse est simple : un Arabe reste un Arabe, c’est écrit sur sa tête, et il doit donc rester dans la petite case qui lui est dévolue. Victimisation en est l’alpha, discrimination l’oméga, et l’antiracisme le mantra. Sa parole publique n’a pas d’autre utilité que celle-là. Elle ne doit avoir, sous peine d’être sanctionnée, aucune autre visée. On lui donne son petit baluchon idéologique en kit quand il arrive en France, et gare à lui s’il tente de s’émanciper, de se comporter en « vrai » Français, susceptible, avec sa raison propre, de se forger telle ou telle opinion sur des sujets diversifiés, tonton Yassine est là qui, d’un ricanement méprisant, le renvoie à ses origines.
    C’est inquiétant !
    Mais ce n’est pas le plus inquiétant…

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  • « Le chômage ne baisse pas vraiment… malgré ce que dit l’INSEE» L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, chers impertinents,

    Bon mes amis, j’ai fait une promesse à ma femme. Enfin, non, pour être plus précis ma femme a exigé de moi que je lui promette de ne pas vous parler du coronavirus pendant au moins une journée, car elle en a assez que je compte et recompte les boîtes de raviolis à la disposition de la famille en cas de disette et autre calamité calamiteuse.

    Je vais donc vous parler du chômage… oui, je ne vous dis pas que c’est un sujet folichon, mais c’est quand même important, car si nous ne mourrons pas tous dans d’horribles souffrances pandémiques, notre boulot et celui de nos proches restera un sujet important. C’est vrai qu’en Chine, il y a 700 millions de Chinois qui ne travaillent plus et restent cloîtrés chez eux ce qui correspond tout de même à 10 % de la population mondiale en quarantaine, rien que cela, mais je ne vous en parlerai pas, parce que je l’ai promis à ma femme, et qu’à la maison, je ne sais pas pour vous, mais le vrai patron, c’est la patronne !!

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  • Sur Sud Radio, le regard libre d'Élisabeth Lévy - Le racisme des antiracistes.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/02/25/sur-sud-radio-le-regard-libre-d-elisabeth-levy-le-racisme-de-6214980.html

  • Facebook : standards de la communauté ou censure déguisée ?

    Selon un article publié sur le Journal du Net (JDN), Facebook aurait compté 37 millions d’utilisateurs mensuels actifs chaque mois en France fin 2019, se plaçant au premier rang des réseaux sociaux de notre pays. Cofondé en 2004 par l’informaticien et chef d’entreprise américain Mark Zuckerberg, ce réseau social en ligne a connu un développement et un succès reposant sur la possibilité offerte aux utilisateurs de publier des textes, des images, des vidéos, mais aussi d’échanger des messages, de participer à des groupes et d’utiliser une grande variété d’applications.

    Les personnes engagées dans la vie publique étant soucieuses de faire connaître leur action, nombre d’entre elles utilisent le réseau Facebook comme un moyen de communication facile d’utilisation, peu coûteux et permettant que leurs messages soient relayés par des contacts baptisés « amis ». A ce titre, on pourrait affirmer que Facebook participe sinon à la diffusion de la conception occidentale de la démocratie, du moins à la liberté d’expression consacrée par de nombreux textes fondamentaux. On songe évidemment en France à l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui dispose que « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. »

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  • Zoom – A.S. Nogaret / S. Biasoni : La guerre des races est déclarée


    Racialistes, décolonialistes, indigénistes… ils sont ceux qui veulent déconstruire la France. Dans leur ouvrage « Français malgré eux », Anne-Sophie Nogaret et Sami Biasoni remontent aux origines de l’idéologie racialiste derrière laquelle affleure de plus en plus nettement la rancœur et même la haine. Pour les Houria Bouteldja et autre Rokhaya Diallo, la France est irréductiblement colonialiste, l’Etat français structurellement raciste et sa dette envers les descendants d’esclaves ou de colonisés, inextinguible. L’immigration africaine est donc devenue la facture à payer et quiconque s’oppose à la fin de cette « France blanche » peut la quitter.

    https://www.tvlibertes.com/zoom-a-s-nogaret-s-biasoni-la-guerre-des-races-est-declaree

     

  • Ordonnances Macron, qu’en dire pour l’instant, par Frédéric Winkler.

    « La fin de la politique est le bien humain » Père de Pascal. Devant la cadence antisociale d'un système destructeur de notre économie au profit des banques dont le président fut un des loyaux serviteurs, alertons inlassablement nos frères dans la promiscuité des lendemains qui ne seront pas enchanteurs. Un monde Orwellien est en marche, depuis quelques temps déjà, il était question de réformer le Code du travail devenu effectivement incompréhensible dans ses inextricables articles.

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  • Insultes et propos racistes contre Messiha : au fond, rien de grave pour le président de SOS Racisme !

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    , cadre du Rassemblement national, est régulièrement attaqué par Belattarn notamment avec cette comparaison entre l’homme politique et un chameau.

    Ce qui, pour certains, est un simple jeu est, en réalité, la forme la plus salace de racisme, car entretenue par Belattar sous l’autodérision. Parce que d’origine maghrébine, Belattar pense disposer de tous les droits pour attaquer ad hominem une personne née en Égypte et naturalisée française plus tard.

    Certains rigolent de la comparaison entre la tête de Messiha et celle d’un chameau, mais nul n’ose imaginer la profondeur du mal qui est fait au cadre du RN, la souffrance qu’il endure, et également sa famille, ses proches. Jean Messiha supporte, tous les jours, les inepties proférées par le supposé comique, mais la dernière salve, réclamant son introduction dans un parc animalier afin de rejoindre d’autres camélidés, est ignoble. C’est la raison pour laquelle Messiha a pensé bon de faire un tweet d’alerte en taguant  et la LICRA.

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  • Syndicats : mais où sont passées les troupes ?

    Syndicats mais où sont passées les troupes ?.jpegLe taux de syndicalisation en France est l'un des plus bas au monde. On explique cette anomalie par la faiblesse historique de notre tradition syndicale et l'inertie des grandes confédérations. Mais il faut l'inscrire dans le cadre plus large des bouleversements qui ont affecté la société occidentale depuis une trentaine d'années. À commencer par l'individualisme.

    Les riches heures du syndicalisme fiançais semblent derrière lui. Comme entré dans une sorte d'hiver syndical, il connaît tout à la fois une crise d'audience, une crise du recrutement et une crise du militantisme, du moins au niveau des grandes confédérations (c'est moins vrai des syndicats autonomes, même si leur succès ne fait que souligner la crise du syndicalisme « représentatif »). On le vérifie avec les grandes grèves, qui ne touchent plus que les catégories de salariés protégés. De leur côté, les militants syndicaux sont de plus en plus âgés, de plus en plus souvent retraités, principalement composés de fonctionnaires ou de personnels à statut. C'est comme si on assistait à un épuisement du syndicalisme (à l'heure où sa nécessité se fait sentir plus que jamais), par compression des effectifs, vieillissement des cadres et blocage des appareils. Si la montée du chômage de masse, la précarité grandissante, les restructurations, la fermeture des grands bastions syndicaux, la transformation de l'appareil productif, les délocalisations expliquent en partie ce phénomène de désyndicalisation, son ampleur en France ne laisse pas de surprendre. L'exception française s'en trouve confortée. Plus intense et brutale qu'ailleurs, la désyndicalisation doit donc avoir chez nous des causes spécifiques liées à l'histoire du syndicalisme hexagonal, de création récente (la CGT en 1895, la CFTC en 1919 et FO en 1947) et profondément divisé, à la différence de ses voisins européens.

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